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Traitement par transmutation des déchets nucléaires

Publié : 01/02/07, 09:18
par Philippe Schutt
Si ça débouche, on pourra au moins affecter un coût à la gestion des déchets nucléaires...

MEGAPIE est une expérience internationale pionnière réalisée au Paul Scherrer Institute (PSI) de Villigen en Suisse, à laquelle participent le CEA et le CNRS. Son but est de produire des neutrons à partir d'une cible de métal liquide frappée par un faisceau de protons d'une puissance d'un mégawatt. Les neutrons de haute énergie ainsi produits pourraient théoriquement être utilisés pour incinérer des déchets nucléaires. La première phase de l'expérience vient de se terminer avec des résultats au-delà des attentes.


Centrale nucléaire de Cattenom en France
MEGAPIE: un premier pas vers la transmutation des déchets nucléaires ?

Obtenus à partir des noyaux des atomes, les neutrons sont des particules indispensables pour la recherche sur les structures atomiques de la matière. Dans un réacteur nucléaire sous-critique couplé à un accélérateur – système ADS pour 'Accelerator Driven System', aujourd'hui à l'étude –, le flux intense de neutrons peut théoriquement être utilisé pour transmuter des grandes quantités d'éléments très radioactifs en éléments à vie courte ou même stables. Ces recherches visent notamment le neptunium, l'américium et le curium, présents dans les déchets nucléaires à vie longue des centrales.

La 'Source de Neutrons de Spallation' ("SINQ"), située au PSI, a été expérimentée sur ce principe: un faisceau de protons de haute énergie est dirigé sur une cible métallique et percute les neutrons de la cible en réalisant ainsi leur éjection ou "spallation". Jusqu'à présent, la source était constituée de métal solide, mais des calculs théoriques ont montré qu'une cible de métal liquide pourrait produire un flux plus intense de neutrons.

L'expérience MEGAPIE (Megawatt Pilot Experiment) a donc été menée pour obtenir cette démonstration, avec un fonctionnement sur plusieurs mois à partir d'une quantité de 920 kg de plomb bismuth liquide. Le faisceau de protons utilisé, le plus puissant au monde avec une puissance de 1 mégawatt, a été fourni par le cyclotron de PSI.

Le fonctionnement de MEGAPIE entre août et décembre 2006 indique que le flux de neutrons obtenu est supérieur de 80% à celui d'une cible solide. L'examen de la cible, maintenant solidifiée, va débuter, dans le but de compiler des informations sur la composition et le comportement des matériaux utilisés. Ces résultats seront utilisés pour concevoir de nouvelles cibles. Plus globalement, ils bénéficieront aux études sur les réacteurs pilotés par accélérateur, et aux éventuels projets industriels de transmutation des déchets nucléaires.


A propos de MEGAPIE

D'un coût de 50 millions d'euros, le projet MEGAPIE réunit de nombreux partenaires, notamment la Commission Européenne. Depuis 2000, une équipe pluri disciplinaire a travaillé activement sur l'expérience et a réalisé de nombreux essais. Cette équipe est constituée de 170 chercheurs, ingénieurs et techniciens appartenant à des organismes de recherche européens (CEA, CNRS, ENEA, FZK, PSI, SCK•CEN), japonais (JAEA), coréens (KAERI) et américains (DOE).

Le CEA a été coresponsable technique du projet avec PSI, et a notamment développé le système spécifique d'échangeur thermique et les capteurs neutroniques miniatures. Le CNRS a, via son laboratoire SubaTech à Nantes, supervisé la conception de la cible qui a ensuite été en grande partie fabriquée par l'entreprise française ATEA-REEL.

Source: CEA


http://www.cea.fr/le_cea/actualites/experience_megapie

Publié : 02/02/07, 01:16
par Bucheron
Intéressant !

Publié : 02/02/07, 10:12
par jonule
sources : CEA

apparemment ça ne conerne que certains éléments, dont l'uranium appauvri ne fait pas partie ? pourtant sa durée de vie est de 4.5 millions d'années ...

"en théorie ça marche toujours ... "

c'est quoi l'uranium ? on en produit tous, en consommant de l'électricité...

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L’autre peste en poudre des industries.


Parmi les nombreux polluants mortifères fabriqués par les scientifiques sur la planète TERRE, on trouve l’uranium métallique issu de la dénaturation des roches uranifères naturelles. L’uranium est en effet un élément qui se trouve sous forme de minerai partout dans la couche terrestre mais en aucun cas sous forme de métal. Il y a en moyenne moins de 1 Kg d’uranium par tonne de terre et de roche et les mines les plus riches contiennent de 1,5 kg à 5 kg de minerai uranifère par tonne.

Ce minerai uranifère est formé de 3 isotopes intimement mélangés et rassemblés en infimes échantillons que l’on retrouve épars en nature dans les proportions stables suivantes : U234 : 0,0054%, U235 : 0,7110%, U238 : 99,2830%. De ces trois isotopes seul l’U235 est à l a fois fissile et capable d’entretenir une réaction en chaîne. (La fission d’un seul atome d’U235, à savoir sa division en au moins deux atomes « plus petits », par l’intermédiaire des 2 neutrons libérés stimule la fission de 2 autres atomes de U235 qui à leur tour entraînent la fission de 4 autres atomes et ainsi de suite.) Ce sont ces deux caractéristiques prisées de l’U235 qui sont exploitées dans le carburant des centrales nucléaires et dans les explosifs desbombes atomiques.
Le minerai naturel, trop dilué et insuffisamment radioactif, est toutefois impropre à entretenir cette réaction en chaîne. Pour ce faire il faudra l’« enrichir » en le portant à la densité radioactive voulue. Un premier « enrichissement » partiel produit le « Yellow cake » par concentration artificielle des atomes radioactifs dispersés dans le minerai. Grain uranifère après grain uranifère on désolidarise par agression chimique l’uranium des terres et des roches avec lesquels la nature l’avait entremêlé.


Un second et plus délicat « enrichissement » ultérieur, par centrifugation ou diffusion gazeuse, viendra ensuite élever la teneur en U235 avant d’en faire un métal uranium artificiel. Ce second enrichissement portera l’uranium 235 à au moins 1,5% de la masse d’uranium pour en faire du carburant ou à au moins 90% pour en faire un explosif. L’enrichissement final consiste donc à au gmenter la teneur en uranium 235 d’une masse en y prélevant une partie de l’uranium 238.

La partie prélevée et inutilisable comme carburant ou explosif est dénommé « uranium appauvri » en ce sens qu’il contiendra maintenant une moindre proportion d’atomes d’uranium 235 (il en restera toujours une portion) qu’il n’en avait au départ. L’uranium « appauvri » est également récupéré par retraitement des déchets du carburantatomique. Là l’U238 sera partiellement appauvri non seulement de l’U235 non consommé, mais aussi des divers sous-produits d'activation, dont le plutonium et l’uranium 236, et des produits de fissions créés durant le cycle de production d’énergie.


L’Uranium « appauvri » est un métal artificiel, lourd, toxique et radioactif qui contient une moindre proportion d’uranium 235 qu’il n’y en a dans les minerais uranifères mais une plus grande quantité d’uranium par gramme que n’en ont les minerais !
Ce terme si commun d’uranium « appauvri » est l’un des plus trompeur qui soit. Il laisse entendre qu’il n’est pas dangereux. Malgré les folles dépenses occasionnées par son délicat stockage civil et militaire, malgré les sévères réglementations qui le concerne, malgré l’interdiction qui frappe les citoyens d’en disposer chez eux à leur gré, malgré les preuves scientifiques irréfutables, malgré les grands cimetières des jeunes soldats tombés bien après la bataille et les gigantesques contingents malades à plus de moitié1, malgré la fulgurante croissance des maladies dans les pays martyrisés à l’uranium et dans le monde, malgré les innombrables monstres génétiquesmis au monde en ces terres maudites2, on ose encore le clamer sans danger. Afin de nous en convaincre, on le compare aux minerais uranifères pour le déclarer moins agressif qu’eux; mêlant là une vérité de proportion, la moindre teneur en U235 de l’UA, à un confondant mensonge de densité, en rapportant l’UA, en fait non pas aux minerais, mais à un autre uranium industrie l « non appauvri » que l’on décrète « naturel ». C’est là une pure et simple escroquerie. Tout d’abord que l’uranium métallique soit « appauvri » ou non change peu à sa dangerosi té. C’est un émetteur Alpha et il le reste entier et mortel en cas de contamination interne même si débarrassé d’uranium 235. Avec quelques Becquerel « 235 » de moins il lui reste encore artificiellement condensés quelques Becquerel « 238 » de trop. L’uranium « appauvri » c’est encore le cancer radiologique induit. Ensuite que si l’UA contient certes une moindre proportion d’uranium




235 que celle que l’on trouve en nature, sa densité en uranium 238 par gramme y est par contre résolument supérieure. La nature ne concentre pas les atomes d’uranium, l’industrie nucléaire si. Dans un gramme d’uranium, appauvri ou pas, il y a en effet 98% d’uranium alors que dans un gramme de minerai il n’y en au mieux que 0,5%. (On pourra également remarquer que l’uranium 235 représente, au plus, 0,00356% de 1 tonne de minerai mais, au moins, 0,0142% de 1 tonne d’uranium « appauvri ». Il y a donc 4 fois plus d’uranium 235 dans de l’uranium « appauvri » que dans une masse équivalente de minerai.) En nature on ne trouve jamais un gramme d’uranium pur, qui plus est métallique, d’un seul tenant. Du simple fait qu’il s’agit d’un concentré préfabriqué, l’uranium artificiel est plus radioactif que l’élément naturel d’où on l’a tiré. Même si appauvri à 100%, 1 gramme d’uranium est toujours plus radioactif qu’un gramme de minerai uranifère. Qu’on leur passe donc un détecteur dessus ! Il crépite plus avec l’UA ! Etrange, n’est-il, pour un élément moins agressif que nature ?

C’est pourtant bien cet uranium 238 « appauvri en uranium 235 mais plus radioactif que nature» que les industries nucléaires ont vendu aux militaires et introduit dans divers projectiles en guise de pyrophore perforateur de blindage. Nonobstant les conventions internationales qui en interdisent l’usage, depuis la chute du mur de Berlin déjà plus de 8000 tonnes d’uranium « appauvri » ont « flambé » dans les différents théâtres d’opération et les différents champs de tir. Or l’uranium 238 est un poisson toxique et radiologique reconnu3 qui a une demie-vie radioactive de 4,5 milliards


d’années et une demie-vie biologique de 5 ans sous forme métallique (qui est une forme insoluble) alors qu’elle n’est que de 3 jours sous forme minérale (qui est une forme soluble). C’est un isotope qui expulse à chaque tir un rayon électromagnétique Gamma de 48 KeV à la vitesse de 300.000 km/s et une lourde particule Alpha de 4,268 MeV à la vitesse de 20.000 km/s comportant 2 protons et 2 neutrons accolés. Métallourd et pyrophore, la densité de 18,95 Kg par litre fait de l’uranium un perforateur de blindage sans rival et un incomparable pollueur radiologique de biosphère et de poumons.
Plus de 70% du métal uranium des projectiles se pulvérise en un nombre colossal de particules en brûlant lors de la perforation de la cible qu’il fond littéralement tant la température est élevée (3000°).











Chaque gramme d’uranium qui brûle produit en effet au moins une centaine de milliards de poussières ultra-fines (de 0,1 nanomètre à 100 micron pour une taille moyenne de 0,5 micron4). 60% de ces poussières mesurent moins de 2 microns et, comme les gaz, peuvent ainsi traverser toutes les barrières protectrices pour pénétrer directement dans les poumons avant de passer dans le sang qui les transportera ici et là dans les tissus.
Les effets biologiques internes de l’uranium: uranium appauvri, tumeur à vil prix.
Tirées au contact des tissus les particules Alpha peuvent chacune les pénétrer sur 1/20 de millimètre (50 microns) en traversant environ cinq cellules biologiques. Ces particules alpha émises par divers radio-éléments dont l’uranium, si inoffensives lorsque émises de l’extérieur du corps se font létales lorsque tirées depuis l’intérieur de l’organisme. (Un peu comme l’arsenic qui est inoffensif dans sa fiole mais mortel dans l’estomac.) Toute l’énergie ionisante sera encaissée par une masse de tissus réduite à l’extrême.


C’est l’effet de proximité interne démontré et calculé dès 1978 par Maurice Eugène André5 et plus tard même photographié6. C’est cet effet de proximité interne que les industries nucléaires occultent tant elles savent combien criminels sont à terme les ino dores effluents radioactifs qu’elles relâchent et que nous tous respirons. Ces particules Alpha sont des projectiles «radio-biologiques » sub-atomiques qui attaquent des cibles vivantes de taille atomique. Elles perturbent le fonctionnement des « atomes de vie » en minant les bases physiques et chimiques de la vie de la cellule7. Elles ionisent les molécules.

Les poussières radioactives sont dès lors d’autant plus dangereuses qu’elles se font petites. Minuscules elles pénètrent l’organisme sans d’obstacle; s’immobilisent pour des années à proximité des cellules, les envahissent même, les mettant à portée de leur court mais puissant rayon d’action ionisant. Installées dans les tissus ces insolubles métaux réduits en poussières micrométriques voire nanométriques bombardent alors à répétition les cellules, les ionisent de manière chronique sans leur permettre de se restaurer. Cette action nocive des Alpha est d’autant plus sournoise qu’elle opère au niveau histologique de manière invisible et insensible. Nos sens, autant que les dosimètres, sont en effet incapables de détecter l’intromission de si petites particules radioactives au sein des tissus, ils sont incapables de capter la douleur que ressentent pourtant les quelques cellules ionisées. Ils leur faudra des années, une fois le mal étendu et la douleur perceptible, pour qu’ils lancent leur tardive alarme. Les poussières radioactives « alpha » sont pour cela de véritables armes atomiques microscopiques qui contaminent clandestinement chaque organisme qui les respire ou les ingère.
La dispersion d’indécelables aérosols radioactifs par milliers de tonnes durant les dernières guerres met pour cela en péril l’humanité et la vie. Chaque mètre cube d’air est empoisonné. Les nanoparticules volent de plus au loin et beaucoup resteront à jamais en suspension dans les airs. La biosphère se transforme en une lente et éternelle chambre à gaz radiologique8 dans une indifférence générale soutenue par l’imperceptibilité du danger et le mutisme complice de la science.


Les particules volent, les tumeurs croissent9, la loi du silence règne. Inspirer, expirer. Business must go on jusqu’au bout de la solution terminale.

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Album photo des déchets nucléaires :

http://www.mindfully.org/Nucs/2003/DU-Baby2003.htm

http://www.mindfully.org/Nucs/Hot-Parti ... ue1997.htm

http://www.cea.fr/fr/Publications/clefs2.asp?id=43

http://www.llrc.org/aldermastrept.pdf

Publié : 03/02/07, 16:00
par paotop
bah........le nucléaire c'est comme le jeux..................ça n'en vaud pas la chandelle :cheesy:

Publié : 03/02/07, 16:16
par Christophe
jonule a écrit :Album photo des déchets nucléaires :


C'est affreux on est bien d'accord mais seulement voila on a tendance à oublier que : le gaz, charbon et pétrole font infiniment plus de dégats (humains et animaux et environnementaux) TOUS les jours et dans l'indifférence générale (ou presque)...que le nucléaire...d'autant plus que 99% des argument anti nucléaires se basent sur Tchernobyl qui est certes une catastrophe majeur mais dont les raisons sont sans doute autant politiques que technologiques!

Ce n'est pas pour rien que c'est arrivé 3 ans avant la chute du mur (et peut être que la catastrophe a même accélérée la chute du communisme...)

Si tu veux on peut chercher des photos des exactions des guerres pétrolieres actuelles...je te trouverais des photos tout aussi horrible et sans doute en bien plus grande quantité...
:|

Commence par regarder la Tchétchènie...La religion c'est l'argument politique de la guerre mais la réelle cause économique elle, c'est le pétrole...

Publié : 03/02/07, 16:17
par Christophe
Sinon pour répondre à ce sujet je trouve le trouve très intéressant...et désolé mais j'ai confiance dans l'amélioration de la technologie des traitements nucléaire pour les générations futures.

La bombe climatique me semble bien plus dangereuse...

Publié : 03/02/07, 23:19
par Bucheron
Christophe a écrit :Sinon pour répondre à ce sujet je trouve le trouve très intéressant...et désolé mais j'ai confiance dans l'amélioration de la technologie des traitements nucléaire pour les générations futures.

La bombe climatique me semble bien plus dangereuse...
Pas mieux !

Je rajouterais qu'exposer des "galeries de monstres", c'est très facile et ça n'apporte rien...
Ah si, ça choque... :|

Publié : 10/09/08, 13:36
par jonule
tiens ça commence à bouger dans le coin !

INVITATION : Mercredi 10 septembre 2008 à 20h
Maison des syndicats 5 Bd Clémenceau à Bourges

Réunion* ouverte à tous
Bourges : Centre d'essais des armes à Uranium Appauvri
Quels dangers pour la population ?


Ordre du jour :

- Résolution du Parlement européen du 22 mai 2008 sur les armes contenant de l'uranium (appauvri) et leurs effets sur la santé humaine et l'environnement .
Vers une interdiction mondiale de l'usage de ces armes (voir pièces jointes)

- Actions pour obtenir à Bourges la mise en oeuvre des mesures préconisées par cette résolution :

- les démarches réalisées (Conseil Général) et en cours (Préfet, parlementaires) (voir pièce jointe)

- les autres actions à organiser : information , presse locale, conférence,….

- Constitution d'un collectif

*réunion à l'initiative du comité de Bourges du Mouvement de la Paix et de personnes inquiètes et révoltées suite à l'article de la NR du 27 mai 2008 : « L’uranium appauvri a-t-il des effets sur la santé ? »

Quelques informations préliminaires :

Chères amies, chers amis,

L'uranium, un métal dur, dense et pyrophorique est utilisé dans la fabrication de munitions. Il est aussi doublement toxique : toxicité chimique et toxicité radiologique.

Sous forme « appauvri », déchet du nucléaire militaire et civil (enrichissement de l'uranium pour les bombes et pour les centrales nucléaires) il est peu coûteux.

Les études et la mise au point de ces armes ont été réalisées à Bourges (EFAB et champ de tir). Depuis que ces armes équipent l'armée française les lots de ces munitions sont testés sur le champ de tir de Bourges par l'ETBS de Bourges.

Tant au niveau local que national, le Mouvement de la Paix mène campagne pour obtenir l'interdiction de ces armes et apporte son soutien aux victimes (Avigolfe : association des victimes de la guerre du Golfe)

A propos de ces armes, le Parlement Européen a adopté le 22 mai 2008 une résolution appelant à des efforts en vue de leur interdiction mondiale ainsi qu'à un moratoire et à des études scientifiques sur leur utilisation.

Cette résolution a fait l’objet d'un article dans la Nouvelle République du 27 mai 2008. Suite à cet article, des habitants du Cher inquiets et révoltés se sont adressés à notre association.

Une rencontre avec un collaborateur du Pdt du C.G. a déjà eu lieu, d'autres sont demandées pour septembre (Préfet, Parlementaires).

Cette question ne concerne pas que les pacifistes. Aussi nous souhaitons vivement que des associations et personnes qui se préoccupent des questions d’environnement et de santé soient partie prenante des actions que nous avons commencé à mettre en oeuvre. C'est l'objectif de la réunion que nous vous proposons.

Joël FRISON (Mouvement de la Paix)

02 48 20 30 15


pollueur ... payeur !

à quand une étude épidémiologique ?

Publié : 10/09/08, 13:58
par Bibiphoque
Salut,
J'avais lu quelque chose là dessus, la "flash conversion"

L' U apauvri, on ne sait qu'en faire, au point qu'il sert parfois de lest pour les quilles de navire, c'est un métal très lourd.
#@+

Publié : 10/09/08, 14:45
par Bucheron
Bibiphoque a écrit :Salut,
J'avais lu quelque chose là dessus, la "flash conversion"

L' U apauvri, on ne sait qu'en faire, au point qu'il sert parfois de lest pour les quilles de navire, c'est un métal très lourd.
#@+
Oui, et sur des éléments mobiles d'avions de ligne aussi, je crois.