izentrop a écrit :On en est pas là
C'est vite dit!
Prenons un petit exemple de thermodynamique de démolition:
Pour faire effondrer un bâtiment il suffit d'utiliser de très petite quantité d'explosifs,quelques dizaines de kilos bien placé dans le cadre d'une démolition contrôlé pour un grand bâtiment.
A contrario il faut une très forte puissance si l'on utilise une source centralisé comme une bombe.
Dans le cadre des doctrines de guerres nucléaire les premières approches étaient fondé sur la stratégies K: des bombes très puissantes de plusieurs dizaines de mégatonnes,ce qui aboutit à la Tsar Bomba de 50 mégatonne* testé sur un ilot de la Nouvelle Zemble en 1961.
Les ingénieurs de l'époque planchaient sur des armes approchant les 1000 mégatonnes(!!!) (près de 100 000 fois Hiroshima),les expériences ont très vite démontrés qu'une telle approche n'étaient pas pertinente,l'énormité de l'explosion aurait été essentiellement dissipé vers l'espace.
C'est pour cette raison que les ingénieurs ont appliqué une stratégie r: des ogives nucléaires à têtes multiples.Avec des charges réduites mais mieux reparties les destructions étaient maximale...
Tout cela pour dire qu'une force de colonisation agissant au sein même de la biosphère et s’immisçant dans tout les domaines de la vie(principes de saturation) peut entrainer des dégradation qui peuvent plus importantes dans la durée qu'un événements épisodique aussi catastrophique soit il.
Le degré de dissipation d'énergie de la techno-sphère(qui inclut notamment les essais nucléaires,les deux guerres mondiales et tout le carburant brulé depuis un siècles) corresponds en réalité à une sorte "d'explosion lente" et controlé dont toute la subtilité repose sur l’invisibilité et l'inertie.
* Initialement prévu pour faire 100 mégatonnes!