dommage que tu ne lises que des petits passages de toute la prose de ce site.
Donc si tu tapes sur le Vidal, tel ou tel vaccin, celui ci explique clairement que ces essais ne sont pas requis . Le Vidal ne raconte-t-il que des contre vérités.
a)Ensuite, lors de sorties d'un "nouveau" (c'est à dire légèrement modifié seulement) comme d'autres médicaments, il n'y a pas d'étude de toxicité, etc... Un nouveau vaccin n'est considéré que par rapport à une amélioration du précédent (comme quoi le précédent n'était pas au top, et cela depuis Jenner et Pasteur!)
b) les labos étant juges et parties, c'est sur leur discours (supposé de bonne foi) que tel ou tel produit est mis sur le marché
c) il ne faut pas confondre publicité (les labos sont des industriels comme les autres) et vérité ! Ainsi :
En quoi consiste la recherche sur les vaccins ?
Un vaccin est une substance capable de protéger très efficacement l’être humain contre une maladie infectieuse. La mise au point d’un nouveau vaccin est indispensable lorsque :
• la maladie est grave voire mortelle, se transmet facilement et que les traitements sont peu efficaces, par exemple Ebola ;Ebola ça ne court pas les rues de nos pays fortement médicalisés par ailleurs. Ce discours (comme ce qui suit) à un rôle anxiogène : «
regardez ce qui vous attend si vous ne consommez pas nos produits »
• la maladie est grave, transmissible et qu’elle touche un nombre très important de personnes, par exemple l’infection à VIH/sida ;Mauvais exemple encore ! Qui se rappelle de la panique provoquée par une annonce invérifiée sur le SIDA, sa contamination possible, au point que les gens n’osaient pas se toucher, plus de relations sexuelles à visée de reproduction, etc… Donc exemple bidon, s’il en est, puisque ce VIH (pas le SIDA qui est un signe de faiblesse immunitaire qui peut toucher n’importe qui.) continue à être contesté par de nombreux savants.
• la maladie peut être grave chez certaines personnes et qu’elle est très contagieuse, par exemple la grippe chez les personnes âgées,Chez les personnes âgées de quel âge ? Tout peut être cause de maladie et la plupart du temps ce sont des pathologies déjà existantes qui provoquent ces décès, vaccinés ou pas.[*] (Voir les comptes rendus officiels sur ce sujet) Par contre les médias, en recherche de sensationnel pour vendre leur littérature, n’hésitent pas à exagérer ces comptes rendus. Par exemple considérer qu’il y a eut 12.000 morts de la grippe parce que non vaccinés (sans preuves) alors que l’INPES précisait que cela pouvait être un facteur aggravant, pas une cause directe.
[*] Un petit tour aux Ehpad , comme chez les particuliers, montrent l'incroyable quantité de pilules qu'on leur fait consommer.
la rougeole chez les enfants,Même chose ! La rougeole a toujours été considérée comme une maladie bénigne (voir article précédent!) qui ne se manifestait qu’à une tranche d’âge particulière. Les vaccins ont provoqué un déplacement de cette pathologie, devenue vaccinale par virus de laboratoire) vers des enfants plus jeunes et des plus âgés. Donc qu’éventuellement, de façon ciblée, cette vaccination puisse être proposée et pratiquée sur des sujets à fort risque, cela peut encore se supposer, mais empoisonner toute une population fragile qui ne peut pas exprimer son choix, c’est du totalitarisme médical.
la rubéoleMême chose que ci-dessus
• ou le Zika chez la femme enceinte,Zika : informations et traitements - Institut Pasteur
https://www.pasteur.fr/fr/centre-medica ... adies/zika Chez le foetus, transmis à la femme enceinte, le virus pourrait en revanche être à l'origine d'une malformation sévère, la microcéphalie, responsable d'un retard mental irréversible.
Il n'existe actuellement pas de vaccin, ni de traitement spécifique de la virose Zika. Les seuls traitements disponibles sont symptomatiques.Causes • Symptômes • Complications • Epidémiologie
Sanofi arrête la recherche d'un vaccin contre le virus Zika - Les Echos.fr
https://www.lesechos.fr/.../01022008710 ... cin-cont...
1.
7 sept. 2017 - Sanofi Pasteur, la division vaccins du groupe pharmaceutique français, a mis un terme à son programme de développement d'un vaccin contre le virus Zika. Cette décision, discrètement publiée le 1er septembre sur le site Internet américain du laboratoire et mise en lumière par des médias spécialisés aux ...
Tests prometteurs du vaccin contre le Zika abandonné par Sanofi
http://www.europe1.fr › Accueil › santé
1.
5 déc. 2017 - SANTÉ - Les premiers résultats d'un essai clinique sur le vaccin contre Zika développé initialement par le laboratoire Sanofi sont "très prometteurs".
Abandon d'un vaccin contre Zika pour des raisons économiques
https://www.francetvinfo.fr › Santé › Maladie
7 sept. 2017 - La firme Sanofi a abandonné son programme de développement d'un vaccin contre le virus Zika, après qu'une autorité américaine a décidé de réduire ses financements en raison du déclin de l'épidémie.
• la tuberculose… Il n’y en a plus dans nos régions c’est pourquoi le BCG, miracle, a été abandonné et le vaccin n’y est pour rien comme le montrent les courbes statistiques officielles dans divers pays.
• la maladie peut être grave, touche un grand nombre de personnes et qu’elle se transmet très facilement d’une personne à une autre, …soit d’une personne à une autre (par exemple l’hépatite B).L’hépatite B a provoqué tant d’effets secondaires que Kouchner l’a fait suspendre et ainsi que peut le dire un hématologue, le virus ne se transmet
que par le sang donc par blessure ou opération. Donc même chose que ci-dessus.
• la maladie peut se compliquer de cancer (par exemple l’hépatite B et cancer du foie, les infections à HPV et cancer du col de l’utérus et cancer ORL).Là c’est une arme anxiogène à double tranchant puisque
si cela soutient la vaccination ce discours est tenu et
si ça accuse le vaccin, les pro vaccins se retranchent sur leur argument favori : «
cela n’a jamais été prouvé scientifiquement « oubliant que leur discours n’est pas plus prouvable scientifiquement.
Et tout est à l’avenant ! J’ai proposé une analyse approfondie du bourrage de crane de l’INSERM sur le même sujet et cela semble n’intéresser personne, ni les pro, ni les antis d’ailleurs !
Voyons cela maintenant :
(CPP) et une autorisation de l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM).
• Phase 1 : sur 10 à 100 personnes : première administration chez l’homme (qui se fait toujours chez l’adulte en bonne santé même si le vaccin concerne l’enfant). On étudie la tolérance et la production des anticorps (pouvoir immunogène) en fonction des doses que l’on administre.Comme indiqué, c’est la tolérance
aux produits injectés qui est mesurée, indépendamment du vaccin pur lui-même. La liste des produits toxiques ajoutés est importante. De fait l’organisme comme pour n’importe quelle empoisonnement va fabriquer des tas d’anticorps, dont ceux spécifiques au poison viral injecté : élémentaire mon cher Watson !
• Phase 2 : sur 50 à 500 personnes : on étudie la tolérance avec la formulation finale du vaccin et le nombre de doses retenues (schéma de vaccination) dans la population à laquelle cette vaccination sera recommandée.Même chose cette phase n’étudie pas l’efficacité protectrice, mais seulement la dose maximale à injecter. N’importe quel produit à risque le justifierait.
• Phase 3 : on étudie l’efficacité vaccinale et la tolérance à une grande échelle, chez plusieurs milliers de personnes.La phase trois joue sur la même supposition qu’un vaccin agit comme n’importe quel médicament. Or un médicament agit directement
sur une pathologie existante avec plus ou moins de succès. L’efficacité du vaccin concerné ne peut être mesurée qu’en situation réelle, en milieu infecté comme lors d’une épidémie, moment où le vaccin arrive trop tard pour être efficace. Encore faut-il une épidémie ! Manque de bol sur les trois vaccins qui étaient obligatoires, il n’existe plus d’épidémie et supposer qu’une épidémie à l’extrémité du globe soit identique à celle d’une autre extrémité, c’est une simple vue de l’esprit tant les conditions sont différentes, voire opposées. Donc mesure de tolérance : oui ! d'efficacité : non !
• Phase 4 : ces études sont réalisées après la mise sur le marché du vaccin. Elles permettent de vérifier qu’à grande échelle et chez des personnes pouvant présenter des affections chroniques, l’innocuité et l’efficacité du vaccin sont assurées, qu’il n’y a pas d’effets indésirables à long terme sur la survenue d’autres maladies.Là c’est le top du top ! Déjà que vérifier en phase 3 sur plusieurs milliers de personnes (consentantes ?) c'est douteux, mais là on passe à la grande échelle et je reproduis la formulation : «
Elles permettent de vérifier qu’à grande échelle et chez des personnes pouvant présenter des affections chroniques, l’innocuité et l’efficacité du vaccin sont assurées, qu’il n’y a pas d’effets indésirables à long terme sur la survenue d’autres maladies. »
En clair cette grande échelle utilise des sujets qui n’ont pas eut voix au chapitre puisque la majorité des cobayes sont trop jeunes pour s’exprimer sur leur mal être, leurs souffrances présentes puis futures, l’examen
se contentant de vérifier des signes physiques.
Les études et les tests des phases 1 et 2 évaluent notamment les caractéristiques de la protection provoquée par le vaccin en fonction de différentes doses, l’interaction avec d’autres vaccins et le schéma de vaccination.Erreur ou mensonge ? Les phases 1 et 2 ne peuvent vérifier une protection quelconque, tout au plus une tolérance aux produits injectés. Ensuite l’interaction avec les autres vaccins associés est impossible à établir avec certitudes en phases 3 et 4. C’est la pharmacovigilance quand elle n’est pas que superficielle (environ 1 à10 % d’effets secondaires sont recensés) qui le peut et la pharmacovigilance ne sert pas à vérifier l’efficacité d’un vaccin.
Surveillance des effets indésirables des vaccins | Vaccination Info ...
vaccination-info-service.fr/...vaccinations/...vaccins/...vaccins/Surveillance-des-effets-i...
16 nov. 2017 - La pharmacovigilance a pour objet la surveillance, l'évaluation, la prévention et la gestion du risque d'effets indésirables résultant de l'utilisation des médicaments. Elle se fait sur tous les médicaments, dont les vaccins, qui possèdent une AMM, ainsi que sur les médicaments qui sont à l'étude au cours ...
https://www.sciencedirect.com/science/a ... 3X05005956La pharmacovigilance est fondée sur la « notification spontanée » des effets indésirables au centre régional de pharmacovigilance (CRPV) qui établit l'importance de la relation entre chaque médicament pris par le patient et la survenue de l'effet indésirable (imputabilité). La notification spontanée est une méthode passive, fondamentale pour générer des alertes mais trop peu exhaustive (1 à 10 % des effets indésirables graves sont notifiés) rendant nécessaire des études pharmacoépidémiologiques qui visent à confirmer ou infirmer les alertes identifiées par notification spontanée.
Donc tout est à l’avenant et il ne s’agit donc ici que de publicité sur un produit industriel comme pour une machine à laver !
« On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres: mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison » Henri Poincaré