Adrien (ex-nico239) a écrit :Ce pour un rendement par m² de potager du même ordre que la cutlure, bon. -
Que voulez vous dire?
J'espère au moins que notre jardinier alsacien me comprend.
je veux dire là que son jardin produit le même le même ordre de grandeur de légumes que d'autres méthode de culture. par exemple 1kg de pomme de terre par m² et par an.
si c'était 3 ou 10 fois moins, ce serait inintéressant : ne pas se fatiguer pour ne rien avoir, bof.
Si c'est, 3 fois plus, ah ce serait chouette. Rien d'invraisemblable ni de magique, la photosynthèse converti moins d'1% de l'énergie lumineuse en énergie de biomasse, il y a de la marge de progression.
Le foin en grande épaisseur chaque reste t-il nécessaire nécessaire dans le temps?
äie, j'ai mal écrit.
la question était : faut-il remettre autant de foin chaque année? Une très épaisse couche?
Ou une amélioration à long terme permet d'envisager de baisser les doses. Pour tout process mal maitrisé, on met trop au début (comme les traitement par les jardinier amateurs), et puis on apprend à faire mieux.
L'intérêt du foin n'est-il pas qu'il est équilibré en C/N?
Pour augmenter le taux de carbone ce serait plutôt du boyat non? Et être patient...
Dans l'ouvrage "le potager du paresseux", l'auteur si j'ai bonne mémoire dit mesurer une hausse de la matière organique dans le sol.
D'autres matériaux plus carbonés ont aussi cet effet, plus rapidement peut-être, mais avec moins d'azote les légumes poussent moins bien
Quelle serait la problématique de cette exploitation?
Si on se demande comment nourrir plus largement une population avec des pratiques qui améliorent le sol , la problématique c'est d'avoir besoin de beaucoup de surface. mais cette surface de prairie n'apparait pas aux visiteurs ou à tout ceux qui veulent se lancer. Donc on peut donner l'illusion d'avoir trouver une méthode de culture abondante non polluante et sans fatigue, mais en masquant le fait que cela requiert énormément de surface.
On a souvent ce problème en matière d'écologie, les fausse solutions, comme les agrocarburants, enfin cela est connu depuis longtemps pour ce sujet particulier.
attention, je ne dis pas qu'un potager avec plein de foin est nuisible comme les agrocarburants.
Vous parlez aussi d'herbe spontannée qui apporte son leur énergie -Que voulez vous dire?
à demander à notre auteur, il indique que les plantes captent l'énergie du soleil et la redonne au sol en se décomposant, après je ne veux pas modifier sa pensée.
C'est toujours en rapport avec l'apport de foin ou vous voulez évoquer autre chose?
Du foin, ou n'importe quel végétaux qui se décompose rapidement donc pas trop ligneux je peux
En quoi les potagers ne seraient pas nourriciers?
ils le sont à petit échelle. Un bon potager de 500m² peut nourrir une personne en légume, peut-être deux, des gens qui pratiquent l'autarcie pourraient nous diret mais c'est rare. C'est à dire qu'ils n'ont d'apport extérieurs (achat dans le commerce de céréales, de pain, de légumineuses issus de grandes culture et non du jardin) ou des apport négligeables
Bref. Un bon petit potage de 500m², ok mais il faut 1500 à 2500m² de prairie à coté pour couvrir.
En france, il y a 5000 m² cultivable par habitant, ça passe encore .
La durabilité de quoi?
D'un système de production d'aliments artificiel : jardin, champ cultivé.
Et dans le cas partagé par le livre, qui serait "bio" , productif et pas épuisant.
Etant entendu qu'une foret pour la chasse-ceuillette, c'est évidemment durable, mais ça nourrit 10 à 100 fois moins de personne au km², les systèmes anthropiques de production de nourriture existent pour que nous nous tenions si nombreux sur terre, en orientant au mieux qu'on peut la production végétale vers ce qui nous intéressent, nous les humains qui pensons et discutons, mais qui ne mangeons pas de bois (tout aurait plus simple dans ce cas).
J'ai bien noté de votre livre que ce qui sort des mines altérer à long terme- Que voulez vous dire?
mince, j'ai mal écrit.
ce qui sort des mines, c'est des métaux, qui sont dispersés à la surface de la terre, soit pour l'agriculture volontairement : cuivre comme phytosanitaire, involontairement : cadmium lié à des engrais, soit par d'autres process comme le plomb qui a existé pour l'essence , qui se retrouve dans l'air puis dans le sol. ça ne disparait, ça ne va pas tout dans l'océan, ça s'accumule en partie dans la terre, sans trop de moyen de diminuer à court terme. Et certains métaux peuvent atteindre des concentrations qui inhibe des processus biologiques.