janic a écrit :certains me reprochent de parler du bio sans rien n'y connaître, mais eux ils parlent bien du monde de la recherche, de l'industrie chimique, pharmaceutique, sans ne rien y connaître, sans jamais avoir mis un pied dans un labo, sans avoir la moindre connaissance en chimie ou en pharmacologiemoi quand je parle du bio, j'en parle en tant que consommateur, ce que moi consommateur j'attends d'un produit bio, de celui que je vais manger, et ça y a pas besoin de faire de hautes études pour en parler
Bizarre j’ai l’impression d’être (au moins partiellement) concerné.
Donc on va recommencer pour les esprits lents à comprendre depuis le temps.
certains me reprochent de parler du bio sans rien n'y connaître.
Ce qui est justifié par le faible temps où tu t’en est mêlé et qui dénote une ignorance profonde du sujet. Si tu suivais ce sujet depuis 30 ou 40 ans, le cas serait différent, même en y étant opposé.Erreur profonde ! Personnellement, je n’ai aucune compétence en chimie, mais faire de la recherche a été mon job pendant un demi siècle et j’en connais les possibilités et les limites…dans le domaine industriel évidemment. Donc il ne s’agit pasde mettre en avant ce que j’ignore, mais d’utiliser ce qu’en disent d’autres professionnels compétents en ce domaine que tu indiques. Et donc c’est leur parole qui est utilisée, non pas pour dire qu’elle est supérieure ou inférieure à leur équivalent, mais juste pour montrer que sur un même sujet, les avis peuvent être différents, voire opposés.mais eux ils parlent bien du monde de la recherche, de l'industrie chimique, pharmaceutique, sans ne rien y connaître, sans jamais avoir mis un pied dans un labo, sans avoir la moindre connaissance en chimie ou en pharmacologie
Et ne t’en déplaise, la fabrication et la distribution de produits élaborés en labos sont de type industriel et obéissent aux même règles de prix de revient, de distribution et de rentabilité (qui se traduit par des bénéfices pharamineux chez BP), que toute industrie. Donc ce qui est critiquable c’est cette partie post recherche qui est remise en question pour des questions morales et humanistes...et biologique.
Enfin, la chimie, qui n’est qu’une simplification excessive des mécanismes biologiques, est essentiellement conçue in vitro, pas in vivo sur l’être humain, celui-ci n’étant pas un cobaye de laboratoire. D’où les phases IV qui ont cessé depuis longtemps de respecter le serment d’Hippocrate : PREMIEREMENT ne pas nuire !Voilà la seule réflexion sensée que tu aies écrite !moi quand je parle du bio, j'en parle en tant que consommateur, ce que moi consommateur j'attends d'un produit bio, de celui que je vais manger, et ça y a pas besoin de faire de hautes études pour en parler.
Oui ! en tant que consommateur de bio chacun doit s’attendre à une correspondance entre les revendications de qualité que propose cette méthode et du produit final obtenu. Et c’est ce que nous voulons tous.
Donc il te faut rouspéter auprès des institutions qui ont fait du bio officiel, labellisé, un –comment dirais-je- produit de super marché c'est-à-dire au moins disant en terme de qualité. Dans le cas contraire, fais ton jardin sans tous ces produits autorisés par ce moins disant ou bien recherche les produits en vrai bio « réservé à une minorité » comme tu dis, laquelle n’est pas liée au fric, mais aux effets attendus en terme de conséquences sur leur santé ou sur l’environnement maintenant.
plus on te lit plus, plus on en découvre
tu dis avoir fais de la recherche industrielle, dans qu'elle domaine?, car avoir fait de la recherche automobile par exemple, ça ne te donne aucune connaissance en chimie, ou en pharmacologie, mais donc sans connaissance en chimie comme tu le dis, tu es capables de juger de la compétence des personnes que tu cites, bravo