Scandale Dépakine et grossesse! Encore un de plus!

Comment rester en bonne santé et prévenir les risques et ses conséquences sur votre santé et la santé publique. Maladies professionnelles, risques industriels (amiante, pollutions de l'air, les ondes électromagnétiques...), risques de société (stress au travail, surconsommation de médicaments...) et individuels (tabac, alcool...).
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Scandale Dépakine et grossesse! Encore un de plus!




par janic » 24/08/16, 19:40

de nombreux enfants touchés par la prise de depakine par leur mère enceinte et l'inertie des autorités sanitaires.
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« On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres: mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison » Henri Poincaré
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Re: depakine! encore un de plus




par Obamot » 24/08/16, 22:09

L'antigel est ‘comestible’ à côté pfff :roll: C2H6O2

Chant-mé la tête de cette molécule :shock: C8H16O2 16 atomes d'hydrogènes hautement instables c'est ouf!
Voilà de quoi remplacer l'essence, pour un stockage sans danger ! Mais euhh donner ça aux femmes enceintes fallait être givré:

Pourquoi ne pas remplacer le sucre dans les boissons light par de l'éthylène glycol tant qu'ils y sont...

696px-Valproic-acid-2D-skeletal.png
696px-Valproic-acid-2D-skeletal.png (13.14 Kio) Consulté 3893 fois


Le crescendo des alertes sanitaires (mais ça n'a pas suffit)

https://fr.wikipedia.org/wiki/Acide_val ... e_enceinte
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Re: depakine! encore un de plus




par Remundo » 24/08/16, 23:26

c'est un acide carboxylique, un acide pentanoïque ramifié (aussi appelé acide butyrique). On l'appelle l'acide valproïque, mais son vrai nom dans la nomenclature chimique serait plutôt : acide 2-propylpentanoïque

les atomes d'hydrogène ne sont pas spécialement instables. Il a pour but de lutter contre l'épilepsie
http://gfme.free.fr/therap/antiepileptique.html

comme beaucoup d'autres médicaments, (allant jusqu'aux plus anodins comme l'aspirine), il y a des restrictions / interdictions pour les femmes enceintes.

J'ai lu que les effets teratogènes (malformation(s) du foetus) du valproate sont connus depuis... les années 80... !! pas étonnat que la dépakine (qui n'en est qu'une forme acide) soit aussi délicate...
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Re: depakine! encore un de plus




par Obamot » 25/08/16, 08:27

Oui, en même temps...
.
L'instabilité vient de ...l'oxygène et des éléments de transition! Or l'oxygène y'en a partout, même dans cette formule.
Mais si t'enlèves l'hydrogène, c'est stable oui... Comme la bombe "H" sans hydrogène, aucun risque :mrgreen:

Bon allez, je te l'accorde, parce que c'est toi :P (et parce que t'as raison, sauf pour 4H)
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Re: depakine! encore un de plus




par janic » 25/08/16, 13:25

peu importe la composition chimique du produit, ce qui importe ce sont les enfants marqués, handicapés à vie par un produit toxique ayant reçu une AMM pour son rôle anti épileptique, mais, comme le médiator, ayant des effets délétères par ailleurs et non retirés du marché.
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Re: depakine! encore un de plus




par Obamot » 25/08/16, 17:37

Et bien je ne suis pas enceinte mais j'en prendrai pas quand même... :|
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Re: Scandale Depakine! Encore un de plus




par chatelot16 » 27/08/16, 21:10

si tu avait un enfant sujet a epilepsie tu serait bien content de lui donner de la depakine ... le point important c'est d'arreter la depakine assez longtemps avant d'avoir des enfant

et si l'epilepsie continue il faut renoncer aux enfants pour etre soulagé par la depakine

j'ai connu une amie qui avait un enfant epileptique : c'est un gros probleme ... quel autre medicament existe il ?
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Re: Scandale Depakine! Encore un de plus




par janic » 28/08/16, 08:54

si tu avait un enfant sujet a epilepsie tu serait bien content de lui donner de la depakine ... le point important c'est d'arreter la depakine assez longtemps avant d'avoir des enfant
Pour l'instant il ne semble pas que des études aient été faites sur la rémanence possible des produits absorbés.
et si l'epilepsie continue il faut renoncer aux enfants pour etre soulagé par la depakine

Une fois de plus, le sujet est délicat à aborder puisque la question est ou bien de laisser la crise passer naturellement ou intervenir pour couper celle-ci que ce soit avec de la dépakine ou pas.
Or, et c’est presqu’à chaque fois la même chose, la médecine d’école est plus tournée vers la disparition des effets (avec une part de justification car un épileptique est impressionnant) et non de s’attaquer aux causes. En effet la cause initiale peut être autant l’alcoolisme, que des problèmes d’aménorrhée, de décalcification, d’helminthiase, voire un traumatisme cérébral ou des suites d’intoxications héréditaires ou acquises.
Ensuite, il n’existe pas seulement la médecine chimique, d’autres thérapies moins agressives peuvent être utilisées avec des résultats fonction de la compétence de chaque thérapeute : homéopathie, aromathérapie, hypnose, diététique, etc…
j'ai connu une amie qui avait un enfant epileptique : c'est un gros probleme ... quel autre medicament existe il ?

Te poses-tu la question dans le cadre restreint de la médecine officielle ou d’autres techniques de soins?

Par exemple,( je l’ai déjà cité) le cas de cette petite fille (fille d’un collègue de travail) qui avait été asphyxiée à la naissance et n’aurait jamais dû survivre et qui, vers l’âge de 8 ans ne parlait toujours pas, ne marchait pas et faisait régulièrement des crises épileptiques et suivie par un médecin et un kiné. En moins d’un an de conseils diététiques et autres, la fillette commençait à parler, à marcher et ses crises avaient quasiment disparues, à la grande surprise du médecin comme du kiné. Aucun médicament utilisé, juste de l’observation et un peu de bons sens, malheureusement hors des sentiers battus.
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Re: Scandale Depakine! Encore un de plus




par Remundo » 28/08/16, 10:19

janic a écrit : Aucun médicament utilisé, juste de l’observation et un peu de bons sens, malheureusement hors des sentiers battus.

et un énorme coup de chance !! Elle ne serait pas passé à Lourdes par hasard ? Car là-bas, ils ont à peu près le même argumentaire...

Il ne faut quand même pas être trop candide.
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Re: Scandale Depakine! Encore un de plus




par Obamot » 28/08/16, 10:52

Non Remundo, il y a de l'espoir c'est certain. Et oui, tout à fait, on en revient aux causes. Pour la "chance" il n'est pas possible de répondre en étant catégorique, mais s'agissant de traiter les causes, c'est plutôt le contraire. Sans vouloir t'ennuyer, je ne connais pas de médecine plus pragmatique.

Cependant on a tort de focaliser sur l'épilepsie, pour cette raison (de déni des causes, l'épilepsie, la sclérose en plaque, la parkinson, l'alzheimer, font peur). Mais c'est sans compter que si on ne traite pas les causes, les effets peuvent toucher à peu près toutes les maladies neurologiques et ça on le sait depuis longtemps comme Janic en donne des éléments concrets.

Ceux qui en sont atteint, devraient réduire drastiquement leur consommation de produits carnés. C'est une constante. Nous sommes en plein dans les maladies dégénératives. C'est là où le traitement des causes est le plus efficace (même si hélas, les effets peuvent être sévères dans certains cas, c'est de la biochimie hein, on ne peut pas nier qu'il y a toutes sortes d'implications, il vaut mieux ne pas faire le grand écart trop souvent...)

Mais je ne savais pas comment répondre à Chatelot parce que comme tu dis Remundo, ce n'est pas aussi évident. Je dirais qu'il nous faut les deux dans l'arsenal thérapeuthique: s'attaquer aux causes ET/OU éteindre les incendies, soit traiter les effets. Hors on le comprend bien, on ne peut pas éternellement laisser couver un feu dans le grenier et avoir une lance à incendie en permanence pointée sur le toit de la maisons, sans rien faire d'autre, c'est ça qui créée le plus de dégats (les médocs, la chimie, ce sont quand même des poisons, ça peut laisser des séquelles). C'est pourtant la seule chose que nous propose la médecine actuelle dans un large spectre.

Alors que pourtant ce n'est pas ce que dit de faire l'OMS, "se droguer à mort pour traiter les maladies!"
(OMS qui dit souvent pendant longtemps le contraire) selon eux, aujourd'hui:

OMS a écrit :"Qu'est-ce que l'éducation thérapeutique ?
L’éducation thérapeutique a pour but d’aider les patients à acquérir ou maintenir les compétences dont ils ont besoin pour gérer au mieux leur vie avec une maladie chronique.

Elle fait partie intégrante et de façon permanente de la prise en charge du patient. Elle comprend les activités organisées, y compris un soutien psychosocial, conçues pour rendre les patients conscients et informés de leur maladie, des soins, de l’organisation et des procédures hospitalières, et des comportements liés à la santé et à la maladie.

Cette démarche a pour finalité de permettre aux patients (ainsi qu'à leur famille) de mieux comprendre leur maladie et leurs traitements, à collaborer avec les soignants et à assumer leurs responsabilités dans leur propre prise en charge afin de les aider à maintenir et améliorer leur qualité de vie.
»


Donc pour les maladies neurologiques plus que pour toute autre, c'est la base.
Mais là, ça devient compliqué. Ce sont des maladies sévères. Donc pour certains patients il sera possible de rétablir la santé en corrigeant l'hygiène de vie, pour d'autres (pas soignés à temps) il ne sera possible que de calmer (sclérose en plaques, alzheimer, parkinson...épilepsie, etc)

A titre d'exemple, le Pape Jean-Paul 2, qui était atteint de parkinson, a corrigé son alimentation et prenait de la papaye (fraiche et en lacto-fermentation), ce qui l'a beaucoup soulagé. Mais il avait trainé cette maladie 15 ans (soit depuis l'âge de 69 ans, ce qui veut dire que le "terrain" de la maladie s'était insinué, hélas, lentement avant) et c'est un cas d'école, de quelqu'un vivant plutôt dans la paix des tourments et qui priait beaucoup, quand c'est neurologique, il vaut mieux la bonne hygiène mentale qui va avec... Eviter les stress...

La médecine orthomoléculaire est une aide précieuse.

Voici le témoignage d'un cas traité par le Dr Catherine Kousmine (médecin chercheur, qui finançait son propre laboratoire de recherche):

« À tous,

Je me présente : kinési, ayant par la maladie (S.E.P.) dû laisser mon cabinet, car dans l’incapacité de le tenir à l’époque.

En effet, en 1987, j’ai présenté une somme de symptômes (asthénie, anorexie, perte pondérale, troubles de l’équilibre, de la vue…).

Dès lors, examens sur examens, sans pouvoir établir un diagnostic précis. Il faut dire que certains médecins, vu la gravité de celui-ci, le donnent difficilement, y compris les amis.

Puis, en 1989, j’ai fait une crise d’épilepsie (grand mal) qui m’a valu l’entrée en urgence à l’Hôpital cantonal de GENEVE. Suite à celle-ci, et après résonance magnétique nucléaire, prouvant une zone démyélinisée dans le cerveau, expliquant secondairement l’épilepsie, on a conclu à une S.E.P. Depuis, je suis bien évidemment pensionné avec une carte d’A.H.H. à 80%.

Verdict lourd, mais à mon avis, il est bon de le connaître, de l’accepter, pour mieux combattre la maladie, quelle qu’elle soit. Bien sûr, j’ai commencé par la médecine lourde : cortisone. Je fus bien entouré par un monde médical classique.

Heureusement, j’ai eu la chance d’étudier pendant plusieurs années des médecines énergétiques (acupuncture…), et donc d’être guidé vers des solutions parallèles. D’autant plus que, pour le moment, la médecine cherche, mais n’a pas trouvé encore de traitement valable dans plusieurs domaines, et notamment la S.E.P.

Alors, pourquoi ne pas voir ailleurs, car il y a souvent des résultats, et de plus aucun médicament iatrogène. Personnellement, je dois mon renouveau à un ensemble de facteurs liés les uns aux autres :

– sur le plan physique : je suis un adepte endurci depuis Juillet 1989 de la Méthode KOUSMINE.Bien entendu, je suis suivi médicalement par un disciple de Mme KOUSMINE. Hygiène alimentaire et vie stricte. La suivre à 100%.

Je vais voir (surtout aux changements de saisons) par moi-même un médecin acupuncteur homéopathe. Depuis, constantes améliorations, ce qui me fait douter parfois d’être malade !! J’étais …

– sur le plan psychique : j’avais, avant la maladie, beaucoup de stress (vie de couple difficile – divorcé depuis – relation avec associé du cabinet désagréable, etc…) Les stress sont-ils d’ailleurs en partie responsables de la maladie ? On peut le supposer.

Depuis, je vis donc seul, travaille petitement à domicile, toujours en kinésithérapie. C’est pourquoi l’entourage est très important. Il peut être inconsciemment destructif ; ce qui a été pour moi le cas, et dans ce dernier, il vaut mieux, selon le vieil adage, être seul que mal accompagné. Maintenant, j’ai une véritable qualité d’environnement, de bons amis avec qui je partage des moments agréables, ceux-ci contribuant à ma renaissance.

[…]

Pour trouver la voie de la guérison, cela est difficile à admettre, mais je le ressens ainsi, il ne faut jamais désespérer, car la maladie est une rude épreuve pour vous faire progresser, à partir du moment où nous ne la prenons pas à rebrousse-poil.

Quels chemins j’ai parcourus depuis 1989 !! Physiquement, certes, mais surtout psychiquement. La vie s’avère autre ; l’échelle des valeurs fondamentales complètement changée : amour grandissant et chute de la vie matérielle, la présence de cette dernière étant, somme toute, obligatoire sur terre.

[…]

Puisse cette lettre aider le plus grand nombre, si telle est sa destinée. »
Richard P.

Source: http://www.kousmine.fr/temoignages/

Voilà un cas intéressant, un kinésitérapeuthe qui a suivit à la fois les principe de l'OMS, en alliant à la médecine et avec le renfort de l'homéopathie. Au point que d'un cas sévère, après le temps nécessaire de rétablissement, en est arrivé à se demander si il était encore malade (mais avec les maladies neurologiques, il ne faut jamais baisser la garde et on ne peut rien garantir, d'ailleurs pas même la médecine conventionnel "seule" ne le peut...)

Kousmine a traité avec succès la sclérose en plaque. Elle a eu nombre de patients. Certains qui n'étaient pas très rigoureux, le point intéressant était que dès lors qu'ils flanchaient dans leur prise en charge (écarts alimentaire, dépression etc) ils avaient des poussées de sclérose, mais dès qu'il reprenaient le contrôle de leur alimentation, la maladie disparaissait. Et soyons honnêtes, les plus gravement atteint ne voyaient que l'arrêt de la progression, mais pas de retour en arrière possible.

Elle a aussi traité l'alzheimer et la parkinson.
http://www.kousmine.fr/les-pieges-de-la ... -actuelle/

Il faut bien prendre conscience qu'avec le Sida, les maladies neurologiques sont déjà des cas extrêmes. Mais dire qu'il n'y aurait pas de salut en dehors de la chimie est un peu une vue de l'esprit (même si on peu comprendre le désaroi de ceux qui en sont atteint). Le mieux c'est d'essayer, et comme il n'y a pas de contre-indication à avoir une meilleur hygiène de vie et à mieux se nourrir....Il n'y a franchement rien à perdre.

Mais Remundo, avant d'avoir essayé, on ne peut pas suggérer que ce serait une fatalité, s'en n'est pas dans de nombreux cas (ceux pris à temps). Si c'est héréditaire, c'est une autre question, mais je ne connais pas de cas où il n'a pas été possible de limiter les effets (pendant des durées plus ou moins longue, mais avec de bonnes chances de rémission si le patient est coopératif.)

PS: ah, encore un truc, qui me paraît essentiel. Celui qui aura réussi à corriger son rhume des foins, pourra après quelques années se dire qu'il est complètement sorti de son problème. Ceux qui sont à des stades avancés de dégénérescence, doivent prendre conscience qu'il devront suivre une bonne hygiène à vie. Peu de choses leur seront "pardonnées"... C'est ça ou rien (en général) ou le recours à des molécules de synthèse avec d'autres dégâts organiques possibles à la longue. Mais je ne suis pas contre éteindre les incendies....
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