Bonjour Janic
Certes. Mais après avoir lu ton long texte, je n'ai pas compris quelle est ta conscience et ton expérience,
Je répète donc : lors d’une maladie cataloguée par l’allopathie (et donc la conception d’école de ce qu’elle est et surtout des SEULS moyens retenus pour y faire face), c’est une question de conscience du « patient » de décider s’il va suivre l’autoroute bien tracée par le système médical officiel ou suivre d’autres voies avec ses avantages et inconvénients aussi. C’est là qu’est le choix de conscience et aussi et surtout de connaissance.
Donc , il ne faut pas tout mélanger. J’ai bien distingué entre médecine d’école avec sa conception sur la maladie en question, et en parallèle la naturopathie avec une approche, et donc des moyens d’action, différents. C’est un peu comme comparer allopathie et homéopathie qui même avec un objectif commun sont en opposition de concept et donc de moyens mis en action.
sauf l'extrait de ton intervention précédente où tu affirmes que le cancer est inéluctablement mortel.
Je n’ai pas dit que le cancer est inéluctablement mortel puisqu’ainsi que noté pour le cancer de la prostate et d’autres types de cancer, le « malade » peut vivre toute sa vie avec celui-ci sans gène ni évolution. Par ailleurs ceux et celles qui ont guéri (et non une simple rémission) sans traitement allopathique, mais seulement naturels, soulignent qu’il n’y pas de véritable inéluctabilité.
Maintenant entre ces deux options, c’est à l’individu concerné de faire son choix en conscience et connaissance (ou un mélange comme Scheiber)
Pourrais-tu résumer brièvement ta position pour qu'un béotien comme moi puisse comprendre ?
Ma position est celle d’ Hippocrate : «
que ton aliment soit ton médicament et ton médicament ton aliment » En clair le mode alimentaire peut être source de santé comme de maladie et apprendre à distinguer ce qui est le plus favorable à la santé devrait être la règle qui éviterait une majeure partie des cancers de se déclarer. Mais culture, habitudes, goût, etc… ne collent pas vraiment à cet objectif dans notre société » moderne ».
NB : Mais si on n'a rien de mieux à me proposer pour me sauver la vie, je n'ai pas l'intention de faire le difficile.
Ce n’est pas vraiment ainsi que la question doit être posée, mais plutôt : que connais tu des
autres moyens possibles pour te sauver la vie ? Si tu n’en connais pas, tu n’as pas le choix et c’est le cas pour 99% et plus de la population.
Reste à identifier les nombreux facteurs qui rendent le système immunitaire inefficace, et à y remédier.
Disons que c’est effectivement ce qu’il faudrait faire, mais encore faut-il que même connus il y aurait le désir de le mettre en pratique et là c’est pas gagné d’avance car c’est une remise en question en profondeur que peu sont disposés à mettre en pratique.
Raymon bonsoir
Le docteur andre gernez explique bien pourquoi le cancer est difficile à guérir: il explique que en moyenne un cancer commence a se dévelloper 7-8 ans avant qu'il soit détectable.
Alors ! le Dr Gernez n’est pas un naturopathe, mais un allopathe classique, mais il souligne que chaque organisme fabrique chaque jour des cellules anormales qui sont normalement éliminées. Donc il préconise une modification de certains comportement dont alimentaire ainsi que la prise d’antimitotiques à faible dose pour « éliminer » les premières cellules qui apparaitraient (ce qui laisse entendre que le « système immunitaire » ne ferait pas son boulot.)
Ensuite la courbe de Collins montre le développement de la masse cancéreuse selon le temps qui passe. Or le stade, dit irréversible, est atteint au premier milliard de cellules cancéreuses c'est-à-dire la grosseur d’une tête d’épingle et devient mortel au stade de mille milliards de cellules soit environ un kilo 2 à 3 ans plus tard (d’où l’efficacité de l’opération chirurgicale qui enlève le plus gros de cette masse et des antimitotiques pour « éliminer » celles non retirées ; le risque majeur étant les métastases non opérables) et donc mortel au bout de 8 à 10 ans selon le type de cancer, sa localisation, le mode de vie de l’individu,etc…