Thérapie psychologique par les jeux vidéos (pas que des serious games)

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Christophe
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Thérapie psychologique par les jeux vidéos (pas que des serious games)




par Christophe » 13/11/19, 13:35

Alors qu'ils sont plutôt décriés par la communauté scientifiques médicale en général ("ceux qui savent..."), les jeux vidéos peuvent être réellement utilisés dans un but thérapeutique autre que le divertissement (à supposer que se divertir ne soit pas une thérapie, or elle l'est!).

Depuis quelques années, il existe des serious game: https://fr.wikipedia.org/wiki/Jeu_s%C3%A9rieux qui eux sont réellement utilisé en thérapie médicale mais l'article qui suit concerne les jeux grand public! Voila pourquoi je vous en fait part!

Voici des témoignage de traumatisés post 13 novembre qui arrivent à se reconstruire grâce, en partie, aux jeux vidéos...mais notre société n'est pas que violente dans la violence physique...comme le disait très justement l'abbé Pierre

13-Novembre : rescapés de l’attaque au Bataclan, ils se reconstruisent avec le jeu vidéo
Par William Audureau

Publié le 13 novembre 2018 à 12h39 - Mis à jour le 13 novembre 2018 à 14h22

Sur les coups de 5 heures du matin, Thomas peine à trouver le sommeil. Quelques heures plus tôt, un vendredi 13 novembre 2015, il était encore à plat ventre dans la fosse du Bataclan avec quatre amis. Thomas a pu en sortir vivant. Il fait partie des rescapés des attaques terroristes, qui ont coûté, ce soir-là, la vie à 130 personnes.

Face à l’insomnie, il allume Metal Gear Solid V : Phantom Pain, un jeu déconseillé aux mineurs. Dans sa mission, l’équipage d’un bateau est décimé par un virus mortel ; des soldats gisent çà et là dans des mares de sang. Une scène « ultraviolente », reconnaît Thomas. « Mais je me souviens que ça m’a vraiment apaisé. »

Aujourd’hui, il loue ces jeux vidéo qui l’ont aidé à « canaliser les mauvaises énergies ». Il est loin d’être le seul rescapé dans ce cas. « On a vu des choses moches, la laideur du monde », abonde Eric, un autre survivant du Bataclan, interrogé par Le Monde. « Je ne peux pas fuir l’attentat, car je vis tous les jours avec et j’en aurai des séquelles à vie. Mais j’ai eu à disposition l’échappatoire du jeu vidéo et ça m’a clairement aidé. »

En 2010, une étude portant sur Tetris avait déjà prouvé le caractère bénéfique des jeux vidéo pour bloquer la résurgence de souvenirs post-traumatiques. « C’est l’un des meilleurs médias pour avoir une activité qui soulage l’esprit », confirme Vanessa Lalo, psychologue spécialisée dans les pratiques numériques innovantes, tout en soulignant la nécessité d’un accompagnement : « Le jeu vidéo ne peut pas être cathartique à 100 %. »

« La veille, je jouais à “Wolfenstein” »

Le 13 novembre 2015, la moyenne d’âge des victimes était de 35 ans. La génération frappée par les attentats de Paris est celle qui a grandi avec les premières consoles. Egalement celle à qui on répétait, enfant, que leur loisir rendait violent. « Ironiquement, la veille, je passais la nuit à essayer de finir Wolfenstein, un jeu de tir bien sanglant, limite caricatural. Et vingt-quatre heures après, je me retrouve au Bataclan », grince Eric, ancien rédacteur pour un site de jeu.

Plusieurs rescapés de la salle de concert estiment que leur pratique a participé à leur sauver la vie lors de l’attentat, qui a fait 90 morts en plus des 3 terroristes. « Je pense que du moment où j’ai entendu les éclats de tir, j’ai compris ce qui se passait », assure ainsi Kevin, 37 ans, chercheur en sciences et ancien joueur de jeux de tir en compétitions. Il estime avoir su s’enfuir au moment le plus opportun.

« D’un point de vue spatial, j’avais une bonne vision d’où ils étaient, je cherchais les angles morts, etc. J’ai eu des réflexes de “gameur”. »

Ce genre de témoignage n’étonne pas la psychologue Vanessa Lalo.

« Les recherches scientifiques montrent que les gros joueurs de jeux de tir ont des prises de décision beaucoup plus rapides que chez la plupart des personnes, une capacité à couper l’affect, planifier des stratagèmes et les exécuter rapidement. »

Eric, lui, préfère évoquer « beaucoup de chance et un peu de présence d’esprit ».

« Au début, je ne l’ai pas supporté »

C’est une fois rentré chez eux que les séquelles commencent à s’installer. Flash-back, crises d’angoisse, idées morbides, hypervigilance, peur panique des espaces confinés, phobie de la foule… Chacun a vécu « son » Bataclan, chacun doit maintenant faire face à des symptômes différents.

Pour certains, jouer aux jeux vidéo violents devient impossible. Joséphine, une jeune maman rescapée, renonce par exemple au jeu de tir militaire Call of Duty. « Dans la rue, j’entendais quelqu’un secouer son tapis à la fenêtre, je partais en courant. Alors [le son virtuel d’]une arme automatique… »

Kevin tente, pour sa part, PlayerUnknown’s Battlegrounds, un jeu de survie à main armée, mais en vain. « La part de surprise et de réalisme, le fait de me retrouver poursuivi par des mecs équipés, le bruit des balles qui sifflent… Au début, je ne l’ai pas supporté. »

« Le jeu vidéo devient un refuge onirique »

Mais ils persévèrent. Le jeu vidéo fait partie de leur vie, comme la musique ou le cinéma. Ils ont par ailleurs des difficultés à sortir, et ont besoin de se divertir chez eux. Le virtuel leur offre une fenêtre d’évasion particulièrement puissante pour fuir les idées morbides, explique Vanessa Lalo : « L’imaginaire du jeu vidéo est structuré et structurant, il a un cadre, on sait que rien ne va nous arriver dedans. On y est acteur et pendant ce temps-là, le corps autant que l’esprit sont occupés. C’est une bulle dans laquelle on se sent protégé. »

Chacun y va de son jeu-refuge. Des balades en automobile (Forza Horizon), une simulation agricole mignonne (Stardew Valley), une aventure dans un monde d’insectes fantasmagorique (Hollow Knight), un jeu de stratégie bon enfant (Civilization)… Des titres « paisibles », relève Stéphane, 43 ans et vétéran du jeu sur ordinateur. Vanessa Lalo poursuit :

« Quand on a vécu un événement traumatique, soit on cherche à se confronter au danger, soit on cherche à s’en écarter, à mettre une rustine. Le jeu vidéo devient un refuge onirique un peu anesthésiant. »

Max Besnard, journaliste jeu vidéo désormais allergique aux jeux de tir réalistes, recherche ainsi plutôt des expériences dans lesquelles il peut se promener tranquillement, comme les derniers Zelda et Mario. « Ces jeux me font du bien. Surtout, on y est libre, on peut se balader n’importe où », précise-t-il, alors que trois ans après, il peine toujours à emprunter les transports publics.

Les jeux en monde ouvert permettent aux rescapés d’attentat de renouer avec un sentiment de liberté, de maîtrise et de légèreté, avec des jeux comme « Zelda ».

Un joueur rescapé de la salle de concert témoigne, lui, de sa préférence pour les jeux avec un système au tour par tour et des caméras aériennes. « Une manière de déjouer la brutalité, la surprise, et donc de maintenir [la violence] à distance, de la maîtriser. Une guerre au ralenti, vue du ciel », analyse-t-il. D’une manière générale, ils sont nombreux à évoquer le besoin, à travers la pratique du jeu vidéo, de retrouver le sentiment de contrôle.

La mission « dégueulasse » de « Call of Duty »

Avec le temps, certains gameurs rescapés se replongent même dans des univers plus sombres, plus violents. Mais leur regard a changé. « Désormais, j’ai beaucoup de mal avec les jeux où l’on me donne le choix de tuer ou non », relate ainsi Max Besnard. « Ce choix, je ne l’ai pas eu. L’arme, elle était face à moi. »

Stéphane, lui, enrage contre une mission de Call of Duty : Modern Warfare 2 invitant le joueur à devenir un terroriste pouvant massacrer des civils dans un aéroport*. « J’y aurais joué immédiatement après [le Bataclan], j’aurais hurlé pour dire à quel point c’est glauque et dégueulasse. Surtout que dans le jeu, j’ai voulu tirer sur les autres terroristes plutôt que de mener la mission, mais ça ne marche pas », fulmine-t-il.

Parfois, pourtant, certains titres apaisent malgré leur gravité. David Hemkä évoque ainsi sa « fascination morbide » pour le jeu d’aventure horrifique Bloodborne. Et notamment ces silhouettes spectrales implorant le joueur sur sa route, qui lui rappellent « l’éprouvante procession jusqu’à la sortie [du Bataclan]. » Il évoque la résurgence d’une scène d’« horreur » autant qu’un sentiment de « réconciliation ».

« Je veux être le dernier survivant »

Revivre un traumatisme a été l’une des options thérapeutiques les plus inattendues. Ils sont ainsi plusieurs rescapés à témoigner de leur pratique d’un titre en particulier, PlayerUnknown’s Playergrounds (PUBG), un jeu de tir militaire réaliste et survivaliste. « Ma copine rescapée ne comprenait pas que je continue d’y jouer, mais au contraire du Bataclan, j’avais l’impression d’y être au moins acteur, d’être égal à égal avec les autres, relate Kevin. Ce n’était pas de l’esprit de revanche, mais surtout une manière de me sentir moins victime. »

Les études sur le sujet sont rares, mais Vanessa Lalo rappelle que des simulateurs de guerre en réalité virtuelle sont utilisés aux Etats-Unis pour aider les vétérans de l’US Army souffrant de stress post-traumatique.

« L’esprit de la survie, le réalisme du bruit de la kalachnikov… je suis devenu accro à ça. » Grégoire, survivant de l’attentat de Sousse

Cette pratique peut se faire extrême. Grégoire, lui, ne jouait plus depuis dix ans, quand il s’est retrouvé sur la plage de Sousse, en Tunisie, en juin 2015, lors de l’attentat qui a coûté la vie à 38 touristes. Depuis, il cumule sur PUBG pas moins de cinquante-deux jours complets de jeu, 284 victoires et 7 057 adversaires éliminés. « L’esprit de la survie, le réalisme du bruit de la kalachnikov… je suis devenu accro à ça. Ce que j’ai détesté, j’ai appris à l’aimer, comme le syndrome de Stockholm », explique-t-il. Avec une obsession : « Je veux être le dernier survivant », assume celui qui s’est par ailleurs mis à la course extrême.

« C’est une formation réactionnelle, décrypte Vanessa Lalo. Retrouver de l’adrénaline, des sensations, se remettre dans l’émotion du moment vécu, c’est typique des traumatismes. Il y a cette notion de réappropriation : on se met en danger, mais de manière choisie et conscientisée. On devient acteur de ce danger. »

L’effet « Pokémon Go »

Autre aspect souvent négligé : les jeux vidéo en ligne ont permis aux rescapés de maintenir une vie sociale, fut-ce par écran et microcasque interposés. « Dans les mois et années suivant le Bataclan, je ne supportais plus de sortir et je me suis isolé », témoigne Thomas. C’est à travers les jeux de tir en ligne qu’il s’est fait de nouveaux amis. « Cela m’a permis de reprendre pied socialement », remercie-t-il.

Joséphine a, elle, joué à PUBG en escouade avec des amis, ce qui lui permet de dépasser ses peurs. Notamment lorsqu’elle s’est retrouvée, en jouant, dans une situation similaire au Bataclan : cachée derrière des toilettes, avec des assaillants arrivant vers elle. « Le stress montait. Je hurlais dans le casque et [un de ses amis] Freddy se foutait de ma gueule. Ça m’a permis de dédramatiser. »

De son côté, Stéphane s’est plongé dans la Switch, la console nomade de Nintendo, pour surmonter la peur des transports en commun. Quant à Alexis, il a même réussi à se rendre dans les lieux très fréquentés grâce à… Pokémon Go.

« J’avais encore de gros problèmes de stress post-traumatique, mais je suis de la génération Pokémon, je ne voulais pas passer à côté. C’est le jeu qui a fait que je me suis forcé à ressortir et aller dans des endroits très touristiques, rencontrer des inconnus, réapprendre à faire confiance. »

Le traumatisme restera toujours présent. Mais depuis, selon lui, il éprouve moins de difficultés dans la vie quotidienne.


Source:
https://www.lemonde.fr/pixels/article/2 ... 08996.html

* je ne suis pas un fan des Call Of mais celle ci je l'avais faite, excellent moment de défoulement (niark niark niark niark! :twisted: :twisted: :twisted: ), mais bon, je préfère quand même buter de l'islamiste radical ou du noir endoctriné par son président auto proclamé à vie :P :P :P :twisted: :twisted: :twisted:
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Re: Thérapie psychologique par les jeux vidéos (pas que des serious games)




par Christophe » 15/07/20, 12:16

Un article du jour : http://www.slate.fr/story/192735/jeu-vi ... es-egalite

Les jeux vidéos au service du monde de l’après covid ?

Le jeu vidéo peut-il nous sauver ?

Isabelle Patroix — 15 juillet 2020 à 11h49

Et si... nous reconstruisions le monde différemment? Et si le jeu nous rappelait l’importance de se connaître soi pour mieux vivre en accord avec le monde?




https://kotaku.com/researchers-are-usin ... 1842070007
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Re: Thérapie psychologique par les jeux vidéos (pas que des serious games)




par Christophe » 02/01/21, 18:25

Rien qu'écouter la B.O. est une thérapie :

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GuyGadeboisLeRetour
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Re: Thérapie psychologique par les jeux vidéos (pas que des serious games)




par GuyGadeboisLeRetour » 02/01/21, 18:33

Christophe a écrit :Rien qu'écouter la B.O. est une thérapie :

"Red Dead Redemption"

Jouer à ce jeu est aussi une thérapie qui permet de cultiver son zen tellement il quitte inopinément. Au point que je l'ai trouvé injouable et désinstallé. :mrgreen:
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Christophe
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Re: Thérapie psychologique par les jeux vidéos (pas que des serious games)




par Christophe » 02/01/21, 19:27

Tu joues toi ?? A ton age ? :shock: :shock: :shock: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:

Tu parles du 2 je présume puisque le 1 n'est que sorti sur console il y a 10 ans (et une console cela plante tout de même moins en général...)

Effectivement Red 2 était bien bugé comme il faut à sa sortie sur PC il a 1 an...mais il a été patché depuis.

Sinon appliquer ces astuces : https://www.drivereasy.com/knowledge/ho ... ash-on-pc/

Try these fixes

Update to the latest graphics drivers
Revert back to Vulkan
Run as admin
Verify game integrity
Disable antivirus software temporarily
Perform a clean boot
Check your system files
Setting Windows to manage Virtual Memory
High Performance Mode
Change your audio sampling


Si tu l'as acheté cela vaut le coup de tenter ces trucs...
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Re: Thérapie psychologique par les jeux vidéos (pas que des serious games)




par GuyGadeboisLeRetour » 02/01/21, 20:04

Christophe a écrit :Tu joues toi ?? A ton age ? :shock: :shock: :shock: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:

Té, regarde ça:
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Re: Thérapie psychologique par les jeux vidéos (pas que des serious games)




par GuyGadeboisLeRetour » 03/01/21, 18:50

GuyGadeboisLeRetour a écrit :
Christophe a écrit :Tu joues toi ?? A ton age ? :shock: :shock: :shock: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:

Té, regarde ça:
"C'est moi qui l'ai fait" :mrgreen:
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Christophe
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Re: Thérapie psychologique par les jeux vidéos (pas que des serious games)




par Christophe » 04/01/21, 12:04

Sans déconner ? Je comprenais pas ta réponse maintenant oui :)

Donc t'es un cheater glitcher moder en faisant une arme ultra puissante (mais très moche) ? :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:

La série Borderlands j'ai jamais accroché on peut pas tout aimer dans les jeux vidéo !

Moi zossi je modifie des zeux vidéos mais plutôt mapping...

- quelques belles maps pour CS 1.6 - début 2000 !

- quelques maps pour DOD Source (mi 2000) dont la fameuse DOD_Bunky trouée (roooh promis j'avais beta testé lol):



- un peu de mapping Far Cry 5 plus récemment !
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Re: Thérapie psychologique par les jeux vidéos (pas que des serious games)




par GuyGadeboisLeRetour » 04/01/21, 13:00

Christophe a écrit :Sans déconner ? Je comprenais pas ta réponse maintenant oui :)
Donc t'es un cheater glitcher moder en faisant une arme ultra puissante (mais très moche) ? :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:

Je modais quand j'avais fini le jeu et si cette arme est moche, c'est juste parce qu'on pouvait remplacer sa cosmétique par une qualité. Sinon, la plupart des armes que j'avais créé étaient texturées. C'est juste pour la déconne que j'avais fait ce clip quand j'avais encore un Mac. :mrgreen:
Ps: Far Cry 5, le plus mauvais de la série (la fin est grotesque, entre autres) exception faite du 6 (New Dawn) dont l'open world est ni plus ni moins le même que dans le 5, mais avec un traitement "post apocalyptique" et une histoire peu convaincante.
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Re: Thérapie psychologique par les jeux vidéos (pas que des serious games)




par Christophe » 04/01/21, 13:20

Je l'ai pas trouvé si mauvais le 5 malgré les critiques (je les ai tous fini sauf le 2 trop répétitif), j'y ai passé 60 bonnes heures dont une bonne partie en coop ! Je me suis bien marré sur certains persos et l'humour délacé comme le gros débile d'Hurk (qu'on joue d'ailleurs dans le 4 en coop) ! J'ai pas encore fini les 3 DLC... :mrgreen:

L'éditeur intégré et le mode arcades augmentent pas mal la durée de vie...

New Dawn c'est le 5.5, cela aurait du être un DLC à 15€ il est fini en 20h..Mais y a des truc sympas dedans comme le mini jeu de role et les expéditions...Le vrai 6 arrive je t'apprends rien si ?

Après ça reste du gameplay far cry...on aime ou pas...c'est assez "cartoon"...

Comme tu t'en doute je viens de finir Red Dead 2...il est noté 19 sur 20, le scénario et la réalisation esthétique et sonore valent 25 sur 20 mais l'ergonomie 10 sur 20...Bref il est loin d'être sans défaut (jouabilité complexe, menus définis sous LSD lors d'une rave party et bug persistants...les bugs on pardonne bien dans un jeu si complexe...le reste moins cela gâche beaucoup le plaisir du jeu...)

Entre les 2 y a le très sympa Ghost Recon Wildlands (à préférer à Breakpoint) qui en coop est super ! Et cela fait la transition avec ce que je voulais dire en lien avec ce sujet: les jeux vidéos en coop sont une très bonne thérapie psychologique contre l'isolement social du covid !! Pensez au casque micro évidement !

Je commence Red Dead Online ! :mrgreen:
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