A propos de la maladie de Lyme (Borréliose)

Comment rester en bonne santé et prévenir les risques et ses conséquences sur votre santé et la santé publique. Maladies professionnelles, risques industriels (amiante, pollutions de l'air, les ondes électromagnétiques...), risques de société (stress au travail, surconsommation de médicaments...) et individuels (tabac, alcool...).
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par janic » 10/08/13, 12:40

Did67 a écrit:
Le fond de ma pensée, vous l'aurez compris. C'est juste de dire que c'est un peu plus compliqué que "il suffit d'être en bonne santé pour ne pas être malade" !


Elle est bien, bonne cette lapalissade, mais c'est tellement vrai. Je vais me la resservir un jour, au premier degré! Car au fond on pourrait aussi dire que finalement: «c'est aussi simple que ça...». Pourquoi non?
Puisque au final, tout dépend de ce qu'«être en bonne santé» signifie, amha.

c'est juste! c'est comme dire "qu'être en bonne santé, c'est ne pas être malade". Je pense que c'est plutôt la définition d'être malade qui crée des confusions. Beaucoup pensent qu'être malade c'est être couché avec 40 de fièvre, mais qu'avoir de l'acnée ce n'est pas être malade (et donc en "bonne santé").
Je retiens plus la phrase: "il suffit de...." plus proche de la réalité! En effet il suffit d'éliminer (autant que faire se peut, selon les connaissances de chacun) les facteurs contraires à cette santé et du même coup, il suffit de cumuler les facteurs favorables.
Le problème est plus le passage du savoir au faire et donc dépasser les blocages culturels.
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par Did67 » 10/08/13, 12:49

Obamot a écrit :
Elle est bien, bonne cette lapalissade, mais c'est tellement vrai. Je vais me la resservir un jour, au premier degré! Car au fond on pourrait aussi dire que finalement: «c'est aussi simple que ça...». Pourquoi non?
Puisque au final, tout dépend de ce qu'«être en bonne santé» signifie, amha.



J'ai fait cette tautologie exprès.

En gros, je pense qu'il y a deux "croyances" :

a) dans la nature idéale, un être en parfait équilibre, bien nourri, pas stressé, etc (don "en bonne santé") est forcément en bonne santé.

Et en découle toute une série de "théories" (au sens modèle auquel on croit et qui guide nos actes)...

b) dans la nature idéale, les virus, borrélie, bactéries ont chacun leur place, leur niche...

La régulation, comme celle des pucerons dans un jardin, se fait par des cyles : pas de pucerons, premires pucerons / pas de coccinelles, les pucerons pullulent - les coccinelles se multiplient / elles finissent par "dévorer" les pucerons, qui regressent très vite, jusqu'à quasiment disparaitre / les coccinelles regressent...

On trouve ainsi des tas de courbes décallées de population "hotes / parasites". Le pas de temps de ces courbes ets très varaibles, en fonction notamment de la capacité de reproduction des deux antagonistes, de leur stratégie oiur se "planquer" (mimétisme), et bien d'autres facteurs...

Je suis un adpet de la coryance b) : les maladies existent, elles font partie de la biodiversité ; l'homme, être sophistiqué, est hyper-fragile question "cycles" (durée de la reproduction, de l' "élevage" des jeunes, etc...).

La sélection l'a heureusement doté de mécanismes sophistiqués : système immunitaire, régulation thermique (fièvre pour "emmerder" les virus), immunoglobulines, etc...

Mais il est susceptible d'être malade et des populations entières, sans mesures prophylactiques, pourrait être décimées. Se rappeler la grippe d'Esapgne au début du siècle précédent...

Je pense que si on peut éviter ces massacres, c'st pas plus mal. Comme dit, j'ai vécu de shécatombes, au Tchad, au Niger... Il faut une dose de fatalisme pour "encaisser" autant de morts. Je ne l'ai pas...

Je respecte les enants des théories de type a)... Mais bon, la tautologie, sans méchanceté, c'était un peu pour eux...

Mais comme dit, ce n'est pas mon sujet de réflexion actuel... Je n'ai aucune "preuve" - c'est pour ça que je parle de croyance. ce que je trouve regrettable, c'est que toute téhorie fondée étant par essence (de l'esprit scientfique) contestable donc contestée, on n'a aucun mal, sur internet, à "habiller" une croyance en une "théorie fondée"...

[on se rappelant que tout novateur sort forcément des sentiers battus, mais qu'en dehors des sentiers battus il y a bien plus de gens égarés que de novateurs ! - Autre tautologie que tu peux te noter aussi ; elle est aussi de moi, à ma connaissance]

Je vais vous laisser...
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par Obamot » 10/08/13, 13:50

Did67 a écrit :
Obamot a écrit :
Elle est bien, bonne cette lapalissade, mais c'est tellement vrai. Je vais me la resservir un jour, au premier degré! Car au fond on pourrait aussi dire que finalement: «c'est aussi simple que ça...». Pourquoi non?
Puisque au final, tout dépend de ce qu'«être en bonne santé» signifie, amha.



J'ai fait cette tautologie exprès.

En gros, je pense qu'il y a deux "croyances" :

a) dans la nature idéale, un être en parfait équilibre, bien nourri, pas stressé, etc (don "en bonne santé") est forcément en bonne santé.

Et en découle toute une série de "théories" (au sens modèle auquel on croit et qui guide nos actes)...

Oui mais alors il faut dire pourquoi c'est une "croyance"! Et ce qu'il en est en réalité!

En fait, cette situation n'existe jamais telle qu'elle.

Pour faire simple, il faut voir ça sous l'angle de "la médecine du stress", car c'est elle qui permet le mieux de comprendre le mécanisme de base.

Le parcours d'un être vivant est semé d'embûches, qui sont autant de stress auxquels il doit répondre — respirer, boire, manger, dormir, résister aux variables environnementales telle que la température, mais aussi le contact avec des agents pathogènes, dont il est entouré et qui sont mêmes déjà présents dans l'organisme (et bien sûr, les stress psychiques également) — et le rôle du métabolisme est précisément de répondre à tous ces "stress", pour combler les déséquilibres ramener le corps dans les "variables d'ajustement" qui garantissent "l'équilibre vital" et la "santé".

On comprend dès lors qu'il n'y a pas de "parfait équilibre", ni de "bonne santé", qui nous tomberait tout crus dans le bec! Puisque nous sommes constamment en voie potentielle d'être en "déséquilibre" ou en chemin de sortir des rails de la "santé"... Ne serait-ce qu'en raison des variables de notre environnement, qui changent constamment.

Un organisme qui sort de la "bonne santé", est celui qui ne peut plus faire face à cela (répondre aux stress qu'il subit), et ce pour différents motifs. Et les symptômes peuvent commencer avant l'apparition même de maladie/s (peau sèche, ou tachée, sensation de soif très fréquente, migraine/s, irritabilité, état dépressif, surpoids, insomnie, sueurs, etc) et même avant la naissance! (A voir l'état de santé des géniteurs) D'où la supériorité incontestable de la médecine préventive! D'où le scandale des autorités sanitaires, qui le savent, et qui ne font guère de choses dans ce domaine! Elles auront un jour une reponsabilité face à l'histoire! (Ne serait-ce que eu égard à la nourriture dévitalisée en vente libre, tout comme les poisons y relatifs)
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par janic » 10/08/13, 18:45

did67 a écrit :Mais il est susceptible d'être malade et des populations entières, sans mesures prophylactiques, pourrait être décimées. Se rappeler la grippe d'Esapgne au début du siècle précédent...

La question est bien là, rappelles-toi le cas de Semmelweis, les femmes mourraient en une véritable hécatombe et il fallut que ce dernier démontre que ce n’était pas la fatalité ou quelques autres raisons invoquées, mais bien un manque d’hygiène des médecins.
Donc on peut chercher et ne pas trouver la raison des épidémies et autres causes de mortalité lorsque l’on cherche au mauvais endroit.
Compare cela aussi avec la prophylaxie en cultures industrielles où les modes culturaux, avec la sélection de plantes à haut rendement mais sanitairement fragiles, conduit à des traitements en masse et répétitifs alors que la même plante "sauvage" n'en nécessite aucun!
Donc, la forte mortalité de la grippe d’Espagne est probablement à chercher ailleurs que dans un virus auquel on fait porter le chapeau, c’est lui le seul et unique méchant et la victime…est une victime « innocente »
Je pense que si on peut éviter ces massacres, c'est pas plus mal. Comme dit, j'ai vécu de hécatombes, au Tchad, au Niger... Il faut une dose de fatalisme pour "encaisser" autant de morts. Je ne l'ai pas...

C’est toujours terrible bien sûr, ( les massacres dans nos régions s'appellent cancer, maladies cardio vasculaires, qui sont cause, chaque année, de plus de la moitié des décès) mais il ne faut pas mélanger réaction affective et réalité et se poser la question : si ces populations n’étaient pas maintenues dans des conditions de sous nutritions et de manque d’hygiène au sens large :ces hécatombes auraient-elles eu (et auraient-elles) lieu ? et si en occident la qualité alimentaire et environnementale étaient meilleures, il n'y aurait pas non plus de pareilles hécatombes.
Je respecte les tenants des théories de type a)... Mais bon, la tautologie, sans méchanceté, c'était un peu pour eux...

Mais est-ce une tautologie ? elle ne semble pas en avoir les caractéristiques car elle s’appuie sur l’expérience du vécu depuis des millénaires où les épidémies ont toujours frappé les plus fragiles et épargné les plus robustes. (la fameuse sélection naturelle de Darwin!) et plutôt que de mettre des emplâtres sur des jambes de bois, se poser la question : comment éviter de se faire couper les jambes ?
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par Christophe » 20/08/13, 14:16

Un site à voir: http://www.sos-lyme.com/home.php?page=doc

(merci highfly)

A propos de la fiabilité des tests de dépistage actuels:

En pratique

La recommandation officielle est de faire une sérologie en ELISA, IgM et IgG sans autre analyse en cas de négativité. En cas de positivité, le test doit alors être confirmé par un Western blot. Le problème est que plusieurs études soulignent le manque de sensibilité des tests ELISA, qui varie de 37 à 70 %. En effet, l’impossibilité d’étalonner ces tests chez les patients conduit à réaliser l’étalonnage sur des sujets sains (donneurs de sang), la valeur seuil choisie visant à ne pas dépasser 5 % de séropositivité dans une région donnée. De ce fait, le seuil de positivité est arbitraire et varie d’une ville à une autre. Et c’est pour cette raison que sont régulièrement rapportés d’authentiques cas de maladie de Lyme (prouvés par culture de la bactérie) à sérologie négative. Ceci a conduit les experts européens à recommander d’inclure dans les critères diagnostiques, en cas de forte suspicion de neuro-borréliose, la réponse à un traitement antibiotique d’épreuve. Aux stades secondaires et tertiaires, l’antibiothérapie est prescrite pour une durée de trois à quatre semaines.

› Dr ISABELLE HOPPENOT
Entretiens de Bichat. D’après la communication du Dr Christian Perronne, hôpital universitaire Raymond-Poincaré, Garches. Le Quotidien du Médecin du 12/12/2011


L'analyse tardive

Si les sérologies sont positives, elles révèlent uniquement l'exposition aux micro-organismes mais n'indiquent pas directement si le spirochète est effectivement encore présent. Puisque les sérologies de la BL donnent souvent des résultats contradictoires, il faut faire pratiquer les tests par des laboratoires de référence.

La recommandation d’un test à deux étapes : utiliser le test ELISA comme un outil de criblage, suivi, s’il est positif, par un Western blot de confirmation, est illogique dans cette maladie. Le test ELISA n'est pas assez sensible pour donner un résultat fiable, et il y a beaucoup de patients atteints de Lyme dont le test ELISA est négatif alors que le Western blot donne le résultat inverse. Le Dr Burrascano (Président de ILADS) déconseille d’employer le test ELISA. Il recommande de demander une recherche d’IgM et d'IgG par Western blot mais il faut que vous soyez conscient que dans les formes de la maladie ancienne, les IgM peuvent réapparaître et par conséquent on ne peut pas associer un IgM réactif à une forme récente ou tardive de la maladie, cela indique seulement une infection active. Dans les cas tardifs et séronégatifs de la maladie, 36% des patients deviendront transitoirement séropositifs après une thérapie réussie. Dans la BL chronique, le taux de CD-57 est à la fois utile et important (voir ci-dessous).

Les comptes rendus des Western blots indiquent les bandes réactives. Les bandes 41KD apparaissent le plus tôt mais peuvent provoquer des réactions croisées avec d'autres spirochètes. Les 18KD, 23-25KD (Osp C), 31KD (Osp A), 34KD (Osp B), 37KD, 39KD, 83KD et les bandes 93KD sont spécifiques à l'espèce, mais apparaissent plus tard ou peuvent ne jamais apparaître. Il faut au moins que la 41KD soit détectée avec une des bandes spécifiques. Les 55KD, 60KD, 66KD, et 73KD ne sont pas spécifiques et non diagnostiquées.

Des tests par PCR sont disponibles à présent, et bien qu'ils soient très spécifiques, la sensibilité demeure faible, elle est probablement inférieure à 30%. Ceci est du au fait que la BL cause une infection profonde dans les tissus et n’est que transitoirement détectable dans les fluides. Par conséquent, tout comme pour les cultures sérologiques, de multiples échantillons doivent être collectés pour augmenter l’efficacité du test ; un résultat négatif n'élimine pas une infection, mais un test positif est significatif. Vous pouvez pratiquer des tests sur le sang entier, la couche leucocyto-plaquettaire, l’urine, les fluides spinaux et autres sérums, ainsi que des biopsies de tissu. Plusieurs PCR peuvent être effectuées ; vous pouvez également demander une PCR sur le sang entier, le sérum et l'urine au moment de l’activation des symptômes. Le patient ne doit pas être sous l’effet des antibiotiques depuis au moins six semaines avant le test, ceci pour obtenir le résultat le plus fiable.

La capture de l'antigène est de plus en plus courante, et peut être faite sur l'urine, le LCR, et le fluide synovial. La sensibilité est encore basse (de l'ordre de 30%), mais la spécificité est haute (de plus de 90%). Les sérums spinaux ne sont pas habituellement pas recommandés, car un sérum négatif n'élimine pas la maladie de Lyme. On retrouve souvent des anticorps à la Borrelia dans les cas de méningite de Lyme ; en revanche, on les détecte rarement dans les méningites non cérébrospinales, même en cas d’encéphalopathie. Même dans un cas de méningite, des anticorps ne sont détectés dans le LCR que chez moins de 13% des patients présentant une maladie ancienne ! Par conséquent, des fluides spinaux sont seulement pratiqués pour les patients présentant des manifestations neurologiques prononcées chez lesquels le diagnostic est incertain s'ils sont séronégatifs, ou si le tableau symptomatique est toujours significatif à la fin du traitement.

Ceci fait, le but est à présent d'éliminer d’éventuelles affections supplémentaires, et de détecter la présence possible des antigènes de la BL (et de la Bartonelle) ou des acides nucléiques. Il est particulièrement important de rechercher une élévation de la protéinémie et des globules blancs, qui indiquerait la nécessité d’une thérapie plus agressive, comme la pression du liquide céphalorachidien, qui peut être élevée et intensifier les maux de tête, particulièrement chez les enfants. J’appelle expressément les cliniciens à pratiquer des biopsies sur toutes les lésions de peau et des éruptions non expliquées et à exécuter des PCR et une histologie soigneuse. Vous devrez informer l’anatomo pathologiste pour qu’il exécute une recherche de spirochètes.
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par janic » 21/08/13, 08:19

si je n'ai pas trop mal compris, les tests étant les mêmes que ceux du sida, la maladie de Lyme serait aussi un sida?
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par Christophe » 21/08/13, 08:44

Je ne connais que "LE" sida mais avec Lyme il peut y avoir aussi effectivement une agression ou affaiblissement du système immunitaire chez certains patients !

En fait, je crois que la maladie de Lyme c'est un peu la maladie du "syndrome de Barnum" (utilisé par les astrologues...) vu le nombre de symptômes possibles (tout le monde en a déjà eu plusieurs)

Du même site: http://www.sos-lyme.com/home.php?page=doc

Gonflement persistant des glandes
Gorge endolorie
Fièvres
Voûte plantaire endolorie, en particulier le matin
Douleur articulaires : doigts, orteils, chevilles, poignets, genoux, coudes, hanches, épaules
Gonflement des articulations : doigts, orteils, chevilles, poignets, genoux, coudes, hanches, épaules
Douleur dorsale non expliquée
Rigidité des articulations ou du dos
Douleur ou crampes musculaires
Faiblesse musculaire évidente
Contraction des muscles du visage ou d'autres muscles
Confusion, difficulté éprouvée à la réflexion, à la concentration, à la lecture, à comprendre un problème contenant de nouvelles informations
Difficulté à trouver ses mots, oubli des noms
Manque de mémoire, lacunes de la mémoire à court terme
Désorientation pauvre, tendance à se perdre, à se tromper d’endroit
Lapsus, mauvais choix de mots, erreurs de langage
Variations d'humeur, irritabilité, dépression
Anxiété, attaques de panique
Psychoses (hallucinations, illusions, paranoïa, bipolarité)
Tremblements
Crises végétatives*
Céphalées
Sensibilité à la lumière
Sensibilité au bruit
Vision : double, trouble, floue
Otalgies
Audition : bourdonnements, sifflements, diminution de l’audition
Augmentation des nausées, vertiges, étourdissements avec perte de l'équilibre, sensation d’ivresse
Ronflements, sonnant
Distraction, esprit « brumeux », incontrôlable besoin de se reposer ou de s’allonger
Fourmillements, engourdissements, sensations de brûlures ou de coups de poignards, douleurs aigues
hypersensibilité dermatologique Paralysie faciale de Bell
Douleurs dentaires
Grincements et craquements du cou, rigidité, douleur cervicale Fatigue, traits tirés, baisse de la vitalité
Insomnie, sommeil irrégulier, réveils anticipés
Temps de sommeil excessif
Besoin de faire une sieste pendant la journée
Gain de poids non expliqué
Perte de poids non expliquée
Alopécie sans raisons
Douleur dans la zone génitale
Irrégularité menstruelle non expliquée
Production de lait non expliquée
Douleur dans les seins
Vessie irritée ou dysfonctionnement de la vessie
Dysfonctionnement érectile
Perte de la libido
Ecoeurements ou nausées
Remontées acides, douleur d'estomac
Constipation
Diarrhée
Douleurs abdominales, crampes
Murmure ou prolapsus des valves cardiaques ?
Palpitations ou arythmie cardiaque «blocage de l’influx électrique» sur l’ECG*
Douleurs pleurales ou cage thoracique endolorie
Congestion cérébrale
Dyspnée*, «manque d’air», toux chronique non expliquée
Sueurs nocturnes
Effets accentués de l’alcool ou moins bonne résistance à l'alcool
Récurrence des symptômes tous les 4 semaines
Sensation d’incapacité
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par janic » 21/08/13, 10:15

christophe bonjour
Je ne connais que "LE" sida

A en croire l’enquête faite en Afrique, d’anciennes maladies tropicales se sont vues cataloguées sida parce que c’était la seule maladie qui générait des capitaux pour des soins. Donc les maladies qui décimaient les populations, mais n’intéressant personne, se sont vues comptabilisées sous ce vocable sida et donc auto justifiant l’intérêt pour ce syndrome. D’où l’expression « des » !
mais avec Lyme il peut y avoir aussi effectivement une agression ou affaiblissement du système immunitaire chez certains patients !
Difficile qu’il en soit autrement même pour un simple rhume.
En fait, je crois que la maladie de Lyme c'est un peu la maladie du "syndrome de Barnum" (utilisé par les astrologues...) vu le nombre de symptômes possibles (tout le monde en a déjà eu plusieurs)
Un grand nombre de ces « symptômes » relèveraient surement d’un traitement homéopathique efficace, (encore faut-il des homéopathes compétents !) ou même de "traitements" naturels.
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par Christophe » 21/08/13, 10:18

janic a écrit :Un grand nombre de ces « symptômes » relèveraient surement d’un traitement homéopathique efficace, (encore faut-il des homéopathes compétents !) ou même de "traitements" naturels.


Perdu...Ta remarque serait vraie en cas de non contagion à la maladie! Mais en cas de contagion, cela serait inefficace à terme !

C'est justement le mauvais diagnostic de Lyme (les médecins n'y pensent tout simplement pas assez...) qui fait qu'on prescrit, par exemple, des anti dépresseurs ou des heures de kiné...mais sans efficacité à long terme !!
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par janic » 21/08/13, 10:45

Perdu...Ta remarque serait vraie en cas de non contagion à la maladie! Mais en cas de contagion, cela serait inefficace à terme !
au contraire, l'homéopathie (pour prendre cet exemple mais non limitatif) ne s'exprime pas dans ces termes, sa fonction est globale (que l'on pourrait comparer à l'acupuncture sous certains angles) qui est de renforcer les capacités de l'organisme à devenir réactif à une agression mal maitrisée par "démission" de cet organisme face aux multiples agressions (environnementales, alimentaires, psychologiques) dont il est l’objet et ne sait plus quelles sont les priorités.
D’où l’efficacité des jeûnes qui court-circuitent les agressions alimentaires et partiellement environnementales et permettent à l’organisme, par sa disponibilité, de s’occuper d’un agent agressif comme : virus, microbes ou bactéries pathogènes.
Mais là, c'est toute une culture "pasteurienne", récente, qui est à revoir! :?
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