GuyGadebois a écrit :Exnihiloest a écrit :...
Affirmation gratuite. Si je me vautrais, vous seriez incapable de vous en apercevoir.
Raté. Ce n'est pas ça qu'il fallait retenir, mais la démo :
Evidemment que c'est à la louche.
"On établit un maillage artificiel, tridimensionnel du milieu que l'on veut modéliser (par ex: atmosphère) on découpe virtuellement la zone géographique en mailles de plusieurs kilomètres de côté. La taille de la maille conditionnera le temps de calcul informatique.
On résout les équations à l'intérieur de chaque boite pour déterminer quelques paramètres considérés comme caractéristiques pour le système dans son ensemble. Il peut s'agir de la température moyenne et de sa répartition, les précipitations saisonnières, le taux d'humidité moyenne, la couverture végétale, la vitesse et la direction des vents, etc.
On programme l'ensemble de ce modèle mathématique, en langage informatique."
https://fr.wikipedia.org/wiki/Modèle_climatiqueNon seulement il y a les incertitudes sur les données brutes, mais les données brutes sont traitées avant de servir aux paramètres d'entrées, et les évolutions étant plus ou moins chaotiques, les pouièmes de variations en entrée se traduisent à terme par des climats polaires (vite éliminés), ou tropicaux. Même le cycle des nuages et des pluies est à peine ébauché dans les modèles du GIEC. Et toute la programmation et le choix des paramètres sont faits en fonction des préjugés qu'on a déjà sur le climat puisque la climatologie n'est pas une science dure. A la louche et au pif.
Il faut toujours que vous parliez hors de vos domaines de compétence dont on se demande du coup, lesquels ils sont.