Defkalion invite les testeurs à testeur "son" e-cat:
http://www.e-catworld.com/2012/01/defka ... -reactors/
de son côté, Rossi annonce 50.000 précommandes et estime pouvoir commencer à livrer dans 18 mois:
http://www.e-catworld.com/2012/01/rossi ... 18-months/
Réaction de Focardi-Rossi: est-ce la fusion froide ?
- elephant
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Dernière édition par elephant le 24/01/12, 19:06, édité 1 fois.
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éléphant: suprême éconologue honoraire..... pcq je suis trop frileux, pas assez riche et trop paresseux pour économiser vraiment le CO2 ! http://www.caroloo.be
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dedeleco
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Si vrai, liberté de tester leur engin, en particulier de mesurer rigoureusement le COP supérieur à 20, avec vérification approfondie des mesures d'énergie, test des résistances chauffantes, test de tous les thermocouples, test des capacités thermiques et diffusivité des matériaux, etc.., il va être possible de savoir si on ne rêve plus.
En particulier il sera possible de répondre aussi à cette question basique, identique à celle qui fait les bombes atomiques ou les catastrophes de centrales nucléaires :
avec un COP de au moins 20, c'est à dire la chaleur en plus dégagée par leur poudre 20 fois celle mise pour faire fonctionner la poudre, comment contrôlent ils l'emballement possible par surchauffe, la chaleur dégagée en plus étant indiscernable de celle extérieure, on doit avoir auto multiplication par 20 de la chaleur dégagée in situ, à une vitesse énorme fixée par la diffusion thermique entre les grains de la poudre et toute l'énergie possible libérée très vite, fusion de tout, à des milliers de degré, et arrêt, voire explosion comme pour les réactions nucléaires.
Les réactions nucléaires n'ont pas un COP de 20 pour les neutrons, mais que max de 2, un neutron absorbé par un uranium en donne deux, à la vitesse d'absorption des neutrons émis, soit 2 à la puissance du nombre de microsecondes passées, ce qui donne une explosion atomique, avec dispersion de tout très vite.
Les réacteurs nucléaires ont tout un système (barres de contrôle) de régulation pour maintenir le COP à 1-epsilon, (epsilon très petit), sinon explosion et dispersion de tout comme à Fukushima.
Il est incompréhensible à lire leur texte, que cela ne se produise pas de façon explosive (au minimum fusion de leur poudre et arrêt brutal de la réaction) et donc cette question laisse sceptique sur leurs affirmations, car un COP de 20 semble incontrôlable, avec emballement local ( à 20puissance temps de diffusion thermique entre deux sites réactifs ), sauf avec arrêt par fusion de leur poudre qui supprime les sites réactifs.
Une instabilité qui débute localement est incontrôlable, jusqu'à destruction, sans contrôle local rapide, qui semble totalement absent.
Je pense que les tests ne seront pas totalement libres sur tout ce qui est thermique, (choix des thermocouples étalonnés et tests de diffusivité) vu que cette question remet trop en cause leur système, si on mesure de trop.
http://www.defkalion-energy.com/files/2 ... actors.pdf
En particulier il sera possible de répondre aussi à cette question basique, identique à celle qui fait les bombes atomiques ou les catastrophes de centrales nucléaires :
avec un COP de au moins 20, c'est à dire la chaleur en plus dégagée par leur poudre 20 fois celle mise pour faire fonctionner la poudre, comment contrôlent ils l'emballement possible par surchauffe, la chaleur dégagée en plus étant indiscernable de celle extérieure, on doit avoir auto multiplication par 20 de la chaleur dégagée in situ, à une vitesse énorme fixée par la diffusion thermique entre les grains de la poudre et toute l'énergie possible libérée très vite, fusion de tout, à des milliers de degré, et arrêt, voire explosion comme pour les réactions nucléaires.
Les réactions nucléaires n'ont pas un COP de 20 pour les neutrons, mais que max de 2, un neutron absorbé par un uranium en donne deux, à la vitesse d'absorption des neutrons émis, soit 2 à la puissance du nombre de microsecondes passées, ce qui donne une explosion atomique, avec dispersion de tout très vite.
Les réacteurs nucléaires ont tout un système (barres de contrôle) de régulation pour maintenir le COP à 1-epsilon, (epsilon très petit), sinon explosion et dispersion de tout comme à Fukushima.
Il est incompréhensible à lire leur texte, que cela ne se produise pas de façon explosive (au minimum fusion de leur poudre et arrêt brutal de la réaction) et donc cette question laisse sceptique sur leurs affirmations, car un COP de 20 semble incontrôlable, avec emballement local ( à 20puissance temps de diffusion thermique entre deux sites réactifs ), sauf avec arrêt par fusion de leur poudre qui supprime les sites réactifs.
Une instabilité qui débute localement est incontrôlable, jusqu'à destruction, sans contrôle local rapide, qui semble totalement absent.
Je pense que les tests ne seront pas totalement libres sur tout ce qui est thermique, (choix des thermocouples étalonnés et tests de diffusivité) vu que cette question remet trop en cause leur système, si on mesure de trop.
http://www.defkalion-energy.com/files/2 ... actors.pdf
1 | P a g e
Independent Testing on Hyperion Reactors
Praxen Defkalion Green Technologies Global Ltd. (PDGT) is ready to further allow third parties to evaluate its core technology: a multi stage LENR reaction between Nickel and Hydrogen.
PDGT has successfully completed its scientific, technological and engineering steps necessary to sustain such a reaction with results exceeding a COP of 20 and with temperatures capable to exceed 650 degrees Celsius.
As it was announced in our November 30th Press Release, a series of third party tests on Hyperion products have been scheduled to be performed within the first months of 2012, immediately after our product’s certification. This announcement does not refer to such product tests.
Independent tests have already been scheduled. With this announcement, PDGT welcomes further requests from internationally recognized and reputable scientific and business organizations interested to conduct their independent tests on “bare” Hyperion Reactors.
Tests will be conducted following mutually agreed protocols based on the general principles herein.
Test Objectives Measurement of excess heat produced by reactions within Hyperion reactors Measurement of “bare” Hyperion Reactor COP (i.e. total energy consumed versus energy produced) Measurement of radioactivity during testing Measurement of reactor’s stability using its control mechanisms
Type of Testing
Parallel run of two identical Hyperion Reactors connected in parallel to the same electric energy sources for pre-heating and the same Hydrogen input source.
The active Reactor #1 will be equipped and prepared ready to trigger and sustain a steady reaction.
2 | P a g e
The Reactor #2 will be empty of any powders and with all triggering and control mechanisms deactivated.
Following a parallel test run of both Reactors for at least 48 hours, the two Reactors will be switched for a second run (Reactor #1 empty and Reactor #2 active) in order to authenticate the same results.
Configuration & Measurements
Both Reactors are of the same configuration, placed in the same room with a 50-60cm distance from each other.
Both reactors will be identically isolated.
Calibrated thermocouples of the same type will be connected inside each Reactor chamber and attached in the outer surface of each reactor. All four thermocouples will report their measurements to the same data logger and PC logging software.
The pressure of the Hydrogen circuit will be monitored and logged with the same sample rate as the thermocouples logging (i.e. 1/sec).
All electric consuming devises attached to the Reactors will be measured and logged (Volt and Amps). All electric supplies to the reactors will be through a UPS unit to avoid grid problems and any possible fluctuations.
Monitoring of any type of radioactivity from the tested Reactors will be performed following a 24hours measurement of the testing environment, to be used as base measurement.
Cooling Method
Cold air may be blown to both Reactors through their isolation if the maximum safety temperature level as defined in the test protocol is reached in the active Reactor.
3 | P a g e
Measurement Methodologies
1. On Heat Energy and COP
Differential Thermal Analysis:
Following the test run, the Temperature/Time logged plots of inner and outer thermocouples will be used to calculate: The difference of integrals between the Temperature/Time logged plots of inner thermocouple measurements of the two Reactors. This results to the calculation of the absolute excess heat energy produced by the active Reactor. The difference of integrals between the logged plots of each pair of inner and outer attached thermocouples attached to each Reactor. The difference of the respective energy of the absolute excess heat energy produced by the active Reactor versus the total electric energy consumed by the active Reactor (heater and controls). This results in the COP of the active Reactor. Reactors will be weighed before and after testing.
2. On Radiation
A Muller-Geiger tube, calibrated to the environment base radiation level, will be used to measure alpha and gamma emissions from the active Reactor.
3. On Stability
The active Reactor’s thermocouples measured temperatures, both inner and on outer surface, will be maintained stable with a fluctuation of no more than +/- 10% during the whole testing period, as observed after the triggering of the reaction in the active Reactor.
4. Other Measurements
No other measurements (e.g. calorimetry), will be performed during such “bare” Reactor testing.
The existing already released specifications of Hyperion products relating to system performance, stability, safety and functionality will not be tested during this series if tests.
4 | P a g e
Reactor’s Performance
It is expected that tests will conclude a COP in excess of 20
Publication of Protocols and Results
The detailed test protocols will be published by PGDT before any third party test is performed.
Test results may be published by the independent evaluators in the media they choose and in our site, jointly.
-------------
Following the above, PDGT remains committed to its vision as a pioneer in LENR technology. Hyperion products can be used as a cheap, clean and green energy source for households and industrial applications.
PDGT remains committed to the world at large, providing its technology with responsibility and diligence.
__________________________________________
Praxen Defkalion Green Technologies Global Ltd.
January 23rd 2012
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Fakir
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Parler d'un COP dans le cas de combustible n'est pas vraiment approprié. La fission contrôlée des réacteur des centrales nucléaires civils n'ont pas en entrée d'énergie. La réaction est maîtrisée par l'emploi d'uranium moyennement enrichi et par l'absorption des neutrons par les barres de contrôle tout ça évite la réaction enchaîne violente. Dans ce cas là on en a un cop infini. (comme dans ma voiture).
Cela me fait penser, le 21 décembre arrivant à grand pas
aux prédictions de fin du monde avant les premiers essais de bombe H dans les mers. Certains imaginaient des torches de plasma issues des explosions qui auraient ravagé notre monde !
Cela me fait penser, le 21 décembre arrivant à grand pas
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dedeleco
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Fakir a écrit :Parler d'un COP dans le cas de combustible n'est pas vraiment approprié. La fission contrôlée des réacteur des centrales nucléaires civils n'ont pas en entrée d'énergie. La réaction est maîtrisée par l'emploi d'uranium moyennement enrichi et par l'absorption des neutrons par les barres de contrôle tout ça évite la réaction enchaîne violente. Dans ce cas là on en a un COP infini. (comme dans ma voiture).
COP = COefficient de Performance
http://fr.wikipedia.org/wiki/Coefficient_de_performance
est à géométrie variable en dehors des PAC avec un usage impropre, mais similaire, suivant ce qu'on met au numérateur et au dénominateur, utile sur fourni !!
Donc neutrons après sur neutrons incident avant sur noyau nucléaire Uranium COP de 2 au max. ce qui fait un emballement explosif, sauf à 1-epsilon contrôlé finement dans les centrales par barres d'absorption des neutrons réactifs.
donc énergie après obtenue sur énergie fournie pour faire marcher
ou chaleur utile finale sur chaleur fournie = 20 selon eux !!
Et il faut m'expliquer comment l'emballement ne se fait pas, au moins finissant dans la fusion du nickel.
Pour un combustible le COP est aussi fonction de ce qu'on met au dénominateur, comme toute l'énergie pour obtenir le combustible, forages, raffineries, etc...et pas que l'allumette pour allumer !!
Les gaz de schistes c'est guère plus de 2 à 3 !!!
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Fakir
- Je comprends l'éconologie

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dedeleco a écrit :Les réactions nucléaires n'ont pas un COP de 20 pour les neutrons, mais que max de 2, un neutron absorbé par un uranium en donne deux, à la vitesse d'absorption des neutrons émis, soit 2 à la puissance du nombre de microsecondes passées, ce qui donne une explosion atomique, avec dispersion de tout très vite.
Les réacteurs nucléaires ont tout un système (barres de contrôle) de régulation pour maintenir le COP à 1-epsilon, (epsilon très petit), sinon explosion et dispersion de tout comme à Fukushima.
Parler de COP de neutron pour une réaction nucléaire reste pour moi peu approprié. La centrale ne bombarde pas son réacteur de neutron...
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dedeleco
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Néanmoins, cette multiplication des neutrons (et de l'énergie pour les créer donc COP de 2 au max des neutrons ) suffit à faire une bombe atomique !!!
Ici aussi si l'énergie de chaleur mise sur le Ni-H2 se multiplie, il est difficile de comprendre comment il est facile de le contrôler sans explosion fondant tout avec COP=20 !!
Ici aussi si l'énergie de chaleur mise sur le Ni-H2 se multiplie, il est difficile de comprendre comment il est facile de le contrôler sans explosion fondant tout avec COP=20 !!
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- stipe
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dedeleco a écrit :Néanmoins, cette multiplication des neutrons (et de l'énergie pour les créer donc COP de 2 au max des neutrons ) suffit à faire une bombe atomique !!!
Ici aussi si l'énergie de chaleur mise sur le Ni-H2 se multiplie, il est difficile de comprendre comment il est facile de le contrôler sans explosion fondant tout avec COP=20 !!
Je comprends pas grand chose à tout ça moi lol
Mais le COP c'est le rapport entre l'énergie introduite et l'énergie extraite...non ?
Pour un COP >1 mais sans risque d'emballement il suffit que l'énergie introduite soit sans lien par rapport à l'énergie produite... non ?
Je m'explique : (désolé pour l'imprécision, c'est juste une exemple et je n'y connais rien) un baril de pétrole a extraire "coute" l'énergie de 1/50 de baril de pétrole donc on doit avoir la un COP de genre 50, non ? le COP est >1 mais il n'y a pas de risque d'emballement de la machine qui extrait (tant que l'homme ne cherche pas de croissance infinie mais c'est un autre débat...). Ca ne peut pas se passer comme ça dans la fusion froide, c'est forcement un phénomène auto-entretenu ?
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- Gaston
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Oui.stipe a écrit :Mais le COP c'est le rapport entre l'énergie introduite et l'énergie extraite...non ?
Pour un COP >1 mais sans risque d'emballement il suffit que l'énergie introduite soit sans lien par rapport à l'énergie produite... non ?
Pour qu'il n'y ait pas emballement, on peut supposer que la quantité de chaleur produite n'est pas simplement proportionnelle à celle introduite, autrement dit, que la valeur du COP est variable et par exemple rapidement décroissante avec la température.
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dedeleco
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Vu que la chaleur n'a qu'une forme, la chaleur qui fait varier la température, il faut que la production de chaleur en plus, multiplicative, s'arrête au dessus d'une température limite, comme la fusion de la poudre de nickel (comme affirmé par Rossi ), mais alors il n' y a plus de réaction en refroidissant, aussi, on ne comprend pas que cela fonctionne longtemps sans cette autodestruction.
Car un tel équilibre avec COP=20 est excessivement instable, impossible à contrôler, puisque la chaleur produite, 20 fois plus que celle apportée, localement, amplifie la réaction, jusqu'à la fusion qui stoppe tout.
Quelque soit la courbe imaginée d'énergie dégagée en plus, en fonction de T, avec 20 fois plus que celle fournie, il est à peu près impossible d'éviter les emballements localement, puisque supprimer la source de chaleur extérieure, n'arrête plus rien, avec 20 fois plus en interne, qui surchauffe tout.
Pour cette raison logique d'incohérence intrinsèque, je suis très sceptique.
Car un tel équilibre avec COP=20 est excessivement instable, impossible à contrôler, puisque la chaleur produite, 20 fois plus que celle apportée, localement, amplifie la réaction, jusqu'à la fusion qui stoppe tout.
Quelque soit la courbe imaginée d'énergie dégagée en plus, en fonction de T, avec 20 fois plus que celle fournie, il est à peu près impossible d'éviter les emballements localement, puisque supprimer la source de chaleur extérieure, n'arrête plus rien, avec 20 fois plus en interne, qui surchauffe tout.
Pour cette raison logique d'incohérence intrinsèque, je suis très sceptique.
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- Gaston
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Oui, tant qu'on imagine la réaction productrice nette d'énergie.dedeleco a écrit :Vu que la chaleur n'a qu'une forme, la chaleur qui fait varier la température, il faut que la production de chaleur en plus, multiplicative, s'arrête au dessus d'une température limite, comme la fusion de la poudre de nickel (comme affirmé par Rossi ), mais alors il n' y a plus de réaction en refroidissant, aussi, on ne comprend pas que cela fonctionne longtemps sans cette autodestruction.
Car un tel équilibre avec COP=20 est excessivement instable, impossible à contrôler, puisque la chaleur produite, 20 fois plus que celle apportée, localement, amplifie la réaction, jusqu'à la fusion qui stoppe tout.
On pourrait imaginé que passé une certaine température (que l'on espère inférieure à la température de fusion de la poudre), la production d'énergie en plus soit nulle, voire négative (autrement dit, le COP chute très rapidement en dessous de 1), ce qui stabiliserait la réaction.dedeleco a écrit :Quelque soit la courbe imaginée d'énergie dégagée en plus, en fonction de T, avec 20 fois plus que celle fournie, il est à peu près impossible d'éviter les emballements localement, puisque supprimer la source de chaleur extérieure, n'arrête plus rien, avec 20 fois plus en interne, qui surchauffe tout.
Mais dans ce cas, Rossi ne nous aurait pas parlé de la fusion de la poudre...
Et je ne vois pas bien quel mécanisme pourrait produire ça
Moi aussidedeleco a écrit :Pour cette raison logique d'incohérence intrinsèque, je suis très sceptique.
Mais j'aime bien trouver des explications "possibles"
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