Covid19 et covid long : les séquelles sur l'organisme possibles (des cas même "légers")

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Christophe
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Re: Covid19, les séquelles sur l'organisme possibles (des cas même "légers")




par Christophe » 03/11/20, 13:57

Et l'essentiel du 2ieme article :

Récepteurs cellulaires et protéines à la loupe

Pour réaliser cette étude, les chercheurs spécialisées en biologie moléculaire, génétique et biotechnologie ont traqué les facteurs cellulaires qui pouvaient jouer un rôle dans l’infection au coronavirus.
Ils se sont principalement appuyés sur 28 gènes qui contiennent l’information nécessaire à la fabrication de trois types de facteurs :

- des récepteurs présents à la surface des cellules (ou récepteurs cellulaires) qui permettent au virus de s’y accrocher et d’y pénétrer, comme le célèbre récepteur ACE2 ;
- des protéines présentes dans les cellules, dont le virus a besoin pour se multiplier ;
- des protéines qui, au contraire, bloquent la pénétration du virus dans les cellules.

Un "champ de bataille" dans le nez

Une fois ces 28 gènes identifiés, ils ont étudié leur activité dans environ 400.000 cellules humaines provenant de différents types de tissus : muqueuse nasale, poumons, intestin, cerveau, organes reproducteurs masculins et féminins ou encore placenta. Leurs résultats fournissent une carte des facteurs potentiellement liés à la maladie dans l’ensemble du corps humain.

Première zone sensible, que les chercheurs qualifient de "champ de bataille" : la muqueuse nasale, où les cellules présentent à la fois des facteurs qui facilitent l’infection (comme le récepteur ACE2) et d’autres qui inhibent l’entrée du virus. "Il semble donc que le contact du virus avec la muqueuse nasale entraîne une lutte à la corde. La question est alors de savoir qui sera le vainqueur" commente le docteur Vikas Bansal, co-auteur de l’étude, dans un communiqué du DZNE.

Fait intéressant, "le niveau d'expression des facteurs d'entrée dans le tissu nasal humain se modifie avec l'âge" précise-t-il par ailleurs. "Cela pourrait être une raison pour laquelle les personnes âgées sont plus susceptibles d'être infectées par le CoV-2 du SRAS", interprète le chercheur.
De multiples portes d’entrée

Mais le virus ne se limite pas aux voies respiratoires supérieures. Selon les chercheurs, les intestins, les reins, les testicules et le placenta sont des zones sensibles potentielles car ces organes possèdent à la fois des récepteurs cellulaires et des protéines qui facilitent l’entrée du virus dans les cellules.
Des récepteurs cellulaires facilitants l’entrée du SARS-CoV-2 sont aussi observés dans les poumons, le cœur, et le système nerveux central à savoir le cerveau et la moelle épinière.

covid-cellules-organes3.jpg
covid-cellules-organes3.jpg (309.34 Kio) Consulté 2460 fois


Représentation des différents organes cibles du SARS-CoV-2 et des cellules spécifiques à chaque organe portant des récepteurs facilitant le passage du virus. Schéma inspiré de la figure présentée par Singh et al. 2020. https://doi.org/10.1016/j.celrep.2020.108175.
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Re: Covid19, les séquelles sur l'organisme possibles (des cas même "légers")




par Obamot » 03/11/20, 14:21

Et faisant tout ça, ce serait un virus “naturel:?:
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Re: Covid19, les séquelles sur l'organisme possibles (des cas même "légers")




par Christophe » 03/11/20, 14:43

Je pense qu'il est plus naturel qu'islamiste ! :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:
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Re: Covid19, les séquelles sur l'organisme possibles (des cas même "légers")




par Obamot » 03/11/20, 16:59

Ni l’un ni l’autre est-ce possible ?

Y’a 3 jours, le virologue E. Decroly. spécialiste des virus émergents au CNRS, n’écartait pas la thèse de ‘l'accident’ de laboratoire!

https://www.lci.fr/international/covid-19-et-si-le-pangolin-n-etait-pas-a-l-origine-de-la-transmission-du-virus-2168679.html
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Re: Covid19, les séquelles sur l'organisme possibles (des cas même "légers")




par Christophe » 03/11/20, 17:05

Gourage de sujet !!
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Re: Covid19, les séquelles sur l'organisme possibles (des cas même "légers")




par Christophe » 04/11/20, 20:43

A prendre avec des pincettes...

Atteinte du coronavirus à 16 semaines de grossesse, cette aide-soignante lutte maintenant contre un cancer du col de l’utérus

https://www.sudinfo.be/id275301/article ... ante-lutte
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Re: Covid19, les séquelles sur l'organisme possibles (des cas même "légers")




par Obamot » 05/11/20, 00:33

Il n’est pas si surprenant que quelqu’un borderline jusqu’au point d’avoir fait un cancer — ce qui prouve un affaiblissement de ses défenses immunitaires — ce chope le coronavirus... (Même si le cancer se soit révélé tardivement, si on lui faisait un biocheck, je ne serais pas surpris que nombre des compteurs de ses déficiences soient dans le rouge carmin... Mais je compatis à ses souffrances, ça doit être terrible de prendre conscience d’avoir les deux simultanément, je pense fort à elle :( :cry: )

Elle a du bol d’avoir survécu au covid, c’est déjà ça...
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Re: Covid19, les séquelles sur l'organisme possibles (des cas même "légers")




par janic » 05/11/20, 07:53

Elle a du bol d’avoir survécu au covid, c’est déjà ça...
si c'est pour mourir d'un cancer, je ne vois pas l'avantage! :cry:
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Re: Covid19, les séquelles sur l'organisme possibles (des cas même "légers")




par Christophe » 08/11/20, 17:10

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Re: Covid19, les séquelles sur l'organisme possibles (des cas même "légers")




par Christophe » 11/11/20, 17:08

Surtout ne changeons rien...continuons à faire une politique uniquement basée sur les morts et la saturation des hôpitaux !!!

:evil: :evil: :evil:

A mettre en parallèle avec les contaminations MASSIVES des jeunes : sante-pollution-prevention/mon-epouse-travaille-dans-une-ecole-t16542-20.html#p418881


COVID-19 : une forme asymptomatique pourrait léser le cœur

Le nouveau coronavirus peut engendrer une infection respiratoire aigue sévère, mais aussi des lésions cardiaques. Ces dernières ont fait l’objet d’une étude américaine, dont les résultats ont été publiés dans le JAMA Cardiology.

Des anomalies cardiaques chez des étudiants-athlètes

L’étude menée par des cardiologues américains met en évidence un impact potentiellement dangereux, au niveau du système cardiovasculaire, chez de jeunes étudiants, qui ont présenté une forme asymptomatique ou légère de Covid-19. Pour ces recherches, des examens d’imagerie cardiaques ont été réalisés sur 54 étudiants-athlètes, d’un âge moyen de 19 ans, à l’Université de Virginie-Occidentale. Ces jeunes personnes ont été testées positives, trois à cinq semaines auparavant. Les scientifiques ont remarqué une inflammation du cœur et un excès de liquide au niveau du péricarde (membrane qui enveloppe le cœur), mais pas de « dommages continus au muscle cardiaque ». Le virus Sars-Cov-2 pourrait être responsable du déclenchement de réponses inflammatoires au niveau cardiaque, alors que l’organisme lutte contre l’agent pathogène. Pour 48 jeunes athlètes qui ont passé les deux examens, des « résultats anormaux ont été identifiés chez 27 personnes », soit 56,33 %. Les chercheurs ont souhaité savoir si le virus pouvait pénétrer dans le muscle cardiaque. Leur étude n’a pas abouti à cette conclusion, mais elle a tout de même révélée l’apparition de signes d’inflammation du péricarde (péricardites).

Des précautions pour ces étudiants

En effet, 40 % des étudiants-athlètes dépistés ont présenté une péricardite, alors que 58 % d’entre eux avaient un épanchement péricardite. Cette accumulation de liquide dans le muscle cardiaque est généralement bénin et peut guérir en quelques semaines, sans engendrer de conséquences sur le long terme. Cependant, dans certains cas, il peut provoquer une inflammation péricardite récurrente. Les chercheurs insistent sur la mise en quarantaine aussitôt qu’un étudiant est dépisté positif à la Covid-19. Ils préconisent de déterminer au cas par cas si des examens cardiaques s’avèrent utiles. Concernant les athlètes présentant des signes de myocardites, l’équipe recommande aux jeunes d’éviter de faire des compétitions sportives ou des entraînements intenses, pendant une durée de trois à six mois. Elle conseille également de consulter un médecin cardiologue afin de passer des examens et d’être suivi dans le cadre d’une reprise progressive du sport. D’autre part, les scientifiques déconseillent le sport aux athlètes souffrant de péricardite. L’activité physique pouvant exacerber l’inflammation, il vaut mieux, selon eux, attendre sa disparition complète, prouvée par des examens cardiaques concluant, avant de reprendre les entraînements.


Heureusement, chez eux, les jeunes, c'est plutôt bénin...

https://www.passeportsante.net/fr/Actua ... -leser-cur
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