Ahmed a écrit :Gfgh31, tu dis: "la grande Classe, pas de majuscule à dieu et majuscule à Révolution et Peuple".
Ce n'est pas une coquille: dieu, personnage sont indéfinis dans le contexte que j'ai choisi . Il s'agit d'un dieu ou d'un personnage quelconque, alors que la Révolution ou le Peuple faisait référence à des abstractions identifiables dans l'Histoire récente.
Je précise, puisque
j’ai encouragé le débat, que mes propos sont ici non intrusifs, pacifiques au sens du débat d’idées correspondant à ce fil, j’espère que comme Ahmed, chacun sera animé de “bonnes dispositions d’esprit” allant vers le “bien” et sans “s’autoriser” à quoi que ce soit (sous n’importe quel prétexte) penchant du mauvais côté (auquel cas les posts seront instantanément ignorés). Je ne vais même pas répondre à du “rentre-dedans” du moins je vais essayer.
Et, c’est bien curieux de devoir spécifier ces choses qui devraient aller de soi.
Peterr a écrit :Ahmed a écrit :Par définition toute langue est une construction culturelle, alors les majuscules...

Inventions de l'homme =
formatage de l'esprit = réactions allergiques !!
= maladies mentales

nous voilà non loin du cœur de la citation d’Etienne Klein. Encore Que le formatage de l’esprit peut être volontaire en tant que victoire sur soi et dans ce cas c’est
émancipatoire (Et non iatrogenic)
Reprenons. Ce qui me chicanait à la base (bien que je comprenne parfaitement qu’il faille fixer un contexte, mais sans qu’il soit automatique en s’imposant à nous et pas à n’importe quel prix), c’était cette sorte “
d'intentionalité supputée et conditionnée" du registre du bien pour “s’autoriser à faire le mal” qui était précisément aliénant dans un certain type de contexte. De prime abord (et après avoir gardé en tête la citation initiale, vue toujours comme choquante) un zoom arrière tel que proposé par sa “
re formulation “à sa sauce” par Ahmed débouche heureusement sur une sorte de mise en lumière sur deux plans distincts:
—
de l’explication donnée au sens strict, et qui se recentre sur les arguments décrits, le plus honnêtement possible car parfaitement plausibles si l’on admet le contexte, et qui dérapent presque automatiquement à un moment donné (sur le résumé dans la phrase et sa conclusion), qui se tient par le raisonnement aristotélicien: si […] “
cette condition [i]d’idée trop précise de ce qui est le bien” serait réunie dans le contexte décrit[/i] […] ALORS […]
on irait de facto vers l’effet d’écrit de “s’autoriser à” ….— du risque de bâtir des argumentations qui,
au lieu d'explorer le bien et le mal au sens large et en toute honnêteté, finissaient par
projeter des constructions mentales (teintées d’adversité sur la base du contexte initial posé) plutôt que des faits réels, car il y a un gros “hic”: comme personne n’obligerait quiconque à suivre ledit contexte, je me dis que…
le pire n’est pas certain —
si des milliards d’individus sur la planète règlent leur parcours sans (trop) de heurts dans leurs petites et humbles vies, car merci au sens de la responsabilité et l’éducation, merci aussi au lois (non Ahmed, nous ne partons pas de rien) les choses se passent bien en général, preuve en est les trės faibles effectifs de Police par rapport à la densité de population — je vois donc ça
non plus comme une réflexion philosophique mais comme un débat théorique (car en effet, pourquoi diable partir d’une situation peu plausible pour aboutir à une telle extrémité?)
si ce n’est de trouver leur justification de
finitude que dans leur propre discours? Leur propre théorisation et conceptualisation Cela illustre une dissociation entre la réflexion théorique et la réalité humaine, où l'empathie et la responsabilité devraient primer. Pour faire court, on a ici une sorte de théorisation ex nihilo, qui en général ne se vérifie pas dans la vie de tous les jours… Qui soudain bascule dans le contraire de l’expecté…
Ça ne se vérifie pas, Sauf si “projection mentale idoine, ou sauf… cas extrême…
(et là je ne vise personne dans ce débat, et pas non plus chez ceux qui pratiquent la “Danse de la pluie” puisque celle-ci est vue comme une bénédiction pour l’agriculture mais peut-être vue comme une malédiction pour le tourisme, ce qui explique bien que je suis rëceptif aux différents angles d’attaque du problème! Mais voilà, dans cette conceptualisation, le pire est loin d’être certain au vu de ce qui précède) le cas extrême est donné par Roland Gori: le basculement dû à un caractère psychopathe.
(Donc l’aspect maladie mentale détecté intuitivement par Peterr… Même si là non plus, le pire n’est pas certain, Macron n’a toujours pas “réussi son coup” d’emmener la France dans le chaos de la guerre (il le fait toujours en catimini, mais c’est bien avancé)…

Ainsi, sauf dans des cas extrêmes comme de renversement de gouvernements (putsch) guerres, et autres manipulations des sphères d’influences et de pouvoir, cas connus lorsque toute une société bascule dans le chaos, lorsque la raison à déjà perdu la partie et que l’irrationnel fait perdre le cap et fait basculer l’équilibre des forces de la société toute entière du côté obscur, le côté docile et civique inculqué depuis l’enfance aux populations, créant l’illusion de normalité momentanée (puisque l’ensemble de la société dérape en même temps, un peu comme lors du confinement). Voilà ce que j’en pense dans une première ébauche.
S’il y’a “projection mentale’ dans la contextualisation, ce n’est nullement une fatalité. Personne n’oblige personne à emprunter ce type de chemins périlleux… Jongler avec de telles extrêmes s’est peu vu dans l’histoire…
(A suivre,,,)