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La suite: https://www.lemonde.fr/pixels/article/2 ... 08996.htmlTikTok condamné à une amende de 530 millions d’euros dans l’UE pour avoir enfreint les règles européennes de protection des données
L’Autorité de protection des données irlandaise a estimé que la plateforme chinoise n’est pas parvenue à « démontrer que les données personnelles » des Européens, « accessibles à distance par son personnel en Chine », bénéficient dans ce pays d’un niveau de protection équivalent à celui de l’Union européenne. L’entreprise a annoncé son intention de faire appel.
TikTok a été condamné, vendredi 2 mai, dans l’Union européenne (UE) à 530 millions d’euros d’amende pour avoir échoué à garantir une protection suffisante des données personnelles des Européens en Chine, d’où elles sont accessibles, au moment où la plateforme est également dans le collimateur des Etats-Unis.
Le puissant réseau social, qui compte 1,5 milliard d’utilisateurs, est la propriété de ByteDance, un groupe chinois. Il est depuis des années dans le viseur des gouvernements occidentaux, qui redoutent son lien avec Pékin, en particulier un possible usage des données de ses utilisateurs à des fins d’espionnage ou de propagande.
Cette sévère amende, prononcée par l’Autorité de protection des données irlandaise (Data Protection Commission, DPC), est l’une des plus importantes jamais infligées par cet organisme, qui agit au nom de l’UE, car le siège européen de TikTok, comme celui de la plupart des géants de la tech, se trouve en Irlande.
Christophe a écrit :Mais n'oubliez jamais : CNEWS c'est des fachos !
GuyGadeboisLeRetour a écrit :Christophe a écrit :Mais n'oubliez jamais : CNEWS c'est des fachos !
Remarque inutile, l'info est reprise partout.
https://www.20minutes.fr/societe/415193 ... vaux-traitBretagne : Cette commune est dans le viseur des antispécistes pour son utilisation… de chevaux de trait
POLÉMIQUE•Une pétition, relayée par le parti Révolution écologique pour le vivant d’Aymeric Caron, dénonce l’utilisation par la commune de Questembert de chevaux de trait pour le ramassage de déchets, l’entretien des espaces verts ou le transport scolaire
On ne va pas dire qu’ils sont aussi connus que le maire, mais pas loin. A Questembert, près de Vannes (Morbihan), Havane et Gladez font un peu partie du décor. « Ce sont des figures locales », reconnaît l’édile, Boris Lemaire. Depuis une quinzaine d’années, la commune bretonne fait appel à deux chevaux de trait, qu’elle « emploie » comme agents municipaux dans son cœur historique. Quatre heures par jour, ces chevaux territoriaux sont affectés sur diverses missions comme l’entretien d’espaces verts, la collecte de déchets, le transport scolaire ou pour des balades pour les touristes en été.
Personne n’avait jusqu’alors trouvé à redire sur cette initiative adoptée depuis par d’autres communes. Beaucoup vantaient même son caractère écologique et le rôle de lien social joué par ces chevaux. Jusqu’à cette pétition mise en ligne mi-avril pour réclamer l’arrêt de l’utilisation des chevaux par la commune. Signée pour l’heure par un peu moins de 25.000 personnes, elle émane du référent départemental du parti Révolution écologique pour le vivant du député Aymeric Caron, qui milite pour une écologie radicale et antispéciste.
« Des chevaux traités comme des esclaves »
« Choqué de constater qu’aujourd’hui encore, un cheval puisse être utilisé comme simple outil de travail au profit d’une municipalité », l’auteur de la missive évoque « une pratique d’un autre temps. » Élu municipal dans la commune voisine de Rochefort-en-Terre, Serge Buchet dénonce également « les souffrances » infligées aux animaux, dont les « corps sont mis à rude épreuve, forcés de tirer des charges souvent bien trop lourdes. »
Il en veut pour preuve le cas d’un cheval de calèche qui s’était effondré en 2022 dans les rues de New York, victime d’épuisement et de la chaleur, ou d’un cas similaire en Espagne la même année. « C’est une exploitation claire des chevaux, qui sont traités comme des esclaves et non comme des êtres vivants ayant des besoins et des droits », martèle-t-il en revenant à l’exemple de Questembert.
Deux cochères s’occupent des chevaux au quotidien
En découvrant la pétition, le maire de la commune s’est un peu étranglé. Élu en 2020 en réunissant les forces de gauche et les écologistes, Boris Lemaire dit « comprendre et respecter les convictions de cette frange radicale », partageant leur point de vue sur la souffrance animale. « Mais j’estime quand même qu’il y a d’autres combats à mener en faveur de l’écologie au sens large et de la protection de la biodiversité », estime-t-il. Il n’apprécie guère non plus la méthode de son collègue. « Je lui ai proposé de venir voir comment ça se passait dans notre commune, mais il n’est jamais venu et préfère l’invective », assène-t-il.
Selon lui, Havane et Gladez ne sont pas maltraités comme le laisse entendre la pétition. Ils seraient même choyés, selon ses dires, avec deux cochères employées par la ville qui s’occupent d’eux et les soignent au quotidien. L’élu rappelle aussi que dans ce territoire rural, « le cheval a toujours fait partie de l’Histoire et a toujours accompagné l’homme dans le travail au champ. »
Une contre-pétition mise en ligne
Attaqué par les antispécistes, le maire de Questembert n’entend donc en aucun cas leur donner raison et arrêter l’utilisation de chevaux sur sa commune. Il peut compter sur cela sur le soutien d’internautes qui ont lancé une contre-pétition pour lui demander de conserver les chevaux. « Ces mêmes militants souhaitent interdire l’équitation, et très bientôt, il faut le craindre, les chiens et les chats domestiques, toujours en mettant en avant le respect de l’animal », ironisent-ils dans ce texte mis en ligne dimanche et paraphé pour l’heure par 1.200 signataires.
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