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Théorie unificatrice : Pantone, Vortex et planète Terre

Publié : 03/10/06, 19:33
par crispus
Bonjour !

Cela fait un an que "j'espionne" ce forum. Ce n'est pas par snobisme, mais Je n'avais rien à y dire de plus !

Par contre j'ai beaucoup appris sur le procédé Pantone au fil de vos échanges.

J'ai cherché une théorie qui réponde à la plupart des observations faites par les expérimentateurs, et l'ai mise en ligne chez Quanthomme, mais malheureusement il semble qu'elle soit "passée à la trappe" puisque personne n'en a parlé sur ce forum.

Comme je ne sais pas trop sur quel sujet poster je propose d'en créer un nouveau. Je vous invite à lire le document suivant en pdf :

http://vortex.francophone.free.fr/docum ... vortex.pdf

SVP pas de querelle de chapelle entre sites. Je propose juste d'apporter des explications concrètes au procédé.

J'attends vos commentaires. A bientôt.

Marc

Publié : 03/10/06, 20:46
par Andre
Bonjour
d'abord Merci pour ton ton expose bien documenté sur une voie théorique du panton.
Évidement que plusieurs l'on lu et j'ai même mis quelques commantaires dans un post
(l,avis du physicien poster le 27 septembre 8 H30)
cette une explication théorique, mais dans la pratique visuel il y des signes qui ne corresponde pas au sujet de la spiral sur la tige
et pour la cavitation sur les tiges..

André

Publié : 03/10/06, 22:07
par Capt_Maloche
C'est interressant, et j'aime bien quand on parle de MHD 8)

Par contre tu pousses un peu loin sur le rendement des turbines de centrales et sur l'explication du champs magnétique terrestre :shock:

si ta sympatique thèse est exacte, l'implantation d'un AVEC à l'entrée du réacteur devrait améliorer son démarrage, reste à ne pas se gourrer de sens de rotation par rapport à la "magnétisation" de la tige centrale

Publié : 03/10/06, 22:27
par crispus
Bonjour André. Toujours rapide à réagir sur un forum. Et en général pas pour ne rien dire !

J'ai retrouvé le fil que tu m'as indiqué.

Je ne suis ni physicien ni théoricien, pas même ingénieur (bien - qu'en ayant le rang admninistrativement), malgré la boulimie documentaire qui m'a conduit à cette théorie encore en chantier.


Pour répondre à Christophe qui s'interroge sur ma fonction, je suis prof d'électronique en lycée technique, de formation universitaire Bac+4, après une courte mais intense expérience industrielle d'automaticien. Pour le reste je préfère rester anonyme mais s'il veut en savoir plus --> MP.


Venu à la mécanique auto par nécessité quand j'étais étudiant, je ne fais plus entretenir mes véhicules que dans un seul garage : le mien :D


J'ai monté un "sytème G" sur une AX diesel début 2006, "pour voir" et j'ai vu... Que ce montage n'était pas au point.

C'est à dire que ma voiture a "bu de l'eau" sans broncher mais sans véritable économie de carburant..

Et puis parfois, miracle, je n'appuie quasiment plus sur l'accélérateur et elle avance toute seule à 90 km/h. Là je sais que ça marche.

Ensuite, toujours par curiosité, j'ai scotché un aimant (petit inducteur de moteur) sur la durite de carburant de mon 806: 8% d'économie... avant que la colle ne chauffe et que l'aimant ne disparaisse !

Enfin j'ai fabriqué un AVEC qui a métamorphosé ma 806 diesel : conduite plus souple, voire plus nerveuse , avec 12 à 18% d'économie, ce que je n'ai jamais obtenu sur les 200.000 km précédents (je l'ai achetée neuve).

Les résultats obtenus avec ces bouts de tôle (Pantone ou vortex) sont injustifiables par des équations standard. En particulier pour l'AVEC, la turbulence n'ayant comme tu l'a souligné dans tes posts, que des inconvénients pour les spécialistes !

J'ai donc étudié de près le phénomène d'ionisation qui est selon moi la clé du fonctionnement. J'en suis venu à cette conclusion :

Parallèlement à la "mécanique des fluides"; il faut construire une "électronique des fluides", c'est à dire
ne plus considérer seulement pression et température, mais polarité !

J'ai eu le déclic début septembre : les forces de Lorentz sont à peine évoquées en classe de première, elles servent juste à introduire Laplace : on abandonne très vite la particule chargée, pour la remplacer par un courant électrique dans un conducteur.
Grossière erreur :

- Un électron ne se déplace qu'à 2,16 km/h dans le cuivre : on pourrait le suivre à pied ! Mais il faut de bons yeux !

- Un ion de charge unitaire (+ ou -) se déplaçant à 800 km/h produit... 370 fois plus d'effet ! Y a pas photo !

Et ce fait a été totalement négligé : serait-ce l'influence d'un "lobby du cuivre" ? :mrgreen:

La difficulté est de canaliser ces ions qui ne demandent qu'à s'envoler dans la nature : d'où l'intérêt du vortex...

Concernant tes remarques, j'admets que me théorie n'explique pas encore tout, mais une bonne partie.

Pour éviter de faire des messages trop long, j'envoie déjà ça. A bientôt.

Publié : 04/10/06, 00:23
par lusitano
bonsoir crispus,
Tout d'abord bienvenue sur ce site. Plein d'idées extravagantes ,mais o conbien innovatrices et extra - lucides circule ici .
J'ai lu avec attention ton hypothése j'ai souvent perdu le fil n'étant pas de formation scientifique .
Cependant tu me conforte dans mon idée que j'essaye de réaliser depuis des mois :
augmenter la vitesse ou induire un mouvement tourbillonnaire plus important sur la tige ; voir isoler celle-ci au maximun pour permettre au mouvement angulaire plus violent!
voir meme remplacer le tube ?
Seulement voila quels materiaux ? quelle resistance a la cavitation et a quelles temperatures et quels prix !. Je n'avais pas vraiment pensé aux aimants .
Ceci dit si j'arrive a quelque chose j en parlerai ,.
j'ose espérer que tes interventions seront nombreuses je pense qu'on va énormement les apprécier.@+

Publié : 04/10/06, 10:39
par bob_isat
salut crispus

toi aussi tu as pu constater que c'est frustrant de proposer une théorie et puis derrière...rien

et bien oui. il pourrai y avoir chaque semaine une nouvelle théorie et parmi elle la bonne...cela ne changerai RIEN.

mais à quoi faudrait il s'attendre?


le pantone est condamné à rester un bricolage, faut il se faire une raison?


j'ai vu que tu cites ma page sur l'electrisation de la vapeur d'eau.

http://quanthomme.free.fr/qhsuite/elect ... eureau.htm

elle s'appuie sur des observations faites sur le reacteur (luminescence, odeur d'ozone, influence du ph, perte d'efficacité à partir de 100°c) et des systèmes similaire brevetés et une publicatio scientifique et alors?....


(sinon j'ai lu ta théorie et comme je sors des études je me permet de dire que tu confond ecoulement turbulent et écoulement "en spirale".

il n'y a absolument AUCUNE RAISON que le trajet des particules dans le reacteur se fasse en spirale, surtout avec un pas aussi petit que celui tu indiques.

les particules "aspirées" vont en ligne droite en ecoulement laminaire et "un peu dans tous les sens" en ecoulement turbulent, avec une vitesse axiale quand même preponderante.

quand à "la conversion de 100% de l'energie thermique en energie mécanique"...comment dire....)

Publié : 04/10/06, 10:40
par Christophe
bob_isat a écrit :il n'y a absolument AUCUNE RAISON que le trajet des particules dans le reacteur se fasse en spirale, surtout avec un pas aussi petit que celui tu indiques.

les particules "aspirées" vont en ligne droite en ecoulement laminaire et "un peu dans tous les sens" en ecoulement turbulent, avec une vitesse axiale quand même preponderante.

quand à "la conversion de 100% de l'energie thermique en energie mécanique"...comment dire....


+1

Je pense plutot que ce sujet peut apporter des théories d'explications scientifiques à ce qui pourrait se passer dans le réacteur : https://www.econologie.com/forums/le-compres ... t2402.html

Publié : 04/10/06, 16:53
par Andre
Bonjour

il n'y a absolument AUCUNE RAISON que le trajet des particules dans le reacteur se fasse en spirale, surtout avec un pas aussi petit que celui tu indiques

(Pour le pas je suis d'accord avec toi)

pourtant en 1922 un certain Mr Ranque a juste soufflé dans un tube pour faire un aspirateur et cela tourne et même en deux couche coaxial , et cela dés les début j'avait fait une entré dans le réacteur au 90 degrés de la tige pour induire ce mouvement , bien ce n'etait juste pour augmenter le temps de passage dans le réacteur , j'ai passer de nombreuses années a améliorations de fours industriel avec ce principe de faire une flamme tourbillonaire pour augmenter le temps de passage de la flamme dans des long fours industriel chauffage de Bram.
Un écoulement toubillonaire se géner toujours a cause d'une raison parasitaire , un simple point de soudure sur la tige c'est l,amorce , une entrée a l,angle et c'est partie , faire un ecoulement laminaire demande du polissage et des soins de construction.
Maintenant l,éxperience me dis que forcer un tourbillon dans le réacteur ne ma pas apporter beaucoup plus pas plus que de l'isoler éléctriquement.
La spirale, le magnetisme , les picots de cavitation ,l,électrisation des gouttes d'eau c'est toute des consquences du passage des gaz humide dans un tube, mais ce qui nous interesse c'est quoi que cela fait dans le moteur ! (c'est un peu comme un profane qui fait un arc éléctrique et regarde passer le courrant et trouve cela épatant)


quand aux théories elle sont toutes plausibles et +ou- crédibles .
Mais je crois qu'il faut aller plus loin que dans le réacteur, c'est dans le moteur qu'il faut chercher, quest ce qui fait que cela change de quoi dans le moteur ? et je suis convaicu que il y a d'autres façons que le panton pour faire( le bon produit que le moteur doit avaler) Les chercheurs ne mettent pas autand d'énergie sur la réinjection de gaz inerte dans les moteurs, pour rien. Avec un panton la réinjection de vapeur modifié pour ne pas utilisé le mot éléctrifié s'apparente a une réinjection ERG , mais en mieux. Nous les bricoleurs ont n'as pas encore compris le dosage en fonction de l'usage du moteur..

André

Publié : 04/10/06, 19:16
par crispus
Bonjour bob_isat et merci pour ton travail sur la vapeur d’eau qui m’a bien influencé !

Je l’admets, j’ai été volontairement provocateur dans .mon sujet. Vieille technique de pédago pour tenter de « réveiller » l’auditoire et attirer son attention. Apparemment ça a marché au quart de tour !

Bien sûr, on ne pourra jamais convertir à 100% la chaleur de l’échappement en mouvement,
mais je maintiens que

le principe de Carnot ne s’applique qu’à un fluide électriquement neutre.

Soumis à plusieurs forces antagonistes qui le maintiennent fermement sur sa trajectoire, à distance des autres molécules, un ion prisonnier du vortex ne peut évacuer son énergie cinétique sous forme de chocs, donc absence d’échauffement et de pression. En revanche, cet apport d’énergie est converti en mouvement… En MHD, chaleur et pression ne sont pas nécessairement liées.

Sinon,

Comment expliquer que le rendement est meilleur quand le gaz ne sort qu'à 100°C du réacteur (dixit André),

- alors qu'il y est entré à 80°C,

- et a voyagé à 1 mm d'une source de chaleur intense (500°C ?).

Parce que la chaleur d'apport a été convertie en énergie de rotation du vortex,qui a "concentré" les ions par resserrement des spires( s,i si) et produit un champ électrique intense, générateur de plasma.

Mieux : sorti du réacteur, en l’absence d’apport de chaleur, le vortex continuera à tourner tant que les ions possèderont suffisamment d’énergie cinétique, leur perte progressive de vitesse rafraichissant le conduit. Un vortex ionisé agit comme un intercooler.

Je rappelle que les ions ne se recombinent pas tant qu’ils sont en mouvement. En principe, à la fermeture de la soupape, la recombinaison a lieu et l’ionisation disparaît. Sauf si le vortex est maintenu : il tourne alors comme un volant d’inertie en attendant la réouverture de la soupape.

La suite arrive (pour André ).

Publié : 04/10/06, 19:17
par crispus
Je suis à présent persuadé que quand le système est efficace,la plupart des molécules sont « cassées » jusqu’à l’atome :

H2O = H + H + O,
CO2 = C + O + O,
NOx = N + O+…+O.

Chaque molécule dissociée accroît le nombre des ions (peu importe leur signe), et renforce le champ électrique par effet d’avalanche : tout le contraire d’une électrolyse !

En principe c'est l’énergie issue de la combustion de l'hydrocarbure dans le cylindre, qui casse les molécules d'O2, dont une partie sera recombinée en CO2. C'est de l'énergie perdue dès le départ...

Le réacteur peut produire du monoxygène à partir des oxydes de l'air ambiant : c'est également un assainisseur d'air !

D’où la remarque ahurissante de Pantone sur le taux d’O2 augmenté après fonctionnement du moteur…