donc pour que l'on comprenne, si tu veux dire par là que les panneaux solaires sont en fait "solaires thermiques," c'est ça...?Christophe a écrit :Oui elle est séparée…sinon le tampon devrait être sous pression…
L’eau du tampon ne va que dans les panneaux solaires. Que du contact avec du cuivre et la pompe inox. Pas de risque de boues.
Dans l'hypothèse raisonnable où qu'importe l'adjuvant pour limiter l'évaporation du solvant (eau) qu'importe sa forme (aqueuse, émulsion ou que sais-je, mais pas de la boue) il devienne miscible (ce qui est chimiquement probable, quoi que l'on fasse et qu'on le veuille ou non) et se retrouve de façon non désirée dans le circuit en 'solution', je verrais ces issues au problème :
— ne vaudrait-il pas évaluer en parts pour 1'000 litres, ce que ce phénomène pourrait produire ?
— faudrait-il vidanger tout le circuit et vider complètement la piscine une fois par an (de préférence avant la saison chaude) pour clarifier l'eau le plus possible de toute solution huileuse/cireuse résiduelle afin de minimiser les risques de dépôt? (Du moment que l'on a vu que la miscibilité ne pouvait être totalement exclue et serait à prendre en compte?)
Et combien cela coûterait-il en volume d'eau?
— et subsidiairement, ne faudrait-il pas tester le comportement d'une émulsion résiduelle sur cuivre et inox, jusqu'à la température de service la plus élevée possible et vérifier si la chaleur solaire réchauffant le fluide pourrait avoir des vertus auto-nettoyantes VS fixantes contre les parois (a contrario)? Et dans ce cas, quid de la perte de performance des "panneaux solaires thermiques" recouvert d'un dépôt?
(Mais je peux me tromper dans mes questions, par omission de l'un ou l'autre de certains facteurs ou mauvaise interprétation des problèmes possibles, juste des hypothèses)
Du coup il me vient l'idée ultime que plutôt que de t'enquiquiner à prendre des risques éventuels, pourquoi ne pas accepter la perte d'eau par évaporation, et se procurer une de ces citernes de 1000 l. que des paysans abandonnent au bord des champs (après traitement des cultures). D'y stocker temporairement de l'eau de pluie (ou récupérée par pompage/filtration discrète et occasionnelle de la rivière en contre-bas) et qui servirait à compenser l'eau évaporée...? Ceci via un ballon/ tampon thermique interne, pour la mettre à température ambiante avant remplissage Car remplacer l'eau évaporée, se fait petit-à-petit (de l'ordre du goûte-à-goûte?) et donc le prélèvement de la "ressource" serait minime, réparti dans le temps. Le reste du temps, tu réaliserais même des économies, puisque la citerne te servirait pour l'arrosage du jardin...
Ça résoudrait ton problème de coût lié à l'évaporation, de façon non délétère.