Exnihiloest a écrit :La fable du réchauffement anthropique et de la lutte contre le CO2, dont la trouducosphère des réchauffistes nous serine qu'elle aurait à l'appui un consensus scientifique, ne l'a pas du tout. Le seul consensus, on le trouve chez les climatologues payés pour étudier l'impact de l'homme sur le climat, comme le GIEC.
Mais chez les physiciens et les astrophysiciens, notamment, le doute est toujours présent. Régulièrement on lit leurs études très critiques sur les travaux des climatologues.
La grande différence entre les physiciens et les climatologues, c'est que les premiers prennent le temps de vérifier les théories par des expériences et les observations, c'est à dire qu'ils font de la vraie science, celle pouvant rejeter une théorie ne collant pas aux observations.
Thorstein O. Seim et Bogar T. Olsen de l'institut de physique de l'université d'Oslo ont réalisé un dispositif expérimental pour valider l'effet de serre dû au dioxyde de carbone selon les formules utilisées par le GIEC.
Leur expérience est détaillée dans cette publication :
https://www.scirp.org/pdf/acs_2020041718295959.pdf
Conclusion :
"Les résultats de notre étude montrent des courbes de chauffe quasi identiques lorsque nous passons de l'air à 100% de CO2 ou à un gaz Argon à faible concentration de CO2. Néanmoins, nous avons observé l'absorption du rayonnement IR dans la chambre avant. Nous avons également observé l'augmentation de la densité de rayonnement dans la chambre arrière en raison de la rétrodiffusion du CO2.
La modification du rayonnement rétrodiffusé observé devrait nous donner une augmentation de température mesurable de 2,4 à 4 K en utilisant la loi de Stefan Boltzmann. Mais nous n'observons qu'une très légère augmentation de température due à la rétrodiffusion du CO2. Cela indique que le réchauffement, dû à la rétrodiffusion IR du CO2, est beaucoup moins important que ce que l'on suppose à partir de la loi de Stefan Boltzmann ou de l'équation de forçage (1a) et (1b).
Les courbes de chauffage presque identiques pour les trois gaz indiquent que le transfert d'énergie thermique est uniquement déterminé par la température de la paroi arrière de la chambre arrière. Sans chauffage supplémentaire des parois de la chambre arrière, la température de l'air ne peut pas augmenter. Ces résultats pourraient remettre en question le fondement des lois de forçage utilisées par le GIEC. Une autre possibilité est que notre installation présente des pertes de chaleur inexpliquées qui annulent l'effet de l'augmentation de l'IR rétrodiffusé et empêchent des températures plus élevées dans la chambre arrière, mais après avoir testé cela et trouvé seulement de légères pertes, nous ne voyons pas que cela puisse être le cas."
Je n'ai pas approfondi mais le CO2 a des raies d’absorptions qui correspondent à des températures.
L’élément chauffant de l’expérience excitait-il ces raies dans les mêmes proportions que dans l’atmosphère ?
et par ailleurs le CO2 est uniformément réparti dans l’atmosphère , si je ne m'abuse ?
De mémoire, s'il était une couche uniforme, il représenterait une couche d' environ un mètre d’épaisseur.