izentrop a écrit :Question santé, il n'y a pas lieu d'en ajouter de nouveaux par rapport à ceux en vigueur pour la 4G et antécédents, tant que ça reste des ondes non ionisantes et que les puissances en jeux sont dans les normes des radiocommunications.
L'augmentation du trafic et des points d'émission, ne change rien au niveau santé non plus.
Tout à fait !
Je vois que ça recommence. Après la 2G, la 3G, la 4G, dont rien n'a révélé le moindre danger, voilà les obscurantistes, les timorés, les ignorants et les anti-développements qui recommencent leur cirque en insinuant que les ondes de la 5G pourraient être dangereuses !
Pour les fréquences électromagnétiques non ionisantes, le seul risque jamais mis en évidence est le risque thermique, risque nul dans les cas pratiques de la téléphonie mobile. Un portable 2W, même si aucune puissance n'était rayonnée et que toute sa puissance vous chauffait la tête, serait bien moins dangereux qu'un soleil d'été (1KW/m², avec des fréquences bien plus élevées).
Quant aux fréquences ionisantes, c'est à partir des rayons ultra-violets les plus hauts en fréquence, ceux proches des rayons X, soit à des fréquences plus de 30000 fois supérieures aux plus hautes fréquences prévues pour le futur de la 5G.
Et ceux qui penseraient qu'un temps d'exposition long à ces fréquences de la 5G seraient équivalent à une courte exposition à des fréquences ionisantes, qu'ils apprennent la physique. L'ionisation est une question de seuil de fréquences, pas de niveau de champ ni de durée.
J'invite ceux qui veulent prouver le danger des ondes à suivre des cours de contorsionisme, puis à se caser dans leur four à micro-ondes, puis à le lancer à pleine puissance . S'ils n'auront rien appris aux scientifiques par leur expérience, on les remerciera cependant d'un Darwin Award pour leur amélioration du monde par leur disparition.
Côté énergétique et action sur le climat, c'est un autre sujet
S'il s'agit d'un effet supposé des ondes, c'est zéro aussi.