La spécialisation des individus, donc la focalisation de leur intelligence sur des problèmes restreints augmente considérablement l'entropie globale, mais le revers de la médaille, c'est que cette concentration sur les moyens fait perdre de vue la finalité*, on va dire holistique, et laisse le champ libre aux déterminismes... C'est probablement ce que résume Anaya avec sa formule: "Il [le cerveau] excelle dans l'intelligence de la connerie...".
* Qui ne se rapporte plus qu'aux moyens déployés par les autres...
Fonctionnement du cerveau : NBIC, conscience et cognitif, études, recherche, faits et mystères
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Re: Fonctionnement du cerveau : NBIC, conscience et cognitif, études, recherche, faits et mystères
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Re: Fonctionnement du cerveau : NBIC, conscience et cognitif, études, recherche, faits et mystères
D'où mon proverbe Shadok, très écolo-mental...
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Re: Fonctionnement du cerveau : NBIC, conscience et cognitif, études, recherche, faits et mystères
un autre rêve rassuriste! et simplisteJe pense qu'en misant au maximum sur l'efficience, les énergies renouvelables, sans négliger le nucléaire pour assurer la transition énergétique, on devrait pouvoir survivre à la période sombre de l'excès de CO2 qui va nous empoisonner pendant un bon bout de temps...
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Re: Fonctionnement du cerveau : NBIC, conscience et cognitif, études, recherche, faits et mystères
Le cerveau hypersensible
La sensibilité n’est pas une vue de l’esprit! Elle repose sur des bases cérébrales, et en partie génétiques. Ce que viennent établir un nombre croissant d’études.
tant donné l’engouement récent pour le concept d’hypersensibilité, on peut parfois se demander s’il n’y a pas là parfois une forme d’autopersuasion. En d’autres termes, certains individus, croyant se reconnaître dans le portrait que l’on fait de personnes à fleur de peau, se déclareraient hypersensibles et se présenteraient ainsi, que ce soit en société ou face à des médecins qui leur poseraient la question. En somme, l’hypersensibilité serait une question de ressenti, et non une donnée objective.
Sauf que… les humains ne sont pas les seuls à présenter divers seuils de sensibilité. Les animaux aussi sont plus ou moins sensibles. Il existe même des tests de sensibilité validés pour les chevaux ou pour les chiens. Et on ne peut pas les suspecter de vouloir rentrer dans un rôle social dicté par une mode du moment. En conséquence, il doit bien y avoir quelque chose de biologique dans cette affaire. De quoi inciter à chercher en quoi la génétique, le fonctionnement du cerveau ou les comportements observables distinguent les personnes ayant une plus grande sensibilité.
De fait, aujourd’hui, les recherches sur la personnalité plaident pour l’existence d’une influence génétique. En 2015, Tena Vukasović et Denis Bratko, tous deux chercheurs à l’université de Zagreb, ont publié une synthèse de 62 études portant au total sur plus de 100 000 participants. Il en ressort que, de façon générale, la personnalité d’un individu est en partie héritée génétiquement. Selon les méthodes utilisées pour estimer la part due à la génétique, on trouve une héritabilité moyenne variant de 22 % à 47 % – les plus grandes valeurs étant atteintes dans les études sur les jumeaux. Toujours moins de 50 % donc, mais jamais négligeable.
La génétique de la sensibilité
Aucune des 62 études incluses dans la synthèse de Vukasović et Bratko n’utilise de mesure de la sensibilité. Cependant, Elham Assary et quatre de ses collègues de l’université de Londres ont abordé cette question en 2021, faisant le pont entre la sensibilité et les autres traits de personnalité. En analysant la sensibilité de 2 868 jumeaux, ils montrent que les jumeaux monozygotes, qui partagent 100 % de leurs gènes, se ressemblent plus, du point de vue du caractère, que les jumeaux dizygotes, qui partagent environ 50 % de leurs gènes. Cette différence de niveau de proximité entre frères ou sœurs permettrait d’estimer l’héritabilité de la sensibilité à 47 %, ce qui signifie que 47 % des variations de sensibilité d’une personne à l’autre s’expliquent par les gènes. Une valeur classique dans les recherches sur la personnalité utilisant la méthode des jumeaux.
(...)
https://www.cerveauetpsycho.fr/sd/neuro ... -23281.php
La sensibilité n’est pas une vue de l’esprit! Elle repose sur des bases cérébrales, et en partie génétiques. Ce que viennent établir un nombre croissant d’études.
tant donné l’engouement récent pour le concept d’hypersensibilité, on peut parfois se demander s’il n’y a pas là parfois une forme d’autopersuasion. En d’autres termes, certains individus, croyant se reconnaître dans le portrait que l’on fait de personnes à fleur de peau, se déclareraient hypersensibles et se présenteraient ainsi, que ce soit en société ou face à des médecins qui leur poseraient la question. En somme, l’hypersensibilité serait une question de ressenti, et non une donnée objective.
Sauf que… les humains ne sont pas les seuls à présenter divers seuils de sensibilité. Les animaux aussi sont plus ou moins sensibles. Il existe même des tests de sensibilité validés pour les chevaux ou pour les chiens. Et on ne peut pas les suspecter de vouloir rentrer dans un rôle social dicté par une mode du moment. En conséquence, il doit bien y avoir quelque chose de biologique dans cette affaire. De quoi inciter à chercher en quoi la génétique, le fonctionnement du cerveau ou les comportements observables distinguent les personnes ayant une plus grande sensibilité.
De fait, aujourd’hui, les recherches sur la personnalité plaident pour l’existence d’une influence génétique. En 2015, Tena Vukasović et Denis Bratko, tous deux chercheurs à l’université de Zagreb, ont publié une synthèse de 62 études portant au total sur plus de 100 000 participants. Il en ressort que, de façon générale, la personnalité d’un individu est en partie héritée génétiquement. Selon les méthodes utilisées pour estimer la part due à la génétique, on trouve une héritabilité moyenne variant de 22 % à 47 % – les plus grandes valeurs étant atteintes dans les études sur les jumeaux. Toujours moins de 50 % donc, mais jamais négligeable.
La génétique de la sensibilité
Aucune des 62 études incluses dans la synthèse de Vukasović et Bratko n’utilise de mesure de la sensibilité. Cependant, Elham Assary et quatre de ses collègues de l’université de Londres ont abordé cette question en 2021, faisant le pont entre la sensibilité et les autres traits de personnalité. En analysant la sensibilité de 2 868 jumeaux, ils montrent que les jumeaux monozygotes, qui partagent 100 % de leurs gènes, se ressemblent plus, du point de vue du caractère, que les jumeaux dizygotes, qui partagent environ 50 % de leurs gènes. Cette différence de niveau de proximité entre frères ou sœurs permettrait d’estimer l’héritabilité de la sensibilité à 47 %, ce qui signifie que 47 % des variations de sensibilité d’une personne à l’autre s’expliquent par les gènes. Une valeur classique dans les recherches sur la personnalité utilisant la méthode des jumeaux.
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Re: Fonctionnement du cerveau : NBIC, conscience et cognitif, études, recherche, faits et mystères
Non elle n’est pas “une vue de l’esprit”.
La cognition (chose éminemment psychosensorielle) entraîne la fabrication de “produits” qui sont autant de messages biochimiques et/ou bioélectroniques, qui peuvent aboutir aux mêmes conséquences, par exemple chez des jumeaux — apparemment en très bonne forme physique — mais ayant soudain contracté la même pathologie (exemple: les frères Bogdanoff).
C’est pas pour rien que l’on peut: contrôler son rythme cardiaque par la pensée (médecine du stress) https://www.topsante.com/medecine/psych ... que-606987
Que des plongeurs sont capables de contrôler leur respiration en apnée et enchaînent les records de durée
https://fr.euronews.com/2021/07/24/apne ... -bi-palmes
Et la mère ou le père qui peuvent faire rire ou pleurer bébé d’un simple regard?
La cognition (chose éminemment psychosensorielle) entraîne la fabrication de “produits” qui sont autant de messages biochimiques et/ou bioélectroniques, qui peuvent aboutir aux mêmes conséquences, par exemple chez des jumeaux — apparemment en très bonne forme physique — mais ayant soudain contracté la même pathologie (exemple: les frères Bogdanoff).
C’est pas pour rien que l’on peut: contrôler son rythme cardiaque par la pensée (médecine du stress) https://www.topsante.com/medecine/psych ... que-606987
Que des plongeurs sont capables de contrôler leur respiration en apnée et enchaînent les records de durée
https://fr.euronews.com/2021/07/24/apne ... -bi-palmes
Et la mère ou le père qui peuvent faire rire ou pleurer bébé d’un simple regard?
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“Le “mal” porte en lui-même sa propre condamnation”
Liste de faux-nez présumés en “ignorés”: GuyGadeboisLeRetour,alias: Twistytwik, Plasmanu, GuyGadebois, gfgh64, etc
Liste de faux-nez présumés en “ignorés”: GuyGadeboisLeRetour,alias: Twistytwik, Plasmanu, GuyGadebois, gfgh64, etc
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Re: Fonctionnement du cerveau : NBIC, conscience et cognitif, études, recherche, faits et mystères
Le point sur les HPI / HPE :
« Les HPI sont un défi pour notre éducation »
On est passé vis à vis des hauts potentiels intellectuels du déni – voire de la réprobation – à une fascination et à l’émergence d’un fait de société, nous explique Jacques Grégoire, professeur à l’université catholique de louvain er spécialiste du diagnostic de l’intelligence et des troubles de l’apprentissage.
« Les HPI sont un défi pour notre éducation »
On est passé vis à vis des hauts potentiels intellectuels du déni – voire de la réprobation – à une fascination et à l’émergence d’un fait de société, nous explique Jacques Grégoire, professeur à l’université catholique de louvain er spécialiste du diagnostic de l’intelligence et des troubles de l’apprentissage.
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Re: Fonctionnement du cerveau : NBIC, conscience et cognitif, études, recherche, faits et mystères
Des motivations qui résistent à la fatigue grâce aux neurosciences | Bernard Anselem
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Re: Fonctionnement du cerveau : NBIC, conscience et cognitif, études, recherche, faits et mystères
Ceux qui se reconnaissent levez le doigt…
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Re: Fonctionnement du cerveau : NBIC, conscience et cognitif, études, recherche, faits et mystères
La jalousie maternelle ou paternelle…vlà autre chose dans notre société malade !!
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