Covid19 et covid long : les séquelles sur l'organisme possibles (des cas même "légers")

Comment rester en bonne santé et prévenir les risques et ses conséquences sur votre santé et la santé publique. Maladies professionnelles, risques industriels (amiante, pollutions de l'air, les ondes électromagnétiques...), risques de société (stress au travail, surconsommation de médicaments...) et individuels (tabac, alcool...).
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Covid19 et covid long : les séquelles sur l'organisme possibles (des cas même "légers")




par Christophe » 10/10/20, 13:51

Contrairement à une pensée assez largement répandue (et qui explique l'inconscience de certains que je ne nommerais pas) il n'est pas forcément nécessaire de finir en réanimation pour être impacté sévèrement par cette saloperie de Sars-Cov2...certains effets sanitaires sont donc indolores et inconscients...ce qui rend encore plus dangereux cette maladie.

Or les séquelles sont plutôt assez rarement évoquées et quasi pas prises en compte dans les décisions de lutte contre la maladie. Il est grand temps d'en parler un peu plus...

On avait déjà un sujet, complémentaire à celui ci, qui parlait des effets non respiratoires: sante-pollution-prevention/covid-19-les-effets-medicaux-non-respiratoires-t16431.html

Ce sujet s'intéresse aux séquelles respiratoires ou non respiratoires du covid19, je rappelle ces excellents rappels d'Adrien :

Adrien (ex-nico239) a écrit :Pour mémoire le 25 mai

Adrien (ex-nico239) a écrit :
Didier Raoult

il paraît difficile, de mon point de vue, de dire aux gens qui sont malades de ne pas venir se faire tester, ni soigner, et de dire aux patients que la seul thérapeutique acceptable est le doliprane jusqu’au moment où ils présenteront une insuffisance respiratoire

Le fait de ne pas avoir de symptômes cliniques ne veut pas dire qu’on n’aura pas de pneumonie d’ores et déjà diagnostiquable.

L’atteinte respiratoire est atypique et unique, les risques de séquelles sont absolument considérables, peut être que 25% des gens qui ont une pneumopathie auront des séquelles à type de fibrose, certaines seront intraitables.

La discordance entre l’insuffisance respiratoire et l’atteinte pulmonaire et la discordance entre les signes cliniques et la radiologie n’avait jamais été décrit à ce niveau. Les troubles de la coagulation initiaux qui sont à l’origine probablement de lésions pulmonaires dont certaines vont être irréversibles étaient inconnues.



Une autre couche du 5 juillet

Adrien (ex-nico239) a écrit :Philippe Froguel a publié ce schéma très parlant

Tous les gens qui n'ont soi disant RIEN .. les news 0 et cie on va les retrouver là pendant des décennies selon leurs âges.

Pour mémoire dans l'étude (des 3700) de Raoult petit focus sur les News 0 ceux qui n'ont «RIEN»
Ben je souhaite à personne de n'avoir «RIEN» comme un certain nombre d'entre eux...

Caractéristiques du scanner à faible dose
Nous avons effectué 2 065 tests LDCT, dont 1 449 (70,1%) qui ont détecté des anomalies,
ont été classées comme minimes (928, 64%), intermédiaires (414, 28,6%) et atteintes graves (107, 7,4%).
Parmi 991 patients avec un score NEWS-2 = 0 qui ont subi un TDM, 592 (59,7%) présentaient des anomalies radiologiques, dont 470 (47,4%) avec des lésions pulmonaires minimes, 115 (11,6%) avec des lésions intermédiaires et 7 (1%) avec des lésions sévères (Fig. S1).
De plus, parmi 1 370 analyses LDCT réalisées sur des patients sans dyspnée subjective perçue, 937 (68%) avaient une pneumonie. En raison de ce résultat intrigant, nous avons étudié les relations entre la dyspnée perçue, la saturation en oxygène et les résultats LDCT chez les patients
les informations disponibles.
Parmi 1 108 patients qui se considéraient comme non dyspnée, 157 (14,2%) avaient en fait une saturation en oxygène ≤95%, et 130/157 (82,9%) avaient pneumonie.

Tous ceux là, à part Raoult qui les connait?
Ils sont dans la nature.
Ils font partie de ceux qui «n'ont rien eu» en APPARENCE.
Ils constituent peut-être une partie de l'équipage du CDG...
Bref comme ils ont été soit totalement ignorés par la médecine le truc standard of care «ON« N'EN SAIT RIEN ET «ON» S'EN FOUT

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D'ailleurs l'académie de médecine commence à se couvrir ... en faisant du Raoult et en se mettant maintenant [b]enfin
à aller chercher la petite bête chez TOUS les POSSIBLE malades.
Vous savez les 98% qui n'ont soi-disant «RIEN» : sous entendu de grave ou de visible ou de ressenti.

Communiqué de l’Académie : Quels symptômes inhabituels doivent faire rechercher une Covid-19 ?
http://www.academie-medecine.fr/communi ... -covid-19/

La fièvre ou les signes respiratoires sont les principaux symptômes de la Covid-19. Cependant l’infection à SARS-CoV-2 peut toucher d’autres organes et être révélée par des troubles digestifs, des embolies pulmonaires ou artérielles périphériques, ou d’autres tableaux inauguraux moins typiques.

Le plan de prévention et de protection renforcé défini par le Conseil scientifique Covid-19 [1] comporte une intensification du protocole de détection des cas et de recherche des contacts. Ces nouvelles dispositions doivent inciter à prescrire les tests de dépistage au moindre doute. Ainsi, certaines présentations cliniques moins fréquentes ne doivent pas être méconnues :

– manifestations neurologiques : si l’agueusie et l’anosmie sont fréquentes, d’autres manifestations sont exceptionnelles comme une ophtalmoplégie ou un syndrome de Guillain-Barré. Un syndrome confusionnel, des troubles mnésiques ont également été rapportés en particulier chez les sujets âgés ainsi que des accidents vasculaires cérébraux ischémiques liés à l’activité thrombogène du SARS-CoV-2. Des douleurs constrictives, erratiques et durables sont probablement d’origine neurologique.

– signes cutanés : des pseudo-engelures, parfois douloureuses ont été décrites depuis le début de l’épidémie. Plus fréquentes chez l’enfant et l’adulte jeune, leur évolution est habituellement favorable en une semaine, mais elles peuvent récidiver. La dyshidrose, des vésicules, une urticaire, un exanthème, des pétéchies et un livedo sont plus rares.

– des tableaux cliniques évocateurs de la maladie de Kawasaki ont été décrits chez l’enfant avec des signes digestifs initiaux, dont de fortes douleurs abdominales, puis un choc cardiogénique avec une fraction d’éjection effondrée, regroupés sous le nom de syndrome inflammatoire multisystémique pédiatrique (PIMS). Les signes cutanés sont présents, avec un érythème puis une desquamation. L’âge des enfants touchés, de 9 à 17 ans, est plus élevé que dans la forme habituelle de la maladie de Kawasaki.

– les atteintes endocriniennes et métaboliques sont probablement liées à la large distribution organique de l’enzyme de conversion de l’angiotensine 2 (ACE2), récepteur du SARS-CoV-2 : testicule, ovaire, hypothalamus, hypophyse, thyroïde et pancréas. Contribuant à l’état de profonde fatigue et corrélé à la sévérité de la maladie, on peut observer un déficit de la production de testostérone. L’hypokaliémie fréquemment rapportée résulterait de la fixation du virus sur l’ACE2 et de la synthèse accrue d’aldostérone. La lymphopénie observée dans certaines formes graves de Covid-19 ne permet pas d’exclure des situations d’hypocortisolisme, déjà documentées au cours du SARS. Des cas de thyroïdite subaigüe ont été rapportés. Une hypocalcémie peut être observée, de même qu’une hyperglycémie favorisée par la majoration de l’insulinorésistance et une atteinte directe de la glande pancréatique avec une élévation des taux d’amylase et de lipase.

L’Académie nationale de médecine recommande
– d’explorer les manifestations neurologiques, endocriniennes ou métaboliques survenant dans un contexte connu ou non d’infection Covid-19
– d’analyser les troubles cognitifs, leur sévérité, leur évolution et leur persistance en s’aidant d’explorations spécifiques ;
– d’évoquer un PIMS en cas de douleurs abdominales intenses et/ou de choc cardiogénique survenant chez l’enfant ou l’adolescent ;
– de prescrire les tests de dépistage du SRAS-CoV-2 (RT-PCR et sérologie) au moindre doute devant tout tableau clinique fruste, atypique ou inhabituel pouvant faire penser à la Covid-19.





Et la couche de finition du 2 août, j'avais un peu l'impression de prêcher dans le désert... Image mais tant mieux si maintenant tout le monde est concerné


Adrien (ex-nico239) a écrit :Tiens ça tombe bien...

Pendant que les trolls nous serinaient à longueur de pages ici que 98% des gens n'avaient «rien» pour justifier le standard of care

Raoult mettait en garde tous les positifs asymptômatiques de se faire suivre, même s'ils ne ressentaient pas la moindre gêne car à l'IHU ils avaient pris très au sérieux justement tous ceux qui n'avaient«rien»

On dirait (une fois de plus) qu'il avait raison de se montrer très très méfiant sur les séquelles.

Évidemment à l'époque, la plupart se foutait de sa gueule.
Il semble que l'on soit en train de déchanter

Et qu'il faille, comme le soulignait Raoult mettre en place un dispositif de suivi post covid...
Comme quoi ne «rien» avoir, ne «rien» ressentir n'est pas forcément le signe de ne pas être sournoisement atteint par cette saloperie


Des séquelles cardiaques chez des malades, même légers, du Covid-19

En s’attaquant aux vaisseaux sanguins du cœur, le virus laisse parfois des traces visibles à l’IRM.Ces petites inflammations ou cicatrices pourraient augmenter le risque de complications cardio-vasculaires.

L’épidémie de Covid-19 n’est pas terminée que les spécialistes s’inquiètent déjà des séquelles potentielles de la maladie sur l’organisme. Dans un communiqué du 15 juillet, l’Académie nationale de médecine invitait par exemple à la vigilance ainsi qu’à la création d’une cohorte pour une étude longitudinale de plusieurs années sur le sujet.

La semaine dernière, c’est une étude allemande publiée dans la revue Jama Cardiology qui alertait de son côté sur les risques de complication au niveau du cœur. Les médecins de l’hôpital universitaire de Francfort ont fait passer une IRM à une cohorte de 100 patients récemment remis du Covid-19, et ce deux à trois mois après la confirmation du diagnostic par un test PCR. Résultat, 78 % présentaient des résultats anormaux. Les chercheurs rapportent des inflammations du muscle cardiaque (myocarde) pour 60 patients et/ou du péricarde, l’enveloppe entourant le cœur, pour 22 autres. Il s’agit selon les cas d’une inflammation encore active ou de cicatrices. Plus surprenant encore, ces résultats sont sans corrélation avec la gravité de la maladie. Seuls deux patients de la cohorte ont été admis en réanimation suite à leur contamination au Covid-19, et 31 ont été hospitalisés. Les autres malades ont souffert d’une forme plutôt légère.

«Ce genre d’image est habituellement associé avec un risque plus grand de dysfonction cardiaque et d’apparition d’insuffisance cardiaque à long terme, analyse Florian Zores, cardiologue à Strasbourg. Ces résultats amènent de vraies interrogations quant au risque à long terme de cardiomyopathies et d’insuffisance cardiaque. Malheureusement, les auteurs ne nous donnent pas de tableau comparant les caractéristiques des patients avec anomalies et sans anomalies. Ce qui aurait permis de réfléchir en amont à quels patients il faut proposer une IRM.» Ajoutons qu’il ne s’agit pas d’une étude clinique: les scientifiques n’ont pas surveillé l’apparition de symptômes cardiaques dans un échantillon représentatif.

Quand le système nerveux dysfonctionne comme cela, réapprendre à respirer, à bien adapter son rythme cardiaque, n’est pas anodin
Dr Benjamin Davido, infectiologue à l’hôpital Raymond-Poincaré de Garches

«L’étude a inclus des volontaires qui présentaient des symptômes (17 % des douleurs thoraciques, 20 % des palpitations, 35 % un essoufflement)», décrypte Florian Zores. Ces résultats ne signifient donc pas que 78 % des malades Covid-19 vont rencontrer des problèmes cardiaques par la suite. «Les myocardites et péricardites ne sont pas rares», ajoute Benjamin Davido, infectiologue à l’hôpital Raymond-Poincaré de Garches. «Classiquement, les myopéricardites sont d’ailleurs des maladies virales (pour 90 % d’entre elles). Ce n’est pas surprenant d’en trouver chez d’anciens patients atteints Covid. Toutefois, ces résultats sont très intéressants, car ils confirment que le virus a une affinité particulière pour les vaisseaux sanguins, ce qu’on appelle de façon savante l’endothélium vasculaire. Cela prouve que ces patients considérés comme guéris et qui viennent nous voir en consultation avec des problèmes de fatigue ou d’essoufflement ne somatisent pas.»


Nécessité d’un dispositif efficace de suivi post-Covid

Dans un article publié le 23 juillet dernier dans la revue Clinical Microbiology and Infection, le médecin décrivait avec ses collègues des Hôpitaux de Paris un certain nombres de symptômes persistants provoqués par le Covid-19 chez des patients de l’AP-HP. «On remarque qu’il y a une très forte propension à la dysautonomie, à savoir un dysfonctionnement dusystème nerveux autonome. Il ne parvient plus à assurer des fonctions aussi simples et vitales tels que la respiration ou bien l’adaptation du rythme cardiaque à l’effort. Notre hypothèse est que les petits vaisseaux sanguins ont en fait été endommagés par le virus et ne remplissent plus correctement leur rôle d’irrigation du système nerveux.»

Ce problème est d’autant plus pernicieux qu’il peut persister après la disparition du virus. «Nous ne sommes plus face à une maladie infectieuse, résume le Dr Benjamin Davido. Le virus n’est plus présent dans l’organisme. Mais les vaisseaux endommagés n’ont pas été réparés. Ce qui expliquerait pourquoi les symptômes persistent.»

À l’instar de l’Académie de médecine, l’infectiologue insiste donc sur la nécessité de mettre en place un dispositif efficace de suivi post-Covid. Selon Benjamin Davido, ces complications ne devraient toutefois pas être irréversibles, à condition d’assurer une rééducation. «Quand le système nerveux dysfonctionne comme cela, réapprendre à respirer, à bien adapter son rythme cardiaque, n’est pas anodin. Cela demande de l’entraînement. Comme un marathon, d’une certaine façon. C’est toujours quelque chose de possible, mais il faut y aller progressivement.»


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Edit ajout le 11/08/21 :

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Re: Covid19, les séquelles sur l'organisme possibles (des cas même "légers")




par Adrien (ex-nico239) » 10/10/20, 16:32

C'est bien, si j'en retrouve d'autres je te les rajoute :!:
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Re: Covid19, les séquelles sur l'organisme possibles (des cas même "légers")




par Adrien (ex-nico239) » 10/10/20, 16:34

Adrien (ex-nico239) a écrit :Quand on bosse un peu sur le sujet des séquelles au lieu de nous seriner les oreilles depuis des mois que 80% de ceux qui restent chez eux et qui n'ont rien n'ont rien.... on se remémore déjà cet entretien



On retrouve la même chose dans ce court article
Didier Raoult : l'inquiétude du professeur concernant les séquelles du coronavirus pour les patients guéris

Puis on creuse un peu et on découvre un article bien plus fouillé, très intéressant avec des gens très intéressants qu'on écoute sans parti pris (contrairement à ceux qui écoutent Raoult) et on découvre qu'ils disent des choses très intéressantes.

Covid-19 : une pneumonie pas comme les autres

Et puis comme on est bienveillant et sans à priori ni parti pris (pas comme les anti Raoult primaires) on s'intéresse aux personnes qui disent des choses intéressantes sans se préoccuper de leur réputation mais en étudiant leurs projets et on découvre que malheureusement

Les séquelles n'intéressent pas.

Ca ne rapporte rien

J'ai déposé un projet ambitieux d'évaluation multimodale du pronostic à long terme des COVID graves.

Avec évaluation physique, scannographque, fonctionnelle...et surtout de la qualité de vie à long terme du malade et des Proches.

Refus. Parce que pas sexy, pas a même de changer la prise en charge aiguë (sic (!?!?))

Voilà ou on est.

Je suis catastrophé que cette problématique majeure soit laissee de côté.

Après, la recherche coûte cher.

Et qd elle est phagocytee par des renégats à hauteur de Millions d'euros par an, il n'en reste plus pour les autres, pour les projets pas sexy mais si importants

Si tu voyais les commentaires sur le projet...et surtout qques autres projets qui ont eux été retenus...

Bref. Je tiens bcp à ce truc et http://on.va se débrouiller pour trouver ses sous

barraud_sequelles_coronavirus_1.jpg
barraud_sequelles_coronavirus_2.jpg


Bref comme il dit ceux qui ont rejeté son projet qui a l'air tout a fait pertinent sont cons.
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Re: Covid19, les séquelles sur l'organisme possibles (des cas même "légers")




par Christophe » 14/10/20, 19:59

Tres bien ! Macron vient de parler des séquelles !!!

Rapidement mais il en a parlé ! Pas sur que les neuneus aient compris et retenus l’info...
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Re: Covid19, les séquelles sur l'organisme possibles (des cas même "légers")




par Adrien (ex-nico239) » 14/10/20, 20:47

Ils vont peut-être enfin écouter Raoult...
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Re: Covid19, les séquelles sur l'organisme possibles (des cas même "légers")




par Christophe » 14/10/20, 20:49

Christophe a écrit :Pas sur que les neuneus aient compris et retenus l’info...


C’est bien ce que je craignais...aucun flash, aucune analyse sur ce passage...pour le moment...alors que c’est une des info fondamentale de l’interview...

Par contre partir en vacances ça ils en parlent...

Bande de grands-ducs !! ( c’est plus poli... :mrgreen: )
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Re: Covid19, les séquelles sur l'organisme possibles (des cas même "légers")




par Adrien (ex-nico239) » 17/10/20, 10:01

Le compte Tweeter des post covid

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Re: Covid19, les séquelles sur l'organisme possibles (des cas même "légers")




par Christophe » 17/10/20, 12:27

Ils ont pas un site ?

Quels sont leurs data pour le moment ?
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Re: Covid19, les séquelles sur l'organisme possibles (des cas même "légers")




par Adrien (ex-nico239) » 27/10/20, 16:18

Ce n'est pas à proprement parler une séquelles du coronavirus mais je ne savais pas où mettre cet article


Candida auris, le supergerme qui inquiète les hôpitaux assaillis par le coronavirus

Face à la surcharge des centres hospitaliers, les médecins s'inquiètent de la prolifération d'une levure très dangereuse capable de coloniser la peau d'un patient sans générer de symptômes.

Avant l'apparition de C. auris en 2009, les champignons du genre Candida étaient connus pour provoquer des cas bénins de candidose, une excroissance blanchâtre sur les ongles ou les parties génitales.

Depuis, quelques milliers d'infections par C. auris ont été signalées dans au moins 40 pays où elles ont été liées à un décès dans 30 à 60 % des cas. À titre de comparaison, le coronavirus ne tue que dans 1 % des cas mais a infecté un très grand nombre d'individus en peu de temps.
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Re: Covid19, les séquelles sur l'organisme possibles (des cas même "légers")




par Christophe » 27/10/20, 16:39

Cela n'a même rien à voir du tout :D

Mais quand on lit ça, on se dit que le coco n'est qu'une "ptite b*te biologiquement parlant" finalement :D
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