Fukushima et nucléaire; signer un contrat électricité verte!

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chatelot16
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par chatelot16 » 20/03/12, 18:13

j'avais l'intension de creer un sujet la dessus , autant continuer ici

une nouvelle societé electrique vend la meme electricité qu'edf ... donc aucune qualité ecologique suplementaire

ce que pourait faire une nouvelle societé electrique , c'est une tarification plus ecologique , favorable aux petite production qu'edf ne veut pas acheter ... favorable aux tarif variable pour inciter les consomateur a eviter les pointe et a s'adapter aux source d'energie variable

on ne peut pas mettre un filtre pour trier l'electricité nucleaire et l'electricité eolienne ... mais avec un alumage automatique des appareil gros consomateur juste quand les eolienne produisent le plus on diminue le besoin de nucleaire

en acceptant TOUS les petit producteur d'electricité on montrerai comment les petit ruisseau font les grande riviere

est il possible de creer une nouvelle compagnie electrique ?

quand un particulier a de l'electricité de moulin a eau ou d'eolienne en rab EDF n'en veut pas , ou as des exigences impossibles

ma nouvelle compagnie aurait un type de disjoncteur autorisant l'achat et la vente d'electricité sans probleme avec le compteur standard d'erdf qui est deja capable de le faire
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Christophe
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par Christophe » 20/03/12, 18:17

chatelot16 a écrit :une nouvelle societé electrique vend la meme electricité qu'edf ... donc aucune qualité ecologique suplementaire


Oui mais il y a des mécanisme de compensation "verts" ! (en théorie car en pratique une asso de consommateur belge a montré que c'était pas tout rose cf: https://www.econologie.com/forums/qualite-de ... 10586.html )

C'est ce qui m'a fait renoncer à signer "vert" avec l'opérateur historique (y a rien d'autre chez moi)...en attendant que de vrais opérateurs verts arrivent ici (Enercoop est sur le coup de la Belgique)
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chatelot16
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par chatelot16 » 20/03/12, 18:17

j'allais oublier une qualité importante d'une compagnie electrique ecologique : tarif constant du KWh et prix d'abonement tres faible pour les petites puissance : aucune raison de favoriser les gros consomateur !

les gros consomateur seront plutot interressé par des tarif variable avec la production , pour favoriser les machine a demarage automatique
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Christophe
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par Christophe » 12/07/12, 17:27

Je viens (enfin) de signer chez www.energie2030.be (tête du classement de Greenpeace).

Depuis quelques semaines, les résidents belges chez Electrabel peuvent désormais résilier à tout moment avec seulement 1 mois de préavis (avant c'était à la date d'anniversaire et j'oubliais tout le temps...comme tout le monde!)

A moi les joies de l'électricité 100% verte (et pas verte fluo !)

Je ferais un sujet avec les détails prochainement!

ps: en plus...la verte est moins chère (c'est pas une blague) !
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thierryc
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par thierryc » 30/07/13, 10:29

Il faut bien distinguer les différents types de fournisseurs d'électricité, il y a ceux qui ont leur propre moyen de production et ceux qui n'ont pas les moyens d'en obtenir...

Enercoop par exemple cherche à produire sa propre électricité ou à la racheter directement auprès de fournisseurs particuliers. Bien sur la coopérative ne dispose pas d'aide de l'Etat, du coup les adhérents doivent y aller de leur poche par rapport au tarif réglementé. En effet l'énergie renouvelable coûte à ce jour plus cher que le nucléaire donc il faut bien que quelqu'un paie la différence :\, ce sont les personnes les plus engagées pour l'environnement qui s'y colle.

Sinon il y a Planète OUI que j'ai vu cité plus bas. Eux n'ont pas les moyens de produire donc ils rachètent l'électricité d'EDF. Mais attention uniquement l'électricité d'origine 100% renouvable ! Car EDF sur la totalité de sa production créé 1% d'énergie renouvelable via sa filière EDF ENR. Du coup le but de Planète OUI est de faire augmenter la demande des consommateurs d'énergie renouvelable afin qu'EDF soit obligé d'augmenter sa production.

Après il y a les autres fournisseurs dits low cost comme Direct Energie, Lampiris,... Eux proposent en partie des offres 100% renouvelable mais ils ne suivent pas les tarifs réglementés par l'Etat, autrement dit du jour au lendemain, leur tarif peut doubler !

http://www.planete-oui.fr
http://www.enercoop.com
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Did67
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par Did67 » 30/07/13, 14:26

thierryc a écrit :
En effet l'énergie renouvelable coûte à ce jour plus cher que le nucléaire donc il faut bien que quelqu'un paie la différence :\, ce sont les personnes les plus engagées pour l'environnement qui s'y colle.



C'est un peu plus compliqué !!!

EdF a de tout temps utilisé de l'énergie "renouvelable" : barrages, barrages au fil de l'eau, usine marémotrice, etc...

Se rajoute depuis quelques années la production éolienne et PV pour laquelle il y a une obligation d'achat.

Tout cela rentre dans le "mix", dont la "composition" varie ne fonction de la saison, de la météo, de l'heure...

Jusqu'il y a peu, cela était vendu sous le tarif "normal" (bleu, réglementé, tarifs spéciaux)...

Donc jusque là, tout le monde avait "un peu" de renouvelable, beaucoup de nucléaire, etc... dans ce qu'il consommait.

Et puis des "chefs du marketing" se sont rendus compte qu'il était possible de vendre plus cher l'électricité "verte", à condition de bine la qualifier ainsi, de faire de la pub, et de surfer sur la vague "écolo".

Au niveau de la production, rien n'a changé (suite à ce marketing j'entends - cela change parce que des sociétes, des netreprises, de sparticuliers investissent dans des installation produisant du "renouvelable" ).

Simplement, on met un tableau Excel et on dit :

a) à l'instant précis, il y a telle puissance en "renouvelable" ; on peut donc vendre, plus cher, cette puissance à des souscripteurs...

b) les autres, on leur affecte tout le non-renouvelable.

Au bas du Excel, il y a toujours le même mix.

La répartaition est toute théorique.

Et le chiffre d'affaire global est, dans la dernière colonne à droite, plus élevé.


Ex virtule ets chiffré. Aujourd'hui, il ya du vent et il fait beau. Sur le réseau français on a :

700 de nucléaire
200 éolien
100 PV

Jusqu'à la ruse marketing, on vendait 1 000 au tarif "normal". Je prends 10 cents pour faire simple. Donc 10 000.

Et puis on invente la "courant vert" :

on vend 300 d'électricité renouvelable, certifiés, à des clients "écolo" pret à payer plus cher pour avoir la consicience propre, à 15 cents. Donc on encaisse 4 500.

on vend les 700 nucléaires au tarif normal, aux autres. Et on encaisse donc 7 000.

Total produit : inchangé !
Total enciassé : 11 500 au lieu de 10 000.

Chercher l'erreur. [Il n'y en a pas ; cela s'appelle du greenwashing ; bine sûr l'exemple est archi-simplifié, mais il illustre le fait qu'un électron n'a pas d'origine]

Maintenant, en effet, le jour où la demande "verte" dépasse les 300, certains producteurs seront tentés d'investir pour faire fleurir ce business juteux.

Mais actuellement, cela passe encore, pour l'éolien et le PV, par un tarif d'achat subventionné.

On en est, à ma connaissance, très loin en France (ne pas oublier tous nos barrages : en montagne et au fil de l'eau - Rhin, Rhône, en plus des projets éoliens, PV liés à l'obligation d'achat / prix subventionné). Savoir qu'il y a quelquess eamines, sur le aché "spot" l'énergie électrique se vendait à un prix négatif !!! Il y a avait trop de production en Europe : vent, soleil, centrales... Les producteurs payaient pour s'en débarasser. C'est sûr que s'ils peuvent la vendre sous forme d' "électricité verte".
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Alain G
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par Alain G » 30/07/13, 14:26

Bienvenue sur Éconologie thierryc!

Je ne vois pas très bien comment EDF ferait un effort plus grand vers les ENR en laissant un indépendant vendre à sa place!

Bien des problème concernant Planète Oui sur le Oueb:

http://www.ciao.fr/Planete_OUI_Fourniss ... is_1404860

http://forum.lesarnaques.com/travaux-el ... 13898.html

http://forum.lesarnaques.com/travaux-el ... 58708.html

Un article sur les "Fournisseurs d’électricité verte : attention aux mirages":

http://www.terraeco.net/Fournisseurs-d- ... ,7702.html

Enquête - Depuis l’ouverture à la concurrence des marchés de l’énergie, les fournisseurs alternatifs rivalisent d’arguments, en particulier écologiques. Pour s’y retrouver, le médiateur de l’énergie a lancé un comparateur en ligne à grand renfort de communication. Mais il faut plus qu’un tableau pour comprendre le monde bien particulier de l’électricité.



Ça y est, vous avez souscrit à une offre "100% électricité verte". Quel bonheur de s’éclairer à l’énergie renouvelable ! Sauf qu’il y a un hic : "c’est la même électricité qui est livrée à tous les clients raccordés au réseau électrique français, quels que soient le fournisseur et le type d’offres", explique le site Energie Infos, mis en place fin octobre par le médiateur national de l’énergie. "Si vous êtes sous un contrat prétendument énergies renouvelables et que vous branchez votre aspirateur à 19 heures en pleine pointe de consommation, vous serez alimenté par des centrales au charbon", résume Nadine Levratto, économiste à l’université Paris X.

Cette précision faite, à l’autre bout de la ligne, est-ce bien vert ? Pas forcément. Pour bien comprendre, suivons à la trace le parcours de l’électricité « verte ». Quelque part en Europe, une éolienne tourne et injecte des électrons sur le réseau. Là, pas de chichi, ils se mélangent allègrement avec leurs collègues issus des centrales hydrauliques, nucléaires ou à charbon. Seul le propriétaire de l’éolienne sait donc combien d’électrons verts il a produit à la source. Imaginons que vous consommez dans l’année 1 000 kWh (1 MWh) - oui vous êtes très économe. En toute logique, votre fournisseur doit donc avoir produit cette quantité d’énergie avec ses propres éoliennes ou l’avoir achetée à quelqu’un qui en possède. Ce qui sort votre prise n’est pas très propre, mais au moins vous vous dites que du côté de votre fournisseur, les emplettes correspondent à du 100% renouvelable.
Virtuellement vert
Raté : votre fournisseur peut également acheter un certificat vert. La plupart des offres s’appuient d’ailleurs sur cette troisième possibilité. Le problème, c’est qu’avec ce système, porté par les principales compagnies d’électricité européennes au sein de RECS [1], "un fournisseur qui achète de l’électricité nucléaire sur le marché de gros peut très bien revendiquer son attachement aux valeurs du développement durable dans ses prospectus commerciaux grâce aux certificats verts qu’il aura acquis auprès d’autres opérateurs", explique Nadine Levratto dans un travail de recherche sur le sujet.

Comment ce tour de passe-passe est-il possible ? Un certificat vert permet à un producteur, qui n’est pas lié spécifiquement à un fournisseur et vend son électricité sur le marché de gros européen,de prouver qu’il a bien injecté sur le réseau 1 MWh "vert". Cette attestation rentre alors dans un marché parallèle et peut être vendue de manière totalement déconnectée de l’électricité réelle à laquelle il correspond.

C’est là qu’intervient votre fournisseur : en réponse à votre MWh, il "achète ou produit de l’électricité « standard » et la revend à ses clients avec en complément un certificat vert", explique Energies Infos. En détruisant ce dernier, il réserve ainsi en quelque sorte le MWh d’électricité verte correspondant, qui ne peut plus être revendiqué par quelqu’un d’autre. Vous l’avez "consommé", virtuellement.
Un impact marginal
Une pirouette qui représente une arme de communication intéressante pour les entreprises, à qui le marché à été ouvert en premier. Les éco-citoyens seront peut-être plus réservés. Car cette transmutation du nucléaire en vert ne change en rien le fond du problème : en quoi votre geste permet-il de développer les énergies renouvelables ? Cette électricité verte "attribuée de manière fictive à des consommateurs (...) aurait de toute manière été produite et consommée sans eux", note encore l’économiste Nadine Levratto.

Certes, il fournit un revenu supplémentaire, et donc une incitation, aux producteurs d’énergies de ce type. Mais il s’agit souvent de propriétaires de barrages, "qui est une technologie largement amortie et parmi les plus rentables", précise de son côté Greenpeace. "Avec les offres basées sur des certificats verts, je ne contribue que marginalement au surcoût de production de l’électricité « verte ». En effet, les installations de production correspondantes bénéficient également, en général, du dispositif d’obligation d’achat", confirme Energies Infos.

Le vrai moteur est là : pour soutenir le développement de ces filières, EDF doit acheter l’électricité renouvelable, à un tarif très avantageux. Pour les panneaux solaires, il atteint 600€/MWh contre 45€/MWh en moyenne pour l’électricité "standard" sur le marché européen. Ne vous inquiétez pas pour EDF : ce sont les consommateurs (d’EDF comme des autres fournisseurs) qui financent cette différence, via la Contribution au service public de l’électricité (CSPE) qui apparaît au bas de leur facture et est reversée au groupe. Ce qui n’empêche pas un producteur de vendre en parallèle un certificat vert et donc de faire payer une deuxième fois la "valeur verte" de son électricité aux clients du fournisseurs.
Vrais fournisseurs alternatifs
Voilà la "Chloé Touteperdue" [2] définitivement larguée... Que faut-il faire alors ? Pour commencer regardez ce que votre fournisseur achète réellement. Mais surtout scrutez les "à côtés" : quels sont les investissements promis dans le renouvelable, quelle est la politique en terme de réduction des consommations, ou en terme de développement durable en général ?

Et si vous n’êtes pas convaincu, mettez vous à la recherche d’un modèle alternatif. Par exemple, Planète OUI achète des certificats mais aussi l’électricité qui va avec en Allemagne, Belgique, Suisse... Le chouchou des comparatifs, Enercoop, passe exclusivement par des accords avec des producteurs français. Mais cela a un prix, qui a d’ailleurs poussé Planète OUI à faire ses courses vertes à l’étranger : puisque les producteurs peuvent vendre leur courant au prix fort à EDF, Enercoop doit les payer un tarif équivalent s’il veut les convaincre. Mais à la différence d’EDF, la coopérative ne touche aucun remboursement de l’État.

Elle a d’ailleurs déposé une plainte en 2006 devant la Commission européenne, pour dénoncer ce que le PDG de Planète OUI Nicolas Milko appelle le "monopole d’EDF sur la CSPE". Le problème pourrait être résolu par la loi NOME, dont l’examen est prévu au printemps 2010. Une loi qui doit permettre de répondre aux nombreuses critiques de Bruxelles sur le marché de l’électricité français. "A ce jour, le gouvernement ne nous a pas consulté", regrette Nicolas Milko.
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par Did67 » 30/07/13, 15:50

En gros donc, c'est le même avis !

Je doute que d'acheter de l'électricité verte "pousse" à développer cette production !

a) Comme dit, il faudrait que la production devienne le facteur limitant - ce que je ne pense pas !

b) De toute façon, le tarif de vente est encore inférieur au prix de rachat subventionné. Donc pour l'instant, le "modèle éconpmique" passe par un subventionnement de la production via la C¨SPE en effet, CSPE qui s'applique sur toute consommation.

Et je trouve ça bien ! Cela revient à "plomber" un peu la facture de tout le monde et non pas à facturer le prix réel - prix massue - aux consommateurs "écolos" pioniers !

Ce sont bien deux modèles qui se juxtaposent.

D'un coté, avce le modèle CSPE, tout le monde paye la mutation vers "plus d'énergie renouvelable". Au fur et à mesure de leur développement, la facture de tous va s'aolurdir, les incitant à économiser.

D'un autre coté, avec le modèle Enercoop, certes louables, les consommateurs de courant "vert" paye le courant "vert" à son prix de marché. S'il n'y avait les barrages déjà amortis, ce prix serait de l'ordre de 30 à 40 cents sans doute...

Le modèle CSPE suppose de s'accomoder avec l'existant : EdF, le Caisse des Dépôts et Consignation (bras financier de l'Etat qui gère la CSPE)... Il est donc "mains dans le cambouis". Ou "contre-révolutionnaire. Mais implique tout le monde.

Le modèle Enercoop est idéologiquement "plus pur". Mais il n'implique que quelques pionniers. Son "poids" dans le débat énergétique est négligeable !

On pourrait faire une lecture politique : modèle "social-démocrate" ou "modèle militant"...!!!
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par chatelot16 » 30/07/13, 16:54

le role d'enercoop n'est pas que de vendre , il est aussi d'acheter !

il me semble qu'enercoop est le seul qui achete les petites production !

le systeme de CSPE serait bien sauf qu'il ne s'applique qu'aux producteur assez gros pour remplir des condition compliqué

acheter son electricité chez enercoop permet a enercoop d'acheter l'electricité de ceux qui ne pourait pas la vendre autrement

bien sur il serait encore mieux de modifier les reglement pour faire beneficier toutes les petites production de la CISPE
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par Did67 » 30/07/13, 17:19

chatelot16 a écrit :
il me semble qu'enercoop est le seul qui achete les petites production !


Pour le PV, EdF a l'obligation d'achat. Même s'ils traînent des pieds...

Pour l'éolien, je ne sais plus quelles sont les conditions.

Y'a peut-être le secteur de la petite hydraulique ? genre microturbine (anciens moulins), pour lesquels il n'y a pas de réglementation.

Enercoop utilisant le réseau de l'opérateur historique ne doit cependant pas échapper aux contraintes "techniques", genre découplage, avec des boitiers spécifiques / normes spécifiques / organisme agrée ???
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