janic a écrit :Il ne s'agit donc pas ici d'une impossibilité technique, mais d'une question de gros sous, comme d'habitude!
Oui, pour le docu avide d'audimat que tu as cité, dont le but est de surfer sur la corde sensible, mais sans base scientifique ou en dénigrant cet aspect.
Si ce zigoto n’existait pas il faudrait l’inventer car en terme d’aneries à répétition, il fait fort.
Tous les docus sont avides d’audimat, qu’ils soient de ce genre ou pire quant ils sont dits officiels et pire encore venant du pseudo science qui se caractérise par ses braiements.
Une autre source sérieuse qui rappelle les mêmes éléments que l'AFIS
L'AFIS pas plus que ce site de
pourquoi docteur n'a de valeur officielle! Or en terme de reconnaissance, par la loi, par les tribunaux, ces deux sites n'ont et n'auront aucune valeur de validité par leurs discours.
Le portail de pharmacovigilance de l’ANSM a joué son rôle : dès que les patients
ont appris par la presse qu’ils leur était possible de déclarer leurs effets indésirable, le nombre de signalement a bondi : il a été multiplié par 80 en quelques jours et la part des signalements par les patients est passée de 5% en temps normal à plus de 90%.
https://www.pourquoidocteur.fr/Articles ... xplication
Ce qui souligne bien le côté émotionnel de l'affaire
Officiellement et c'est pareil pour tous les pays où les pharmaco vigilance existent, ce n'est qu'entre 1 et 10% que sont rapportés les effets secondaires
graves et ces effets ne sont rapportés que par les médecins, lesquels en ont marre de toute la paperasse qu'on leur impose et ils ne veulent surtout pas d'ennuis pour avoir rapporté quelque chose qui leur vaudrait d'être soupçonné d'être anti labos ou anti vaccins quant ce sont eux qui ont des effets secondaires graves.(comme le cas Wakefield et heureusement que les tribunaux ont fini par lui donner raison.)
http://solidarites-sante.gouv.fr/actual ... othyroxineCa c'est bien plus sérieux et ce n'est pas le même discours que tes sites.
Quant à celle-là elle est bien bonne: "
ont appris par la presse qu’ils leur était possible de " depuis quand des malades ont besoin des médias pour déclarer leurs effets secondaires dommageables? les médias ont juste servi à cristalliser une réalité diffuse.
Ensuite,
des plaignants ont été déboutés devant les tribunaux
pour manque de certificat médical mettant en cause le produit. Ils ne prennent donc pas partie sur une dimension scientifique, mais sur ce qui est légal ou pas, comme l’a remarqué la ministre.
Donc la belle affaire, la plupart des médecins, face à un produit nouveau sur le marché, ne peuvent affirmer quel tel ou tel symptôme marquant puisse être directement ou indirectement lié à ce produit. D’ailleurs, tous ceux qui voient leur médecin savent qu’à chaque nouveau médicament, le toubib leur dit que si ça ne va pas qu’ils viennent le lui dire ; en d’autres termes vous êtes les cobayes des labos.
Ce nouveau produit va donc peut être demander des années avant d’être réellement soupçonné de provoquer certains troubles spécifiques et d’autres années pour être reconnus officiellement ce qui peut demander des dizaines d’années selon l'opposition des labos, alors que l’ancienne formule est toujours sur le marché et que rien n’empêche de prescrire l’ancien plutôt que le nouveau… sauf raisons de rentabilité d’un nouveau brevet, lorsque l’autre arrive en fin de course en 2019.
Laissons ce coup d'épée dans l'eau retourner dans l'oubli. Les tribunaux ont des sujets plus sérieux qui attendent.
Te voilà devenu le conseillé des tribunaux et du gouvernement pour juger en leur lieu et place de ce qui ressort de leur activité ? Quelle modestie !