janic a écrit :Ils disent ce qu'ils ont appris dans leurs cours!
Ben voyons, surtout les chercheurs et les épidémiologistes
Ils font de même comme n’importe quel chercheurs dans quelque domaine que ce soit. Ils mettent en pratique ce qu’ils ont appris, pas ce qu’ils ignorent évidemment et comme ils sont payés pour chercher dans un créneaux particulier, ils n’y découvrent pas le fil à couper le beurre.
janic a écrit
ose la question à n’importe quel généraliste
Ceux que j'ai rencontré sont révoltés par les fakenews antivax.
Evidemment puisque tu rencontres des provaxx, mais ceux que j’ai rencontré, quoique très conformistes et avant internet, étaient troublés par les tricheries des services de santé sur les statistiques tronquées et leurs affirmations dogmatiques impossibles à prouver justement. On y retrouve en copie conforme le dogmatisme catholique appliqué à la médecine : «
hors de notre médecine, point de salut » avec la complicité des puissants du moment qu’ils soient rois ou gouvernements des Etats.
janic a écrit :Bon mettons, à 99% !
Tu avances des chiffres sans source.
C'est de l'humour!
Tu n’avances rien hormis, les fake news de quelques sectes pseudo scientifiques.
Je te rappelle,pour ta mémoire de poisson rouge, que nous les supposés antivaxx n’avons pour source statistiques unique que les statistiques officielles
complètes, elles.janic a écrit :Car les plus concernés par les effets secondaires, ce sont eux, les plus proches, et la consigne est le silence sur un sujet tabou. En effet, autant ils sont conscients que la relation entre cause et effet est flagrante, et ils le reconnaissent volontiers oralement, autant ils ne peuvent et ne doivent pas l’exprimer par écrit, au risque, sinon, de perdre leur licence d’exercice
C'est encore complètement faux, comme pour Trump et Wakefield, tu inventes des arguments sans fondement. Ils ne risquent rien: Les médecins, les chirurgiens-dentistes, les pharmaciens et les sages-femmes ont l’obligation de signaler tout effet indésirable!
https://vaccination-info-service.fr/Gen ... es-vaccins
Encore dans ta bulle ! La pharmacovigilance regrette, justement, le peu de retours des effets secondaires estimés à seulement 10% que ce soit en Amérique ou en Europe. Donc 90% passent à l’as !
Ensuite, même peu signalés, ces effets indésirables ne sont pris en compte que sur un nombre élevé de cas correspondant (cela fait partie de la phase IV, les retours post AMM) Alors que les toubibs ne voient, séparément, que des cas isolés d’effets secondaires. Les hôpitaux en voient eux en plus grand nombre lors des hospitalisations, mais les signalements y sont aussi faibles, ou bien non attribués en tant qu’effets à des causes non connues ou non reconnues.
Tous ces médecins, infirmières y sont confrontés journellement. De même pour les clients des médecins qui, non formés médicalement, ne peuvent prouver scientifiquement ces effets consécutifs à des causes proches. Mort subite du nourrisson, syndrome de l’enfant battu, encéphalites, etc…
Ces ruptures entre client victime, médecin peu enclin à en reconnaitre les causes immédiates, les statistiques insuffisantes, les dogmes « catholiques » qui ne doivent pas être remis en question, cela ne facilite pas la mise en cause de tel ou tel événement particulier.
Ainsi en Amérique, les victimes peuvent se regrouper pour pouvoir auprès des tribunaux leur état de victimes, avec un seul avocat ou deux et donc avec des coûts très faibles en frais de justice, et qui ne peuvent plus être déniées après jugement.
En France, la loi ne le permet pas, chaque victime, isolément, doit se pourvoir auprès des tribunaux avec un avocat par victime et tous les frais de justice à charge, ce que peu de foyers touchés ne peuvent se permettre financièrement. Et quand il n’y a pas de procès…il n’y a, officiellement, pas de victimes. CQFD
Par exemple :
https://www.leem.org/kit-presse/vaccinsaucune allusion à la pharmacocinétique absente pour les vaccins. D’où ces questions, restées sans réponses page 12
janic » 06/08/18, 13:05
sante-pollution-prevention/la-france-est-l-un-des-pires-eleves-europeens-en-matiere-de-vaccination-t15653-110.htmlDonc pour au moins une fois et afin de rassurer tes aficionados, répond:
1)donc tu es d’accord pour qu’aucune étude de pharmacocinétique ne soit faite!?
2)Pour qu’il n’y ait aucune étude de mutagénèse ?
3)Tu es aussi d’accord pour qu’il n’y ait aucune étude de cancérogénèse de faite?
4)Qu’il n’y ait aucune étude de tératogénèse, non plus ?
5)Et pour que les études contre vrai placebo ne soient pas faites ?
6)Et tu trouves, bien entendu, normal aussi que la pharmaco vigilance ne recense qu’entre 1 et 10% des effets secondaires qui seuls entrent dans les statistiques?Toutes choses auxquelles échappent les vaccins qui sont pourtant classés comme des médicaments
PP PHARMACOCINÉTIQUE
L'évaluation des propriétés pharmacocinétiques n'est pas requise pour les vaccins.https://www.vidal.fr/Medicament/infanri ... etique.htm 3°) Autre passe-droit, les vaccins sont dispensés de la moindre analyse pharmacocinétique, contrairement aux autres médicaments. On peut en effet lire en page 4 de ce document règlementaire de l'Agence européenne des Médicaments (EMEA) et de son Comité des Médicaments à usage humain (CHMP): "Etudes pharmacocinétiques. Elles ne sont généralement pas exigées pour les vaccins parce que les propriétés cinétiques des antigènes ne fournissent pas d'informations utiles pour déterminer les recommandations du nombre de doses. Cependant de telles études pourraient être d'application en cas de recours à des nouveaux systèmes d'administration ou d'emploi de nouveaux adjuvants ou d'excipients." http://initiativecitoyenne.be/article-t ... 89412.htmlEvaluation du lien de causalité en cas de manifestations postvaccinales indésirables
L’imputation de la causalité des MAPI, en particulier dans les cas considérés comme graves, importants pour la santé publique ou susceptibles de perturber les programmes, est essentielle pour garantir l’innocuité des vaccins. En 2005, l’OMS a publié un aide-mémoire destiné à guider le lecteur dans l’application d’une procédure d’évaluation systématique et standardisée de la causalité des manifestations postvaccinales indésirables (y compris pour les grappes de cas). Il présentait une méthode d’évaluation de la causalité pour chaque cas, à l’intention du personnel des programmes nationaux de vaccination, des autorités de réglementation et des services de pharmacovigilance ou de surveillance.5 Sept ans plus tard, son application sur le terrain a montré ses limites. En effet, on a besoin d’orientations plus détaillées sur les éléments nécessaires pour évaluer la causalité, il existe une confusion concernant les termes employés pour classer la probabilité du lien entre la manifestation et le vaccin, et les paramètres permettant d’établir la relation causale ne sont pas complètement utilisés.
Après la décision prise par le GACVS, en décembre 2010, de revoir le système d’évaluation de la causalité, un groupe de travail a été créé pour revoir l’aide-mémoire et mettre au point une méthode susceptible d’être simple, objective, adaptable et fondée sur des bases factuelles et utilisable par des pays n’ayant pas tous les mêmes ressources et les mêmes capacités. Après un examen approfondi des méthodes les plus innovantes permettant de déterminer les causes pour les médicaments et les produits biologiques, un algorithme intégrant des éléments supplémentaires pour établir les causes a été mis au point. Le guide a été harmonisé suivant le nouvel algorithme mis au point par le Clinical Immunization Safety Assessment (CISA) Network, disponible aux États-Unis,6 et la nouvelle définition de MAPI proposée par le Conseil des Organisations internationales des Sciences médicales (CIOMS).7https://www.who.int/vaccine_safety/comm ... n_2012/fr/
« On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres: mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison » Henri Poincaré