Les avancées de la lutte contre le coronavirus

Comment rester en bonne santé et prévenir les risques et ses conséquences sur votre santé et la santé publique. Maladies professionnelles, risques industriels (amiante, pollutions de l'air, les ondes électromagnétiques...), risques de société (stress au travail, surconsommation de médicaments...) et individuels (tabac, alcool...).
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Re: Les avancées de la lutte contre le coronavirus




par VetusLignum » 21/04/21, 01:22

VetusLignum a écrit :Un article sur les macrolides, et en particulier l'azithromycine.
https://www.frontiersin.org/articles/10 ... 42313/full


Et aussi un article sur le fluvoxamine :
https://www.frontiersin.org/articles/10 ... 52688/full

Et un autre sur l'ivermectine :
https://www.frontiersin.org/articles/10 ... 63586/full
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Christophe
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Re: Les avancées de la lutte contre le coronavirus




par Christophe » 21/04/21, 02:40

Obamot a écrit :S’anti-dépresser” soit-même, sans molécule chimique (aller se promener, avoir confiance et joie de vivre, se sortir du stress, bien dormir et bien manger, etc)
ça marche aussi du tonnerre!


C’est pas le sujet mais tu as oublié le fondamental d’une dépression : l’environnement et accompagnement humain !

D’aucun disent qu’avant de diagnostiquer une dépression il faut vérifier de ne pas être entouré de connards ! Et ils ont raison...

Comment l’humanité a t elle fait pendant 50 000 ans sans anti dépresseurs ? :cheesy: :cheesy: :cheesy:

Lire sante-pollution-prevention/psychologie-depister-la-depression-par-prise-de-sang-t16825.html
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Re: Les avancées de la lutte contre le coronavirus




par Macro » 21/04/21, 06:55

Christophe a écrit :
D’aucun disent qu’avant de diagnostiquer une dépression il faut vérifier de ne pas être entouré de connards ! Et ils ont raison...

Comment l’humanité a t elle fait pendant 50 000 ans sans anti dépresseurs ? :cheesy: :cheesy: :cheesy:



En limitant ses contacts avec les autres :cheesy: :cheesy: :cheesy: Les gestes barriere ca protege de beaucoup de pathologies
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Re: Les avancées de la lutte contre le coronavirus




par Christophe » 21/04/21, 10:32

Ca dépend...car dans le cas de la dépression : l'isolement et la solitude sont des causes aggravantes !

Je crois avoir entendu que 30% des adultes en France prenaient un traitement "psychologique" depuis la crise covid (+ ou - lourd)...donc que la crise avait fait exploser les chiffres ! :arrow: sante-pollution-prevention/covid-psychologique-degats-debat-aides-et-soutiens-t16624.html

La France était déjà la championne du monde en consommation par habitant...avant le covid, je crois que 5% des Français étaient en permanence en dépression (ça c'est à cause des connards autour d'eux !)...Chiffre à vérifier !
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Re: Les avancées de la lutte contre le coronavirus




par Macro » 21/04/21, 10:43

Sur 10 personnes que tu croises dans la rue... 3 auraient besoin de soins psycho et ne les ont pas... Donc pas étonnant le chiffre de 30% de la population qui consomment des ad...
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Re: Les avancées de la lutte contre le coronavirus




par Obamot » 21/04/21, 12:37

Christophe a écrit :
Obamot a écrit :S’anti-dépresser” soit-même, sans molécule chimique (aller se promener, avoir confiance et joie de vivre, se sortir du stress, bien dormir et bien manger, etc)
ça marche aussi du tonnerre!


1 C’est pas le sujet, mais tu as oublié le fondamental d’une dépression : l’environnement et accompagnement humain !

2 D’aucun disent qu’avant de diagnostiquer une dépression il faut vérifier de ne pas être entouré de connards ! Et ils ont raison...

3 Comment l’humanité a t elle fait pendant 50 000 ans sans anti dépresseurs ? :cheesy: :cheesy: :cheesy:

Lire sante-pollution-prevention/psychologie-depister-la-depression-par-prise-de-sang-t16825.html

1) C’est pas moi qui ai commencé, mais OUI c’est en partie le sujet puisque la précarité et la promiscuité sont un terrain favorable à l’écosystème du virus. C’est devenu une responsabilité que de régler le problème de la pauvreté.

2) C’est as toujours possible. Quand tu vis dans un appart. tu dépend de cet appart.
Donc si y’a des con(flits) dans l’appart. chacun en paye un certain prix.

3) En effet, c’est le problème sociétal qui tient à l’humain et qui tient en partie au fait que pour vivre en société, on doit accepter/gérer certaines contraintes, et que par ailleurs, le fait d’avoir baigné dans les contraintes depuis même avant la naissance (dans le ventre de la mère, puisque le fœtus est de complètement dépendant de l’état de santé mental et physique de la mère) fait que nous avons BESOINS de contrainte (le “besoin de contrainte” de A. Masslow, cité dans les cours, mais qui n’apparaît pas dans sa pyramide des besoins). D’ailleurs certaines contraintes nous sauvent la vie.

Donc l’humanité elle s’en est accommodée, elle s’est adaptée, d’ailleurs la théorie de l’évolution de Darwin, n’est-elle pas fondée sur le principe: contrainte => adaptation.

Pour le covid, les responsables (jusqu’au plus haut niveau de l’État) qui n’ont pas vu que de se plonger tous les jours dans l’univers anxiogène des courbes de contamination et d’intox mainstream de “ressassement perpétuel du message”, avait fait bondir la mortalité par 6x via l’explosion d’autres pathologies, devraient prendre plus conscience qu’il faut freiner le terrain de contamination verbale des m’as-tu-vu connards et non l’inverse. C’est ce que n’ont pas compris notamment les gestionnaires des réseaux (as)sociaux — qui sont utilisés par lesdits “connards” comme une arme, pour nuire ã leur prochain — et ceux qui voyant l’aubaine, ont donc instrumentalisés certains “connards” à des fins politiques et même économique voire criminelles. Ça apparaît sur plusieurs créneaux, chaque fois que sur le web il y a moyen de laisser des commentaires.

Les “connards” c’est comme les métastases, comme un virus, à défaut de traitement précoce des causes, on paye le prix ensuite.

Quand c’est pas possible de faire autrement que de “les gérer”, oui, ...fuyons les cons :mrgreen:
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Re: Les avancées de la lutte contre le coronavirus




par sicetaitsimple » 21/04/21, 13:00

Obamot a écrit :Pour le covid, les responsables (jusqu’au plus haut niveau de l’État) qui n’ont pas vu que de se plonger tous les jours dans l’univers anxiogène des courbes de contamination et d’intox mainstream de “ressassement perpétuel du message”, avait fait bondir la mortalité par 6x via l’explosion d’autres pathologies,


Ah bon, la mortalité a bondit par 6 fois? Où ça, quand ça, quelles pathologies, et surtout sources?
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Re: Les avancées de la lutte contre le coronavirus




par izentrop » 21/04/21, 15:37

Gouttelette ou aérosol ?
Des avancées sur la connaissance de la transmission des virus dans l'air selon une étude du Lancet (traduction automatique)
Des décennies de recherches minutieuses, qui n’incluaient pas la capture d’agents pathogènes vivants dans l’air, ont montré que les maladies autrefois considérées comme propagées par les gouttelettes étaient en suspension dans l'air .4 Dix sources de données appuient collectivement l’hypothèse selon laquelle le SRAS-CoV-2 est transmis principalement par la route aérienne.5 (par aérosol)
Explication en 10 points
- Premièrement, les événements de surpreading expliquent une transmission importante du SRAS-CoV-2; en effet, de tels événements peuvent être les principaux moteurs de la pandémie.6 Des analyses détaillées des comportements et des interactions humaines, de la taille des pièces, de la ventilation et d’autres variables dans les concerts de chorales, les navires de croisière, les abattoirs, les foyers de soins et les établissements correctionnels, entre autres, ont montré des modèles , par exemple, la transmission à longue portée et la surdispersion du numéro de reproduction de base (R0), discuté ci-dessous , compatible avec la propagation aérienne du SRAS-CoV-2 qui ne peut pas être adéquatement expliquée par des gouttelettes ou des fomites.6 L’incidence élevée de tels événements suggère fortement la dominance de la transmission d’aérosol.

- Deuxièmement, la transmission à longue portée du SRAS-CoV-2 entre les personnes vivant dans des chambres adjacentes, mais jamais en présence de l’autre a été documentée dans les hôtels de quarantaine.7 Historiquement, il n’était possible de prouver la transmission à longue portée qu’en l’absence totale de transmission communautaire.4

- Troisièmement, la transmission asymptomatique ou présymptomatique du SRAS-CoV-2 par des personnes qui ne toussent pas ou n’éternuent pas est susceptible de représenter au moins un tiers, et peut-être jusqu’à 59 %, de toute transmission à l’échelle mondiale et est un moyen clé de propagation du SRAS-CoV-2 dans le monde entier,8 d’un mode de transmission principalement aéroporté. Les mesures directes montrent que parler produit des milliers de particules d’aérosol et peu de grosses gouttelettes,9 qui prend en charge la route aérienne.

- Quatrièmement, la transmission du SRAS-CoV-2 est plus élevée à l’intérieur qu’à l’extérieur10 et est considérablement réduite par la ventilation intérieure.5 Les deux observations appuient une voie de transmission principalement aéroportée.

- Cinquièmement, les infections nosocomiales ont été documentées dans les organisations de soins de santé, où il y a eu des précautions strictes en matière de contact et de gouttelette et l’utilisation d’équipement de protection individuelle (EPI) conçu pour se protéger contre l’exposition aux gouttelettes, mais pas aux aérosols.11

- Sixièmement, un SRAS-CoV-2 viable a été détecté dans l’air. Dans le cadre d’expériences en laboratoire, le SRAS-CoV-2 est resté infectieux dans l’air jusqu’à 3 h avec une demi-vie de 1·1 h.12 Viable SRAS-CoV-2 a été identifié dans des échantillons d’air provenant de pièces occupées par des patients covid-19 en l’absence de procédures de soins de santé génératrices d’aérosols13 et dans des échantillons d’air de la voiture d’une personne infectée.14 Bien que d’autres études n’aient pas permis de saisir le SRAS-CoV-2 viable dans les échantillons d’air, il faut s’y attendre. L’échantillonnage du virus en suspension dans l’air est techniquement difficile pour plusieurs raisons, y compris l’efficacité limitée de certaines méthodes d’échantillonnage pour la collecte des particules fines, la déshydratation virale pendant la collecte, les dommages viraux dus aux forces d’impact (entraînant une perte de viabilité), la réaérosolisation du virus pendant la collecte et la rétention virale dans l’équipement d’échantillonnage.3 La rougeole et la tuberculose, deux maladies principalement aéroportées, n’ont jamais été cultivées dans l’air de la pièce.15

- Septièmement, le SRAS-CoV-2 a été identifié dans les filtres à air et les conduits de construction dans les hôpitaux avec des patients atteints de COVID-19; ces emplacements ne pouvaient être atteints que par des aérosols.16

- Huitièmement, des études portant sur des animaux en cage infectés qui étaient reliés à des animaux non infectés en cage séparée par l’intermédiaire d’un conduit d’air ont montré la transmission du SRAS-CoV-2 qui ne peut être expliquée adéquatement que par des aérosols.17

- Neuvièmement, aucune étude à notre connaissance n’a fourni de preuves solides ou cohérentes pour réfuter l’hypothèse d’une transmission aéroportée du SRAS-CoV-2. Certaines personnes ont évité l’infection par le SRAS-CoV-2 lorsqu’elles ont partagé de l’air avec des personnes infectées, mais cette situation pourrait s’expliquer par une combinaison de facteurs, y compris la variation de la quantité d’excrétion virale entre les personnes infectieuses par plusieurs ordres de grandeur et différentes conditions environnementales (en particulier de ventilation).18 Les variations individuelles et environnementales signifient qu’une minorité de cas primaires (notamment les individus qui exédant des niveaux élevés de virus à l’intérieur, des environnements surpeuplés avec une mauvaise ventilation) représentent la majorité des infections secondaires, ce qui est étayé par des données de recherche de contacts de haute qualité provenant de plusieurs pays.19, 20 Une grande variation de la charge virale respiratoire du SRAS-CoV-2 contrebalait les arguments selon qui le SRAS-CoV-2 ne peut pas être en suspension dans l’air parce que le virus a un R plus faible0 (estimé à environ 2·5)21 rougeole (estimée à environ 15),22 d’autant plus que R0, qui est une moyenne, ne tient pas compte du fait que seule une minorité d’individus infectieux perdent de grandes quantités de virus. Surdispersion de R0 est bien documenté dans COVID-19.23

- Dixièmement, il y a peu de preuves à l’appui d’autres voies dominantes de transmission, c’est-à-dire la gouttelette respiratoire ou la fomite.9, 24 La facilité d’infection entre les personnes proches les unes des autres a été citée comme preuve de la transmission respiratoire des gouttelettes du SRAS-CoV-2. Cependant, la transmission à proximité dans la plupart des cas ainsi que l’infection lointaine pour quelques-uns lors du partage de l’air est plus susceptible de s’expliquer par la dilution des aérosols expirés avec la distance d’une personne infectée.9 L’hypothèse erronée selon laquelle la transmission par proximité implique de grandes gouttelettes respiratoires ou fomites a toujours été utilisée pendant des décennies pour nier la transmission aérienne de la tuberculose et de la rougeole.15, 25 Cela est devenu un dogme médical, ignorant les mesures directes des aérosols et des gouttelettes qui révèlent des défauts tels que le nombre écrasant d’aérosols produits dans les activités respiratoires et la limite arbitraire de la taille des particules de 5 μm entre les aérosols et les gouttelettes, au lieu de la limite correcte de 100 μm.15, 25 On soutient parfois que puisque les gouttelettes respiratoires sont plus grosses que les aérosols, elles doivent contenir plus de virus. Toutefois, dans les maladies où les concentrations d’agents pathogènes ont été quantifiées par la taille des particules, les aérosols plus petits présentaient des concentrations pathogènes plus élevées que les gouttelettes lorsque les deux ont été mesurées.15

En conclusion, nous proposons qu’il s’agit d’une erreur scientifique d’utiliser l’absence de preuves directes du SRAS-CoV-2 dans certains échantillons d’air pour jeter le doute sur la transmission aérienne tout en négligeant la qualité et la solidité de la base globale de données probantes. Il existe des preuves solides et cohérentes que le SRAS-CoV-2 se propage par transmission aérienne. Bien que d’autres itinéraires puissent contribuer, nous croyons que la route aérienne est susceptible d’être dominante. Le milieu de la santé publique devrait agir en conséquence et sans plus tarder. l'étude
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Re: Les avancées de la lutte contre le coronavirus




par ABC2019 » 21/04/21, 17:31

sicetaitsimple a écrit :
Obamot a écrit :Pour le covid, les responsables (jusqu’au plus haut niveau de l’État) qui n’ont pas vu que de se plonger tous les jours dans l’univers anxiogène des courbes de contamination et d’intox mainstream de “ressassement perpétuel du message”, avait fait bondir la mortalité par 6x via l’explosion d’autres pathologies,


Ah bon, la mortalité a bondit par 6 fois? Où ça, quand ça, quelles pathologies, et surtout sources?

bizarre, on ne voit rien sur euromomo en dehors des pics covid ...
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Mééé nie nui allé a des fetes avec 200 personnes et n'iai meme pas été maladee moiiiiiii (Guignol des bois)
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Re: Les avancées de la lutte contre le coronavirus




par Adrien (ex-nico239) » 21/04/21, 19:31

Le site officiel du gouvernement anglais lance la Task Force Antivirale afin de trouver des traitements précoces contre le covid avant l'automne

Le principe des traitements précoces n'est donc plus évacué d'un revers de manche dédaigneux... les temps changent et les mentalités évoluent
Dommage que ce soit avec une année de retard, mais bon fallait d'abord vendre du vaccin

version originale
https://www.gov.uk/government/news/gove ... his-autumn

la traduction
https://translate.google.com/translate? ... &sandbox=1
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