Concernant la TTVR, tu avais contacté les lycées de la Joliverie à Nantes et celui de Saumur et/ou son amicale.
As-tu eu des retours?
Machine Rotative à Piston Annulaire Tri Lobique
- pascal HA PHAM
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contact de LYCEES
bonjour Aumicron,
J'avais bien contacté les 2 LYCEES que tu cites il y a environ 3 mois : c'était au début de notre rencontre avec Jean Claude.... aucun des 2 ne m'a répondu à ce jour.
Ceci est désormais courant et je ne m'en offusque pas : les établissements ne répondent que très très rarement .
On s'en tape & on continue "BANZAI"
en attendant des gifs sur notre belle sphère de travail sur de nouvelles machines rotatives avec source "mathcurve" incorporée :
[Cycloïdes sphèriques :
Trochoïdes Shériques :
Sufaces de révolution :
Il y a surement d'autres machines rotatives 3D à découvrir et extraire de tous ces trésors !
LE TOP DU JOUR :
courbe d'Archytas de Tarente (430-350 avant J.C.) : général, savant et homme d'état grec.
Cette courbe serait la première courbe non plane historiquement considérée.
sur mathcurve il y a cette magnifique version orientable à la souris (cliquez sur la figure et tournez !) :
http://www.mathcurve.com/courbes3d/arch ... plet.shtml
vraiment fort pour son époque le mec !
'on se sent tout petit..."
et toujours notre petite historique/rétrospective animée :
http://pascalhapham.skyrock.com/
"un jour...nous allons réussir à vous faire aimer les maths la géométrie et nos machines...."
Yves, Jean Claude & Pascal :
Raymond & Yves
A+
Pascal
J'avais bien contacté les 2 LYCEES que tu cites il y a environ 3 mois : c'était au début de notre rencontre avec Jean Claude.... aucun des 2 ne m'a répondu à ce jour.
Ceci est désormais courant et je ne m'en offusque pas : les établissements ne répondent que très très rarement .
On s'en tape & on continue "BANZAI"
en attendant des gifs sur notre belle sphère de travail sur de nouvelles machines rotatives avec source "mathcurve" incorporée :
[Cycloïdes sphèriques :
Trochoïdes Shériques :
Sufaces de révolution :
Il y a surement d'autres machines rotatives 3D à découvrir et extraire de tous ces trésors !
LE TOP DU JOUR :
courbe d'Archytas de Tarente (430-350 avant J.C.) : général, savant et homme d'état grec.
Cette courbe serait la première courbe non plane historiquement considérée.
sur mathcurve il y a cette magnifique version orientable à la souris (cliquez sur la figure et tournez !) :
http://www.mathcurve.com/courbes3d/arch ... plet.shtml
vraiment fort pour son époque le mec !
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Yves, Jean Claude & Pascal :
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Pascal
Dernière édition par pascal HA PHAM le 04/08/10, 14:56, édité 2 fois.
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All around my work, full vidéos on the web :
https://www.google.fr/webhp?source=sear ... 80&bih=672
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- pascal HA PHAM
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RETOUR VERS LE FUTUR DES MACHINES
Bonjour,
Archytas de Tarente (430-350 avant J.C.) : général, savant et homme d'état grec.
Cette courbe serait la première courbe non plane historiquement considérée.
Sa courbe :
Lien vers a dite courbe orientable à la souris :
http://www.mathcurve.com/courbes3d/arch ... plet.shtml
Juillet 2006
Article générique sur les machines publié sous l'égide du Conservatoire National de Arts et Métier de PARIS et à l’occasion du colloque annuel CONFERE :
http://etudes.ebi-edu.com/confere/
L’article est dispo en cliquant successivement dans « cessions précédentes » puis « 2006 » puis « Actes » puis « Auteurs » et in finé sélectionner la lettre « H » = mon article de juillet 2006 apparaît
Sinon lien direct :
http://confere.org/confere2006/actes/ar ... A_PHAM.pdf
vous verrez, le sujet n’a pas pris une ride 4 ans après …bien au contraire : notre Team participe à le faire évoluer continuellement.
NB : une version avait été publiée Concomitamment sur ECONOLOGIE
allez bougeons nous encore plus et faisons leur honneur !
Alphonse Eugène BEAU DE ROCHAS
Etienne LENOIR
son moteur
Félix WANKEL
ARCHIMEDE
ha ! j'allais oublier : Yves SAUGET et l'évolution de son TURBICONE en aout 2010 :
Plus de détails sur le TURBICONE de mon ami Yves ? :
https://www.econologie.com/forums/turbicone-t6479-320.html
A+
Pascal
Archytas de Tarente (430-350 avant J.C.) : général, savant et homme d'état grec.
Cette courbe serait la première courbe non plane historiquement considérée.
Sa courbe :
Lien vers a dite courbe orientable à la souris :
http://www.mathcurve.com/courbes3d/arch ... plet.shtml
Juillet 2006
Article générique sur les machines publié sous l'égide du Conservatoire National de Arts et Métier de PARIS et à l’occasion du colloque annuel CONFERE :
http://etudes.ebi-edu.com/confere/
L’article est dispo en cliquant successivement dans « cessions précédentes » puis « 2006 » puis « Actes » puis « Auteurs » et in finé sélectionner la lettre « H » = mon article de juillet 2006 apparaît
Sinon lien direct :
http://confere.org/confere2006/actes/ar ... A_PHAM.pdf
vous verrez, le sujet n’a pas pris une ride 4 ans après …bien au contraire : notre Team participe à le faire évoluer continuellement.
NB : une version avait été publiée Concomitamment sur ECONOLOGIE
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Alphonse Eugène BEAU DE ROCHAS
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ha ! j'allais oublier : Yves SAUGET et l'évolution de son TURBICONE en aout 2010 :
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Pascal
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- pascal HA PHAM
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Le brevet du ZZ 1 p et c
Bonjour à tous,
Le brevet collégial / commun - Yves SAUGET et moi même - du concept de machine volumètrique ZZ 1 p et c vient de passer à la postérité :
En effet, le résultat du rapport de recherche d'antériorité vient d'être reçu et il est vierge.
L' authentification du caractère fondamentalement nouveau de ce concept ZZ 1 est donc acquise.
Quelques documents administratifs pour preuve :
Nota : le dépôt avait eu lieu le 24 11 2009
C'est une excellente nouvelle qui encourage à continuer.
A+
Pascal HA PHAM
Le brevet collégial / commun - Yves SAUGET et moi même - du concept de machine volumètrique ZZ 1 p et c vient de passer à la postérité :
En effet, le résultat du rapport de recherche d'antériorité vient d'être reçu et il est vierge.
L' authentification du caractère fondamentalement nouveau de ce concept ZZ 1 est donc acquise.
Quelques documents administratifs pour preuve :
Nota : le dépôt avait eu lieu le 24 11 2009
C'est une excellente nouvelle qui encourage à continuer.
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Pascal HA PHAM
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Ah revoila Remundo, on avait plus de message depuis le 21 alors je commencais à m'inquiéter...
Marrant dans l'antériorité les 2 inventeurs sont déjà cités
Bravo pour le boulot en tout cas!
L'inspecteur de l'INPI a aussi bien travaillé (sont souvent pointilleux).
Marrant dans l'antériorité les 2 inventeurs sont déjà cités
Bravo pour le boulot en tout cas!
L'inspecteur de l'INPI a aussi bien travaillé (sont souvent pointilleux).
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- Remundo
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Salut Christophe
C'est que Remundo a bâti une nouvelle centrale photovoltaïque de 80 m²...
Voilà pour commencer... le pignon du bâtiment et mon Massey Ferguson 260
Equipée du système OPALE
@+
C'est que Remundo a bâti une nouvelle centrale photovoltaïque de 80 m²...
Voilà pour commencer... le pignon du bâtiment et mon Massey Ferguson 260
Equipée du système OPALE
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- Remundo
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Salut tout le monde,
pour revenir aux gif des machines trilobiques, en voici un très pur que j'ai retrouvé dans mes archives...
Je l'avais fait à l'époque de l'élaboration du SPRATL... il n'a jamais été publié.
Cliquer ici pour le voir en mouvement
Voilà donc un petit clin d'oeil sur le concept initial qui n'en finit pas de bourgeonner.
pour revenir aux gif des machines trilobiques, en voici un très pur que j'ai retrouvé dans mes archives...
Je l'avais fait à l'époque de l'élaboration du SPRATL... il n'a jamais été publié.
Cliquer ici pour le voir en mouvement
Voilà donc un petit clin d'oeil sur le concept initial qui n'en finit pas de bourgeonner.
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- pascal HA PHAM
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animation
bonjour tout le monde,
C'est la rentrée,
et Raymond nous fait des surprises.....
je vais le taquiner un peu :
"on voudrait aussi une animation gif du beau petit Massey Ferguson 260 qui tourne autour du bâtimet et du petit bonhomme qui monte sur le toît !"
en tout cas jolie réalisation dans un paysage grandiose.
merci Christophe pour tes encouragements : il est vrai que ce ne fût pas aussi facile que cela pour le gagner ce brevet : le texte a du être repris une bonne demi douzaine de fois avant le dépôt !
De mon côté ce succès m'a boosté et je travaille sur de nouveaux projets....hé hé
A+
P.S. : en rappel, nouvelle publication du texte du descriptrif de ce fameux brevet déposé le 24 11 2009 au noms de Yves SAUGET et Pascal HA PHAM :
..........
DOMAINE TECHNIQUE DE L’INVENTION :
La présente invention est une machine rotative polyvalente permettant de convertir en énergie mécanique les flux naturels éoliens et/ou hydrauliques, elle accepte aussi une alimentation en vapeur vive (chauffe solaire ou géothermie naturelle). Des aménagements spécifiques mineurs permettent de l’utiliser de façon réversible en pompe ou en compresseur, et aussi en moteur à combustion interne. La présente invention s’inscrit dans la famille des turbines et elle est appelée « Turbine bi volumétrique à enveloppe sphérique et à piston interne de forme fraisoïdale intégrant dans l’épaisseur de son pourtour le chemin de dentures de la transmission primaire en zig zag ».
GENESE DE L’INVENTION :
Cette invention est le fruit d’un travail indissociable réalisé collégialement par Yves SAUJET auteur du concept de la machine volumétrique à cônes elliptiques roulants, laquelle est concrétisée par un brevet Canadien N° WO2008019506 et Pascal HA PHAM auteur du concept de la machine volumétrique à piston annulaire muni de trois lobes, lequel piston tourne/glisse rigoureusement entre un noyau fixe central et une chambre fixe extérieure, cette dernière machine est concrétisée par 3 brevets Français évolutifs : N°04 07600, 07 05990 et 07 06157. En synthèse, et pour la nouvelle invention, les variations de volume se déroulent au sein de deux étages distincts et suivent une logique de cycle équivalente à celle de la machine à piston annulaire, par contre cette logique se déploie selon une cinématique sphérique avec des mouvements de piston (unique pièce mobile principale) dans les 3 dimensions comme dans la machine à cônes elliptiques. Cette technologie est réalisable selon deux géométries descriptives distinctes : la géométrie plano-sphérique et la géométrie conico-sphérique. La découverte d’une nouvelle transmission extérieure spécifique avec une disposition des dentures totalement adaptée au mouvement oscillant du piston est mise en application de façon identique dans les deux options de géométrie descriptive.
Ainsi le mouvement oscillant dans les 3 dimensions de la partie motrice de la machine (piston fraisoîdal) est converti en un mouvement rotatif de sortie normal via deux pignons latéraux externes (rotation homocinétique autour d’axes dédiés).
PREMIERE PARTIE : EPURE ET CONCEPTION DE LA VERSION PLANO-SPERIQUE
Concrétisée par les figures 1 à 16, la turbine bi volumétrique à enveloppe sphérique et à piston interne de forme fraisoïdale intégrant dans l’épaisseur de son pourtour le chemin de dentures de la transmission primaire en zig zag -version plano-sphérique- est caractérisée par un élément moteur du type piston avec transmission périphérique organisé et fonctionnant comme suit :
- une cloison évidée en son centre, en forme de diaphragme fraisoïde fermé, laquelle est constituée de six quarts de disques identiques dont les plans sont liés deux à deux de façon orthogonale ; un chemin externe fermé disposé en périphérie et dans l’épaisseur du diaphragme - lequel chemin est composé de dentures disposées suivant le profil fraisoïdal - constitue la partie menante de la transmission mécanique, c’est la seule pièce interne mobile encore appelée le piston fraisoïdal (fig 1 à 4, fig 15).
- une enveloppe creuse fixe de volume sphérique qui est séparée en deux sous volumes égaux par le diaphragme évidé mobile, le diamètre intérieur nominal du volume sphérique vide est identique au diamètre extérieur nominal du diaphragme fraisoïde (piston), cette enveloppe sphérique creuse supporte deux petits pignons extérieurs diamétralement opposés par rapport au point de symétrie de la sphère enveloppe, lesquels constituent la sortie finale du mouvement suite à leurs engrènements parfait avec le chemin de dentures externes du diaphragme fraisoïdal, ils constituent ainsi la partie menée et externe de la transmission mécanique (fig 9 à 12, fig 15, fig 16).
- le mouvement cyclé du diaphragme fraisoïde et les variations volumétriques associées sont assurés autour d’un noyau interne fixe complexe, lequel est composé de deux quarts de sphères montés en opposition d’arrête et reliés solidairement entre eux par une petite sphère centrale, outre les différents guidages, ce noyau fixe complexe assure aussi l’admission et l’échappement du fluide moteur (fig 5 à 7, fig 13, fig 16); la sphère enveloppe creuse et le noyau interne fixe complexe constituent une fois assemblés une pièce monolithique fixe au sein de laquelle le mouvement cyclé fraisoïdal, les variations volumétriques nécessaires à la pérennité du cycle, et la transmission externe sont parfaitement assurés.
DESCRIPTION PLUS DETAILLEE DES PIECES
Le diaphragme évidé en forme de diaphragme fraisoïde est réalisé selon la méthode de construction géométrique suivante :
- un disque plan de diamètre extérieur de valeur DE est évidé en son centre d’un diamètre intérieur de valeur DI et délimité en 4 cadrans selon deux axes orthogonaux. Trois cadrans sont retenus et leurs plans respectifs pliés à 90° alternativement d’un côté puis de l’autre (fig 1).La même méthode est appliquée pour produire un deuxième module identique qui sera assemblé tête bêche avec le premier pour réaliser la forme générique finale d’un diaphragme fraisoïde fermé complet (fig 2).
-
LA PREMIERE PIECE FIXE : L’ENVELOPPE SPHERIQUE
Une enveloppe creuse de volume sphérique, séparée en deux sous volumes égaux par le diaphragme mobile fraisoïdal est réalisée selon la méthode de construction suivante :
- elle comporte deux découpes opposées par rapport à son centre de symétrie, ces deux découpes constituent les fenêtres de passage des deux petits pignons menés de la transmission externe, de chaque côté des fenêtres de passage sont disposés les paliers supports d’axe pour les pignons menés, les paliers sont solidaire avec l’enveloppe sphérique (fig 12, fig 16).
LA DEUXIEME PIECE FIXE : LE NOYAU GUIDE COMPLEXE
Un noyau interne fixe complexe est formé par deux quarts de sphères de diamètre nominal DE montés en opposition d’arrêtes et reliés par une sphère centrale plus petite ayant pour valeur de diamètre DI pour assurer les fonctionnalités suivante (fig 5 et 6, fig 13) :
les faces externes de la petite sphère centrale et les faces planes des quartiers de sphères montés tête bêches sont spécifiquement destinées à assurer le guidage parfait du piston fraisoïdal lors de son évolution cyclée et les admission/échappement du fluide lors des variations volumétriques internes qui se succèdent entre les faces du piston fraisoïdal, la sphère enveloppe et le noyau guide/fixe complexe.
ALIMENTATION ENTREES ET SORTIES DU FLUIDE :
Le noyau guide complexe comporte un double système central : admission du fluide d’un côté et échappement du fluide de l’autre, 4 canaux d’échanges avec l’extérieur sont ainsi organisés, 2 en partie supérieure de la machine, deux en partie inférieure, ils se dédoublent à l’intérieur du noyau complexe (fig 9, 10, 12, 13, et 16).
DEUX TYPES DE TRANSMISSION DE LA PUISSANCE
Premier type/option de récupération de l’énergie
Une transmission est organisée avec un chemin de dentures externe logé dans l’épaisseur donnée au diaphragme fraisoïdal, lequel volume devient alors le piston fraisoïdal.
Le profil en long de ce chemin suit les ondulations de la fraise diaphragme et les génératrices longitudinales des dents sont perpendiculaires aux plans de la dite fraise diaphragme guidée dans la sphère enveloppe creuse.
Deux petits pignons extérieurs diamétralement opposés par rapport au point de symétrie de la sphère viennent s’engrener sur le chemin de dentures externes.
Pour précisons : la denture menante est solidaire du piston fraisoîdal et incrusté dans son épaisseur extérieure de telle sorte que les hauts de dents soient en retrait par rapport aux bords d’étanchéités situés de part et d’autre du chemin fraisoïdal.
La transmission de la puissance peut aussi être réalisée par la fixation de masses polaire en lieu et place du chemin de dentures du piston et par le positionnent à l’entrefer près (épaisseur de la paroi de la sphère enveloppe) d’une ceinture de bobines extérieures chargée de récupérer sous forme de courant électrique la puissance convertie de la cinématique de déplacement des masses polaires de la machine au cours du cycle du piston fraisoïdal.
DECLINAISON PRATIQUE ET TECHNOLOGIE DES PIECES PRINCIPALES
Dans la pratique, les pièces devront posséder une épaisseur suffisante pour résister aux efforts dynamiques et de pressions internes, un décalage DEC de valeur nominale identique à la demi épaisseur constante de la matière utilisée entre les plans du diaphragme fraisoïde fermé (ou piston) est organisé. Cette valeur est à intégrer dans la cotations des pièces : en conséquence il y a lieu d’aménager une concavité linéaire – ou gouttière – sur chacune des faces planes des portions de noyaux en quart de sphère, et en leur milieu (fig 13 et 14)
Les ouvertures de la sphère enveloppe nécessaire au passage pour engrènement des petits pignons menés devront comporter des couvercles ou chapeaux destiné à empêcher l’intrusion de corps étrangers dans la machine et de permettre une lubrification des organes internes avec garantie d’étanchéité.
Pour les besoins et impératifs de montage, démontage, des réglages et réparations éventuelles, les pièces devront être fractionnées judicieusement et assemblée par des méthodes traditionnelles et appropriées de liaisons : vis, écrous filetages, pions de centrages….etc etc (fig 9 et 10).
DEUXIEME PARTIE : EPURE ET CONCEPTION DE LA VERSION CONICO-SPERIQUE
Concrétisée par les figures 17 à 30, cette seconde version garde la même architecture générale que la première, mais le noyau fixe complexe comporte maintenant des surfaces latérales en forme de cônes elliptiques pour les 2 parties tête bêche (fig 24 à 26)
La géométrie descriptive conico-sphérique permet d'arrondir les pièces à partir du trièdre mobile "uvw" (fig 17) dont les axes orthogonaux en mouvement donnent aux faces du noyau fixe complexe leurs formes en cônes elliptiques, puis de placer la fraisoïde de base elle-même génératrice du piston/diaphragme mobile final de la machine lors de l’évolution de ses arrêtes en contact permanent avec les parties tête bêche du noyau complexe. Dans le cas d’un arrondissement souhaité, on agit sur un angle paramètre (p) pouvant prendre une valeur comprise entre 0 et 45°
Le principal avantage de la géométrie conico-shérique appliqué à la nouvelle invention est de pouvoir obtenir un mouvement moins heurté du piston/diaphragme fraisoïdal au sein du système de ses 2 cônes elliptiques de guidage (toujours montés "tête bêche » et raccordés à une petite sphère centrale) .Pour précisions, les surfaces coniques des noyaux elliptiques répondent à l'équation suivante : cotg² (a) + cotg² (b) = 1 où a et b sont respectivement les demi angles au sommet du grand axe et du petit axe (fig 17). En reprenant la notion d’angle (p) énoncée plus haut, cette équation peut se reformuler de la façon suivante : sin (p) = cotg (b) et cos (p) = cotg (a).
Avec ce paramètre angulaire (p) qui peut varier de 0 et 45 degrés, la rondeur/ampleur des cônes elliptiques et la forme complémentaire du piston fraisoïdal associé sont définis, les valeurs de (p) entre 20 et 35 degrés semblent donner les effets volumétriques les plus intéressants, on note au passage que plus la valeur de l’angle (p) est grande plus le piston fraisoïdal tend à mincir, alors le noyau complexe tend à prendre du volume, et à devenir de plus en plus « rond », avec (p) = 0 degré les pièces sont pointues et cognent, à l'autre extrémité de la plage angulaire potentielle, (p) = 45°, les surfaces actives des pièces deviennent plates et de banale révolution, donc sans effet volumétrique.
Les surfaces particulières de ce type de géométrie, et en premier les surfaces latérales du noyau fixe complexe en forme de cône elliptique ont la propriété géométrique d'être décrites/tracées naturellement par les trois axes du trièdre rectangle "uvw" en mouvement autour du point central O de la sphère enveloppe de la machine (fig 17).Ainsi, en ayant définit les arêtes du piston/diaphragme fraisoïdal à partir du trièdre orthogonal, on peut ensuite tracer la séparation des chambres avec les surfaces coniques entre arêtes qui sont simplement les enveloppes des cônes elliptiques de guidage quand il y a mouvement. Les figures 18 à 30 valent mieux qu’un long discours et illustrent la version conico-sphérique qui utilise un noyau complexe à cônes elliptiques et son piston fraisoîdal à denture externe toujours noyé dans l’épaisseur de la matière. On constate aussi sur cette version conico-sphérique une alimentation des chambres réalisée par des lumières aménagées sur l’extérieur de la petite sphère centrale (fig 24 à 30) au lieu de l’être sur des faces internes des noyaux. Cette seconde version de géométrie conico-sphérique évite l’aménagement des gouttières comme sur les figures 13 et 14 de la version géométrique plano- sphérique.
GLOSSAIRE, VOCABULAIRE ET ABREVIATIONS
Le trièdre orthogonal est aussi appelé trièdre rectangle, c’est l’expression primaire et purement géométrique du positionnement des arrêtes du futur piston fraisoïdal : ces arrêtes sont symbolisées par les six demi axes qui partent de part et d’autre du point central « O » (fig 17). C’est de ce trièdre que découle le diaphragme fraîsoïdal avec une première vision des surfaces, mais avec une épaisseur de la pièce encore négligeable (fig 2). Ensuite ce diaphragme fraisoïdal devient le piston définitif en gagnant son épaisseur réelle/finale de deux façons :
- suivant la géométrie plano-sphèrique
- suivant la géométrie conico-sphèrique
Suivant la géométrie plano-conique, les arrêtes et angles de la fraisoïde se décalent de part et d’autre de l’axe médian, parallèlement aux positions des faces primaires du diaphragme, après attribution d’une valeur DEC qui assure une épaisseur constante égale à 2*DEC pour les 6 voiles orthogonaux et parfaitement plans du piston fraisoïdal, tous les angles du piston fraisoïdal, aussi bien les saillants que les rentrants, sont vifs et de valeur 90° (fig 15).
Suivant la géométrie conico-sphèrique les angles saillants sont vifs et il n’y a plus d’angles rentrants, les arrêtes sont reliées entre elles par des formes courbes concaves, lesquelles sont tracées par les enveloppes des cônes elliptiques de guidage quand il y a mouvement relatif, le piston ne comporte donc pas de faces parallèles (épaisseur non constante) (fig 18 à 22).
Sur les figures d’ensemble, le piston fraisoïdal est noté :
« PFP » piston fraisoïdal à parties planes de la version plano-sphèrique (fig 3 et 15)
« PFCE » piston fraisoïdal à parties en cônes elliptiques de la version conico-sphèrique (fig 21, 22)
Le noyau fixe complexe est noté :
« NCP » noyau complexe à parties planes de la version plano-sphèrique (fig 13)
« NCCE » noyau complexe à parties en cône elliptique de la version conico-sphèrique (fig 24,25,26)
La sphère enveloppe est notée :
« SE » peut importe la version (fig 12).
L’angle paramètre (p) est étudié et décrit dans le brevet Canadien N° WO2008019506
...............
Pascal
C'est la rentrée,
et Raymond nous fait des surprises.....
je vais le taquiner un peu :
"on voudrait aussi une animation gif du beau petit Massey Ferguson 260 qui tourne autour du bâtimet et du petit bonhomme qui monte sur le toît !"
en tout cas jolie réalisation dans un paysage grandiose.
merci Christophe pour tes encouragements : il est vrai que ce ne fût pas aussi facile que cela pour le gagner ce brevet : le texte a du être repris une bonne demi douzaine de fois avant le dépôt !
De mon côté ce succès m'a boosté et je travaille sur de nouveaux projets....hé hé
A+
P.S. : en rappel, nouvelle publication du texte du descriptrif de ce fameux brevet déposé le 24 11 2009 au noms de Yves SAUGET et Pascal HA PHAM :
..........
DOMAINE TECHNIQUE DE L’INVENTION :
La présente invention est une machine rotative polyvalente permettant de convertir en énergie mécanique les flux naturels éoliens et/ou hydrauliques, elle accepte aussi une alimentation en vapeur vive (chauffe solaire ou géothermie naturelle). Des aménagements spécifiques mineurs permettent de l’utiliser de façon réversible en pompe ou en compresseur, et aussi en moteur à combustion interne. La présente invention s’inscrit dans la famille des turbines et elle est appelée « Turbine bi volumétrique à enveloppe sphérique et à piston interne de forme fraisoïdale intégrant dans l’épaisseur de son pourtour le chemin de dentures de la transmission primaire en zig zag ».
GENESE DE L’INVENTION :
Cette invention est le fruit d’un travail indissociable réalisé collégialement par Yves SAUJET auteur du concept de la machine volumétrique à cônes elliptiques roulants, laquelle est concrétisée par un brevet Canadien N° WO2008019506 et Pascal HA PHAM auteur du concept de la machine volumétrique à piston annulaire muni de trois lobes, lequel piston tourne/glisse rigoureusement entre un noyau fixe central et une chambre fixe extérieure, cette dernière machine est concrétisée par 3 brevets Français évolutifs : N°04 07600, 07 05990 et 07 06157. En synthèse, et pour la nouvelle invention, les variations de volume se déroulent au sein de deux étages distincts et suivent une logique de cycle équivalente à celle de la machine à piston annulaire, par contre cette logique se déploie selon une cinématique sphérique avec des mouvements de piston (unique pièce mobile principale) dans les 3 dimensions comme dans la machine à cônes elliptiques. Cette technologie est réalisable selon deux géométries descriptives distinctes : la géométrie plano-sphérique et la géométrie conico-sphérique. La découverte d’une nouvelle transmission extérieure spécifique avec une disposition des dentures totalement adaptée au mouvement oscillant du piston est mise en application de façon identique dans les deux options de géométrie descriptive.
Ainsi le mouvement oscillant dans les 3 dimensions de la partie motrice de la machine (piston fraisoîdal) est converti en un mouvement rotatif de sortie normal via deux pignons latéraux externes (rotation homocinétique autour d’axes dédiés).
PREMIERE PARTIE : EPURE ET CONCEPTION DE LA VERSION PLANO-SPERIQUE
Concrétisée par les figures 1 à 16, la turbine bi volumétrique à enveloppe sphérique et à piston interne de forme fraisoïdale intégrant dans l’épaisseur de son pourtour le chemin de dentures de la transmission primaire en zig zag -version plano-sphérique- est caractérisée par un élément moteur du type piston avec transmission périphérique organisé et fonctionnant comme suit :
- une cloison évidée en son centre, en forme de diaphragme fraisoïde fermé, laquelle est constituée de six quarts de disques identiques dont les plans sont liés deux à deux de façon orthogonale ; un chemin externe fermé disposé en périphérie et dans l’épaisseur du diaphragme - lequel chemin est composé de dentures disposées suivant le profil fraisoïdal - constitue la partie menante de la transmission mécanique, c’est la seule pièce interne mobile encore appelée le piston fraisoïdal (fig 1 à 4, fig 15).
- une enveloppe creuse fixe de volume sphérique qui est séparée en deux sous volumes égaux par le diaphragme évidé mobile, le diamètre intérieur nominal du volume sphérique vide est identique au diamètre extérieur nominal du diaphragme fraisoïde (piston), cette enveloppe sphérique creuse supporte deux petits pignons extérieurs diamétralement opposés par rapport au point de symétrie de la sphère enveloppe, lesquels constituent la sortie finale du mouvement suite à leurs engrènements parfait avec le chemin de dentures externes du diaphragme fraisoïdal, ils constituent ainsi la partie menée et externe de la transmission mécanique (fig 9 à 12, fig 15, fig 16).
- le mouvement cyclé du diaphragme fraisoïde et les variations volumétriques associées sont assurés autour d’un noyau interne fixe complexe, lequel est composé de deux quarts de sphères montés en opposition d’arrête et reliés solidairement entre eux par une petite sphère centrale, outre les différents guidages, ce noyau fixe complexe assure aussi l’admission et l’échappement du fluide moteur (fig 5 à 7, fig 13, fig 16); la sphère enveloppe creuse et le noyau interne fixe complexe constituent une fois assemblés une pièce monolithique fixe au sein de laquelle le mouvement cyclé fraisoïdal, les variations volumétriques nécessaires à la pérennité du cycle, et la transmission externe sont parfaitement assurés.
DESCRIPTION PLUS DETAILLEE DES PIECES
Le diaphragme évidé en forme de diaphragme fraisoïde est réalisé selon la méthode de construction géométrique suivante :
- un disque plan de diamètre extérieur de valeur DE est évidé en son centre d’un diamètre intérieur de valeur DI et délimité en 4 cadrans selon deux axes orthogonaux. Trois cadrans sont retenus et leurs plans respectifs pliés à 90° alternativement d’un côté puis de l’autre (fig 1).La même méthode est appliquée pour produire un deuxième module identique qui sera assemblé tête bêche avec le premier pour réaliser la forme générique finale d’un diaphragme fraisoïde fermé complet (fig 2).
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LA PREMIERE PIECE FIXE : L’ENVELOPPE SPHERIQUE
Une enveloppe creuse de volume sphérique, séparée en deux sous volumes égaux par le diaphragme mobile fraisoïdal est réalisée selon la méthode de construction suivante :
- elle comporte deux découpes opposées par rapport à son centre de symétrie, ces deux découpes constituent les fenêtres de passage des deux petits pignons menés de la transmission externe, de chaque côté des fenêtres de passage sont disposés les paliers supports d’axe pour les pignons menés, les paliers sont solidaire avec l’enveloppe sphérique (fig 12, fig 16).
LA DEUXIEME PIECE FIXE : LE NOYAU GUIDE COMPLEXE
Un noyau interne fixe complexe est formé par deux quarts de sphères de diamètre nominal DE montés en opposition d’arrêtes et reliés par une sphère centrale plus petite ayant pour valeur de diamètre DI pour assurer les fonctionnalités suivante (fig 5 et 6, fig 13) :
les faces externes de la petite sphère centrale et les faces planes des quartiers de sphères montés tête bêches sont spécifiquement destinées à assurer le guidage parfait du piston fraisoïdal lors de son évolution cyclée et les admission/échappement du fluide lors des variations volumétriques internes qui se succèdent entre les faces du piston fraisoïdal, la sphère enveloppe et le noyau guide/fixe complexe.
ALIMENTATION ENTREES ET SORTIES DU FLUIDE :
Le noyau guide complexe comporte un double système central : admission du fluide d’un côté et échappement du fluide de l’autre, 4 canaux d’échanges avec l’extérieur sont ainsi organisés, 2 en partie supérieure de la machine, deux en partie inférieure, ils se dédoublent à l’intérieur du noyau complexe (fig 9, 10, 12, 13, et 16).
DEUX TYPES DE TRANSMISSION DE LA PUISSANCE
Premier type/option de récupération de l’énergie
Une transmission est organisée avec un chemin de dentures externe logé dans l’épaisseur donnée au diaphragme fraisoïdal, lequel volume devient alors le piston fraisoïdal.
Le profil en long de ce chemin suit les ondulations de la fraise diaphragme et les génératrices longitudinales des dents sont perpendiculaires aux plans de la dite fraise diaphragme guidée dans la sphère enveloppe creuse.
Deux petits pignons extérieurs diamétralement opposés par rapport au point de symétrie de la sphère viennent s’engrener sur le chemin de dentures externes.
Pour précisons : la denture menante est solidaire du piston fraisoîdal et incrusté dans son épaisseur extérieure de telle sorte que les hauts de dents soient en retrait par rapport aux bords d’étanchéités situés de part et d’autre du chemin fraisoïdal.
La transmission de la puissance peut aussi être réalisée par la fixation de masses polaire en lieu et place du chemin de dentures du piston et par le positionnent à l’entrefer près (épaisseur de la paroi de la sphère enveloppe) d’une ceinture de bobines extérieures chargée de récupérer sous forme de courant électrique la puissance convertie de la cinématique de déplacement des masses polaires de la machine au cours du cycle du piston fraisoïdal.
DECLINAISON PRATIQUE ET TECHNOLOGIE DES PIECES PRINCIPALES
Dans la pratique, les pièces devront posséder une épaisseur suffisante pour résister aux efforts dynamiques et de pressions internes, un décalage DEC de valeur nominale identique à la demi épaisseur constante de la matière utilisée entre les plans du diaphragme fraisoïde fermé (ou piston) est organisé. Cette valeur est à intégrer dans la cotations des pièces : en conséquence il y a lieu d’aménager une concavité linéaire – ou gouttière – sur chacune des faces planes des portions de noyaux en quart de sphère, et en leur milieu (fig 13 et 14)
Les ouvertures de la sphère enveloppe nécessaire au passage pour engrènement des petits pignons menés devront comporter des couvercles ou chapeaux destiné à empêcher l’intrusion de corps étrangers dans la machine et de permettre une lubrification des organes internes avec garantie d’étanchéité.
Pour les besoins et impératifs de montage, démontage, des réglages et réparations éventuelles, les pièces devront être fractionnées judicieusement et assemblée par des méthodes traditionnelles et appropriées de liaisons : vis, écrous filetages, pions de centrages….etc etc (fig 9 et 10).
DEUXIEME PARTIE : EPURE ET CONCEPTION DE LA VERSION CONICO-SPERIQUE
Concrétisée par les figures 17 à 30, cette seconde version garde la même architecture générale que la première, mais le noyau fixe complexe comporte maintenant des surfaces latérales en forme de cônes elliptiques pour les 2 parties tête bêche (fig 24 à 26)
La géométrie descriptive conico-sphérique permet d'arrondir les pièces à partir du trièdre mobile "uvw" (fig 17) dont les axes orthogonaux en mouvement donnent aux faces du noyau fixe complexe leurs formes en cônes elliptiques, puis de placer la fraisoïde de base elle-même génératrice du piston/diaphragme mobile final de la machine lors de l’évolution de ses arrêtes en contact permanent avec les parties tête bêche du noyau complexe. Dans le cas d’un arrondissement souhaité, on agit sur un angle paramètre (p) pouvant prendre une valeur comprise entre 0 et 45°
Le principal avantage de la géométrie conico-shérique appliqué à la nouvelle invention est de pouvoir obtenir un mouvement moins heurté du piston/diaphragme fraisoïdal au sein du système de ses 2 cônes elliptiques de guidage (toujours montés "tête bêche » et raccordés à une petite sphère centrale) .Pour précisions, les surfaces coniques des noyaux elliptiques répondent à l'équation suivante : cotg² (a) + cotg² (b) = 1 où a et b sont respectivement les demi angles au sommet du grand axe et du petit axe (fig 17). En reprenant la notion d’angle (p) énoncée plus haut, cette équation peut se reformuler de la façon suivante : sin (p) = cotg (b) et cos (p) = cotg (a).
Avec ce paramètre angulaire (p) qui peut varier de 0 et 45 degrés, la rondeur/ampleur des cônes elliptiques et la forme complémentaire du piston fraisoïdal associé sont définis, les valeurs de (p) entre 20 et 35 degrés semblent donner les effets volumétriques les plus intéressants, on note au passage que plus la valeur de l’angle (p) est grande plus le piston fraisoïdal tend à mincir, alors le noyau complexe tend à prendre du volume, et à devenir de plus en plus « rond », avec (p) = 0 degré les pièces sont pointues et cognent, à l'autre extrémité de la plage angulaire potentielle, (p) = 45°, les surfaces actives des pièces deviennent plates et de banale révolution, donc sans effet volumétrique.
Les surfaces particulières de ce type de géométrie, et en premier les surfaces latérales du noyau fixe complexe en forme de cône elliptique ont la propriété géométrique d'être décrites/tracées naturellement par les trois axes du trièdre rectangle "uvw" en mouvement autour du point central O de la sphère enveloppe de la machine (fig 17).Ainsi, en ayant définit les arêtes du piston/diaphragme fraisoïdal à partir du trièdre orthogonal, on peut ensuite tracer la séparation des chambres avec les surfaces coniques entre arêtes qui sont simplement les enveloppes des cônes elliptiques de guidage quand il y a mouvement. Les figures 18 à 30 valent mieux qu’un long discours et illustrent la version conico-sphérique qui utilise un noyau complexe à cônes elliptiques et son piston fraisoîdal à denture externe toujours noyé dans l’épaisseur de la matière. On constate aussi sur cette version conico-sphérique une alimentation des chambres réalisée par des lumières aménagées sur l’extérieur de la petite sphère centrale (fig 24 à 30) au lieu de l’être sur des faces internes des noyaux. Cette seconde version de géométrie conico-sphérique évite l’aménagement des gouttières comme sur les figures 13 et 14 de la version géométrique plano- sphérique.
GLOSSAIRE, VOCABULAIRE ET ABREVIATIONS
Le trièdre orthogonal est aussi appelé trièdre rectangle, c’est l’expression primaire et purement géométrique du positionnement des arrêtes du futur piston fraisoïdal : ces arrêtes sont symbolisées par les six demi axes qui partent de part et d’autre du point central « O » (fig 17). C’est de ce trièdre que découle le diaphragme fraîsoïdal avec une première vision des surfaces, mais avec une épaisseur de la pièce encore négligeable (fig 2). Ensuite ce diaphragme fraisoïdal devient le piston définitif en gagnant son épaisseur réelle/finale de deux façons :
- suivant la géométrie plano-sphèrique
- suivant la géométrie conico-sphèrique
Suivant la géométrie plano-conique, les arrêtes et angles de la fraisoïde se décalent de part et d’autre de l’axe médian, parallèlement aux positions des faces primaires du diaphragme, après attribution d’une valeur DEC qui assure une épaisseur constante égale à 2*DEC pour les 6 voiles orthogonaux et parfaitement plans du piston fraisoïdal, tous les angles du piston fraisoïdal, aussi bien les saillants que les rentrants, sont vifs et de valeur 90° (fig 15).
Suivant la géométrie conico-sphèrique les angles saillants sont vifs et il n’y a plus d’angles rentrants, les arrêtes sont reliées entre elles par des formes courbes concaves, lesquelles sont tracées par les enveloppes des cônes elliptiques de guidage quand il y a mouvement relatif, le piston ne comporte donc pas de faces parallèles (épaisseur non constante) (fig 18 à 22).
Sur les figures d’ensemble, le piston fraisoïdal est noté :
« PFP » piston fraisoïdal à parties planes de la version plano-sphèrique (fig 3 et 15)
« PFCE » piston fraisoïdal à parties en cônes elliptiques de la version conico-sphèrique (fig 21, 22)
Le noyau fixe complexe est noté :
« NCP » noyau complexe à parties planes de la version plano-sphèrique (fig 13)
« NCCE » noyau complexe à parties en cône elliptique de la version conico-sphèrique (fig 24,25,26)
La sphère enveloppe est notée :
« SE » peut importe la version (fig 12).
L’angle paramètre (p) est étudié et décrit dans le brevet Canadien N° WO2008019506
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Pascal
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Hello Pascal,
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En matière de vidéos, j'en profite pour vous montrer celles de votre Ami Jean Claude LEFEUVRE, avec sa Moto Turbine Radiale (Annonce du 01/09/2010).
@+
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