Santé, du nouveau à propos du SIDA ?

Comment rester en bonne santé et prévenir les risques et ses conséquences sur votre santé et la santé publique. Maladies professionnelles, risques industriels (amiante, pollutions de l'air, les ondes électromagnétiques...), risques de société (stress au travail, surconsommation de médicaments...) et individuels (tabac, alcool...).
Christophe
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par Christophe » 27/09/10, 18:37

J'en pense que ce n'est pas trop de l'éconologie et qu'on est peu sur ce forum a pouvoir en débattre objectivement par manque de connaissances médicales... :? :? :?

Un autre reportage (de 1996!):






Le VIH est bénin pour une personne ayant une bonne alimentation d'après Luc Montagnierl


:shock:

MacDo c'est bon ou pas? :mrgreen:
Dernière édition par Christophe le 30/11/12, 17:45, édité 1 fois.
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Cuicui
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par Cuicui » 27/09/10, 19:43

Le VIH est bénin pour une personne ayant une bonne alimentation d'après Luc Montagnierl

Merci pour ces vidéos plus anciennes, qui vont dans le même sens.
Si j'ai bien compris, ce n'est pas le virus du SIDA qui provoque une baisse du système immunitaire, mais c'est la baisse du système immunitaire due à divers facteurs (malnutrition, toxicomanie, maladies tropicales ou autres, infections diverses, pollutions...) qui pourrait favoriser le développement de ce qu'on appelle à tort ou à raison le "virus VIH".
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par dedeleco » 27/09/10, 23:00

Effarant, Luc Montagnier vieillit, et ne voit pas les conséquences très dangereuses de ses déclarations et il croit dans les vertus de la papaye pourrie (plutôt fermentée) et des bons antioxydants avec un bon système immunitaire bien nourri, pour vivre bien plus vieux, même avec le sida !!

Si vous voulez en être sûr, que les antioxydants remplacent l'abstinence et les préservatifs, demandez à Luc Montagnier, plein de bons antioxydants, de passer des nuits avec des belles femmes sidéennes malheureusement en Afrique, nous en faire la démonstration scientifique en restant en bonne santé 4 mois après !!

Sinon ne croyez pas ce genre de déclarations tant qu'il ne montre pas sur lui même la réalité de ses affirmations !!
Il peut même être accusé de paroles criminelles incitant à ne pas se protéger correctement du SIDA, avec ces vidéos !!

Relisez l'histoire de la découverte du virus du SIDA pour mieux cerner la contribution de Luc Montagnier, vis à vis de ceux qui ont été oubliés, malgré des contributions esentielles !!
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Obamot
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par Obamot » 28/09/10, 01:32

Christophe a écrit :MacDo c'est bon ou pas? :mrgreen:


Réponse: ‘ou pas’. :mrgreen:

Blague à part, dans le domaine des maladies dégénératives, la chimie touche à ses limites, elle peut également être l'une des "sources" de la "cause".

Preuve en est la difficulté de développer des molécules pour lutter contre la sclérose en plaques, et qui n'auraient pas d'effets secondaires. Celles des médicaments actuels pourraient-être aussi graves que la maladie selon les patients souffrent (le laboratoire Merck KGaA en a fait la triste expérience puisque ses "Cladribine Tablets" ne seront pas autorisées en Europe.)
Par contre Novartis aurait réussi avec l'homologation du "Gilenia" — pour les malades, faudra lire attentivement la notice, mais à part revoir complètement leur mode de vie, les patients n'auront pour l'instant aucun autre choix possible.

Idem pour les tri-thérapies...

Nous y voilà! Ça nous ramène à la recherche des causes de la maladie, et donc à travailler en amont, grâce à la "culture de prévention" (et prévention ...précoce). Or si les causes de la maladie ne sont pas celle qu'on suppose, on pourra bien proposer n'importe quel traitement, il n'aura qu'un effet placébo dans le meilleur des cas (mais peut aussi avoir un effet nocébo, ou des effets secondaires très graves comme avec l'AZT, dont certains soupçonnent qu'ils sont plus grave que la maladie et même selon d'autres hypothèses, qu'il encombrerait certains récepteurs de la même manière que certains polluants...)

La prévention peut se concevoir lorsque la maladie est déjà là, mais c'est une situation sévère et il y a un "effet mémoire sur l'organisme" de part le stress qu'il a reçu, ou les dégradations irréversibles. Il vaudrait donc mieux commencer avant d'être atteint...

Quant à la maladie elle-même, pour répondre à Cuicui, je vous renvoie au lien de NLC. Ou trois autres chercheurs avaient déjà pointé cette hypothèse:
Peter Duesberg, Donner Laboratory, University of California Berkeley, Berkeley, CA 94720, USA, and corresponding
author (fax, 510-643-6455 ; Email, duesberg@uclink4.berkeley.edu)
Claus Koehnlein, Internistische Praxis, Koenigswege 14, 24103 Kiel, Germany
David Rasnick, Donner Laboratory, University of California Berkeley, Berkeley, CA 94720, USA

Ici:


nlc a écrit :
A lire en entier, ça permet d'avoir une autre vision "du problème" :

https://www.econologie.info/share/partag ... kKJkL8.pdf

Paru ici ...>


Entre ça et les circonstances obscures dans lesquelles cette maladie avait été découverte dans les années ’70... Le professeur Luc Montagné avait d'ailleurs plus ou moins été mouillé dans cette affaire et l'interview est une sorte de mea-culpa, en même temps qu'il dit que les africains "ne sauraient pas se nourrir", quelle grosse généralité de la par d'un scientifique! De quels africains parle-t-il? Vraisemblablement de ceux qui exploités à outrance par certaines multi-nationales, n'ont plus les moyens de s'alimenter correctement? C'est un a priori assez scandaleux!

Le plus troublant dans cette affaire, est que si on cherche des traces de la maladie chez un patient atteint par le HIV, on n'en trouve pas!

Egalement troublant, de nombreux patients infectés et ne développant pas la maladie.... => tout dépend en effet de l'état de leur immunité et surtout du fait, que bien qu'ayant été "en contact", leur organisme n'offre pas un terrain favorable à son développement. Selon le lien de NLC, et à titre exemplatif: cela serait potentiellement en raison du fait que les POP favorables à son /émergeance/développement ne sont pas en quantité dans le corps de "l'infecté" (ou en des doses bien trop faibles, et donc la maladie "n'aurait pas le dessus") à savoir que les "récepteurs" ne sont pas déjà encombrés par des polluants qui bloqueraient ainsi le transit de certaines informations/substances vitales dans l'organisme.

Encore plus troublants, les travaux de la Doctoresse Kousmine, qui lorsqu'elle rétablissait une alimentation correcte chez ses patients sidéens (à l'époque connu sous virus HIV mais aussi: sarcome de karposi, réticulo-sarcome etc) en éliminant carrences (et de facto les polluants éventuels) arrivait à les guérir et chez d'autres patients atteints de sclérose en plaques à bloquer la progression de la maladie. Chez ces derniers, dès qu'ils recommençaient à faire des excès, ils avaient une poussée de la maladie, puis lorsqu'ils reprennaient leur "régime" leur état se stabilisait, c'était très caractéristique.

Faites donc gaffes à ce que vous mettez dans votre assiette, et protégez-vous lorsque vous êtes en contact avec des substances chimiques (masques respiratoires, lunettes, gants, et autres protections cutanées...)

Je concluerais que depuis bien longtemps, l'OMS s'est "débarrassé du SIDA" en créant "ONU Sida"... Comprenne qui pourra... Le jour où la lumière se fera jour, ils pourront toujours dire que tout ce qui se rapporte au Sida, ne les conerne plus depuis longtemps! Une belle ironie pour la soit-disant plus grave épidémie mondiale qui devrait au contraire figurer en tête de liste de leur combat! Et aussi le fait qu'il est curieux que l'hécatombe tant annoncée n'ait pas eût lieu.
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Christophe
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par Christophe » 28/09/10, 09:11

dedeleco a écrit :Sinon ne croyez pas ce genre de déclarations tant qu'il ne montre pas sur lui même la réalité de ses affirmations !!
Il peut même être accusé de paroles criminelles incitant à ne pas se protéger correctement du SIDA, avec ces vidéos !!


Ben j'espère, pour lui qu'il ne parle pas dans le vide et que ses affirmations sont fondées sur des recherches scientifiques avérées...

Non? :shock:
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par Obamot » 28/09/10, 09:45

C'est une bonne question mais une drôle d'idée!

En quoi est-il prescrit qu'il faille arrêter/suspendre un traitement donné par son médecin traitant, lorsque l'on renforce ses défenses immunitaires et comble ses carrences?

Il faut bien distinguer deux choses:
— la "médecine de pompier" qui éteint les incendies.
— la "médecine préventive", qui évite autant que possible que ceux-ci ne se déclarent...

Lorsque l'incendie s'est déclaré, il faudrait tenter de lutter sur plusieurs fronts. Par exemple dans des cas sévères: a) sortir le patient d'un danger mortel imminent, b) et dans le même temps, empêcher que la maladie ne se propage ailleurs c) une fois la vie sauvée, chercher à rétablir un certain ordre métabolique pour que le corps du patient reprenne de lui-même le relai d) empêcher que cela ne recommence ... Donc il faudrait pratiquer les deux types de médecines en même temps, et en effet dans ces circonstances (avec la mort en perspecitve...) certains patients deviennent beaucoup plus réceptifs...!

Pour le reste, si il est possible de s'en sortir — et cela l'est (plusieurs spécialistes le disent et l'ont expérimentés, j'en ai personnellement rencontré et interviewé plusieurs) dans la majeure partie des cas avec la coopération du patient (comme d'hab...) — afin de rétablir une immunité deficiente et de s'en sortir par soi-même: est-ce que ça ne vaut pas tous les tests cliniques à l'aveugle et de laboratoire? :?

Faut-il chercher beaucoup plus loin, dès lors qu'il n'y a AUCUNE contre-indication à se nourrir convenablement, à faire un peu d'exercice et à développer un bon mental pour chercher à être heureux dans son existence...? Et ce, même si on est déjà malade?

Le SIDA est un piège pour la médecine occidentale, qui cherche toujours des rapports de cause à effet (je parle dans la médecine conventionnelle dite "de pompier"). Alors que ce n'est pas parce qu'on n'a pas identifié des "causes" (ou d'autres causes...) que celles-ci n'existent pas! Et si certaines causes sont avérées, ça ne veut pas non plus dire qu'elles produirons des effets présumés (à titre exemplatif... la peur que les nitrates se transforment en nitrites... ou que l'on attrape un cancer de la peau en allant sous le soleil, alors que c'est précisément en y allant modérément que l'on évitera le cancer...)
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par Cuicui » 29/09/10, 10:04

Il serait donc intéressant de vérifier si les malades ayant développé un SIDA ne souffraient pas auparavant des situations que j'ai citées plus haut, notamment : malnutrition, toxicomanie, maladies tropicales ou autres, infections diverses, intoxication par produits polluants...
La médecine actuelle encourage-t-elle la recherche de ce genre de corrélation ?
En cas d'infection massive de virus, il faut évidemment éteindre l'incendie de toute urgence, même si les médicaments présentent une certaine toxicité. Mais une fois l'alerte passée et la vie sauvée, il faut continuer à traiter le terrain, afin que les défenses immunitaires naturelles de l'organisme puissent reprendre le dessus. Attention aux traitements trop toxiques qui attaquent non seulement les germes pathogènes, mais aussi le système immunitaire. Dans ce cas, finiront par perdre leur efficacité et faire plus de mal que de bien.
Le Pr. Montagnier n'est pas forcément un plaisantin. Ceux qui le critiquent peuvent-ils afficher un palmarès semblable de recherches et de publications scientifiques de haut niveau ?
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par Obamot » 29/09/10, 10:28

Cuicui a écrit :Il serait donc intéressant de vérifier si les malades ayant développé un SIDA ne souffraient pas auparavant des situations que j'ai citées plus haut, notamment : malnutrition, toxicomanie, maladies tropicales ou autres, infections diverses, intoxication par produits polluants...
S'cuse je pensais que c'était clair.... Ok reprenons:

Cuicui a écrit :
Le VIH est bénin pour une personne ayant une bonne alimentation d'après Luc Montagnierl

Merci pour ces vidéos plus anciennes, qui vont dans le même sens.
Si j'ai bien compris, ce n'est pas le virus du SIDA qui provoque une baisse du système immunitaire, mais c'est la baisse du système immunitaire due à divers facteurs (malnutrition, toxicomanie, maladies tropicales ou autres, infections diverses, pollutions...) qui pourrait favoriser le développement de ce qu'on appelle à tort ou à raison le "virus VIH".

Il est certain que "le terrain" (entendez l'état du système immunitaire, la santé générale, l'état des carrences du sujet, etc) joue/nt un rôle de tout premier ordre.
Maintenant c'est comme lorsqu'on prend froid, une fois qu'on est atteint par la maladie, il faut du temps pour que le système immunitaire ne se rétablisse, ou/et alors, il ne faut pas renier la "médecine de pompier" pour passer le cap.

Cuicui a écrit :La médecine actuelle encourage-t-elle la recherche de ce genre de corrélation ?

J'ai récemment été soigné pour une otite non douloureuse (cataloguées plus dangereuses que les douloureuses...), par ....3 médecins (dont un ami)... par deux fois les traitements anti-biotiques ont échoués. Il y avait un petit polype (les anti-biotiques avaient quand même permis de réduire sa taille). Pour finir j'ai réussi grâce à de la feuille de sauge...

Cuicui a écrit :En cas d'infection massive de virus, il faut évidemment éteindre l'incendie de toute urgence, même si les médicaments présentent une certaine toxicité.

Non, ce n'est en tout cas pas un virus (prétendument un retrovirus, plus vraisemblablement des polluants chimiques se plaçant dans des récepteurs de l'organismes et désorientant un système immunitaire déjà déficient ...ou quelque chose du style).

Cuicui a écrit :Mais une fois l'alerte passée et la vie sauvée, il faut continuer à traiter le terrain, afin que les défenses immunitaires naturelles de l'organisme puissent reprendre le dessus. Attention aux traitements trop toxiques qui attaquent non seulement les germes pathogènes, mais aussi le système immunitaire. Dans ce cas, finiront par perdre leur efficacité et faire plus de mal que de bien.

Ce n'est pas contre l'infection qu'on lutte mais contre des maladies opportunistes.

Cuicui a écrit :Le Pr. Montagnier n'est pas forcément un plaisantin. Ceux qui le critiquent peuvent-ils afficher un palmarès semblable de recherches et de publications scientifiques de haut niveau ?

C'est certain. En plus de tes liens je peux citer: Linus Pauling, qui n'était pourtant pas médecin (pas plus que Pasteur dans l'institut duquel travaillait le Pr Montagnier...) était autrement plus renommé. Le mieux est d'expérimenter sur soi-même si on n'est pas gravement malade, comme ça on apprend à se connaître...

Le bouquin dont est tiré le rapport de NLC:
"The chemical bases of the various AIDS epidemics: recreational drugs, anti-viral chemotherapy and
malnutrition"


Les auteurs:
Peter Duesberg et David Rasnick, au Donner Laboratory, de la très réputée Université de Berkeley/Californie.
Claus Koehnlein, est un praticien interniste, à Kiel/Allemagne.

Autres travaux arrivant à des conclusions similaires:
Dr C. Kousmine avait son propre laboratoire et était lauréate de l'université de Lausanne.

J'avais personnellement interviewé cette dernière, et j'ai soumis l'étude à un ancien chimiste, qui était un pointure de l'Institut Batelle. Tout ça est réputé digne de foi.
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par Obamot » 02/10/10, 08:55

Pour Christophe et vous autres qui vous posez tous — très légitimement — ce genre de questions sur la capacité de l'homme à résister naturellement aux virus de toute nature, aux MSTs en général et au VIH en particulier:

Cuicui a écrit :Il serait donc intéressant de vérifier si les malades ayant développé un SIDA ne souffraient pas auparavant des situations que j'ai citées plus haut, notamment : malnutrition, toxicomanie, maladies tropicales ou autres, infections diverses, intoxication par produits polluants...
La médecine actuelle encourage-t-elle la recherche de ce genre de corrélation ?

Voici un mea culpa, qui tombe "à point nommé":
http://fr.euronews.net/depeches/507661- ... malteques/

... pour prouver qu'un "bon terrain" et une "bonne immunité" sont tout pour se préserver des MST. S'agissant de savoir:
1) Si une bonne immunité permet de ne pas tomber malade si on est infecté.
2) Que se passe-t-il lorsqu'un "porteur sain" a été infecté intentionnellement ou que son "terrain immunitaire" n'est pas propice au développement de la maladie.

Cette étude est digne de foi, dans la mesure ou:
— il s'agit d'une "reconnaissance des faits" dans un mea culpa d'un crime.
— que les données sont connues.
— que l'échantillonnage est très précis et très représentatif (1500 personnes => équivalent à 3000 personnes en test clinique: ce qui nous donne un écart type tout à fait pertinent, puisque nous sommes à des résultats déjà significatifs au-delà de 500 sujets/patients).
— qu'on en connaît les résultats grâce au rapport.

Euronews/AFP, 1/10 22:09 CET a écrit :Les USA s’excusent d’avoir inoculé sciemment des MST à des Guatémaltèques

L’étude était financée par une bourse des Instituts américains de la santé (NIH) accordée au Bureau sanitaire panaméricain, devenu ensuite l’Organisation panaméricaine pour la santé.

Dans un premier temps, les chercheurs ont inoculé la syphilis ou la blennorragie à des prostituées, les laissant ensuite avoir des rapports sexuels avec des soldats ou des détenus.

Dans une deuxième phase, “voyant que peu d’hommes étaient infectés, l’approche de la recherche a changé et a consisté à inoculer (ces maladies) directement à des soldats, des prisonniers et des malades mentaux”, selon des documents décrivant l’étude.

[...] Au moins l’un des patients est mort pendant que l’étude était menée, sans qu’il soit établi si l’expérience est elle-même à l’origine de son décès.

Donc la réponse, avec une totale certitude est: il ne se passe rien dans l'immense majorité des cas, l'organisme pallie, puisque suffisement armé pour surmonter "l'attaque".

De plus il serait impossible d'avoir une «meilleure» étude que ça, où des bourreaux/médecins, ont été jusqu'à tenter faire mourir leurs "cobayes humains" (et y réussir à au moins une reprise). Une expérience clinique n'oserait pas aller jusque là. Excepté lorsque les patients sont conscients qu'ils peuvent tomber sur un placébo durant le traitement (appliqués à la moitié de l'échantillonnage). Alors que là, tout l'échantillon était classé dans une situation d'expérience allant plus loin que celles de type "à placébo" puisqu'ils ne se savaient pas infectés! Donc expérience en «totale aveugle» (je sais, c'est atroce).

CQFD.
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