Hydraxon a écrit :Par principe, s'il refuse de donner les caractéristiques de son champ, c'est non-scientifique.
Si le champ qu'il crée fonctionne, il doit fonctionner quel que soit la personne qui fabrique la machine. En gardant secret la composition spectrale de son champ, il se soustrait à ce test.
Bref, "mythe ou réalité" pourrait ici être une question rhétorique.
* Première voie de réflexion: La pression extérieure que le chercheur subit lors d'une innovation qui dérange le business des puissants.
* Deuxième voie de réflexion: L'un des 3 stades psychanalytiques dîts "rétention anale" par les psychanalystes. Le chercheur souhaite à la fois montrer et cacher son produit imaginaire (innovation). Dans ce cas il y a une contradiction inconsciente qui amène le chercheur à avoir une attitude personnelle et professionnelle ambigüe.
* Troisième voie de réflexion: Les 2 premières voies de réflexions combinées au contexte statistique et politique. Suivant la politique et/ou les conséquences économiques qu'implique une innovation, un étroit équilibre dynamique se créé entre la pression extérieure (politique et économique) et la pression intérieure (psychologie). Il serait judicieux de dissocier la pression économique et politique en 2 sous catégories: pression des responsables politiques et institutionnels (gouvernements, défense nationale, service secret) dissocié à la pression des acteurs et organisations (scientifiques, acteurs humanitaires, acteurs économiques). Dans les 2 cas, la méthodologie employée pour faire pression sur une innovation est le silence, rarement l'attaque frontale. Hors le silence prouvé a valeur juridique...