Christophe a écrit :Je vais toujours plus loin !
Plus loin qu'où ?
Christophe a écrit :Je vais toujours plus loin !
phil59 a écrit :On arrive dans un monde absurde ...
GuyGadebois a écrit :phil59 a écrit :On arrive dans un monde absurde ...
Comment ça "on arrive" ??? On y est depuis 40 ans Obamot....
phil59 a écrit :GuyGadebois a écrit :phil59 a écrit :On arrive dans un monde absurde ...
Comment ça "on arrive" ??? On y est depuis 40 ans Obamot....
Pas d'accord, ça s'emballe là depuis peu de temps ...
Désirer une Noire, c'est du racisme !
Nous on savait pas. C'est un site tout entier dévoué à l'antiracisme qui nous l'apprend.
I Il y a en a qui, sensibles à leur beauté gracieuse, aiment les Japonaises et les Chinoises. Il y en a qui fantasment sur les Russes aux jambes interminables. Il y en a qui en pincent pour les filles scandinaves. Même que l'on en connaît des, totalement dépourvus d'imaginations, qui n'ont d'yeux que pour les Bretonnes et pour les Normandes.
C'est une question de goût et dans les cas cités plus haut, ça ne pose aucun problème. Mais là où il y a scandale c'est quand des mâles blancs s'intéressent de très près aux filles noires.
Le site AJ+ français, une émanation d'Aljazeera, nous met en garde : "Désirer une fille en raison de la couleur de sa peau ou de son ethnie c'est du fétichisme. C'est à dire du racisme."
(...)
« Les communautarismes portent en eux une brutalité sans limites »
TRIBUNE. Éric Delbecque, expert en sécurité intérieure, fustige notre aveuglement face à la montée de l'ensauvagement quotidien.
Nous vivons dans une réalité totalement schizophrène. D'un côté, un climat idéologique de plus en plus pesant s'acharne à vouloir nous faire croire que nous sommes des victimes en puissance, des dominés, des preuves ambulantes d'une injustice quelconque, peu importe laquelle. Bien évidemment, pour qu'il existe des opprimés, il faut des « méchants », des bourreaux, des oppresseurs. Les activistes de tout poil – au sens propre parfois, au sens figuré en permanence – canardent donc l'État, le gouvernement et les forces de sécurité en poussant des cris d'orfraie lorsque les pouvoirs publics font leur travail : maintenir l'ordre public, condition élémentaire du système démocratique.
De l'autre, le constat alarmant, chaque jour plus évident, d'un ensauvagement du quotidien. La preuve nous en est fournie, une fois de plus, par deux drames déchirant la banalité de l'existence ordinaire. Un chauffeur de bus à Bayonne, Philippe Monguillot, perd la vie parce qu'il a voulu faire respecter la loi, parce qu'il a manifesté son choix d'une citoyenneté responsable. Peu de temps auparavant, une jeune gendarme de 25 ans, Mélanie Lemée, meurt sur un barrage routier, à Port-Sainte-Marie, fauchée mortellement par un automobiliste voulant échapper à un contrôle. Visiblement parce qu'il transportait de la drogue et qu'il circulait sans permis de conduire. En résumé, de petits délinquants décidèrent dans les deux cas de marcher sur les lois de la République.
(...)
Les brutes sont des brutes, pas des victimes.
N'importe quelle femme, n'importe quel homme, a le droit de contester, discuter, lutter pour ses convictions ou même ses intérêts. En revanche, dès qu'un individu choisit la violence pour s'imposer face aux décisions nées du vote, dès qu'il tente de s'exonérer des normes minimales de la vie en société, il mérite la rigueur, rationnelle et non vengeresse, du Code pénal. Refuser ce raisonnement, ce n'est pas choisir la liberté, c'est militer pour la barbarie.
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