La France est l’un des pires élèves européens en matière de vaccination.

Comment rester en bonne santé et prévenir les risques et ses conséquences sur votre santé et la santé publique. Maladies professionnelles, risques industriels (amiante, pollutions de l'air, les ondes électromagnétiques...), risques de société (stress au travail, surconsommation de médicaments...) et individuels (tabac, alcool...).
janic
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Re: La France est l’un des pires élèves européens en matière de vaccination.




par janic » 30/11/18, 08:27

En Israël, le retour de la rougeole lié au mouvement anti-vaccin chez les religieux
Par Guillaume Gendron, Correspondant à Tel-Aviv — 28 novembre 2018 à 08:28
article aussi nul et anxiogène que celui de son initiateur Pasteur et même discours destiné à rassurer les peureux produits.(carotte /bâton) Pasteur a manipulé la réalité pour crédibiliser son action et de même un cas ne fait pas une généralité, surtout sans informations circonstanciées.
Les fanatiques vaccineux ne sont pas à ça près que de crier au loup, sans raison réelle. pour rappel en France, à ce jour, 3 décès dont 2, soit 66%, de vaccinés. (ça c'est aussi un discours anxiogène quand on veut se livrer à ce type de discours absurde et pourtant bien réel statistiquement.)
http://www.laicite-republique.org/en-israel-le-retour-de-la-rougeole-lie-au-mouvement-anti-vaccin-chez-les.html
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La laïcité n’est pas une opinion, c’est la liberté d’en avoir une

Sauf que dans ce domaine, la liberté leur semble inacceptable.
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Re: La France est l’un des pires élèves européens en matière de vaccination.




par izentrop » 30/11/18, 08:39

Tes arguments sont hors contexte que je rappelle :
Ils s'agit de parents qui choisissent les préceptes de leur croyances, plutôt que le bien de leurs enfants, en ne faisant pas confiance à la médecine scientifique qui a fait ses preuves, elle.
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janic
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Re: La France est l’un des pires élèves européens en matière de vaccination.




par janic » 30/11/18, 11:27

Messagepar izentrop » 30/11/18, 09:39

Tes arguments sont hors contexte que je rappelle :
Ils s'agit de parents qui choisissent les préceptes de leur croyances, plutôt que le bien de leurs enfants, en ne faisant pas confiance à la médecine scientifique qui a fait ses preuves, elle.
tu marches complètement à coté de tes pompes. renseignes toi sérieusement ailleurs que chez tes sectes provaxx.

a) les parents en question avaient choisi, selon leurs croyances, de faire vacciner leurs enfants, mais pas de bol, ils en sont les victimes soit mortellement, soit handicapés à vie.
b) si ç'est ça pour le bien de leurs enfants qu'en serait-il s'ils avaient choisi pour le mal de leurs enfants?
c) c'est parce qu'ils ont fait confiance à la médecine officielle que leurs enfants et des adultes sont devenus des victimes.
d) quant aux preuves on attend toujours celles-ci qui, jusqu'à présent, n'ont pas même montré le bout de leur nez.

Par contre et là c'est scientifiquement incontestable:
http://autreversion.info/Image/graphique%201.jpg
Décès dus à la rougeole en France. (Absence de données pour les années 1922-1924 et 1937-1939.)

(Annuaire statistique de la France.
tu ne vas tout de même pas dire que c'est de la pub antivaxx!

http://autreversion.info/Rougeole.htm
La rougeole

« La rougeole, une des maladies dites bénignes de l'enfance, mérite pleinement cette appellation en France. » C'est ce que l'on pouvait lire en 1976 dans Le Concours médical. L'année suivante, le Pr Bastin, que l'on ne peut pas soupçonner d'avoir été hostile aux vaccinations, confirmait ce propos en ces termes : « II serait difficile de vacciner systématiquement chez nous où la maladie est bénigne puisque, sur 100 rougeoleux hospitalisés [donc des cas choisis pour leur sévérité], la mortalité est de 0,17.»
Pourtant, en 1989 au cours d'une conférence de presse à l'occasion du lancement du programme d'incitation à la vaccination contre la rougeole et la rubéole, le Pr Roux, directeur général de la Santé, présentait «les moyens qui [seraient] mis en œuvre pour sensibiliser les médecins et le grand public à la gravité de ces maladies [aux] lourdes conséquences». Ainsi, en l'espace de six années, la rougeole était passée du statut de maladie bénigne au rang de maladie grave. Qu'en était-il donc de cette gravité en 1983 ?
Nombreux sont ceux qui estiment que la rougeole à disparue grâce à la vaccination, c'est faux !!Le graphique ci-dessous traduit la régression du nombre de décès dus à la rougeole, ces données étant évidemment plus fiables que celles relatives au nombre de cas étant donné la bénignité de la maladie et la sous-déclaration qui en résulte


Décès dus à la rougeole en France. (Absence de données pour les années 1922-1924 et 1937-1939.)
(Annuaire statistique de la France.

Entre 1906 et 1983, année du lancement de la campagne de vaccination, le nombre de morts dus à la rougeole est passé de 3 754 à 20, soit une diminution de 99,95 % malgré une augmentation parallèle de la population de 33 % (Annuaire statistique de la France). Quel intérêt y avait-il à vacciner toute la population infantile ?

L'argument utilisé pour provoquer la peur des mères a été la survenue possible de deux complications graves liées à la rougeole : l'encéphalite morbilleuse et la P.E.S.S., qui d'ailleurs peuvent se produire aussi après la vaccination. Or, en 1934, année où la rougeole tuait encore 1 349 malades, on pouvait lire « sur plusieurs centaines de rougeoles que, depuis deux ans, nous avons suivies à l'hôpital Claude Bernard, tant chez les enfants que chez les adultes, il ne nous a été donné d'observer qu'un seul cas d'encéphalite morbilleuse »

En 1983, année du déclenchement de la campagne de vaccination antirougeoleuse, il avait été enregistré 11 encéphalites postrougeoleuses et 12 P.E.S.S.

Où était donc l'impérieuse nécessité et l'urgence d'organiser ces campagnes massives de vaccination d'autant plus que le Pr Bastin faisait remarquer plusieurs années auparavant : « II est évident qu'une vaccination générale fait courir le risque de rougeoles d'adulte et de rougeoles du nouveau-né plus graves. Cette vaccination ne doit pas être systématique. »

D'après Le Quotidien du médecin citant une étude britannique, la létalité due à la rougeole est minimale entre 5 et 9 ans (âge habituel autrefois de la rougeole) mais elle est 4 fois plus élevée chez les nourrissons de moins d'un an et 8,5 plus élevée après 25 ans. Ces données n'étaient pas nouvelles puisque les experts de l'OMS notaient, dès 1950 (!), que ne connaissant pas d'agent capable d'immuniser contre la rougeole (à l'époque), si un tel agent venait à être découvert « son emploi devrait être limité, à moins qu'il ne soit prouvé qu'il confère l'immunité pour toute la vie au prix de risques très restreints. Une méthode assurant une immunité de quelques années seulement aurait pour effet de retarder l'apparition de la maladie (alors que c'est pendant la seconde enfance qu'elle présente le moins d'inconvénients et de dangers) jusqu'à l'âge adulte, où elle a un caractère plus sérieux».

Persuadés qu'une dose d'un puissant vaccin atténué protégerait toute la vie, les Etats-Unis ont planifié une vaccination à grande échelle en 1965 et obtenu rapidement une chute spectaculaire des cas ; mais, vers la fin des années 1980, leur nombre a commencé à réaugmenter fortement avec une létalité plus élevée et un déplacement vers les très jeunes nourrissons et les adultes comme l'avait prédit le Pr Bastin 10 ans auparavant. Cela a conduit les responsables américains à recommander un rappel depuis 1989.
Les mêmes causes produisant les mêmes effets, un phénomène identique s'observe actuellement en France et en Suisse, d'où la campagne actuelle pour inciter à faire un rappel à l'âge de 6 ans, en attendant peut-être un second rappel vers 15 ans.

Cette modification de l'épidémiologie de la rougeole n'est paradoxale qu'en apparence. Elle s'explique très bien par le fait que l'immunité vaccinale est moins durable que celle conférée par la maladie. L'évolution se fait alors en deux phases :

- Dans un premier temps, la vaccination confère une certaine immunité. Le virus sauvage continuant à circuler, les réinfections des sujets vaccinés jouent le rôle de rappel et renforcent cette immunité. Le groupe des sujets réceptifs diminue donc et le nombre des cas chute.
- Dans la période qui suit, la circulation du virus sauvage s'étant réduite en raison du moindre nombre de malades, les réinfections deviennent plus rares et le rappel qu'elles produisaient disparaît. L'immunité vaccinale s'évanouissant au fil des ans, il apparaît progressivement une population d'adultes non protégés, parmi lesquels des femmes qui ne transmettront plus d'anticorps au cours de leurs grossesses. Les nouveau-nés deviennent donc réceptifs au même titre que les adultes.

Compte tenu de ces observations, une modélisation mathématique a été réalisée pour prévoir ce que deviendra la rougeole. Malgré toutes les campagnes d'incitation à la vaccination, la couverture vaccinale pour la rougeole n'est que d'environ 80 %. À ce niveau de couverture et même si la revaccination à 12 ans était bien acceptée, «on n'éviterait pas des épidémies impliquant jusqu'à 200 000 cas tous les 4 à 5 ans». C'est pourquoi la revaccination est proposée à 6 ans. Si la couverture vaccinale augmente et si la revaccination est bien acceptée, « il semble qu'on n'empêche pas une augmentation prochaine du nombre des cas, mais qu'aucune épidémie d'importance n'apparaisse plus ultérieurement ». Comme on le voit, la partie est loin d'être gagnée. Les sommes englouties dans cette aventure, pour éliminer une maladie réputée bénigne, ajuste titre selon le corps médical lui-même, auraient sans doute été mieux utilisées ailleurs.

On comprend donc pourquoi des épidémies de rougeole sont déjà survenues dans des populations bien vaccinées. Il s'en est produit plusieurs aux Etats-Unis y compris dans des communautés scolaires vaccinées à plus de 99 %. Au cours de ces épidémies, 30 à 100 % des cas de rougeole surviennent chez des vaccinés. On trouve toujours une bonne raison pour expliquer les échecs (vaccination trop tardive, vaccin pas assez puissant, etc.), mais on a peine à penser que ces résultats n'amènent pas une révision des politiques vaccinales. En France, outre le déplacement de l'âge moyen de la rougeole, on observe l'augmentation de la proportion des cas survenant chez les vaccinés, passant de 3 % en 1985 à 27% en 1994.

Le même phénomène apparaît pour les oreillons pour lesquels la proportion des cas survenus chez les vaccinés est passée de 22 % en 1992 à 30 % en 1993, 37 % en 1994 et 61 % en 2001. En Suisse, cette proportion a même atteint 75 %.

Bien entendu, le tiers-monde n'est pas plus épargné. Parmi les exemples rapportés, citons l'épidémie survenue à Harare (au Zimbabwe) où la couverture vaccinale était de 83 %, et au cours de laquelle un tiers des cas ont dû être hospitalisés, ce qui est inhabituel. La rougeole serait-elle plus grave quand elle survient dans une population vaccinée ?

On serait tenté de le croire également à propos de l'épidémie survenue au Niger en 1992 où, au cours d'une flambée en zone rurale, « on a observé avec surprise que la vaccination ne semblait pas affecter le taux de létalité de manière significative : 20,4 % parmi les cas vaccinés, 16,7 % chez les non»vaccinés ».

On serait tout de même en droit de dire que la létalité était nettement plus élevée chez les vaccinés. Mais là encore il y avait une bonne explication à cet échec, « la raison étant peut-être l'extrême chaleur qui règne dans la région et qui rend très difficile la distribution d'un vaccin actif». Alors, une fois de plus, pourquoi s'obstiner à utiliser une méthode dont on ne peut assurer les bonnes conditions d'application ? On sait pertinemment que la gravité de la rougeole dans ces pays est renforcée par la malnutrition, le déficit en vitamine A, une plus grande fréquence de la diarrhée (due à la mauvaise qualité de l'eau) et un manque d'hygiène qui favorise les surinfections. Les rougeoles survenant dans ces conditions sont graves en raison d'une part du déficit immunitaire lié aux causes évoquées ci-dessus et d'autre part à la profonde immunodépression provoquée par la rougeole elle-même. Ne serait-il pas plus simple, et certainement plus efficace, d'améliorer le niveau de vie de ces populations ?

Et s'il valait mieux exprimer sa rougeole ?

Plusieurs études ont démontré que les sujets n'ayant pas subi les maladies infantiles, et notamment la rougeole, avaient plus fréquemment certaines pathologies à l'état adulte. Ainsi, un article publié dans The Lancet en 1985 rapporte « une association hautement significative entre l'absence d'éruption rougeoleuse et quatre catégories de maladies : maladies immunoréactives, maladies sébacées de la peau, maladies dégé-nératives de l'os et du cartilage et certaines tumeurs ».

L'explication pourrait être la suivante. Comme tous les virus, celui de la rougeole entraîne le développement d'une immunité à médiation cellulaire. Les enfants souffrant d'agammaglobulinémie (donc incapables de former des anticorps) peuvent présenter une éruption rougeoleuse et développer une immunité alors que ceux qui souffrent d'une mauvaise immunité cellulaire sont atteints d'une pneumonie à cellules géantes sans développer d'éruption. De plus, on observe que le virus rougeoleux disparaît des cellules de la peau trois à quatre jours après le début de l'éruption
.
On suppose donc que cette éruption est due à une réaction immunitaire à médiation cellulaire qui détruit les cellules infectées de la peau. L'absence d'éruption correspondrait donc à un déficit d'immunité cellulaire contre le virus de la rougeole qui, persistant dans l'organisme, pourrait, malgré (ou à cause de) la présence d'anticorps, provoquer des troubles à l'état adulte. La présence d'anticorps au moment de l'infection interférerait avec la réponse immunitaire en altérant la réponse cellulaire.

Cela a une conséquence pour l'immunisation des jeunes enfants. En effet, pour ceux dont la primovaccination contre la rougeole est précoce (avant 10 mois), la présence d'anticorps induit un effet suppresseur à long terme qui fait échec à la revaccination plusieurs années plus tard. Ne risque-t-on pas un tel effet avec les rappels prévus maintenant à l'âge de 6 ans chez des enfants déjà vaccinés et donc en principe porteurs d'anticorps ? Si tel était le cas, la politique vaccinale entreprise il y a quinze ans serait un fiasco encore plus grand. En voulant substituer à l'immunité naturelle, solide et durable, une immunité vaccinale éphémère, les vaccinalistes ont mis le doigt dans un engrenage redoutable. Dès le départ, la réapparition de rougeoles graves chez les nourrissons et les adultes avait été prédite. Elle se concrétise actuellement. Mais ce premier échec annoncé pourrait être renforcé si les effets suppresseurs des rappels se confirmaient. Où sera le bénéfice pour la santé publique et pour les finances de la Sécurité sociale puisque ces vaccins sont remboursés ?



Tiré du livre "Vaccinations, les vérités indésirables" édité aux éditions Dangles

De Michel Georget
Agrégé de Biologie, professeur honoraire des classes préparatoires aux grandes écoles biologiques
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Exnihiloest
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Rappel de l'intérêt de la vaccination




par Exnihiloest » 30/11/18, 17:31

"La vaccination

La vaccination est l'un des grands succès de la santé publique. Des millions de vies ont pu être sauvées grâce à ce geste de prévention. En France, l'arrêt de la transmission, voire l'élimination de certaines maladies infectieuses est possible si chacun recourt à la vaccination pour se protéger mais aussi pour protéger les autres, enfants et adultes plus fragiles du fait de leur âge ou de leur état de santé et qui ne peuvent être vaccinés. Être à jour dans ses vaccinations, c’est être protégé toute la vie.

  • 1. La vaccination, comment ça marche ?
    Lorsque nous rencontrons un microbe et que nous tombons malade, notre système immunitaire se défend en fabriquant des anticorps destinés à neutraliser et éliminer ce microbe. La vaccination fonctionne de la même manière, tout en évitant les dangers liés à la maladie. Lorsque nous recevons un vaccin, un microbe rendu inoffensif est introduit dans notre corps. Il ne nous rend pas malade, mais notre système immunitaire fabrique quand même des anticorps pour le neutraliser et l’éliminer. Ainsi si nous rencontrons un jour le vrai microbe, notre système immunitaire le reconnaîtra tout de suite et l’éliminera avant qu’il ne puisse nous rendre malade.

  • 2. A quoi servent les vaccins ?
    Les vaccins sont des médicaments d’une importance capitale pour la santé de tous, car ils permettent d’éviter un très grand nombre de maladies et d’épidémies. La vaccination représente l’un des plus grands succès de la santé publique : selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), 2 à 3 millions de vies sont sauvées chaque année grâce à cet acte simple de prévention.

    Plusieurs millions de personnes sont vaccinées chaque année en France. Grâce à la vaccination, la variole a disparu dans le monde et la poliomyélite a disparu de France.

    Se faire vacciner en respectant le calendrier des vaccinations est le moyen de prévention le plus efficace aujourd’hui pour lutter contre certaines maladies infectieuses graves, difficiles à traiter et/ou à risques de complications et de séquelles, comme le tétanos, les oreillons, la coqueluche, les méningites et septicémies à méningocoque et bien d’autres… Certaines vaccinations sont particulièrement importantes dans certaines situations, comme la vaccination contre la grippe chez les personnes âgées, les femmes enceintes ou des personnes présentant certaines maladies chroniques.

    Se protéger et protéger les autres
    L’utilité d’un vaccin c’est de se protéger et de protéger les autres, notamment les personnes les plus fragiles de son entourage
    : nouveau-nés, femmes enceintes, personnes souffrant d’une affection contre-indiquant la vaccination, personnes âgées, etc. C’est le cas notamment des vaccins contre la coqueluche et la rougeole, qui assurent une protection des nourrissons en attendant qu’ils puissent être vaccinés.

    Certains vaccins permettent également d’éviter de contracter des maladies :
    chez les personnes particulièrement exposées du fait de leur activité professionnelle ou de loisir (leptospirose, rage, hépatite B, etc.) ;
    chez les personnes résidant ou voyageant à l’étranger lorsque la maladie est fréquente dans les lieux de résidence ou de séjour (fièvre jaune, fièvre typhoïde, etc.).

  • 3. Que contiennent les vaccins ?
    Les vaccins sont composés d’une ou plusieurs substances actives d’origine biologique appelées « antigènes vaccinaux», qui sont issues de bactéries ou de virus. Afin de rendre le vaccin plus efficace, l’antigène vaccinal est généralement combiné à un adjuvant qui est très souvent un sel d’aluminium (hydroxyde ou phosphate). Des conservateurs antimicrobiens peuvent être employés pour empêcher la contamination microbienne du vaccin. Des stabilisants (lactose, sorbitol, etc.) peuvent être utilisés afin de maintenir la qualité du vaccin pendant toute sa durée de conservation.

  • 4. Les adjuvants vaccinaux, c'est quoi ?
    Notre système immunitaire, constitué des cellules de défense de l’organisme, doit réagir lorsqu’un microbe pénètre dans notre organisme, afin de l’éliminer.

    Lorsque l’on injecte un vaccin, il agit de manière à ce que le corps développe sa propre protection contre les bactéries ou les virus qui sont à l’origine de la maladie ciblée par le vaccin.

    Pour la majorité des vaccins inactivés (ne comportant pas de microbe vivant), la présence d’adjuvant est indispensable pour permettre une réponse immunitaire entraînant une protection. L’ajout d’adjuvant dans les vaccins permet, par ailleurs, de diminuer la quantité d’antigènes par dose vaccinale et de réduire le nombre d’injections.

    Les sels d’aluminium figurent parmi les adjuvants les plus utilisés dans le monde, avec un recul d’utilisation de quatre-vingt-dix ans et des centaines de millions de doses injectées.

    À noter : la recherche se poursuit actuellement pour élaborer de nouveaux adjuvants permettant de vacciner contre de nouvelles maladies.

  • 5. Comment savoir quels vaccins faire ?
    Quelques conseils pour être toujours à jour de vos vaccinations :

    Chaque fois que vous allez chez le médecin ou que vous emmenez votre enfant se faire vacciner, prenez un rendez-vous pour le prochain vaccin — même si ce n’est que dans un ou plusieurs mois.
    Inscrivez ensuite la date du prochain rendez-vous sur un calendrier dès votre retour à la maison (mémo, téléphone portable, etc.)
    Demandez à votre médecin ou à l’infirmier de vous remettre un carnet de vaccination si vous n’en avez pas. Ce dernier est spécialement conçu pour noter tous les vaccins que vous recevrez.
    Chaque fois que vous allez vous faire vacciner ou emmenez votre enfant se faire vacciner, apportez le carnet de vaccination ou le carnet de santé afin que votre médecin ou l’infirmier puisse le tenir à jour et noter la date du prochain rappel.
    Rangez les carnets de vaccination de toute la famille dans un endroit sûr. Vous pourriez en avoir besoin plus tard, par exemple au moment d’inscrire votre enfant à la garderie ou à l’école, pour voyager dans d’autres pays, si vous avez le projet d’avoir un enfant ou en cas d’hospitalisation.
    Consultez régulièrement le site Vaccination-info-service.fr pour vous tenir informé(e) des nouveautés apportées au calendrier vaccinal.

  • 6. Quelle est la différence entre les vaccins obligatoires et les vaccins recommandés ?
    Il n’y a aucune différence en termes d’efficacité, de sécurité et de qualité entre les vaccins recommandés et les vaccins obligatoires.

    La distinction entre vaccin obligatoire et vaccin recommandé est uniquement liée à l’histoire de la vaccination en France puisqu’initialement, les vaccinations obligatoires étaient destinées à combattre des maladies qui constituaient des fléaux sanitaires (poliomyélite, diphtérie, variole, tétanos, tuberculose), et que le législateur voulait la disparition des maladies et pour cela que ces vaccinations soient accessibles à tous.

    Les vaccins plus récents ont été recommandés et non rendus obligatoires car les autorités sanitaires ont estimé que le recours à la vaccination n’en serait pas affecté, préférant responsabiliser chaque personne sur sa propre santé.

    Les vaccins recommandés sont donc tout aussi importants et nécessaires que les vaccins obligatoires ; ils sont simplement plus récents. Ils permettent aussi de lutter contre des maladies graves voire mortelles chez les enfants et les adultes, qu’elles soient d’apparition rapide (par exemple certaines méningites ou septicémies) ou retardée (certains cancers).
    Cependant, cette distinction a plusieurs conséquences :

    les vaccinations obligatoires sont exigés pour l’entrée en collectivité (école, crèche, centre de vacances), par conséquent un enfant non vacciné avec les vaccins obligatoires ne pourra pas être admis dans ces collectivités ;
    les parents (ou les titulaires de l’autorité parentale) d’enfants n'ayant pas reçu ces vaccinations obligatoires peuvent être poursuivis pénalement ;
    L’indemnisation en cas d’effets indésirables imputables à la vaccination est différente selon le caractère obligatoire ou non du vaccin.
    Par ailleurs, certaines vaccinations qui ne sont pas obligatoires pour la population générale le sont pour différentes professions : professionnels de santé et étudiants des professions de santé, personnels de laboratoire, égoutiers, vétérinaires, personnels travaillant dans les transports sanitaires, dans l’alimentation, thanatopracteurs (métier consistant à prodiguer les soins de conservation aux défunts), personnels des établissements médico-sociaux, etc.

  • 7. Quels sont les 11 vaccins obligatoires chez l’enfant de moins de 2 ans ?
    Parce que les recommandations n’ont pas permis d’obtenir des couvertures vaccinales satisfaisantes, la loi a rendu obligatoire, à compter du 1er janvier 2018, onze vaccins pour les enfants de moins de 2 ans nés à partir du 1er janvier 2018. Pour ces enfants, ces vaccinations seront exigées pour l’entrée en collectivité (c’est-à-dire en crèche, à l’école, ou pour partir en colonie par exemple.) à compter du 1er juin 2018.

    Ces onze vaccins sont les vaccins contre la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite, la coqueluche, l’Haemophilus influenzae b, l’hépatite B, le méningocoque C, le pneumocoque, la rougeole, les oreillons et la rubéole.

    Pour les enfants nés avant le 1er janvier 2018, les vaccinations contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite continuent d’être exigibles pour entrer en collectivité. Pour ces enfants, les vaccins contre les huit autres maladies sont néanmoins vivement recommandés pour les protéger contre des maladies qui peuvent être graves.

  • 8. La vaccination comporte-t-elle des risques ?
    Plusieurs centaines de millions de personnes sont vaccinées chaque année en France et dans le monde. La plupart des réactions vaccinales sont mineures et passagères, et les éventuels effets indésirables des vaccins sont très surveillés. Le risque de développer une maladie grave en ne se vaccinant pas est beaucoup plus important que celui de voir apparaître un effet indésirable lié à la vaccination.

    Comme pour tous les médicaments, les vaccins peuvent provoquer des effets indésirables (ou effets secondaires). Les effets indésirables les plus fréquents sont une fièvre légère et une douleur ou une rougeur au point d’injection. Les effets indésirables graves sont très rares et font l’objet d’un suivi et de recherches approfondies lorsqu’ils surviennent.

    La déclaration des éventuels effets indésirables, qu’ils soient graves ou non, par les professionnels de santé et par les patients, permet de faire progresser en permanence la sécurité des vaccins.

    Des vaccins à risque ou des maladies à risque ?
    Rougeole, oreillons, rubéole… Contrairement à ce que l’on pense parfois, il s’agit de maladies graves qui peuvent entraîner de sérieuses complications à la fois chez les enfants et chez les adultes, parmi lesquelles la pneumonie, l’encéphalite et le syndrome de rubéole congénitale, etc.

    Alors que l’on espérait pouvoir éliminer la rougeole en France (moins de 50 cas déclarés par an en 2006 et 2007), une résurgence importante de la maladie a été observée entre 2008 et 2014, avec plus de 23 300 cas de rougeole déclarés (dont près de 15 000 cas pour la seule année 2011). Près de 1 500 cas ont présenté des complications pulmonaires ayant justifié l’hospitalisation, 34 une complication neurologique et 10 personnes sont décédées. Après une baisse du nombre de cas en 2016, plusieurs foyers de rougeole ont repris en 2016.

    À savoir :
    Il ne faut pas confondre les effets secondaires avec les contre-indications à certaines vaccinations qui sont très rares.

    Certaines personnes ne peuvent pas être vaccinées pour des raisons liées à leur état de santé. Ces contre-indications (maladie, grossesse pour certains vaccins, allergie…) sont bien connues et relatives à chaque vaccin : avant de prescrire puis avant de réaliser une vaccination, le médecin ou la sage-femme vérifie si le patient peut ou non être vacciné au moment prévu.

  • 9. La grossesse est-elle une contre-indication à la vaccination ?
    Aucune toxicité sur le fœtus n’a été montrée avec les vaccins. On considère cependant qu’il est préférable de reporter les vaccinations après l’accouchement, sauf lorsqu’elles sont nécessaires en raison de circonstances particulières (voyage à l’étranger, épidémie…)

    La vaccination contre la grippe est recommandée chez la femme enceinte, quel que soit le stade de la grossesse.

    Les vaccins inactivés sont inoffensifs pour le fœtus. Les vaccins vivants atténués sont déconseillés pendant la grossesse, bien que de nombreuses études aient montré l’absence de conséquences pour le fœtus : le risque est plus théorique que réel.

    Il est nécessaire de s’assurer de l’absence de grossesse avant d’administrer le vaccin contre la rubéole (ROR) ou la varicelle. Cependant, une vaccination réalisée par mégarde chez une femme enceinte ne justifie pas une interruption de la grossesse.
    Pour plus d’information sur votre cas particulier, n’hésitez pas à demander conseil à votre médecin.

  • 10. Pourquoi vacciner si tôt après la naissance ?
    La plupart des vaccinations du calendrier vaccinal sont recommandées tôt après la naissance pour plusieurs raisons.

    Les maladies évitables par ces vaccinations peuvent être particulièrement graves, voire mortelles, chez le bébé et le jeune enfant de moins de 2 ans. Par exemple, chez les tout-petits, la coqueluche peut engendrer des asphyxies, la rougeole peut se compliquer d’encéphalites (infections du cerveau), les méningites à pneumocoque ou à méningocoque peuvent être mortelles ou laisser des séquelles graves chez les enfants de moins de 2 ans. Il est donc nécessaire de vacciner le nourrisson dès son plus jeune âge avant qu’il ne rencontre ces maladies.
    Les anticorps transmis par la mère durant la grossesse diminuent au fil des mois.
    La vaccination de l’enfant permet de prendre le relais de la protection transmise par sa mère.
    L’entourage du nourrisson, même apparemment non malade, peut lui transmettre des maladies.
    La vaccination renforce le système immunitaire encore fragile du jeune enfant et lui permet de se protéger contre ces maladies.
    L’allaitement est précieux pour le bébé mais ne suffit pas pour le protéger. Dans l’utérus, le fœtus bénéficie des anticorps de sa mère. L’allaitement maternel protège le nourrisson contre de nombreuses infections parce que le lait contient des protéines qui stimulent son système immunitaire. Mais cette immunité transmise par la mère est incomplète : elle ne le protège pas suffisamment longtemps et pas contre de nombreuses maladies infectieuses.

    Lorsqu’il grandira, l’enfant consolidera son propre système immunitaire au contact des différents microbes qu’il rencontrera. Mais en attendant, il faut que l’immunité du nourrisson et de l’enfant en bas âge soit renforcée par la vaccination pour une protection efficace dès les premières semaines de la vie.

  • 11. Quels vaccins faire pour voyager à l'étranger ?
    En cas de voyage à l’étranger, il est vivement conseillé :

    d’être à jour des vaccins recommandés en France ;
    d ’être protégé contre des maladies infectieuses qui circulent fortement dans la zone de destination.
    La mise à jour du calendrier des vaccinations
    Les vaccins recommandés en France peuvent être encore plus nécessaires dans d’autres pays : par exemple, le vaccin contre la diphtérie, maladie qui a disparu en France mais circule encore dans certains pays d’Europe de l’Est ou d’Asie, ou le vaccin contre la poliomyélite dont des épidémies sévissent dans certains pays d’Afrique.

    Des vaccins spécifiques à votre destination et votre activité
    Certains vaccins comme ceux contre la typhoïde, la rage, la leptospirose, l’encéphalite à tiques sont recommandés dans certains pays, en particulier lorsque les conditions de séjour sont « aventureuses », dans des zones rurales ou forestières, dans des régions isolées ou dont l’hygiène est précaire, etc.

    D’une manière générale, la vaccination contre l’hépatite A est fortement recommandée pour tout séjour dans un pays à bas niveau sanitaire.

    Vaccins recommandés ou obligatoires
    Des vaccins sont exigibles pour l’entrée dans certains pays, comme par exemple le vaccin contre la fièvre jaune pour un voyage dans une zone intertropicale d’Afrique ou d’Amérique du Sud, ou le vaccin contre la méningite à méningocoque pour les pèlerins se rendant à la Mecque.

    Comment s’organiser, où se renseigner ?
    Il est important de s’informer et de se préparer deux à trois mois avant son départ en prenant rendez-vous avec votre médecin traitant ou dans un centre de vaccinations spécialisé dans les vaccinations pour les voyageurs, pour faire le point sur les vaccinations dont vous avez besoin en fonction de votre destination et des conditions de séjour.

    Le fait de s’y prendre à l’avance permet d’être sûr d’être vacciné assez tôt pour être protégé lorsque l’on arrive dans le pays concerné.

    Certains vaccins ne se font que dans des centres de vaccinations internationales ou des centres agréés pour la vaccination contre la fièvre jaune."
Fin de citation
http://inpes.santepubliquefrance.fr/100 ... /index.asp

Combattons l'obscurantisme !
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janic
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Re: La France est l’un des pires élèves européens en matière de vaccination.




par janic » 01/12/18, 10:14

combattons l'obscurantisme vaccinal avec un petit bonus: http://initiativecitoyenne.be/
La vaccination est l'un des grands succès de la santé publique. Des millions de vies ont pu être sauvées grâce à ce geste de prévention. En France, l'arrêt de la transmission, voire l'élimination de certaines maladies infectieuses est possible si chacun recourt à la vaccination pour se protéger mais aussi pour protéger les autres, enfants et adultes plus fragiles du fait de leur âge ou de leur état de santé et qui ne peuvent être vaccinés. Être à jour dans ses vaccinations, c’est être protégé toute la vie.
Un joli mantra distillé par les lobbies vaccinaux qui veulent faire croire au père noël de la vaccination. Presque tout y est faux, mais les hypocondriaques comme les ignorants du sujet se réfugient derrière ces paroles rassurantes (qui ressemblent à s’y méprendre au discours religieux sur le salut éternel ou temporel et comme tu refuses de croire au mantra religieux tu te refugies derrière ce même mantra pseudo scientifique.)
a)Donc affirmer que cela a sauvé des millions de vie ne suffit pas pour se transformer en preuves et où sont donc celles-ci ?
b) un point cependant est réel et c’est justement là que se font les confusions entre prévention réelle et fausse prévention, c’est qu’effectivement l’arrêt de transmission est un des principaux facteurs de réduction, voire d’élimination de certaines maladies infectieuses et même de toutes. Après c’est juste une question de moyens choisis !
est possible si chacun recourt à la vaccination pour se protéger mais aussi pour protéger les autres

Argument fallacieux comme d ‘habitude. J’ai démontré que cet argument est une prétention qui ne correspond pas à la réalité, mais que tu n’as probablement pas lu et donc que je répète :
« Les 11 vaccins OBLIGATOIRES ne concernent QUE les enfants, pas les adultes (voir le calendrier sur les obligations).
https://www.insee.fr/fr/statistiques/2381474
Ce qui est étrange c’est que cela ne concerne que 20 millions d’individus sur 67 millions et, comme par hasard, les adultes n’aiment pas les piqures et surtout ignorent combien de temps et concernant quelles pathologies ils sont supposés être protégés ; donc on n’est plus à 95% mais (en supposant arbitrairement que la moitié des adultes se fassent faire les rappels source LEEM) cela ne ferait que20+23,5=43.5 soit 65%, on est loin des 95% officiels. A cela s’ajoutent les 80 millions de touristes venant de tous pays qui ne sont pas plus vaccinés des 11 vaccins en question car les calendriers vaccinaux obligatoires et d’autres facultatifs dépendent des législations de chaque pays(il n’y a aucune obligation réclamée aux touristes) soit 80+67=147 et donc les vaccinés français ne concernent plus que 29% de toute cette population… on est loin des 95% officiels qui protégeraient le reste de la population et pourtant malgré ces touristes, on ne constate aucune épidémie ou augmentation de malades.
Donc effectivement en ce cas leur comportement met en danger la vie des autres…mais quels autres justement ? Les vaccinés ou les non vaccinés ? »


Mais les maths ne sont probablement pas ton fort.
Et juste au dessus, t’a été présenté le graphique officiel sur le nouveau dada des anxiogéneurs sur la rougeole et qui démontre que plus de 99% des décès avaient été supprimés avant l’introduction du vaccin et aussi que l’expert officiel en vaccinologie de la HAS reconnait que la baisse des maladies est due principalement à l’hygiène et à la meilleure qualité de l’eau de boisson.
Donc ton (leur)argument est bidon, comme le reste d’ailleurs !

enfants et adultes plus fragiles du fait de leur âge ou de leur état de santé et qui ne peuvent être vaccinés.

Autre argument fallacieux et qui est contredit par les éléments précédents et qui a déjà été vu.
L’intérêt, pour les provaxx, c’est de rester dans un flou artistique que personne (ou de rares curieux) ne va chercher à vérifier.
Donc à ton avis : quel est le nombre exact de ces personnes fragiles en question ?
Déjà et selon le discours officiel, aucun vaccin n’est efficace à 100% et le chiffre de ce qui est inefficace est impossible à trouver et surtout à vérifier donc. C’est 1%, 20% ? Mystère !!!!. 8)
En supposant donc que 95% des enfants soient vaccinés et que le vaccin ne marche que sur 90% (chiffres quelconques d’ailleurs ) cela nous ramènerait à 80/85% de la population enfantine qui ne concerne que 20 millions d’enfants (puisque les adultes n’aiment pas les piqures) donc ça ne pèse pas lourd dans la balance : Soit près de 3 millions d'enfants contaminants possibles en France, pas quelques dizaines d’opposants aux vaccins et ça tout scientifique le sait et ne peut que le reconnaitre. Donc argument officiel bidon !
Maintenant en supposant que les enfants vaccinés (et supposés protégés à X %) soient en contact avec les fragiles en question. Ce sont donc les vaccinés, de façon inefficace, qui vont contaminer les fragiles en question, pas les vrais non vaccinés par choix de conscience qui sont interdits d’école par la ministre en cours.
Cette situation a été dénoncée largement et expérimentalement, mais tout le monde s’en fout, ce qui compte c’est protéger le mythe (et le fabuleux business industriels du vaccin)


La vaccination, comment ça marche ?
Lorsque nous rencontrons un microbe et que nous tombons malade, notre système immunitaire se défend en fabriquant des anticorps destinés à neutraliser et éliminer ce microbe.
Ce point , et lui seul, est exact !
La vaccination fonctionne de la même manière, tout en évitant les dangers liés à la maladie.
Faux ! pour les raisons qu’ils invoquent ensuite
Lorsque nous recevons un vaccin, un microbe rendu inoffensif est introduit dans notre corps. Il ne nous rend pas malade, mais notre système immunitaire fabrique quand même des anticorps pour le neutraliser et l’éliminer.

La notion d’anticorps rattachée au microbe et seulement lui se démontre de plus en plus comme inexact puisque des personnes au taux d’anticorps dépassant très largement la quantité supposée nécessaire tombent malades comme les autres, ce qui ne serait pas possible si le discours théorique était exact et ceci est vérifiable pour toutes les pathologies infectieuses. Ensuite le discours est bidon par simple logique (il parait que c’est ton critère selon toi)
Les labos par ses aficionados habituels, donc officiels, ont essayé de vulgariser le fonctionnement du système immunitaire et donc des vaccins par des images guerrières en comparant les bactéries et virus en tous genres à des soldats ennemis belliqueux à combattre puis à détruire.
Tout militaire sait pertinemment que s’entrainer à combattre des adversaires en bottes de paille ou en images collées sur des cartons n’ont jamais permis de s’affronter à la réalité sur le terrain. Or la théorie vaccinale, c’est faire croire qu’en handicapant ses futurs adversaires de façon préventive (leur ôter un bras une jambe, les rendre aveugle, un microbe rendu inoffensif ) permettrait, en cas de rencontre avec les vrais adversaires, d’en être ensuite vainqueur et cela dans les cas de virus atténués, pas morts et quant à s’entrainer avec des cadavres pour se préparer à combattre des adversaires bien vivants, c’est encore plus ridicule.
La réaction du système immunitaire correspond à ce scénario où les anticorps ne sont que les services de nettoyage de ces cadavres et handicapés en tous genres artificiellement proposés, mais face aux vrais adversaires, suréquipés et belliqueux, le jeu n’est plus du même niveau et l’entrainement sur faux ennemis ne sert à rien, en soi ! D'où les résurgences brutales de pathologies supposées éradiquées par le vaccin et qui réapparaissent encore plus virulentes chez les vaccinés.(cas de la variole dans les armées anglaises et américaines.)

«1°- Cet exemple est intéressant, d’une part parce qu’il est pris dans un pays où l’endémie variolique était importante avant la vaccination, c’est celui des Philippines, d’autre part parce que la vaccination y a été pratiquée de façon particulièrement massive.
En 1905, lors de la prise de possession des îles par les Américains, la mortalité par variole était d’environ 10%. Devant cette énorme proportion, une campagne de vaccination systématique a été immédiatement entreprise.
En 1905-1906, alors que celle-ci était largement développée, se déclare une première épidémie : la mortalité s’élève à 25%....
Quoiqu’il en soit les Américains ordonnèrent sans hésiter une intensification de la vaccination.
De 1918 à 1920, alors que 95% de la population était vaccinée, en dépit de 15 millions de vaccinations pratiquées pendant les 13 années précédentes, se déclara la plus effroyable épidémie qu’on ait connue. La moyenne des cas de mortalité atteignit plus de 54%. Sur une population de moins de 11 millions d’habitants, il y eut 112.549 cas de variole et 60.855 décès. Ces chiffres suffiraient à eux seuls pour justifier un certain scepticisme quant à l’efficacité de la vaccination.
Mais l’on constate que c‘est à Manille, dont les habitants étaient tous vaccinés et revaccinés qu’a été enregistré le pourcentage de décès le plus élevé (65,3%), le doute peut s’installer solidement dans l’esprit.
Ce doute ne peut-il se transformer en certitude lorsqu’on sait que dans l’île de Mindanao, où les indigènes avaient refusé la vaccination en raison de leurs convictions religieuses, on a constaté la mortalité la plus basse, avec seulement 14,4% de décès ; c'est-à-dire que dans cette partie des îles, la seule où l’on ait pas vacciné, il ne s’est pas produit d’épidémie : la mortalité est pratiquement restée la même qu’avant.
2°-L ‘opinion du Professeur Alfred Russel Waliace.
Dans le chapitre XVIII de son livre « The Wonderful Century » (Ce siècle étonnant), l’éminent savant étudie l’incidence de la vaccination antivariolique sur la fréquence des cas de variole. Il était naturel pour un esprit scientifique rigoureux de procéder par comparaison.
Dans la ville de Leicester, 95% des bébés étaient vaccinés jusqu’au jour où éclata l’épidémie de 1871-1872. Le nombre de cas déclarés et le nombre de décès montrèrent à l’évidence l’inutilité de la vaccination (première démonstration). Les autorités abandonnèrent celle-ci et prirent des mesures d’hygiène. La variole disparu de Leicester plus rapidement que dans les autres villes industrielles même vaccinées (deuxième démonstration)
A.R.Waliace établit un parallèle entre cette ville, non vaccinée, et l’Armé et la Marine considérées comme « complètement vaccinées ».
Pour 1873-1874 : Armée 37 p/m ; Marine 36,8 p/m ; Leicester 14,4 décès par million de la vérole.
« …. Dans les années1878-1890 inclus, les habitants non vaccinés "
etc...

Ainsi si nous rencontrons un jour le vrai microbe, notre système immunitaire le reconnaîtra tout de suite et l’éliminera avant qu’il ne puisse nous rendre malade.

Totalement faux dans son principe comme dans sa réalité. La lutte contre la variole en a démontré la fausseté. Vaccinés ou pas la maladie se répandait malgré tout dans tous les pays concernés (voir le rapport de l’OMS)
Il ne suffit pas de reconnaitre un adversaire possible au seul fait qu’il porte un uniforme reconnaissable, ceux-ci ne sont pas de simples figures abstraites en carton ne correspondant pas à sa réalité physique.

Les vaccins sont des médicaments d’une importance capitale pour la santé de tous, car ils permettent d’éviter un très grand nombre de maladies et d’épidémies. La vaccination représente l’un des plus grands succès de la santé publique : selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), 2 à 3 millions de vies sont sauvées chaque année grâce à cet acte simple de prévention.

L’OMS est devenue la voix des labos depuis que cet organisme est quasi totalement dépendant des subsides des industries du médicament (enquête de cash investigation) et donc un effet d’annonce SANS PREUVES à l’appui, n’est et ne reste qu’un effet d ‘annonce. Quelles épidémies ont-elles été évitées par les vaccinations ? Aucune ! Les chiffres fréquemment donnés, ne prennent pas en compte les précautions d’hygiène ayant précédé les campagnes vaccinales ainsi que leur application pendant ces mêmes périodes vaccinales. Là encore l’historique de la variole ou de la rougeole citée précédemment le démontrent.

Plusieurs millions de personnes sont vaccinées chaque année en France. Grâce à la vaccination, la variole a disparu dans le monde et la poliomyélite a disparu de France.
On peut de demander si ce genre de discours est le résultat d’une ignorance profonde ou d’une volonté délibérée de tromper ses troupes. Le rapport (encore indépendant à cette époque) de l’OMS spécifie clairement : « « Les campagnes d’éradication reposant entièrement ou essentiellement sur la vaccination de masse furent couronnées de succès dans quelques pays mais échouèrent dans la plupart des cas. » [p.32]
http://www.infovaccin.fr/l-eradication-de-la-variole.html
Même chose pour la polio
http://initiativecitoyenne.be/article-e ... 64705.html
A la forme connue de la polio, s’est substituée celle de la paralysie flasque aigue qui lui ressemble comme deux gouttes d’eau et à chaque diminution de la polio ordinaire se substitue une augmentation proportionnelle de paralysie flasque aigue.

Et tout le reste est à l’avenant et a déjà été vu et revu dans les débats précédents. Donc encore une fois : où sont les preuves qui permettraient de créditer ce discours ? Nulle part ! :evil:

PS: Une petite précision! l'INPES, aujourd'hui santé publique, est un organisme sous dépendance des fonds que leurs allouent le ministère de la santé
Santé publique France est l'agence nationale de santé publique, établissement public administratif sous tutelle du ministre chargé de la Santé.
Dont la totalité est vaccinaliste pour des raisons professionnelles, leur demander de donner un avis différents c'est comme demander aux pronucléaires d'en déclarer les risques [u]réels[/u] ou aux agriculteurs de décider des inconvénients réels du glyphosate, il y a antinomie. Pour autant étant l'organisme officiel qui fournit des informations sur la santé, ce sont ces informations qui servent aux non vaccinalistes pour démontrer les parti pris, voire les conflits d'intérêts plus ou moins cachés.
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Re: La France est l’un des pires élèves européens en matière de vaccination.




par Exnihiloest » 01/12/18, 19:40

janic a écrit :combattons l'obscurantisme vaccinal avec un petit bonus: http://initiativecitoyenne.be/
...

Bien sûr, la vérité ne viendrait pas de l'OMS mais d'un site de militants sans compétence dans le domaine et qui se sont montés le bourichon.
Obscurantisme, disais-je.
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Re: La France est l’un des pires élèves européens en matière de vaccination.




par janic » 02/12/18, 08:25

janic a écrit :
combattons l'obscurantisme vaccinal avec un petit bonus: http://initiativecitoyenne.be/

...
Bien sûr, la vérité ne viendrait pas de l'OMS [*]mais d'un site de militants sans compétence dans le domaine et qui se sont montés le bourichon.
Obscurantisme, disais-je.
que ce soit sur les vaccins, le glyphosate ou le pouvoir d'achat, tout dépend de quel coté du bâton l'on se trouve. S'il n'y avait pas eut de militants pour se lever contre le pouvoir royal et religieux du 18° siècle, nous ne serions pas en république et donc pas de président, ni d'élus du peuple, ni de liberté constitutionnelle d'opinion, etc....
Quand à l'incompétence supposée, c'est en incompétent que tu t'exprimes au travers de TES références nullissimes de tes sites favoris comme la zététique, les spseudoscience et autres domaines où ils se montent le bourrichon sur des réalités scientifiques inexactes parce que partisanes venant des producteurs de produits dangereux pour la santé. Mais comme nous sommes dans cette république qui autorise les opinions diverses et est supposée protéger cette multiplicité, il faut croire que être militants a eut quelques avantages dont nous profitons tous.
Si donc il n’y avait pas eut de militants contre l’esclavagisme, (que tu évoques et qui n'a rien a voir avec la technologie) l’Amérique continuerait de traiter des humains pire que du bétail qu’ils soient noirs ou blanc car il ne s’agissait pas seulement de main d’œuvre gratuite, mais aussi et surtout de racisme, mais tu trouves probablement qu’il est dommage que l’esclavagisme et le racisme disparaissent de cette terre.
Or, et tu fais semblant de l’ignorer ou plutôt tu veux l’ignorer, ces militants sont LES VICTIMES de ces vaccins imposés par les labos via les systèmes politiques en place et à leur botte. Pas besoin d’être compétent en biologie pour se rendre compte que lorsqu’un bébé meure dans les heures qui suivent un ou plusieurs vaccins, quant il devient handicapé A VIE après ces vaccins, c’est celui-ci qui en est la cause et peu, voire pas, de parents se disent que ça fait partie des bénéfices /risques dont nous bassinent les fabricants de ces poisons et qui s’endorment alors l’esprit tranquille en se disant qu’on ne fait pas d’omelettes sans casser des œufs (enfin les œufs du voisin surtout, évidemment !) mais les hypocondriaques comme toi, sont d’abord égoïstes et veulent protéger LEUR petite personne avant tout, même au prix de la souffrance des autres. (tu vois un argument peut se retourner contre celui qui l’a émis !)
Quant à l’OMS et autres, tant que cela ne touche pas le dogme (dont dépend leurs subventions pour exister) il dit des choses exactes comme peuvent le faire d’autres sources. Mais le doute est permis sur certains points quand le lien entre business et dogme « scientifique » est par trop évident. Par contre lorsque cet OMS était vraiment et totalement indépendant et subventionné UNIQUEMENT par les contributions des nations adhérentes, son discours était plus libre, d’où le rapport (catastrophique pour le mythe vaccinal) sur la variole, qui était la seule référence mondiale qui aurait pu créditer définitivement le mythe vaccinal et qui a fait un flop magistral. Or, encore une fois, que dit la pub markéting( sans preuves) du discours que tu as cité, que ce serait la vaccination qui a permis d’éradiquer cette pathologie et des naïfs, comme toi, qui refusent de voir la réalité en face, continuent à croire et à diffuser cette erreur (pardon ce mensonge) via ses pseudosciences et zététique habituels.
Par contre ; malgré moult sollicitations : où sont les fameuses preuves en question ?

[*]serait-ce l'OMS qui parle du glyphosate comme cancérigène possible, après la bidoche et d'autres sources. Evidemment tu crois plutôt , comment dis-tu?: "Bien sûr, la vérité ne viendrait pas de l'OMS, mais d'un site de militants sans compétence dans le domaine et qui se sont montés le bourichon." Ah, oui! C'est bien ça! 8) :cheesy: Obscurantisme disais-tu? :evil:

Ah, j'allais oublier: "Messagepar Exnihiloest » 29/11/18, 17:27

"C'est bien ça, je confirme. Les accusations gratuites et iniques contre les gens qui ne pensent pas comme soi sont bien la marque de l'intolérance et leur rejet en tant qu'humains moraux, façon de rejeter leurs propos sans avoir à les discuter, ils sont forcément faux puisque prétendus dans le but de nous tromper.

Aucune discussion n'est possible avec ceux persistant dans cette posture de père la morale qui décide qui est le diable, fourbe et amoral.
Maintenant si tu fournis les preuves déjà demandées de ce que tu avances, à savoir que....nous trompe volontairement (à moins que tu ignorais ce que "fallacieux" signifie vraiment ?), je reste ouvert. Sinon, les procès d'inquisition à coups d'arguties aux ficelles grossières ne m'intéresse pas."

C'est tout à fait ça! le prophète a bien parlé!
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Re: La France est l’un des pires élèves européens en matière de vaccination.




par janic » 03/12/18, 13:53

alors ça vient ces preuves en question? :x
http://www.la-philosophie.fr/2015/10/im ... steur.html
l'imposture vaccinale et pasteurienne.
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Re: La France est l’un des pires élèves européens en matière de vaccination.




par janic » 05/12/18, 13:10

4 décembre 2018
Dossier ALU-CINANT de l'aluminium vaccinal: vous ne pourrez plus dire que vous ne saviez pas!
Une vidéo (certes de quasi 2H), pour ne plus jamais vous faire embobiner par quelque discours simpliste sur le sujet du moindre médecin, "expert" officiel, médecin ONE/PMI etc....
Source: Agoravox
Voir aussi ici Le documentaire "L'aluminium, les vaccins, et les deux lapins"


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17 novembre 2018
Editorial du British Medical Journal: pas assez d'études pour affirmer la sécurité des vaccins
Un manque d’études sur la sécurité des vaccins dans :

Questions éditoriales du British Medical Journal (BMJ)

By TVR Staff, 14 nov. 2018

Editorial du British Medical Journal: pas assez d'études pour affirmer la sécurité des vaccins
Dans un éditorial publié dans le British Medical Journal et intitulé : « Nous avons besoin d’un aperçu des politiques et des programmes de vaccination », Allan Cunningham, MD écrit qu’il souscrivait au récent témoignage de Bernadette Pajer, paru de l’Informed Choice Washington, à l’adresse du Conseil de santé de l’Etat de Washington concernant la nécessité d’examiner de manière réfléchie l’effet des politiques de vaccination sur le public américain. [1,2,3]

Le Dr Cunningham a déclaré : « Bernadette Pajer a absolument raison de reprocher à la communauté médicale de ne pas avoir pris du recul pour examiner l’impact global des programmes de vaccination sur la santé publique. » [1]

Le Dr Cunningham a déclaré que, tout en estimant que les vaccins avaient contribué à la réduction de l’incidence de maladies infectieuses, telles que la rougeole et la polio, il était important d’inclure une évaluation des «effets bénéfiques ou néfastes non spécifiques à plus long terme » des programmes de vaccinations actuellement recommandés. Il a déclaré : « A mesure que les calendriers de vaccination se sont développés, notre ignorance des risques et des avantages globaux s’est également élargie. » [1]

Le Dr Cunningham semble craindre que la science vaccinale, comme celle de leurs effets secondaires ne soit pas aussi bien définie que le pensent beaucoup de responsables de la santé publique, ainsi que des médecins. Il a cité un lien présumé entre les vaccins et l’autisme. « Je doute que les vaccins soient une cause majeure de l’augmentation de l’autisme, mais sans essais contrôlés, nous ne pouvons ni prouver, ni exclure le lien de causalité, contrairement à ce que nous disent sans cesse les autorités responsables de la politique vaccinale », a déclaré Cunningham, qui a cité une étude marquante de la sante publique.

L’épidémiologiste Andrew Mawson compare les résultats pour la santé des enfants vaccinés et des enfants non vaccinés. [1]

« Une étude menée auprès d’enfants américains scolarisés à domicile a révélé que les troubles du développement neurologique, y compris l’autisme, étaient 3 à 4 fois plus fréquents chez les enfants vaccinés que chez les enfants non vaccinés : p<0,001. Les enfants partiellement vaccinés présentaient des risques intermédiaires », a déclaré Cunningham. [1,4]

Selon Claire Dwoskin, fondatrice de l’Institut de recherche sur la sécurité médicale des enfants (CMSR), « l’étude [Mawson] a conclu que les enfants vaccinés étaient beaucoup plus susceptibles d’avoir reçu un diagnostic de maladie chronique (y compris des allergies et des troubles de l’apprentissage) que des enfants non vaccinés. En outre, 7,5% des 666 enfants de l’étude avaient été diagnostiqués avec un trouble neurodéveloppemental (DDN). » [5]

Cunningham a également évoqué les « maladies mystérieuses » et le peu d’attention qui a été prêté à la possibilité d’une association avec des vaccins ou le calendrier de vaccinations. Il a souligné :

« Il existe d’autres « maladies mystérieuses » telles que le syndrome de la mort subite du nourrisson (SMSN) et la maladie de Kawasaki qui ont été associées à la vaccination, et qui ont été rejetées par les autorités responsables, là encore sans essais contrôlés. La dernière maladie mystérieuse est la myélite flaccide aiguë (MFA). Cette maladie affecte principalement les enfants qui rentrent à l’école en septembre. Un rôle a été suggéré par rapport aux vaccinations : la « paralysie par provocation ». Jusqu’à présent, les autorités de santé publique n’en ont pas encore étudié la possibilité. » [1]

Cunningham a spécifiquement cité le cas de Jonathan Daniel Ramirez Porter, âgé de 6 ans, habitant Ferndale, dans l’état de Washington, et qui est décédé des suites d’une « maladie de type MFA avec encéphalite. » le 30 octobre 2016. « Il avait reçu plusieurs vaccins, dont un vaccin contre la grippe, 14 jours avant le début de la maladie qui lui fut fatale, écrit Cunningham ». [1,6]

Les vues de Cunningham coïncident avec celles de Barbara Loe Fisher du Centre national d’information sur les vaccins (NVIC), qui a souvent souligné le problème de la pénurie d’études méthodologiques épidémiologiques, biologiques et rationnelles pouvant démontrer clairement la sécurité des vaccins pour les enfants.

En 2013, Fisher a déclaré que l’Institut de médecine (IOM) avait « souligné à maintes reprises l’étonnant manque d’études scientifiques de qualité qui pourraient prouver la sécurité du nombre de doses recommandées par le CDC et du calendrier de vaccinations des enfants de 0 à 6 ans. »

Le comité a confirmé l’existence d’importantes lacunes dans les connaissances, en particulier concernant les enfants présentant une susceptibilité biologique accrue aux réactions et aux dommages dus à la vaccination. [7,8]

Références :

1 Roy We DO need a broad look at vaccination policies and programs. The BMJ Sept. 25, 2018.
2 Informed Choice Washington. Brave Mom Exposes Vaccine Corruption to Washington Board of Health. The Vaccine Reaction (via YouTube.com) Nov. 7, 2018.
3 Informed Choice WA. InformedChoiceWA.com.
4 Mawson AR, Ray BD, Bhuiyan AR, Jacob B. Pilot comparative study on the health of vaccinated and unvaccinated 6- to 12-year-old U.S. children. J Transl Sci 2017; 3:1.
5 Dwoskin C. First of Its Kind Survey Shows Vaccinated Children Get Sicker. The Vaccine Reaction Aug. 19, 2017.
6 Hurley D. More cases reported of a mysterious polio-like illness that killed a 6-year-old. The Washington Post Nov. 3, 2016.
7 Fisher BL. IOM Issues Report on Safety of the Child Vaccine Schedule: When Will the Real Science Begin? NVIC Newsletter Jan. 16, 2013.
8 Cáceres M. Safety of Childhood Vaccination Schedule Still Unproven. The Vaccine Reaction Jan. 10, 2018.

9 Responses to "BMJ Editorial Questions Lack of Vaccine Safety Studies"

Source : The Vaccine Reaction
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Re: La France est l’un des pires élèves européens en matière de vaccination.




par janic » 06/12/18, 09:37

Dangers de l'Aluminium des Vaccins : L'ALU TOTAL !
donc à voir sur youtube
très intéressant par son mode de présentation qui allie humour et références scientifiques faisant appel au bon sens face à une réalité qui ne peut plus être dissimulée.
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