janic a écrit :On est dans le domaine de la santé comme l’aviation et la marine le sont dans le domaine de la mécanique liée au déplacement, sans plus, ce n’est pas pour demain que l’on enverra un porte avion dans l’espace.
Par contre on peut les comparer. Exemple: je dois me rendre au plus vite de France aux USA. Quel sera le moyen de déplacement le plus rapide (avion ou bateau)?
Donc comme on peut comparer la vitesse de guérison entre les traitements A et H !
Ou bien comparer les profondeurs que peuvent atteindre les avions comparés aux sous marins. (malheureusement certains avions gagnent sur ce terrain, mais avec tous ses passagers morts)
janic a écrit :Hormis celui-ci, plutôt intéressant, mais que tu n’as probablement pas lu jusqu’au bout, le reste c’est plutôt creux, d'une pauvreté navrante !
C'est à dire?
Que les sites indiqués sont d’une pauvreté d’indications navrante.
janic a écrit :Les essais 2 et 3 sont des mesures de toxicité, seule la phase 3 commence à en mesurer l’efficacité relative, puisque ce n’est qu’en phase IV que vont en être réellement mesurés les effets (bénéfice /risque) sur la population entière(les vrais cobayes!). Relis les protocoles en question.-
Fait! C'est très clair:
Un clair obscur alors!
Belles citations, mais incomplètes puisque n’indiquant pas les essais de toxicité faits sur des biens portants PAYES pour ça!(souvent des étudiants ayant besoin d’argent ou des chômeurs, alors qu’il y a des tas de chercheurs en bonne santé qui ne demanderaient qu’à servir de cobayes en vérifiant, sur eux-mêmes, leurs produits.)
Ah, ils ont peur d’être empoisonnés,
eux !
.Mais pas d’analyse de celles-ci en dehors du discours venant des laboratoires qui seuls font les essais et en tirent les conclusions que ni l’ANSM, ni aucune autorité d’Etat n’en vérifient la véracité puisque non équipés pour le faire. Cela s’appelle être juge et partie, y compris pour Boiron et autres.
Maintenant et c’est le fond du sujet qu’en est-il de ces protocoles concernant l’H ?
Seuls les essais dit de toxicité restent communs et donc, officiellement, aucun toxicité n’est reconnue pour l’H à condition d’être au mini une dilution au 10.000° soit une reconnaissance, officielle, d’une possible action car on est très loin du nombre d’Avogadro.(6x10 puissance 23), si souvent reproché.
Ensuite, même si certaines pratiques H le font (en opposition au principe même de l’H) les traitements sont individuels et ne peuvent s’appliquer à des groupes ciblés quels qu’en soient le nombre en essais randomisés. D’où l’impossible comparaison entre les protocoles que veut imposer BP via les gouvernements et ceux de l’H ou d’autres thérapies d’ailleurs.[*]
Seule la phase IV est commune aussi, c'est-à-dire dans les populations malades dont les effets peuvent être mesurés sur l’efficacité thérapeutique et encore la toxicité.
Quant à la pharmacovigilance elle en recense à peine 10% selon elle-même.
janic a écrit :Lorsqu’un industriel utilise le chantage à l’emploi, il n’est jamais question d’efficacité des process industriels,
Pourquoi pas; Ils peuvent utiliser plusieurs arguments pour défendre leur business.
Trouve un seul industriel,( tu ne dois pas travailler dans ces secteurs alors), utilisant l’argument d’efficacité de process, pour le chantage à l’emploi. Par exemple un grand constructeur d’automobile ne va jamais critiquer ses propres fabrications (laissant cet aspect à ses concurrents) comme cause de licenciement.
[*] une petite nuance cependant! Lorsque un groupe présente les mêmes caractéristiques, le similinum, un même produit peut alors être appliqué à celui-ci comme l'ont démontré les résultats sur le choléra, en Amérique et récemment en Haïti et déjà cité.
https://planete-homeopathie.org/homeopathie-et-cholera/http://www.homeopathe.org/Docupdf/veratrum.pdfEn 1854 épidémie à Gênes Benoît MURE (1809-1858) traite huit cent soixante quatorze malades atteints de choléra,il en perd soixante quatorze.Il fait publier le nom des malades guéris dans les journaux, ce qui le fait expulser de la ville où dit-on la population défila en criant l’homéopathie ou la mort
Constantin Hering (1809-1880) Le choléra sévit à Saint Petersbourg en 1866 Au cours de cette épidémie un hôpital provisoire fut confié au Dr Hering
dans un quartier populeux. Il avait 10 lits qui ne désemplissaient pas. En 8 semaines Hering n’eut à déplorer la perte d’un malade arrivé moribond contre une mortalité de 30% dons les autres établissements. Stupeur et désarroi quand on apprit qu’Hering avait utilisé des remèdes homéo
principalement Veratrum album (bibliothèque homéopathique 1870 tome III page 208,Baillière editeur Paris)https://grotius.fr/l%E2%80%99homeopathi ... Swn0_kzbIUen quoi l’homéopathie peut-elle être humanitaire ?
Jean-François Masson : L’homéopathie est peut-être une médecine douce – appellation qui ne me plait guère – mais ce n’est certainement pas une médecine molle, ni une médecine lente. Premièrement et contrairement aux idées reçues, l’homéopathie est une médecine ultrarapide en aiguë, beaucoup plus qu’un médicament chimique. C’est ce qui m’a convaincu au début de ma carrière de poursuivre dans cette voie. Elle peut guérir en urgence des vomissements et des diarrhées aiguës, des otites, angines, pneumopathie et fièvres. Elle est efficace dans le traitement de plusieurs pathologies tropicales – diarrhées, parasitose… Deuxièmement, sur les pathologies communes – otite, bronchite, gastro-entérite etc. – l’homéopathie est aussi efficace en France qu’en Afrique. Il y a six millions d’enfants qui meurent dans le monde de mort « évitable ». Cela signifie qu’ils sont victimes de maladies qui pourraient être soignées. Ils y succombent car les antibiotiques sont indisponibles ou contrefaits, et le terrain très affaibli. Si on apprend aux gens sur place à réagir rapidement en cas de bronchite, d’otite, ou de diarrhée, cela constitue une avancée importante. Troisièmement, l’homéopathie consiste aussi à tonifier le terrain du patient, et contribue à la diminution de la fréquence des poussées d’hépatite virale par exemple.http://sphq.org/histoire/etc...
« On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres: mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison » Henri Poincaré