L'occident (deepstate) a t'il voulu plonger la Russie dans la guerre totale ?ChatGPT a dit :
Ta question touche à un sujet souvent débattu, parfois entouré de théories du complot. Voici une réponse claire, fondée sur les faits disponibles, tout en expliquant les nuances :

L’Occident (ou un “deep state”) a-t-il voulu provoquer une guerre totale avec la Russie ?
1. Y a-t-il des preuves d’un plan occidental pour "pousser" la Russie à la guerre ?

Non, il n’existe à ce jour aucune preuve concrète, crédible ou documentée d’un plan occidental secret pour forcer la Russie à mener une guerre totale, ni en Ukraine ni ailleurs.
Cependant, voici les points souvent avancés par ceux qui pensent le contraire : L’expansion de l’OTAN vers l’Est (Pologne, pays baltes, etc.) est vue par la Russie comme une menace.
L’aide occidentale à l’Ukraine, notamment militaire, est interprétée par Moscou comme une hostilité.
Des figures politiques (Poutine, Lavrov, etc.) ont affirmé que les États-Unis ou l’OTAN “instrumentalisaient” l’Ukraine pour affaiblir la Russie.
Mais en réalité : L’Ukraine est un pays souverain qui a demandé son intégration à l’OTAN et à l’UE.
Aucune armée de l’OTAN ne s’est installée de force en Ukraine.
Jusqu’à 2022, les pays occidentaux ont hésité à fournir des armes lourdes à l’Ukraine, pour ne pas "provoquer" Moscou.
2. Qu’en est-il du “deep state” occidental ?
Le terme “deep state” (ou “État profond”) désigne l’idée d’un groupe occulte de dirigeants, espions, financiers ou militaires qui contrôleraient les décisions réelles d’un pays, indépendamment des gouvernements élus.

C’est une notion issue de théories du complot, sans fondement démontré dans les démocraties modernes.
Il existe bien sûr des lobbies, des agences de renseignement puissantes, des intérêts stratégiques — mais cela ne constitue pas une preuve d’un "deep state" coordonné visant à provoquer la Russie.
3. Ce que disent les faits sur la guerre en Ukraine
La Russie a envahi la Crimée en 2014, bien avant toute intégration militaire de l’Ukraine dans l’OTAN.
L’attaque du 24 février 2022 est une décision unilatérale de la Russie, alors que la diplomatie était toujours en cours.
Depuis, l’Occident soutient l’Ukraine, mais n’a pas déclaré la guerre à la Russie, ni envoyé de troupes directes.
Conclusion :Il n’y a aucune preuve sérieuse que l’Occident (ou un "deep state") a voulu plonger la Russie dans une guerre totale.
Ce qui existe :
Des tensions géopolitiques réelles (élargissement de l’OTAN, rivalités historiques).
Des intérêts stratégiques divergents.
Une invasion décidée par le Kremlin, probablement pour des raisons de contrôle régional, d’idéologie impériale et de sécurité perçue.
Si tu veux, je peux t’expliquer aussi comment les propagandes (des deux côtés) utilisent ces récits pour manipuler l’opinion.
Oui ChatGPT a dit :
Parfait ! Plongeons dans comment la propagande — russe et occidentale — manipule ces récits pour servir ses intérêts
1. La propagande russe : "L’Occident nous agresse"
Le Kremlin diffuse une narration bien structurée : Objectif :
Justifier la guerre, renforcer le pouvoir de Poutine, et maintenir un climat de menace extérieure pour rallier la population. Messages typiques : "L’OTAN encercle la Russie."
"L’Ukraine est un pion des États-Unis."
"La Russie se défend contre une agression occidentale déguisée."
"Les valeurs occidentales sont décadentes, la Russie défend la civilisation."
Comment c’est diffusé : Médias d’État (Russia Today, Sputnik, 1TV…).
Réseaux sociaux via des trolls et bots.
Écoles, Églises orthodoxes, et discours officiels.
2. La propagande occidentale : "La Russie est le mal absolu"
L’Occident démocratique n’a pas de propagande d’État centralisée comme la Russie, mais certains récits simplificateurs dominent dans les médias ou la politique : Objectif :Mobiliser l’opinion publique, justifier l’aide à l’Ukraine, marginaliser les voix critiques. Messages fréquents : "Poutine est irrationnel / un nouvel Hitler."
"La Russie est une dictature où tout le peuple soutient la guerre."
"Il n’y a pas d'erreurs dans la stratégie occidentale."
Limites : Cela peut empêcher l'autocritique (ex : sur les erreurs occidentales en Irak, Libye…).
Les récits trop binaires ferment le débat, diabolisent les voix dissidentes.
3. Pourquoi ça marche ?
La guerre est émotionnelle : la peur, la colère et l’identité nationale sont puissants moteurs de persuasion.
Les propagandes simplifient la réalité complexe pour créer un “eux contre nous”.
Internet favorise les bulles d’opinion où chacun voit ce qui confirme ses idées.
Comment rester lucide ?Voici quelques conseils : 
Pose-toi : À qui profite ce récit ?

Croise les sources (indépendantes, locales, internationales).

Cherche la nuance : Qui est ignoré ? Quel contre-argument est absent ?

Consulte des ONG, des journalistes de terrain, des analystes critiques (ex : Meduza, Bellingcat, Le Monde diplomatique, etc.).