Obamot a écrit :Ça tombe bien puisque ce n’est (en principe) pas le cas... (le pauvre est déjà une brèle en français, mais alors l’anglais!)
The pinnacle of cretinism.pedrodelavega a écrit :https://twitter.com/stephaniemlee/status/1440799623501672448?s=19
La demande mondiale d'options prophylactiques et de traitement pour COVID-19 a à son tour créé une demande à la fois pour des essais cliniques randomisés et la synthèse de ces essais en méta-analyses par revue systématique. Ce processus a été ardu et a démontré les risques inhérents aux approches actuelles et aux normes acceptées de synthèse de preuves quantitatives lorsqu'il s'agit de traiter de gros volumes de données d'essais récentes, souvent non publiées, de qualité variable.
La recherche sur l'utilisation de l'ivermectine (un médicament qui a un dossier d'innocuité et d'efficacité établi dans de nombreuses maladies parasitaires) pour le traitement et/ou la prophylaxie du COVID-19 a bien illustré ce problème. Récemment, nous avons décrit des défauts dans un essai contrôlé randomisé de l'ivermectine 1 , dont les résultats représentaient plus de 10 % de l'effet global dans au moins deux méta-analyses majeures 2 , 3 . Nous avons décrit plusieurs irrégularités dans les données qui ne pouvaient pas être cohérentes avec leur dérivation expérimentale 4 . Cette étude a maintenant été retirée par le serveur de préimpression 5sur lequel il a été hébergé. Nous avons également soulevé des inquiétudes concernant la stratification inattendue entre les variables de base dans un autre essai contrôlé randomisé pour l'ivermectine 6 , qui étaient fortement évocatrices d'un échec de la randomisation. Nous avons demandé des données aux auteurs mais, au 6 septembre 2021, nous n'avons pas encore reçu de réponse. Cette deuxième étude sur l'ivermectine a été publiée 6 , et il n'y a toujours pas de réponse des auteurs à une demande de données.
Les auteurs d'une méta-analyse récemment publiée de l'ivermectine pour COVID-19 3 ont déclaré publiquement qu'ils vont maintenant réanalyser et publier à nouveau leur méta-analyse maintenant rétractée et n'incluront plus aucun des deux articles que nous venons de mentionner. Étant donné que ces deux articles 1 , 6 étaient les seules études incluses dans cette méta-analyse à démontrer une réduction significative de la mortalité de manière indépendante, la révision ne montrera probablement aucun avantage en termes de mortalité pour l'ivermectine.
Plusieurs autres études qui revendiquent un avantage clinique pour l'ivermectine sont tout aussi lourdes et contiennent des chiffres impossibles dans leurs résultats, des décalages inexplicables entre les mises à jour des registres d'essais et les données démographiques des patients publiées, des délais prétendus qui ne sont pas cohérents avec la véracité de la collecte de données, et une méthodologie substantielle. faiblesses. Nous nous attendons à ce que d'autres études soutenant l'ivermectine soient retirées au cours des prochains mois.
Depuis que les études primaires ci-dessus ont été publiées, plusieurs centaines de milliers de patients 7 ont reçu de l'ivermectine, en s'appuyant sur une base de preuves qui s'est considérablement évaporée sous un examen minutieux.
“The authors claimed to have done the study only on 18-80 year olds, but at least three patients in the dataset were under 18,” Lawrence said.
“The authors claimed they conducted the study between the 8th of June and 20th of September 2020, however most of the patients who died were admitted into hospital and died before the 8th of June according to the raw data. The data was also terribly formatted, and includes one patient who left hospital on the non-existent date of 31/06/2020.”
There were other concerns.
“In their paper, the authors claim that four out of 100 patients died in their standard treatment group for mild and moderate Covid-19,” Lawrence said. “According to the original data, the number was 0, the same as the ivermectin treatment group. In their ivermectin treatment group for severe Covid-19, the authors claim two patients died, but the number in their raw data is four.”
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Lawrence and the Guardian sent Elgazzar a comprehensive list of questions about the data, but did not receive a reply. The university’s press office also did not respond.
ouarf, ouarf!un article du Guardian sur un des articles frelatés sur l'ivermectine, avec des détails croustillants
https://www.theguardian.com/science/202 ... l-concerns
Ah oui ! tout le monde sait que guitou qui sait tout, est une référence chez "Nature médecine"GuyGadeboisLeRetour a écrit :Aaaaaaah, "Lawrence", le mec qu'existe pas mais qui publie...
(Et le crétin cacochyme de débloquer de plus belle... l'illuminé de la zététique est de plus en plus halluciné !)izentrop a écrit :Ah oui ! tout le monde sait que guitou qui sait tout, est une référence chez "Nature médecine"GuyGadeboisLeRetour a écrit :Aaaaaaah, "Lawrence", le mec qu'existe pas mais qui publie...
A medical student in London, Jack Lawrence, was among the first to identify serious concerns about the paper, leading to the retraction. He first became aware of the Elgazzar preprint when it was assigned to him by one of his lecturers for an assignment that formed part of his master’s degree.
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