Cobayes humains pour l'essai de médicaments en Inde

[janic]

A revoir ! passé sur france 2 le 21/03

[Christophe]

Lien? Ils disaient quoi?

Parce que tous les médicaments sont soumis, dans leur phase préfinale et pour obtenir leur agrément de commercialisation, à des essais sur cobayes humains...qui sont payés pour cela...

[bidouille23]

Bonsoir ,

http://www.france2.fr/emissions/envoye- ... 3222910_F2


Il y est dis gros que comme toute marchandise il y a délocalisation ( le coût d'un test ici c'est en moyenne 1200 à 1400 euros (mon frère dans ses folles années de jeunesse en a fait pour bio-trial arfff , ceci dis tu choisi les classes de risque des test que tu veux faire , le prix dépend de la classe de risque ) )...

Bref en inde c'est 130 euros pour trois jours de test sans information réelle préalable quand au risques encourue et sans consentement claire du testeur .

Sans prise de sang pour recherché l'éventuel présence de substances qui pourrais interagir avec le médicament testé , et sans suivis médicale ...

Il y a des morts et dire que les test sont valable ??

En gros bon courage à tout les utilisateurs de médicaments ...

a mon avis ce sont des test préliminaire afin de réduire le nombre de test plus précis qui seront fait chez nous , donc moins de dépenses à la clé ... a mon avis ce sont les test de risque majeur qui sont fait la bas et ensuite peut être ici les contrôles , qui c'est ??

Business is business comme dise certain , c'est juste une honte de plus à notre tableau, sanofi en fait partie c'est dis dans le reportage aussi ...

De toute façon il n'y a rien d'étonnant dans cela ce n'est qu'une dérive de plus du système déjà à la dérive , basé sur une logique faussé qui veux nous faire croire au "miracle " de la médecine et des thérapeutiques chimique actuel ...

[janic]

et surtout l'ANSM qui joue les innocents de village et c'est à eux que l'on confie la sécurité des médicaments et donc la santé de ses consommateurs dont on en fait des "CONS sommés d'en être les acteurs"

[bidouille23]

Re , il suffit de lire les contre indication sur un medicament pour se rendre compte qu'il sont tout sauf sécuritaire

Je ne prend rien sans lire avant les contre indication ( en fait je ne prend rien comme médicament au final pour ainsi dire sauf ceux contenant des substances que je connais ;) ... )

Bref prend un anti-douleur et lie les contre indications , et bien il y a en général trois fois plus de contre indication que d'indication dite "bonne" , et en général ont te donne un anti-ulcère associé car il est connu que les anti-douleur donne des ulcère ... Elle est ou la sécurité la dedans ???

C'est un système bouffe fric c'est tout , c'est comme le cheval a la place du boeuf , le mouton a la place du cochon etc etc etc ....

Comme tu dis ont nous prends juste pour des cons , mais en même temps ont nous a bien formé à en être de beaux bien docile ...

il est temps de choisir entre la pilule bleu ou la pilule rouge ;) ...

[plasmanu]

Toujours ARTE, et pas en inde.

Le complot des industries pharmaceutiques en Allemagne de l'Est
51 minutes d'horreur.

Le complot des industries pharmaceutiques en Allemagne de l'Est.

Dans ce reportage, nous allons découvrir un terrible complot du lobby pharmaceutique qui s'est déroulé en Allemagne, juste avant la chute du mur de Berlin.
Aujourd'hui, les témoignages et les documents déclassifiés nous permettent de nous rendre compte de l'horreur et de l'inhumanité de la situation.

Alors que jusqu'en 1976, aucune législation à proprement parler ne permettait de protéger les malades des abus des industries pharmaceutique lors des essais cliniques, un vote donna finalement fin à cette pratique en Allemagne de l'ouest.
Face à cette nouvelle loi, la RDA ou Allemagne de l'Est aurait alors proposé leurs services afin que des tests puissent être effectuées librement sur les habitants du pays.

En effet, le régime communiste de l'époque était alors prêt à tout pour renflouer ses caisses, notamment à vendre ses habitants aux lobbies pharmaceutiques.
Des pratiques véritablement criminelles en furent engendrées. Ainsi, certains patients qui souffraient d'une maladie chronique grave furent privés de leur traitement initial et placés dans un groupe témoin de l'étude censé expérimenter un médicament adapté à leur pathologie. Donc au final, le malade se retrouvait sans aucun traitement actif, ce qui pouvait bien entendu avoir des conséquences totalement désastreuses.

Chose tout aussi édifiante, certains lits d'hôpitaux n'étaient donnés que si le patient se résignait à participer à une étude.
C'est ce qui arriva à une femme dont la fille témoigne aujourd'hui au grand jour. Celle-ci, suite à son hospitalisation, vit son état grandement se dégrader. Et pour cause, il lui fut prescrit un médicament expérimental appelé Brofaromin produit par le groupe Ciba-Geigy, aujourd'hui connu sous le nom de Novartis.
Pour autant, la société reste actuellement muette sur leurs agissements dans les années 80.

Enfin, les circonstances quant à l'accord de participation à une étude donné de la part du patient étaient pour le moins assez flous et une grande liberté était laissée pour leur inclusion.
Ainsi, une nouvelle fois, vous pourrez découvrir l'histoire d'un patient qui s'est retrouvé à participer à une étude sans qu'il n'ait signé le moindre accord, ni même sans savoir explicitement qu'il s'agissait d'un protocole expérimental.
De plus, il était fréquent que les risques liés soient cachés, afin de permettre un recrutement plus important.

Il est dorénavant certain que ces cas ne sont pas exceptionnels, et les patients ne se méfiaient absolument pas du système de santé de leur pays qui était très réputé. Du moins, jusqu'à ce que l'état décide de vendre ses propres patients, sans que les médecins ne puissent protester selon les dires de certains d'entre-eux. De plus, il semblerait que ces praticiens ne touchaient aucun avantage financier à appliquer ce genre d'études.

Finalement, après la chute du mur de Berlin en 1989, la législation concernant les essais cliniques en Allemagne se vit renforcée.
Néanmoins, cela n'a pas empêché les industries pharmaceutiques de continuer leurs pratiques dans des pays plus à l'Est, tels que la Roumanie ou la Pologne.
Bien que ces abus aient semble-t-il cessé dans ces pays dans les années 2000 suite à leur intégration dans l'Union européenne, ils continuent toujours à se produire dans des pays où la crédulité de la population et la législation le permettent...

[bidouille23]

Salut ,

les américains aussi ont des essais bien tordus , " voyage d'enfer à edgewood " est un reportage sur la chose ...

edgewood était un (ou est encore ??? ) un centre de recherche militaire , beaucoup de soldats ont été envoyé labas sous prétexte de leur faire essayer des médicaments ( version officiel qui leur était donné ) , en fait ils ont tous eu des doses de toute sorte de drogues , lsd , méta-amphetamine , poussière d'ange , etc etc , a edgewood ils ont même essayé de créer la drogue du combatant , nommé BZ , pas de bole au lieu de donné l'envie du combat les utilisateur était frappé de stupeur pendant 3 jours ( genre assis en position de la chaise mais sans chaise , contre un mur avec sur le visage la marque de la stupeur ) .

ensuite les quantité de drogue injecté était tel que certain en sont mort tout simplement , 100 ml de lsd en intraveineuse par exemple , ensuite sont venue les test sur dans les grande ville pour étudier les disséminations en cas d'attaque chimique , et avec ça des essais sur des personne sans leur dire , le cas d'un agent de la cia ou un collègue lui a mis du lsd dans son café , 1h après l'agent a sauté par la fenêtre de son building ....

Au final pas mal de victime , ont peut aussi faire le raprochement avec le film l'échelle de jacob ....

Il n'y en as pas un pour rattrapé les autres , c'est ça l'envers du décors de la société de consommation tous cobaye sans en être informé ou volontaire ....

vive les plantes vive la nature il y a tout dedans ...

[plasmanu]

Le serment d'hippocrate ne s'applique qu'au medecin.
Pour un cadre superieur d'une multinationale c'est le serment hypocrite.

[janic]

plus proche et même chez nous! Extrait de mon ouvrage où je cites ceci qui vient d'un documentaire filmé par la télé anglaise et qui n'a pas franchi la Manche pour être diffusé en France.

Cet exemple, penserez-vous, peut-être, est exceptionnel. Détrompez-vous ! Le 30 novembre 2004, la BBC Two, a diffusé un documentaire appelé « Guinéa Pig Kids » (Enfants cobayes) rapporté par la revue Réalités et vaccinations.
Jamie Doran, reporter à BBC Two, a interviewé de nombreux parents et proches et a réussi à obtenir quelques dossiers médicaux qui prouvent sans équivoque la participation active des enfants à ces essais.
Un peu plus tôt l’article disait p.24
Fondé en 1987 pour recueillir des enfants pauvres issus de mères toxicomanes, il (l’ICC) est devenu, en 1992, un centre d’expériences sur des orphelins séropositifs au VIH. Il est indirectement sponsorisé par l’Institut National de la Santé et par des compagnies pharmaceutiques…
Jusque là rien d’anormal, ne s’agit-il pas d’aider des enfants atteints de cette sale maladie à s’en sortir. Sauf que l’enquête à débouché sur quelque chose de moins noble.
Cette infirmière (Jacklyn Hoerger) a travaillé pour l’ICC au début des années 90. En 1996, elle s’est engagée dans un processus d’adoption de deux enfants séropositifs…elle leur administra les posologies prescrites « à la lettre » pendant environ un an et fut amenée à constater la dégradation de l’état de santé des deux fillettes. C’est alors qu’elle décida d’effectuer des recherches sur les drogues anti-rétrovirales et de consulter de nombreux spécialistes, puis forte de ces renseignements, elle a commis le crime impardonnable de retirer les drogues aux enfants, ce qui a immédiatement amélioré leur santé et a transformer leur angoisse en joie de vivre…Le centre d’aide à l’enfance retira les enfants à leur mère adoptive et les renvoya dans un home d’accueil.
Et plus loin p.28
Mona Newberg, enseignante dans les écoles publiques de New York, titulaire d’une maîtrise d’éducation …a réussi de soustraire Sean à l’ICC. Il avait trois ans et prenait de l’AZT depuis l’age de 5 mois. Depuis 2 ans il était nourri grâce à un tube relié à son estomac…l’enfant était toujours fiévreux, souvent comateux et ne pouvait rester debout plus de 10 minutes. C’est alors que Mona décida de supprimer toutes les drogues. En deux mois, Sean récupéra des forces, put jouer avec d’autres enfants et reprit de l’appétit. Mona le faisait suivre par un naturopathe. Des représentants de l’ACC l’obligèrent à consulter le Dr Howard à l’hôpital Beth Israël. Ce dernier ordonna alors que l’enfant soit soigné par un nouveau « médicament miracle » La Nevirapine. La santé de Sean se détériora rapidement …au point qu’il fut hospitalisé 6 mois plus tard. Lorsque Mona put enfin le ramener à la maison, elle arrêta toute prise médicament. A nouveau le santé de l’enfant s’améliora…
Alors que Mona venait de récupérer Sean, les médecins ont décidé de mettre sa fille Dana sous drogues, bien qu’elle ne manifestât aucun signe de maladie…Depuis son adoption, elle ne prenait pas de médicaments, n’était jamais malade…deux mois plus tard l’enfant avait mal au dos et à la tête, au point qu’il fallut l’emmener au service d’urgence de Beth Israel…L’ACS retira Dana de la garde de sa mère et la confia à l’ICC. En novembre 2004, Dana, alors âgée de 16 ans est toujours cloîtrée au centre. Depuis son enfance Sean est sous drogues anti-sida. Il a 13 ans pèse 22 kg et mesure à peine plus d’un mètre vingt. Le film a permis de découvrir que ce centre n’est pas le seul qui fonctionne de cette manière.
Les journaux anglais ont largement couvert l’information, mais en France les médias ne se sont pas attardés sur ces horreurs…p.30
L’article cite encore le travail du père Angelo d’Agostino
Ainsi le père Angelo d’Agostino, qui a fondé au Kenya un hospice pour orphelins considérés comme positifs. Sans prise de médicaments, il a opéré de véritables résurrections chez des enfants seulement avec une alimentation saine et une bonne hygiène.
NB: Cela ne rappelle-t-il pas ce que le Pr Montagnier fini par dire lui-même?
Il en est de même pour l’extraordinaire travail effectué par l’association « Partage-Tanzanie » qui a constaté sur le terrain que les enfants malades guérissent indistinctement qu’ils soient séropositifs ou séronégatifs, à partir du moment ou ils sont correctement nourris et soignés. Dans les cas d’immunodéficience sérieuse, les médecins traitent les maladies opportunistes et les diverses infections et restaurent l’immunité par une alimentation équilibrée et des compléments vitaminiques. Les résultats sont spectaculaires. Parmi les 4000 orphelins de Partage-Tanzanie, la mortalité est d’environ un tiers de la mortalité infantile nationale et le quart de la mortalité infantile régionale. p.26
Et plus loin p.33/34
Christina Maggiore découvrit en 1992 qu’elle était séropositive et son médecin lui expliqua qu’elle devait se préparer à mourir. Lorsqu’elle apprit que les traitements pouvaient la rendre malade…elle préféra des thérapies naturelles qui se sont révélées très efficaces car, quelques mois plus tard elle était en grande forme…
La revue cite aussi Liam Scheff de l’Observer qui a repris cette enquête où elle raconte :
Je m’approche d’un des enfants en chaise roulante, un garçon d’environ 12 ans. Son visage a quelque chose d’étrange, ses yeux sont trop espacés et son crane a une forme bizarre, un peu aplatie. Son torse et ses membres sont légèrement tordus, ils paraissent minuscules et fragiles. C’est ce qui arrive aux bébés traités à l’AZT. …un garçon avec des béquilles essaye de danser au rythme de la musique. Ses jambes se balancent sous lui tandis que ses pieds forment des angles incongrus avec le sol…p.33

L’enfer est, dit-on, pavé de bonnes intentions !
60 ans après l’horreur des camps nazis, cette horreur se répète sous d’autres formes, sous d’autres prétextes et dans, soi-disant, la plus grande démocratie du monde qui s’enorgueillit de sa constitution défendant les droits de l’homme. Le pire n’est-il pas de faire mal tout en croyant faire bien ? Et cela dans une institution catholique et dans un hôpital Juif !

[janic]

un nouvel "accident" d'un cobaye.
A revoir l'émission c'est dans l'air "médicament: se soigner tue"