En effet, et d’ailleurs je pense que tu avais à mi-mots compris pourquoi j’étais ironique (en évoquant la “solution finale”.)
Mais quel parallèle y voit-on?
Je ne me demande plus, par exemple, ce qui a pu permettre à des scientifiques d’écrire ce torchon criminel qu’est le “
Codex Alimentarius” (qui a été initié par l’OMS, qui a délégué, puis a été séparé comme ONU SIDA, tiens... tiens...) comment des esprits élevés au rang d’experts peuvent-ils se compromettre à normaliser des produits alimentaires malsains, qui sont précisément ceux qui sont pour une grande part, la cause des comorbidités dont on parle tant avec le covid (et qui ont été passées sous silence auprès du grand public, pendant des dizaines d’années...) et en le présentant comme “aveu d’impuissance” alors que le fait que les conditions de leur création est un crime contre l’humanité, pour la part qui revient à la responsabilité desdits “experts”. Pour la part qui revient donc à la responsabilité des hommes. Je voulais ici expliquer en clair pour tous (ce que l’on comprenait déjà entre-nous) surgissant furtivement de ton onomatopée...=> (gnarf, gnarf!)
Car en effet, on oppose régulièrement aux arguments de “nourriture dévitalisée”, l’argument du “coût” et ce pour justifier par conséquent tous les produits transformés et industriels, ce qui conduit inévitablement à certains aspects de leur dénaturation. Alors même qu’on n’est pas obligé de dénaturer pour conserver:
— il y a des moyens connus, qui n’ont pas d’effet délétère, ceux où l’on laisse ‘la nature’ faire le travail (lactofermentation, etc)
— ã titre d’exemple, on chauffe les huiles qui sont déjà des produits qui se conservent très bien tous seuls (pour augmenter le rendement alors que c’est précisément là que l’inventivité des industriels devrait s’exprimer (ne pas nuire au produit). Et y’a pas besoin de gros moyens pour y arriver SI ON VEUT, puisque même les berbères y sont parvenus, simplement en récoltant les olives à pleine maturité!
— ainsi, il y a tout un panel de produits présent dans le Codex, qui sont inutiles et devraient être remplacés facilement par des équivalents présentés dans un “conditionnement sain”.
— on nous oppose régulièrement l’argument de “sécurité alimentaire” et que par conséquent “
il faut déjà arriver à nourrir la planète, et que sans les moyen et méthodes actuels, on n’y arriverait pô et bla-bla-bla”. Mais c’est un leurre bien sûr, à l’ère de la communication instantanée et de l’informatique, du marquage des lots avec puces RFID et autres stratégies de stockage first-in first-out: il y a possibilité de circuits ultra-courts (qui devraient être la règle) et les contrôles de qualité tout au long de la chaîne de distribution, qui peuvent être raccourcis et optimisés au minimum, pour éviter toute détérioration, mais surtout éviter la dénaturation/dévitalisation. Ces systèmes existent, mais ils sont mis à profit dans l’intérêt économique de la grande distribution (on cueille des fruits et légumes pas mûrs) alors que cela devrait dépasser la simple “qualité organoleptique” des aliments, pour qu’ils expriment au maximum ce qu’ils peuvent apporter au corps humain (ce qu’on ne peut pas arriver à faire contre-nature).
— il y a tout une gamme de produits présent dans le Codex, qui sont tout simplement toxiques. Un autre exemple, il faut revoir de fond en comble TOUT ce qui régit les apports en hydrates de carbone — c’est l’une des plus grosses escroquerie de l’agro-business, des produits dont les gens font des orgies, alors que l’on pourrait s’en passer à plus de 90% — si on compte les produits carnés, y’a de quoi éradiquer la faim dans le monde, non? A leur décharge, je dirais que la grosse masse des gens ne sont pas informés! Mais avec le covid, ça remue les “certitudes”.
— y’a énormément de choses que j’oublie, que tu voudras bien compléter stp... (?)
Oui, l’argument du “
coût”, mais y’a un moment où l’on atteint les limites du système!
Avec le covid nous sommes au moins arrivés dix fois dans le mur: les écosystèmes, notre rapport à “
la société que nous voulons” VS les conditions de vie des précarisés (villes surtout), l’alimentation, la santé publique (physique et psychique), la recherche scientifique, la formation, la prévention, et bien sûr les médocs et vaccins (relativement aux lacunes de la recherche des causes), la corruption du monde politique et scientifique, l’effondrement économique total, etc. (T’en a sûrement d’autres, donne-les stp!).
Bien, bien, qu’on ne vienne pas nous parler encore du “coût” : parce que le “lockdown” combien ça coûte

Tout ça pour dire cher ami, que la vision à courte vue de certains dans ce forum, qui essayent de faire passer les autres pour des nouilles, fait régulièrement un flop, parce qu’ils ne voient pas ces choses, parce qu’ils ne comprennent pas les allusions que nous faisons “entre nous” (sur le fond, qui n’apparaît pas forcément spontanément) et qui sont souvent source de confusions pour eux, ce qui somme toute les rend relativement amusantes.

gnarf, gnarf!