Non seulement ce n'est pas impossible, mais de nombreux témoignages, médicalement attestés quelques fois, le démontre.
A proprement parlé on n'a jamais constaté de miracles médicalement parlant.
Ce n’est pas dans leurs compétences évidemment !
Tout est dans la manière dont on aborde le sujet : divers « miracles » ne sont pas reconnus par l’église catholique TANT QUE LE CORPS MEDICAL, N’A PAS REUSSI A EXPLIQUER RATIONNELLEMENT UN PHENOMENE DE GUERISON. Donc si madame la science (du moment) ne peut donner une explication, elle (l’église) reconnait, seulement alors, celle-ci comme étant un miracle, tel qu’elle l'a définie
Une guérison du cancer, de la sclérose en plaque, une paralysie partielle peuvent statistiquement se remettre sans traitement et parfois rapidement.
Mais c'est exactement comme pour le loto,il est tout a fait normal de constater des guérissons de ce genre sur un échantillon de millions voir de centaines de millions de personnes.(Comme à Lourdes ou l'on voit affluer près de 600 000 fidèles par an 6 millions sur 10 ans!).
Sauf lorsque ces « guérisons » et autres manifestations de ce genre se concentrent sur un groupe réduit.
Maintenant toujours est-il que parmi ses guérissions surprenantes aucunes n'a jamais vu un membre sectionné repoussé.
Et tu remets le couvert, ça devient obsessionnel. Il n’a jamais dit que ce membre repousserait.
je recite donc : Et c’est reparti, il ne dit pas qu’un membre amputé doit repousser :[i] J'ai pas envie de te dire “ouais, ton bras va repousser” <c’est pourtant clair
mais j'ai pas envie de te dire “ton bras va pas repousser”. »Il sait, puisqu’il se recommande de ne prendre position que sur des assises scientifiques, que chacun peut vérifier facilement, donc c’est une expression je dirais malheureuse. Alors pas de quoi en faire une doctrine qui n’a rien à voir avec un miracle quelconque ou bien alors les greffes d’ADN seraient aussi des miracles puisque n’existant pas naturellement, les greffes aussi seraient à cataloguer dans les miracles.[/i]
Dire à un malade (je parle bien sur ici de pathologies très lourdes,pas de rhume!) qu'il peut compter sur une guérison sans traitement parce qu'une telle guérison est statistiquement constaté relève de la tromperie manifeste.
Encore une fois, il ne faut pas interpréter un discours en fonction de ce que tu veux lui faire dire. Il n’a pas dit qu’elle pouvait compter sur une pareille guérison. On dirait un journaliste qui veut faire du buzz.
Ensuite : oui une pathologie très lourde peut guérir sans traitement (c'est-à-dire sans prendre un quelconque produit supposé être susceptible de guérir) Mais tu ne peux comprendre ce que tu nies par principe, par aveuglement conformiste.
Un miracle correspond à un phénomène qui remet en cause toute logique du quotidien
(1)traditionnellement il s'agit d'un acte de puissance(émanant d'une force surnaturelle) le plus souvent par le biais d'un médium.
Tu es bien trop catholique (probablement es-tu un de ses anciens membres) et qui reprend à la lettre leur discours comme si (ils le voudraient bien d’ailleurs) c’était représentatif du phénomène. Non un « miracle » est effectivement en dehors de la logique du moment, comme l’avion , le téléphone, sont des miracles de la technologie (un véritable idole moderne)décrétées comme impossible il a quelques siècles ou bien comme faisant l’objet d’un miracle divin.
Lorsque Jésus guérit des Lépreux ils les guérit instantanément, ce qui n'est pas possible biologiquement, il s'agit donc ici d'un miracle, un vrai
(2).Pas du tout ! Une action sur le vivant ressort automatiquement de la biologie. Sinon que dit-il ?
TA foi t’a sauvé et non pas
MA foi t’a sauvé. considérant ainsi que les forces de l’esprit peuvent l’emporter sur les forces uniquement matérielles.
Les zigotos qui critiquent l’homéopathie (sans rien y connaitre d’ailleurs, comme d ‘habitude) se réfèrent à LEUR conception de l’action mesurable, avec leurs instruments du moment, et donc bien que le produit ait, de ce fait une action réelle, s’ils ne trouvent rien (signe d’incompétence), alors ils décrètent que ce produit ne peut avoir une action quelconque et lorsqu’il y a un résultat, ces ignorants invoquent la foi ; laquelle ne parait pas sous un microscope aussi sophistiqué qu’il soit.
Juteux est le mot ! Donc pour être crédible, selon toi, il faut être SDF, au RSA, voir mendiant. Est-ce ton cas ?
Il n'est pas critiquable de vouloir se verser un salaire,bien au contraire,toutefois exploiter la crédulité à coup de sous entendu douteux n'est pas très honnête!
Lorsque l’on veut de recommander d’honnêteté il faut commencer par soi même. Son action d’enseignement couvre des d’années où jamais, que je sache, son discours n’a prétendu ce dont tu veux te persuader sur un morceau de phrase sybi!lin d’ailleurs.
(1)Cela n’exclus pas d'autre explications rationnelle mais encore hors du champs de nos connaissances.
eh bien voilà, tu aurais dû commencer par là, quoique le coté rationnel ne soit, bien trop souvent, qu’un autre point de vue guère rationnel pour autant.
(2)Du point de vu de la metagnomie. La question de savoir si Jésus à vraiment réalisé des miracles ou non relève de la foi personnelle,
Non, encore une fois ! Cela relève de l’observation et du témoignage qui s’ensuit. Jules César a-t-il existé ? Les paroles qui lui sont attribuées sont elles historiques ou inventées ? Lui peut donc être considéré comme historique, d’après des écrits ; mais Vercingétorix et ses paroles attribuées, un simple mythe, une non historicité et pourtant ce mythe est devenu une tranche de l’Histoire, c’est donc bien une question de foi aussi. Mais si une population suffisamment nombreuse atteste de son historicité, de ses victoires (pas de ses échecs évidemment), ce n’est plus une question de foi (sauf à avoir eut foi
en lui), mais de témoignage historique.
Etant donné que ce christ n’est pas un guerrier, ni un politique (dont les témoignages historiques sont mieux connus) mais un simple docteur de la loi juive qui emmène à sa suite, des populations
instruites, capables de noter son parcours et ses actions, ce témoignage a donc la même valeur que ceux qui ont témoigné de l’histoire de César, mais dans une moins grande proportion. L’un se remarque par sa dimension politique faite de violence, de morts, l’autre se manifeste par son opposé et au lieu de tuer ou faire tuer, il guérit, de façon inhabituelle certes. Mais à son époque pas question de greffe, pas question de vaccins, pas question médicaments miracles qui, en comparaison, le font passer pour un petit guérisseur de campagne minable.
« On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres: mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison » Henri Poincaré