Comme je l’ai dit osef.
Ce qui compte c’est le ratio de décès sur patients hospitalisés.Le reste, aucun intérêt avant 2022 (en admettant que d’ici-là, la pandémie se soit éteinte d’elle-même.)q
Messages amical aux trolls: c’est fini l’ère des bisounours durant laquelle la science toute puissante avait réponse à tout...!
On vous sent tellement inquiets de vouloir tout quantifier, mesurer, expliquer pour vous rassurer!
il va falloir soit que vous appreniez à vivre un peu dans l’incertitude, soit que vous fassiez travailler vos méninges pour comprendre comment développer votre immunité pour ne pas craindre les virus!
Vous n’avez même pas les connaissances théoriques de base ! Vous parlez donc de trucs que vous ignorez.
Adrien (ex-nico239) a écrit :pedrodelavega a écrit :Adrien (ex-nico239) a écrit :C'est exactement cela... : Ce n'est pas le reflet de ce qui s'est fait partout en France
Du coup, la comparaison est biaisée.
Adrien (ex-nico239) a écrit :Je le dis depuis le début et ABC a entièrement raison.
Le taux de létalité de Raoult ne dépend pas que du traitement médical.
Il ne dépend peut-être même pas de son traitement mais seulement du dépistage et de la spécificité de sa cohorte.
Passionnant et promis on y reviendra.
Mais revenons à Kahn puisque c'est de là qu'on est parti
Reprenons ce que dit Kahn
Suivons DR. Il nous annonce un « case fatality rate » chez ces 3,044 sujets traités de 0, 9%. Or les tests PCR ne sont pas pratiqués sur des personnes ayant des symptômes mais de façon systématique sur les marseillais qui le demandent. Le « case fatality rate’ » de DR est par conséquent un « infection fatality rate », le taux de mortalité des sujets infectés, pas des cas de COVID-19 avérés.Dans son étude Raoult n'a traité que des cas Covid avérés non?
Oui !