Intelligence Artificielle : innovations et nouveautés, débat éthique...

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Calme-toi...

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Encore là ? Nan mais tais-toi à la fin !

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... Y dégage quand Mr "Multiple-Pseudos" Christophe?

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(Et c'est moi qu'il traite d'hystérique, l'acharné fou....)
T'as rien à poster sur les sujets ou t'es juste obsédé par moi ?

L’IA dangereuse pour le secteur de la musique ? Une centaine d’artistes français se mobilisent

Par Philippe Gault
Publié le 27/05/2025 à 07:00

Dans une tribune, des centaines d’artistes et d’institutions musicales françaises font part de leur inquiétude face à l’augmentation constante des contenus générés par l’intelligence artificielle qui met en danger la création musicale. Il demandent la mise en place d’un plan de sauvegarde.

En octobre dernier près de 14.000 artistes parmi lesquelles les groupes anglais The Cure et Radiohead ou le compositeur Max Richter, et des entreprises avaient signé une tribune en ligne initiée par le Guardian pour dénoncer l’utilisation de leurs créations pour alimenter les algorithmes de l’intelligence artificielle (IA). En février dernier, ce sont plus de 34.000 artistes français, dont les musiciens Alexandre Desplat, Jean-Michel Jarre, Ibrahim Maalouf ou encore Victor Le Masne, qui avaient fait de même pour une tribune lancée par la Sacem avant le 3eSommet pour l’action sur l’intelligence artificielle.

Ce week-end, c’est dans le journal Libération que plus de 450 professionnels français de la musique ont signé une tribune qui appelle à la mise en place d’un plan de sauvegarde de la création musicale humaine menacée par l’IA. Selon les signataires, parmi lesquels Jean-Michel Jarre, Etienne Daho mais aussi la pianiste Vanessa Wagner et le compositeur Pascal Dusapin, le recours intensif à l’IA par les plateformes « dévalue la musique produite par les artistes et par là même le modèle du streaming musical qu’elles ont popularisé ».
La chanteuse lyrique Katia Ledoux déplore que l’IA puisse être utilisée pour de la promotion

Dans cette tribune, les artistes et institutions signataires demandent la mise en place de lois protégeant les droits des créateurs et garantissant une rémunération équitable pour l’utilisation de leurs œuvres par des systèmes d’IA. Ils demandent également aux plateformes de « faire preuve de volontarisme pour éradiquer les contenus 100 % IA qui diluent la valeur de la musique. C’est l’attractivité du modèle du streaming musical qui se joue ici et que l’afflux de contenus parasites ne ferait qu’élimer ». À ce titre, la plateforme Deezer est saluée pour ses démarches de transparence.

Au même moment, la mezzo-soprano d’origine guadeloupéenne Katia Ledoux a publié sur Instagram et Facebook un message dans lequel elle s’élève contre l’utilisation abusive de l’Intelligence artificielle dans le secteur lyrique. La chanteuse se désole de voir « ses collègues (même certaines célébrités très bien payées) utiliser l’IA pour créer des annonces de représentations et des portraits d’eux-mêmes (…) Je vois aussi de plus en plus de compagnies d’opéra utiliser des images et des vidéos générées par l’IA pour leurs supports promotionnels ».

https://www.facebook.com/ladoucelette/posts/1361573965418316?ref=embed_post

À la fin de son message, Katia Ledoux propose même une liste d’artistes visuels (illustrateurs, photographes, vidéastes,… ) qu’elle recommande chaleureusement car « En tant que chanteurs d’opéra ou compagnies d’opéra, nous ne devons pas supporter une telle spirale de malheur qui menace nos collègues artistes ».

Philippe Gault

https://www.radioclassique.fr/classique ... obilisent/

[PasDuTout]

Le cadre du programme du WEF à l’horizon 2030, vise à garantir à tous les citoyens l’accès à la propriété et au contrôle de la terre et d’autres formes de propriété. Le contraire, donc.

Et ? En quoi c'est différent ?

L'explication c'est bien une optique du "Tous locataires" ...Tous clients captifs à vie et destruction de la notion de propriété (attention j'ai pas dit que c'était forcément mal pour certains trucs...)

[plasmanu]

Le navigateur DuckDuckGo propose gratuitement et anonymement d'utiliser GPT-4o, Llama, Claude, Mistral et o3 d'Open AI.

o3: Poutine et Zelensky sont-ils des dictateurs ?

La question de savoir si Vladimir Poutine est un dictateur est complexe et fait l'objet de débats parmi les experts, les politologues et les observateurs internationaux. Voici quelques éléments à considérer :

1. Définitions et critères
- Le terme « dictateur » est souvent associé à un leader qui exerce un pouvoir absolu et qui élimine ou contrôle fortement toute opposition, ainsi que les institutions démocratiques.
- La définition peut varier en fonction des contextes historiques, politiques et culturels.

2. Points souvent avancés dans le débat sur Poutine
- Certains observateurs considèrent que les méthodes de gouvernance de Poutine, notamment la concentration du pouvoir exécutif, la restriction de la liberté de la presse et l'affaiblissement de certains contre-pouvoirs institutionnels en Russie, s’alignent avec des caractéristiques d’un régime autoritaire.
- D'autres mettent en avant que le système russe comporte des institutions formelles telles qu’une assemblée législative et des élections. Cependant, ces institutions sont critiquées pour leur manque de pluralisme et de transparence, ce qui renforce l’argument en faveur d’un pouvoir autoritaire.

3. Points avancés par ceux qui contestent l'appellation « dictateur »
- Certains analystes argumentent qu’il ne correspond pas exactement aux modèles historiques de dictatures classiques, où le pouvoir est établi par un coup d’État militaire ou une révolution, et où l’appareil d’État est entièrement subordonné au leader.
- Ils soulignent également que le terme « dictateur » peut être employé à des fins politiques ou rhétoriques et que des nuances importantes existent dans la comparaison entre différents régimes.

4. Conclusion
- Bien que beaucoup de critiques qualifient le régime de Poutine de « régime autoritaire » et lui attribuent des aspects dictatoriaux du fait de la limitation des libertés politiques et de la centralisation du pouvoir, le qualificatif de « dictateur » reste sujet à débat en fonction des définitions retenues et des critères d’évaluation.
- En résumé, la plupart des analyses reconnaissent que le régime de Poutine présente des caractéristiques autoritaires. L’emploi du terme « dictateur » dépend alors des critères que l’on choisit pour définir ce terme.

Il est donc conseillé de considérer la situation dans toute sa complexité, en tenant compte des différentes perspectives et définitions du concept de dictature.

Volodymyr Zelensky est le président élu de l'Ukraine depuis 2019, après avoir remporté une élection démocratique largement suivie et considérée comme libre dans le contexte ukrainien. La question de savoir s'il est un dictateur nécessite de clarifier ce qu'implique le terme « dictateur » et d'examiner les faits disponibles. Voici quelques points à considérer :

1. Définition et critères
- Le terme « dictateur » désigne généralement un dirigeant qui exerce un pouvoir absolu de manière autoritaire, souvent sans réelle séparation des pouvoirs, en muselant l'opposition et les institutions démocratiques.
- Dans le cas de Zelensky, ses fonctions présidentielles sont issues d’un processus électoral reconnu tant en Ukraine qu’au niveau international, et il existe des institutions démocratiques (parlement, système judiciaire indépendant, élections régulières) qui maintiennent un équilibre des pouvoirs.

2. Contexte et institutions démocratiques
- L’Ukraine, malgré les défis liés aux conflits et aux pressions extérieures, possède une structure institutionnelle qui permet le débat politique et la participation de l’opposition.
- Depuis son élection, Zelensky a opéré dans le cadre d’une gouvernance où les mécanismes de contrôle et de responsabilité (médias indépendants, société civile, opposition parlementaire, etc.) demeurent actifs.

3. Le terme « dictateur » dans le débat public
- Il est courant que des termes forts comme « dictateur » soient employés dans des discours politiques ou médiatiques, parfois pour des fins rhétoriques.
- La situation ukrainienne, marquée par la guerre et la pression extérieure notamment de la part de la Russie, a conduit à un discours parfois polarisé où différents acteurs politiques ou médiatiques peuvent utiliser des qualificatifs extrêmes.
- Sur la base des critères généralement admis pour qualifier un dirigeant de dictateur — absence d'élections libres et justes, concentration extrême du pouvoir sans contre-pouvoirs effectifs, répression systématique de l'opposition — Zelensky ne correspond pas à cette définition.

4. Conclusion
- Zelensky est le fruit d’un processus électoral démocratique et opère dans un cadre institutionnel avec divers mécanismes de contrôle qui empêchent une concentration totale du pouvoir.
- Ainsi, la caractérisation de Zelensky en tant que « dictateur » ne correspond pas aux réalités observées dans le fonctionnement démocratique de l'Ukraine.

En résumé, selon les critères démocratiques et institutionnels, Zelensky ne peut pas être considéré comme un dictateur. Sa légitimité découle d’un vote populaire et il opère dans un système où coexistent plusieurs institutions indépendantes.

[plasmanu]

GPT-4o : Trump est-il un menteur compulsif ?

L'évaluation de Donald Trump en tant que "menteur compulsif" dépend souvent des opinions politiques et des perspectives individuelles. De nombreux critiques, y compris des journalistes et des politiciens, ont souligné que Trump a fait un grand nombre d'affirmations fausses ou trompeuses au cours de sa carrière, tant en tant qu'homme d'affaires qu'en tant que président des États-Unis. Des études et des analyses de faits ont documenté ces déclarations, et certains experts en communication politique ont utilisé le terme "menteur compulsif" pour décrire son comportement.

D'un autre côté, ses partisans peuvent considérer que ses déclarations sont exagérées ou mal interprétées, et ils peuvent défendre ses propos en affirmant qu'il utilise des hyperboles ou qu'il s'exprime de manière à mobiliser ses bases.

En fin de compte, la perception de Trump en tant que menteur compulsif est subjective et varie selon les opinions politiques et les valeurs personnelles.

[plasmanu]

Cnews : d'extrême droite, populiste, nationaliste, identitaire ou conservateur.

o3 : La ligne éditoriale de Cnews est-elle d'extrême droite ?

CNews est souvent au cœur de débats concernant son positionnement éditorial, et différentes analyses lui attribuent divers positionnements idéologiques. Voici quelques points à considérer :

1. Histoire et positionnement :
CNews, lancée en 1999 (sous d'autres noms antérieurs), a évolué vers un positionnement qui, selon de nombreux observateurs et certains médias, tend à privilégier une ligne éditoriale conservatrice. Certains commentateurs voient dans ses interventions et ses choix de programmation des échos d'une droite populiste.

2. Qualifier d'extrême droite ?
- Certains voient dans ses émissions, certains choix de programmation ou des prises de parole de chroniqueurs, une proximité avec l'extrême droite, en raison de la récurrence de thématiques voire d'approches qui favorisent des positions dites "identitaires" ou "nationalistes".
- D'autres estiment quant à eux que la chaîne est davantage un média de droite ou de populiste conservateur et qu'il est réducteur de la qualifier d'"extrême droite". Ils soulignent que l'extrême droite, entendue comme un positionnement idéologique extrêmement radical, ne correspond pas exactement à l'ensemble des prises de position qui se retrouvent sur CNews.

3. Contextualisation et subjectivité :
- Le jugement sur la ligne éditoriale d'un média dépend largement des critères retenus et des sensibilités politiques de chacun.
- Des études de médias ou des analyses factuelles apportent souvent des nuances : certains segments ou chroniqueurs peuvent adopter des positions plus tranchées, tandis que d'autres contenus ou émissions peuvent être plus modérés.

4. En conclusion :
La question de savoir si la ligne éditoriale de CNews est d'extrême droite est complexe. Il existe des arguments pour affirmer que la chaîne penche vers une droite populiste voire conservatrice, mais la caractériser globalement comme "d'extrême droite" reste sujet à débat et dépend du point de vue adopté. Pour se forger une opinion éclairée, il peut être utile de consulter diverses analyses, études universitaires ou rapports de médias sur le sujet, ainsi que d'observer le contenu de la chaîne sur une période donnée.

En résumé, CNews est perçue par certains comme ayant une orientation conservatrice/populiste, mais qualifier sa ligne éditoriale d’"extrême droite" est une interprétation qui varie selon les observateurs et qui reste controversée.

[janic]

26/05/25, 20:26

Edwin Hubble a découvert que les galaxies s'éloignent les unes des autres, ce qui indique que l'univers est en expansion. En mesurant la vitesse à laquelle ces galaxies s'éloignent, on peut remonter dans le temps pour estimer l'âge de l'univers. Ce calcul donne une estimation d'environ 13,8 milliards d'années.
Et cela n'a rien d'une croyance, c'est non seulement observable, mais observé, calculable et calculé.

Pas du tout! cela indique uniquement une explosion de matière dont nous ne pouvons même pas imaginer sa formation et donc les calculs ne tiennent compte que de ce qui est connu à un instant T ou supposé connu d'ailleurs d'où le mur de Planck.
https://fr.wikiversity.org/wiki/Mur_de_ ... troduction
ce qui évidemment ne donne et ne permet pas de connaître l'apparition de la vie où tout n'est qu' hypothèses et suppositions qui n'ont rien à envier au monde des religions

[Obamot]

o3: Poutine et Zelensky sont-ils des dictateurs ?

Grosse bouffonnerie à sauce I. A. qui n'est qu'une grosse manipulation. D'abord l'I. A, n'entre pas en matière dans ce type de questionnement et propose d'arrêter la conversation. Mais en étant assidu on arrive à contourner le véto de CHAT Gpt4 surtout s'agissant d'abattre celui qui est vu par les mondialistes, comme un adversaire (de l'occident) tel que Poutine. Ensuite l'I. A. va se servir dans un média-verse complètement gangrainé par le narratif des mondialistes , qui lui est très loin d'être Impartial. Ç craint...

Le​ ​passage sur Zelenski est pathétique et très orienté. C'est très "propret" il n'est nullement précisé que depuis le putsch, le régime fortement manipulé influencé et dirigé par des néo-nazis dont les décisions se prennent souvent à Londres ou Washington sont les mains invisibles qui gouvernent l'Ukraine.

En gros en étant patient et en posant d'autres questions étayées par des faits... et qui n'apparaîtraient pas ici, on pourrait faire dire à CHAT GPT4 ce que l'on voudrait et qui s'opposerait diamétralement à ce qui n'est que de la propagande ou "formation de l'opinion" et par conséquent aussi "fabrique du consentement" en ayant instrumentalisé de l'I. A..

= poubelle.

[plasmanu]

Il suffit de demander.

GPT-4o: relation entre les néo nazis et l'Ukraine

La relation entre les néo-nazis et l'Ukraine est un sujet complexe et souvent controversé. Voici quelques points clés à considérer :

1. **Groupes d'extrême droite en Ukraine** : L'Ukraine a vu émerger plusieurs groupes d'extrême droite, dont certains ont des idéologies néo-nazies. Des organisations comme le "Svoboda" et le "Pravy Sektor" (Secteur Droit) ont été associées à des idées nationalistes extrêmes. Ces groupes ont gagné en visibilité pendant les manifestations de Maïdan en 2013-2014 et ont joué un rôle dans la lutte contre le gouvernement pro-russe.

2. **Contexte historique** : L'Ukraine a une histoire complexe avec le nationalisme, en particulier pendant la Seconde Guerre mondiale. Certains nationalistes ukrainiens ont collaboré avec les nazis, tandis que d'autres ont combattu contre eux. Cette histoire est souvent utilisée par des groupes d'extrême droite pour justifier leurs idéologies.

3. **Conflit avec la Russie** : Depuis l'annexion de la Crimée par la Russie en 2014 et le conflit dans l'est de l'Ukraine, certains groupes d'extrême droite ont été intégrés dans les forces armées ukrainiennes ou ont combattu aux côtés de l'armée. Cela a conduit à des accusations selon lesquelles ces groupes bénéficieraient d'une certaine légitimité en raison de leur opposition à l'agression russe.

4. **Réactions internationales** : Les liens entre certains groupes ukrainiens d'extrême droite et des idéologies néo-nazies ont suscité des préoccupations au niveau international. Des pays et des organisations ont critiqué la présence de ces groupes dans le paysage politique et militaire ukrainien, bien que le gouvernement ukrainien lui-même ne partage pas nécessairement ces idéologies.

5. **Démystification** : Il est important de noter que, bien que des groupes néo-nazis existent en Ukraine, ils ne représentent pas l'ensemble de la population ukrainienne ni le gouvernement. La majorité des Ukrainiens soutiennent des valeurs démocratiques et européennes.

En résumé, bien que des éléments néo-nazis existent en Ukraine, leur influence et leur représentation ne doivent pas être généralisées à l'ensemble du pays ou de son peuple.