janic a écrit :Et toi si un jour on pouvait prouver sans contestation possible que les vaccins sont réellement inefficaces, il n'y aurait plus de critique dans le milieu scientifique non plus : changerais-tu d’avis pour autant ?
Oui
Oh que non ! tu dis ça parce que tu es persuadé du contraire, donc tu ne te mouilles pas en disant cela.
janic a écrit :Les bons sourciers ont démontré depuis des temps immémoriaux l’efficacité de leur travail.
Comme les astrologues
je parle des sourciers, pas de astrologues! Mais justement
si sans contestation,etc… croirais-tu à l’astrologie ? Bien sûr que non puisqu’il ne s’agit pas, ici comme ailleurs, de faits, mais de croyances, certains croient en la science(la leur en tout cas) d’autres en l’astrologie, tout est question de foi.
janic a écrit :La « science » étant dans l’incapacité d’en comprendre les mécanismes (la course aux sorciers que la religion « chrétienne » poursuivait de ses persécutions est reprise à la lettre par ta « science ») elle prétend que ça ne fonctionne pas
Ce n'est une question de compréhension mais de constatation.
Justement ! tu devrais aussi en tenir compte concernant les vaccinations qui ont fait l’objet de maints rapports d’inefficacité et de dangerosité, mais que VOUS, les pseudo scientifiques en vaccinologie, refusez de reconnaitre malgré leur source scientifique. Au lieu de chercher à faire des pseudo vérification de l'inefficacité des sourciers, va plutôt sur le terrain, questionner tous les agriculteurs(la plupart du temps) ayant fait forer des puits sur les indications des sourciers en question.
Les critères/effets sont, dans ce cas, simples à établir et à constater. Toutes les expérimentations encadrées sur ce sujet ont échoué.
Tout comme les expérimentations en H ? Cela ferait se plier en deux de rire n’importe quel H aussi peu compétent soit-il ! cela montre que tu ne connais rien sur ces sujets !
Pour le peu que j’ai lu sur ce sujet, comme l’Afis, c’est risible tant c’est foireux.
La science est unanime et pourtant tu y crois.
Non, tu ne peux t’attribuer une possession exclusive de LA science, laquelle n’est la propriété privée de personne.
Donc, pour la vaccination, même si tous les scientifiques étaient d'accord, j'ai des doutes te concernant.
Tu fais bien d’avoir tous les doutes possibles à MON sujet, pas au sujet lui-même traité depuis plus de 70 ans par d’autres scientifiques tout aussi qualifiés que tes références, mais qui eux ont l'humilité de reconnaitre que cette SCIENCE.(surtout matérialiste) est constamment en mouvement et découvertes sans lesquelles vous en seriez encore à la terre plate centre de l'univers.
janic a écrit :Or, les vaccins profitent d’un statut très particulier qui ne réclame aucune preuve de sa non dangerosité et de son efficacité réelle
Complètement faux:
En plus des miens, Les liens que tu as cité en réponse contredisent ton affirmation:
Non, ils ne contredisent pas ce que j’ai dit, relis les attentivement, ils tiennent un discours en harmonie avec
leurs convictions vaccinalistes tout en se gardant une porte de sortie en soulevant, juste un tout petit peu, le voile de ce qui est caché, dénié et combattu par BP, à savoir les effets indésirables graves.
https://www.mesvaccins.net/web/vaccines/514-rotarixEffets indésirables
1. Résumé du profil de tolérance
Le profil de sécurité présenté ci-dessous repose sur les données issues des essais cliniques réalisés, soit avec la formulation lyophilisée, soit avec la formulation liquide de Rotarix. Au cours de 4 essais cliniques, environ 3 800 doses de Rotarix formulation liquide ont été administrées à environ 1 900 nourrissons. Ces essais ont montré que le profil de sécurité de la formulation liquide est comparable à celui de la formulation lyophilisée.
Au cours des 23 études cliniques, environ 106 000 doses de Rotarix (formulation lyophilisée ou liquide) ont été administrées à environ 51 000 nourrissons.
Dans 3 essais cliniques contrôlés versus placebo (Finlande, Inde et Bangladesh), dans lesquels Rotarix a été administré seul (l’administration des vaccins pédiatriques usuels était décalée), l’incidence et la sévérité des événements sollicités (rapportés dans les 8 jours post-vaccination), diarrhées, vomissements, perte d’appétit, fièvre, irritabilité et toux/écoulement nasal n’étaient pas significativement différentes dans le groupe recevant Rotarix comparé au groupe placebo.[*] Aucune augmentation de l’incidence ou de la sévérité de ces événements n’a été observée après la seconde dose.
Au cours d’une analyse poolée de 17 essais cliniques contrôlés versus placebo (Europe, Amérique du Nord, Amérique Latine, Asie, Afrique) incluant les essais dans lesquels Rotarix était co-administré avec des vaccins pédiatriques habituels (voir rubrique "Interactions"), les effets indésirables suivants (rapportés dans les 31 jours post-vaccination) ont été considérés comme possiblement liés à la vaccination.
Effets indésirables
Les effets indésirables rapportés sont listés selon les fréquences suivantes :
Les fréquences sont reportées comme suit :
• Très fréquent : ≥ 1/10
• Fréquent : ≥ 1/100 à < 1/10
• Peu fréquent : ≥ 0,100 à < 1/100
• Rare : ≥ 1/10 000 à <1/1000
• Très rare : < 1/10000
Affections gastro-intestinales
• Fréquent : Diarrhée
• Peu fréquents : Douleurs abdominales, flatulences
• Très rare : Invagination intestinale (voir rubrique "Mise en garde et précaution d'emploi").
• Indéterminée* : Rectorragies
• Indéterminée* : Gastroentérite avec excrétion du virus vaccinal chez les nourrissons ayant une ImmunoDéficience Combinée Sévère (IDCS)
Affections de la peau et du tissu sous-cutané
• Peu fréquent : Dermatites
Troubles généraux et anomalies au site d’administration
• Fréquent : Irritabilité
Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
• Indéterminée* : Apnée chez les très grands prématurés (≤ 28 semaines de grossesse) (voir rubrique "Mise en garde et précaution d'emploi").
* Ces événements ayant été rapportés spontanément, il n'est pas possible d'estimer de manière fiable leur fréquence.
2. Description de certains effets indésirables
Invagination intestinale
Les données d'études observationnelles de tolérance réalisées dans plusieurs pays indiquent que les vaccins à rotavirus sont associés à une augmentation du risque d'invagination intestinale, principalement dans les 7 jours suivant la vaccination. Jusqu'à 6 cas additionnels pour 100 000 nourrissons ont été observés dans ces pays, au regard d’une incidence basale annuelle de 25 à 101 pour 100 000 nourrissons (âgés de moins de un an), respectivement.
Il existe des preuves limitées d'une faible augmentation de ce risque après la seconde dose.
A ce jour, il n'a pas été déterminé si les vaccins à rotavirus affectent l'incidence globale des invaginations intestinales sur la base de périodes de suivi plus longues (voir rubrique "Mise en garde et précaution d'emploi").cette longue liste ne prend pas en compte les effets à très long terme, au delà de leurs essais à vaccin UNIQUE, mais pas avec les aux autres vaccins , obligatoires ou pas, avec leurs propres effets secondaires qui peuvent (et même doivent) se cumuler.
relis, là encore, le descriptif des phases, elles ne concernent QUE la toxicité possible sur des adultes en bonne santé, même en phase 3. Cela ne donne aucune indication sur l’efficacité vaccinale, ni sur des adultes, ni sur des nourrissons et donc la dangerosité sur ces derniers et encore moins comment sont établies les doses à leur donner.
http://www.lecrips-idf.net/professionne ... -essai.htm
La phase III (efficacité et bénéfices/risques) dure de trois à cinq ans. Des essais testent sur des centaines, voire des milliers, de personnes le rapport bénéfices/risques du vaccin. Ces études pivots permettent de définir les conditions et les précautions d’emploi du vaccin et, à terme, de poser des demandes d’AMM auprès des agences du médicament.Aucune indication sur l'efficacité protectrice de ces vaccins puisqu'il faudrait, je le répète, que ces cobayes humains soient confrontés
à de vrais malades.et non à une population générale en bonne santé.[*]placebo qui n'en sont pas vraiment puisque les vaccins nouveaux sont comparés aux vaccins précédents ayant été, au début, comparés avec de vrais placebos, selon les données scientifiques indiquées par le Pr Georget.
Lire son ouvrage
les vérités indésirables référencées sur les documents de la bibliothèque de la faculté de médecine.
« On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres: mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison » Henri Poincaré