le JJB, ça c'est cool, j'en ai fait jusque cette année, je me recentre vers le wing chun.
j'ai la méthode à la maison, mais je n'ai pas encore commencé.
Alimentaire, le jeûne: possibilités et limites sur la Santé
- antoinet111
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sen-no-sen
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antoinet111 a écrit :le JJB, ça c'est cool, j'en ai fait jusque cette année, je me recentre vers le wing chun.
j'ai la méthode à la maison, mais je n'ai pas encore commencé.
la méthode Lafay est une super méthode, je te la conseille,ça marche bien!
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"Le Génie consiste parfois à savoir quand s'arrêter" Charles De Gaulle.
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Obamot
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Jeûne: comment bien jeûner, bienfaits et méfaits
Je ne m'attendais pas à une introduction telle que celle faite dans ce fil. Les informations essentielle en introduction se font rares. Comme déjà dit, c'est un peu dommage.
Quant à ceux qui expérimentent ça à la légère, gaffe à vous! Par contre très d'accord avec la pratique d'un sport en parallèle.
Et comme le rappelle Janic, la pratique du jeûne n'a pas que des bienfaits, les réactions peuvent être violentes si il n'est pas pratiqué avec un minimum de précautions. Et là ce serait un tort à cause du stress inutile et néfaste que cela peut provoquer à son organismes.
Quelques pistes non exhaustives pour s'en prémunir:
1) D'abord, il vaudrait mieux comprendre pourquoi on jeûne. Comme le dit Dedelco «pensons à notre instinct mais avec une approche scientifique» (eh oui, pourquoi s'en priver?) car quel apport considérable peut avoir cette méthode bien comprise sur la santé...
Mais avant toute chose, il vaut mieux que la pratique du jeûne soit vécue comme un plaisir débouchant sur un mieux être, plutôt que comme une frustration au sens négatif du terme.
Voir ici ce qu'en pensent des médecins qui l'utilisent:
http://kousmine.fr/47/La_m%E9thode.html
(c'est celle que j'utilise est sans danger avec les précautions d'usage élémentaires ci-après)
2) Le lien ci-dessus vous donnera des pistes sur les bonnes questions à se poser sur la pratique du jeûne pourquoi(?), pour qui(?), quand(?) et surtout comment(?)
3) Comment jeûner?
Comme tout ce qui concerne le domaine médical, ceux qui veulent le pratiquer, devraient en parler à leur médecin généraliste (au moins en lui lançant juste un coup de fil...) c'est lui qui connaît votre dossier mieux que personne et qui sera forcément de bon conseil — si tant est qu'il n'y soit pas rétif par principe— du coup certains ne sont pas très chauds... alors changer éventuellement de médecin!
— Si vous êtes une personne affaiblie, il est hors de question de le pratiquer sans l'avis d'un médecin qui le fait pratiquer et qui est éclairé sur le sujet! Il en existe!
— Si vous avez déjà des vertiges, des chutes de tension, ou tout autre symptôme relatifs à la prise de nourriture, comme un estomac fragile ou que sais-je idem.
— Encore idem si vous souffrez d'une maladie chronique. Bien qu'il soit incontestable que la pratique du jeûne puisse améliorer voire rétablir complètement la santé, il vaut mieux savoir exactement ce que l'on fait!
— On ne devrait pas pratiquer de jeûne si l'on n'en a pas besoin, mais en notre époque d'excès, cette situation n'est hélas que trop rare, d'ailleurs il faut aussi prendre en compte l'âge... Ainsi quelqu'un qui n'en aura jamais eu besoin peut en avoir plus tard, par exemple si il métabolise mal. Alors oui, pratiquons le jeûne mais en sachant ce que l'on fait, et surtout ce que l'on va faire après! II serait très dommage, voire inutile de se lancer dans la pratique d'un jeûne afin d'en faire un acte bénéfique pour la santé — tel que se sortir de carences, se désintoxiquer, rétablir une bonne digestion, etc — pour retourner «à ses bonnes vieilles mauvaises habitudes», ce qui n'aurait aucun sens...
— Ne vous forcez jamais de manger si vous n'avez pas faim, ni de jeûner si votre corps réclame de manger! Jeûner est un stress pour l'organisme, il vaut donc mieux ne pas rajouter un stress en plus. Il vaut mieux le pratiquer dans une atmosphère relax, hors de toute tension avec son entourage et même en créant une atmosphère calme et propice de nature à détendre votre corps et votre esprit. L'idéal étant de le pratiquer avec un mental orienté en pensant à tous ses bienfaits, non seulement on le transforme en acte positif mais cela aide réellement à surmonter la sensation de faim! Dans cette optique, il faut absolument éviter toute notion de «régime» (à chaque fois un stress de plus... aux conséquences néfastes désormais bien connues.). Donc ne partez pas dans l'idée de suivre un jeûne pour continuer après vers des habitudes que vous jugerez restrictives. Si vous en profitez pour changer votre bol alimentaire, faites-le progressivement en désacoutumant votre organisme: que ce soit au fur et à mesure ou tout de suite si vous vous en sentez capable et surtout que ce soit un plaisir que vous vous accordez, c'est à vous de vous décider sans vous laisser imposer votre conduite, c'est le plus important.
— Pour minimiser le stress, il est recommandé de »préparer votre corps». Personnellement j'utilise parfois cette méthode sans danger, garantie par des médecins qui traitent de nombreux cas pathologiques (et même très graves, mais lire d'abord le premier lien ci-dessus):
http://kousmine.fr/content/47/42/
Même les conseils de votre médecin ne sont pas forcément paroles d'évangile, le dernier à décider c'est vous! Il vaut mieux donc vous fier à votre feeling si vous le pratiquez.
Dans tous les cas: si vous vous sentez vraiment très mal il vaut mieux l'interrompre, mais ne pas vous goinfrer tout de suite... question de bon sens! Recommencez par consommer des fruits pendant un jour.
On peut déjà commencer par un jeûne de 1 jour, puis d'augmenter jusqu'à trois jours: au-delà il vaut mieux éviter amha.
Bon, la je suis en «wouacances», je me connecte que rarement. @++
Quant à ceux qui expérimentent ça à la légère, gaffe à vous! Par contre très d'accord avec la pratique d'un sport en parallèle.
Et comme le rappelle Janic, la pratique du jeûne n'a pas que des bienfaits, les réactions peuvent être violentes si il n'est pas pratiqué avec un minimum de précautions. Et là ce serait un tort à cause du stress inutile et néfaste que cela peut provoquer à son organismes.
Quelques pistes non exhaustives pour s'en prémunir:
1) D'abord, il vaudrait mieux comprendre pourquoi on jeûne. Comme le dit Dedelco «pensons à notre instinct mais avec une approche scientifique» (eh oui, pourquoi s'en priver?) car quel apport considérable peut avoir cette méthode bien comprise sur la santé...
Mais avant toute chose, il vaut mieux que la pratique du jeûne soit vécue comme un plaisir débouchant sur un mieux être, plutôt que comme une frustration au sens négatif du terme.
Voir ici ce qu'en pensent des médecins qui l'utilisent:
http://kousmine.fr/47/La_m%E9thode.html
(c'est celle que j'utilise est sans danger avec les précautions d'usage élémentaires ci-après)
2) Le lien ci-dessus vous donnera des pistes sur les bonnes questions à se poser sur la pratique du jeûne pourquoi(?), pour qui(?), quand(?) et surtout comment(?)
3) Comment jeûner?
Comme tout ce qui concerne le domaine médical, ceux qui veulent le pratiquer, devraient en parler à leur médecin généraliste (au moins en lui lançant juste un coup de fil...) c'est lui qui connaît votre dossier mieux que personne et qui sera forcément de bon conseil — si tant est qu'il n'y soit pas rétif par principe— du coup certains ne sont pas très chauds... alors changer éventuellement de médecin!
— Si vous êtes une personne affaiblie, il est hors de question de le pratiquer sans l'avis d'un médecin qui le fait pratiquer et qui est éclairé sur le sujet! Il en existe!
— Si vous avez déjà des vertiges, des chutes de tension, ou tout autre symptôme relatifs à la prise de nourriture, comme un estomac fragile ou que sais-je idem.
— Encore idem si vous souffrez d'une maladie chronique. Bien qu'il soit incontestable que la pratique du jeûne puisse améliorer voire rétablir complètement la santé, il vaut mieux savoir exactement ce que l'on fait!
— On ne devrait pas pratiquer de jeûne si l'on n'en a pas besoin, mais en notre époque d'excès, cette situation n'est hélas que trop rare, d'ailleurs il faut aussi prendre en compte l'âge... Ainsi quelqu'un qui n'en aura jamais eu besoin peut en avoir plus tard, par exemple si il métabolise mal. Alors oui, pratiquons le jeûne mais en sachant ce que l'on fait, et surtout ce que l'on va faire après! II serait très dommage, voire inutile de se lancer dans la pratique d'un jeûne afin d'en faire un acte bénéfique pour la santé — tel que se sortir de carences, se désintoxiquer, rétablir une bonne digestion, etc — pour retourner «à ses bonnes vieilles mauvaises habitudes», ce qui n'aurait aucun sens...
— Ne vous forcez jamais de manger si vous n'avez pas faim, ni de jeûner si votre corps réclame de manger! Jeûner est un stress pour l'organisme, il vaut donc mieux ne pas rajouter un stress en plus. Il vaut mieux le pratiquer dans une atmosphère relax, hors de toute tension avec son entourage et même en créant une atmosphère calme et propice de nature à détendre votre corps et votre esprit. L'idéal étant de le pratiquer avec un mental orienté en pensant à tous ses bienfaits, non seulement on le transforme en acte positif mais cela aide réellement à surmonter la sensation de faim! Dans cette optique, il faut absolument éviter toute notion de «régime» (à chaque fois un stress de plus... aux conséquences néfastes désormais bien connues.). Donc ne partez pas dans l'idée de suivre un jeûne pour continuer après vers des habitudes que vous jugerez restrictives. Si vous en profitez pour changer votre bol alimentaire, faites-le progressivement en désacoutumant votre organisme: que ce soit au fur et à mesure ou tout de suite si vous vous en sentez capable et surtout que ce soit un plaisir que vous vous accordez, c'est à vous de vous décider sans vous laisser imposer votre conduite, c'est le plus important.
— Pour minimiser le stress, il est recommandé de »préparer votre corps». Personnellement j'utilise parfois cette méthode sans danger, garantie par des médecins qui traitent de nombreux cas pathologiques (et même très graves, mais lire d'abord le premier lien ci-dessus):
http://kousmine.fr/content/47/42/
Même les conseils de votre médecin ne sont pas forcément paroles d'évangile, le dernier à décider c'est vous! Il vaut mieux donc vous fier à votre feeling si vous le pratiquez.
Dans tous les cas: si vous vous sentez vraiment très mal il vaut mieux l'interrompre, mais ne pas vous goinfrer tout de suite... question de bon sens! Recommencez par consommer des fruits pendant un jour.
On peut déjà commencer par un jeûne de 1 jour, puis d'augmenter jusqu'à trois jours: au-delà il vaut mieux éviter amha.
Bon, la je suis en «wouacances», je me connecte que rarement. @++
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janic
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tout à fait d'accord à quelques détails près. Le lavement, l'irrigation ou la purgation saline n'ont pas exactement la même fonction, mais pour un débutant sur 2 / 3 jours une lavement peut suffire. Sur une durée plus longue, donc un nettoyage plus en profondeur, la purgation saline est plus efficace.
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Obamot
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Et bien vas-y, développe encore ta pensée!
Pour le lavement, il faut y aller très mollo... Si on veut aller jusque là c'est bien, mais pas tout le monde tolère et ça se comprend
Sans rire, c'est quand même une sorte d'agression douce pour le corps, qui lui n'a pas l'habitude de se voir injecter "de l'eau bouille aseptisée à la camomille dans ses intestins"! Et il y a des précautions à prendre... Il vaut mieux suivre les règles telles qu'énoncées dans les bouquins dont je donne le lien des docteurs. Ou mieux, faire appel à une infirmière qui sait le faire la première fois. Car ça surprend, on peut se sentir «tout chose» après

Pour le lavement, il faut y aller très mollo... Si on veut aller jusque là c'est bien, mais pas tout le monde tolère et ça se comprend
Sans rire, c'est quand même une sorte d'agression douce pour le corps, qui lui n'a pas l'habitude de se voir injecter "de l'eau bouille aseptisée à la camomille dans ses intestins"! Et il y a des précautions à prendre... Il vaut mieux suivre les règles telles qu'énoncées dans les bouquins dont je donne le lien des docteurs. Ou mieux, faire appel à une infirmière qui sait le faire la première fois. Car ça surprend, on peut se sentir «tout chose» après
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janic
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Obamot bonjour
le lavement n’intéresse que la partie finale du gros colon donc c’est une solution en cas de constipation par exemple. L’irrigation peut remonter (selon la quantité injectée) jusqu’à l’intestin grêle. La purgation saline intéresse tout le système digestif de la bouche à l’anus. C’est cette dernière qu’utilisent les yogis pour des jeûnes de très longue durée.
tout à fait d’accord, les 3 systèmes ne sont pas à employer à la légère, il faut avoir un plan, un objectif, et tenir compte des réactions organiques d’où la nécessité d’être suivi par un pratiquant habitué aux jeûnes de petites, moyennes ou longues durées .
Encore d’accord, sauf qu’il y a peu de médecins de famille sachant appliquer ces pratiques. Donc il est à déconseiller de pratiquer les uns ou les autres après une simple lecture sur internet.
Et bien vas-y, développe encore ta pensée!
le lavement n’intéresse que la partie finale du gros colon donc c’est une solution en cas de constipation par exemple. L’irrigation peut remonter (selon la quantité injectée) jusqu’à l’intestin grêle. La purgation saline intéresse tout le système digestif de la bouche à l’anus. C’est cette dernière qu’utilisent les yogis pour des jeûnes de très longue durée.
Pour le lavement, il faut y aller très mollo... Si on veut aller jusque là c'est bien, mais pas tout le monde tolère et ça se comprend
tout à fait d’accord, les 3 systèmes ne sont pas à employer à la légère, il faut avoir un plan, un objectif, et tenir compte des réactions organiques d’où la nécessité d’être suivi par un pratiquant habitué aux jeûnes de petites, moyennes ou longues durées .
Sans rire, c'est quand même une sorte d'agression douce pour le corps, qui lui n'a pas l'habitude de se voir injecter "de l'eau bouille aseptisée à la camomille dans ses intestins"! Et il y a des précautions à prendre... Il vaut mieux suivre les règles telles qu'énoncées dans les bouquins dont je donne le lien des docteurs. Ou mieux, faire appel à une infirmière qui sait le faire la première fois. Car ça surprend, on peut se sentir «tout chose» après
Encore d’accord, sauf qu’il y a peu de médecins de famille sachant appliquer ces pratiques. Donc il est à déconseiller de pratiquer les uns ou les autres après une simple lecture sur internet.
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Ah oui... à déconseiller sur simple lecture sur internet. C'est clair. Et quoi qu'il arrive, même si on est en présence de quelqu'un «d'expérimenté», il ne faut rien brusquer: si on ne se sent pas bien, voire pas en confiance, qu'on sent quelque chose qui cloche ou que sais-je il faut le dire immédiatement voire interrompre doucement. Par ailleurs je conseille quand même de s'informer, ne serait-ce que pour avoir des témoignages de ceux qui l'on déjà fait, juste pour savoir environ ce qu'il se passe pour par exemple: "ne pas en mettre partout après..." Car les selles encore présente sont amenées à sortir tôt ou tard! Il y a aussi une pratique d'un léger massage à connaître pour aider le processus et pousser le contenu dehors! On ne peut pas l'improviser ... On va régulièrement à selle encore pendant une heure après la fin du lavement, autant prendre un bouqui et rester sur le trône... Et évidemment le faire si il n'y pas d'autres membre de la famille dans le logis, parce que si ils veulent aller au petit coin.... ça ne sera pas possible
c'est du vécu !
La solution d'eau saline, et remonter plus haut je veux bien, mais si on ne gave pas l'intestin avec une serringue contenant des acides gras (huile de tournesol), le lavement ne sert pas à grand chose amha.
La solution d'eau saline, et remonter plus haut je veux bien, mais si on ne gave pas l'intestin avec une serringue contenant des acides gras (huile de tournesol), le lavement ne sert pas à grand chose amha.
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Lire :
http://www.lepoint.fr/sante/la-diete-fa ... 527_40.php
http://www.lepoint.fr/sante/la-diete-fa ... 527_40.php
La diète fait du bien au cerveau
Des chercheurs italiens ont démontré qu'une alimentation hypocalorique stimule la production d'une molécule efficace contre le vieillissement du cerveau.
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janic
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obamot bonjour
Dans le cas d'une purge saline, il faut que le sel entre en contact avec la paroi afin que se produise une réaction de rejet, d'adsorption, permettant de décrocher des selles durcies fixées sur cette paroi quelques fois depuis des dizaines d’années. (On retrouve ce phénomène d’adsorption avec l’argile ou le charbon végétal, à ne pas utiliser dans ce cas.)
Donc deux méthodes aux actions et effets différents à moduler selon le cas et les circonstances.
c'est une des différences entre lavement et purgation saline. Dans le premier cas, l'acide gras tapisse le colon pour protéger celui-ci de l'absorption du liquide injecté et donc assurer un vidage de celui-ci sans irritation.La solution d'eau saline, et remonter plus haut je veux bien, mais si on ne gave pas l'intestin avec une serringue contenant des acides gras (huile de tournesol), le lavement ne sert pas à grand chose amha.
Dans le cas d'une purge saline, il faut que le sel entre en contact avec la paroi afin que se produise une réaction de rejet, d'adsorption, permettant de décrocher des selles durcies fixées sur cette paroi quelques fois depuis des dizaines d’années. (On retrouve ce phénomène d’adsorption avec l’argile ou le charbon végétal, à ne pas utiliser dans ce cas.)
Donc deux méthodes aux actions et effets différents à moduler selon le cas et les circonstances.
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Obamot
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Pas vraiment ça dans les faits. La solution d'acides gras injectée à l'aide d'une seringue, est faite APRÈS tout le cycle du lavement. C'est plutôt un coup de pouce prodigué à l'organisme, pour l'aider à reconstituer l'étanchéité de la membrane intestinale. C'est donc probablement conseillé dans tous les cas (faudrait vérifier, mais je crois qu'il n'y a aucune contre-indication, vu que l'huile de tournesol n'est rien d'autre qu'un aliment en tant que tel, hautement profitable pour l'organisme).
Evidemment qu'en cas de pathologie grave et/ou chronique, c'est au médecin de dire ce qu'il faut faire. Et si il déconseille, il est peut-être temps de prendre un deuxième avis auprès de l'un de ceux qui encouragent cette pratique (voire plus haut) Car lui seul, saura mettre les bonnes priorités et définir le mode opératoire adapté à chaque cas.
Evidemment qu'en cas de pathologie grave et/ou chronique, c'est au médecin de dire ce qu'il faut faire. Et si il déconseille, il est peut-être temps de prendre un deuxième avis auprès de l'un de ceux qui encouragent cette pratique (voire plus haut) Car lui seul, saura mettre les bonnes priorités et définir le mode opératoire adapté à chaque cas.
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