Janic tu en veux vraiment au lobby médical, t'as loupé ton P1 et tu ne t'en es jamais remis ou quoi?
Tu fais une confusion entre lobby médical et lobby pharmacochimique.
Je n’en veux pas au lobby dit médical quant celui-ci a pour réel objectif la santé des populations. Maintenant ce sont des milliards de dollars ou autres qui sont concernés avec des dizaines de professionnels qui bossent dans ce secteur et donc les cartes ne sont plus distribuées comme avant toute cette industrialisation.
J’ai beaucoup de respect et d’admiration pour les médecins qui sont sincères dans leur fonction et actions. Mais, en même temps, on ne peut croire, naïvement, qu’il y ait une indépendance entre ce qu’ils apprennent et ce que ces lobbys pharmaceutiques veulent les voir apprendre.
Hippocrate disait «
que ton aliment soit ton médicament » et donc aujourd’hui on en est loin, très loin.
Combien de ces médecins sont aujourd’hui capables de suivre cette maxime d’Hippocrate ? Ce n’est pas de leur faute puisque cela ne fait pas partie de leur cursus universitaire.
Donc il ne faut pas se tromper de cible et la cible ce ne sont pas les médecins, mais l’ignorance qu’ils ont de ce qui pourtant est fondamental et qu’ils jurent par serment de suivre «
premièrement ne pas nuire ». Or comment peuvent-ils ne pas nuire lorsqu’ils ne savent même pas de quoi sont composés les produits qu’ils prescrivent (ce ne sont pas des chimistes, ni des biologistes.) et quand bien même ils le sauraient, ils ne connaissent pas les effets cumulés des médicaments en question (ce n’est même pas étudié par les labos d’ailleurs vu la complexité que cela représente) et donc c’est du pifomètre, en espérant que cela ne va pas faire trop de dégâts.(comme en agrochimie d’ailleurs) et il leur faut attendre le prochain scandale sanitaire pour ne plus en prescrire certains. Donc ils sont pris dans la nasse, pieds et poings liés par le système BP dont ils ne peuvent (voire ne veulent) pas sortir.
Pour mon cas, je suis, du mieux possible, cette maxime d’Hippocrate et cela à l’air de pas mal fonctionner puisque depuis bientôt un demi siècle, je n’ai plus eut besoin de prendre ces médicaments chimiques (et donc de médicaments tout court !) Donc, au contraire de ta formulation, je suis remis de cette dépendance physique et intellectuelle, merci beaucoup!
ou c'est juste la nostalgie du temps où on défrayait le médecin de campagne avec une poule ou quelques légumes, alors que maintenant ils roulent en voitures de luxe
Personnellement, je me fiche complètement qu’ils roulent en calèche ou en voiture de luxe si leurs patients (leurs clients donc) sont satisfaits de leur prestation.
Personnellement toujours, je suis pour l'abolition des monopoles et donc du monopole médical allopathique actuel[*] et que la médecine, la vraie, soit ouverte à TOUS les moyens de redonner de la santé à leur clients et là on pourra vraiment se recommander d'un mot qui a été dévié de son sens initial.
SANTÉ, subst. fém.
A. −
1. État physiologique normal de l'organisme d'un être vivant, en particulier d'un être humain qui fonctionne harmonieusement, régulièrement, dont aucune fonction vitale n'est atteinte, indépendamment d'anomalies ou d'infirmités dont le sujet peut être affecté. Si tu examines les statistiques de l'INSERM, on en est loin, très, très loin.
[*] comme l'Inde , par exemple, qui reconnait de façon équivalente 3 médecines: ayurvédique, allopathique, homéopathique
et, espérons-le, la multitude des autres médecines non reconnues officiellement et aussi, voire plus, efficaces.
« On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres: mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison » Henri Poincaré