L'avenir passera-t'il par la biomasse?

Les énergies renouvelables sauf solaire électrique ou thermique (voir sous-forums dédiés ci-dessous) : éoliennes, énergies de la mer, hydraulique et hydroélectricité, biomasse, biogaz, géothermie profonde...
moinsdewatt
Econologue expert
Econologue expert
Messages : 5111
Inscription : 28/09/09, 17:35
Localisation : Isére
x 554

Re: L'avenir passera-t'il par la biomasse?




par moinsdewatt » 05/07/17, 21:14

Le deuxième réseau de chaleur francilien passe au vert

Usine Nouvelle le 04/07/2017

D’un coût total de 40 millions d’euros, la nouvelle chaufferie biomasse de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) permet de porter à plus de 50 % la part des énergies renouvelables dans le mix énergétique du deuxième réseau de chaleur francilien.

Image
Chaufferie biomasse de Saint-Denis

Inaugurée, mardi 4 juillet, la chaufferie biomasse de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) va permettre de porter à plus de 50 % la part des énergies renouvelables dans le mix énergétique du réseau de chaleur de Plaine Commune Energie. Ce réseau d’une puissance totale de 184 MW permet d’alimenter en chauffage et eau chaude sanitaire 40 000 équivalents logement sur les quatre communes de Saint-Denis, Stains, Pierrefitte et l’Île-Saint-Denis. Avec 60 km de canalisations enterrés et 400 sous-stations ou points de livraisons, c’est le deuxième plus grand réseau de distribution de chaleur en Île-de-France et le troisième en France. Cette infrastructure a nécessité un investissement de 40 millions d'euros.

Avec sa chaudière d’une capacité de 26,6 MW la nouvelle installation de Saint-Denis constitue la plus grande chaufferie biomasse d’Île-de-France selon Engie Réseaux, le gestionnaire du réseau via sa filiale Plaine Commune Energie. Sa construction a nécessité un investissement de[…payant]

http://www.usinenouvelle.com/article/le ... rt.N561823


Engie inaugure chaufferie biomasse de Saint-Denis

Alexandra Saintpierre, publié le 04/07/2017 Boursier.com

Isabelle Kocher (Directeur Général du Groupe Engie), Farida Adlani (Vice-Présidente de la Région ILe-de-France), Patrick Braouezec (Président de Plaine Commune Energie), Didier Paillard (Vice-Président de la Communauté d'Agglomération Plaine Commune et Président du Smirec), Laurent Russier (Maire de Saint-Denis), Joëlle Colosio (Directrice régionale Île-de-France de l'Ademe) ont inauguré la nouvelle chaufferie biomasse de Saint-Denis. Avec l'introduction de plus de 50% d'énergies renouvelables dans le mix énergétique du réseau de chaleur des villes de Saint-Denis, Stains, Pierrefitte et L'Ile-Saint-Denis, cette chaufferie convertie à la biomasse illustre la dynamique du territoire et sa mobilisation en faveur de la transition énergétique.

Mise en service en octobre 2016, la chaufferie biomasse de Saint-Denis, d'une puissance de 26,5 mégawatts (MW), allie préservation de l'environnement et lutte contre la précarité énergétique. Le verdissement du réseau de chaleur du territoire de Plaine Commune s'est fait par étape depuis la naissance du réseau dans les années 50 et fonctionne aujourd'hui avec plus de 50% d'énergies renouvelables. L'usage de la biomasse permet d'éviter le rejet de plus de 56.000 tonnes de CO2 par an, soit l'équivalent des émissions annuelles produites par 25.000 véhicules.

Le réseau de distribution de chaleur de Saint-Denis, baptisé Plaine Commune Energie, couvre un large périmètre puisqu'il alimente l'équivalent de 40.000 logements répartis sur quatre communes. Avec presque 60 km de canalisations enterrées et 400 points de livraison, le réseau de Plaine Commune est le deuxième plus important réseau de chaleur d'Île-de-France et le troisième plus grand réseau de France.

Les villes de Saint-Denis, Stains, Pierrefitte et L'Ile-Saint-Denis sont interconnectées grâce au réseau de chaleur géré par Plaine Commune Energie dans le cadre d'un contrat de délégation de service public de 25 ans. Ce contrat est délégué au Syndicat Mixte des Réseaux d'Energie Calorifique (Smirec). Engie Réseaux, le Smirec et les quatre collectivités partagent l'ambition d'une excellence environnementale et d'un développement territorial durable. "Notre engagement se poursuit pour participer activement à l'accélération de la transition énergétique sur notre territoire ", précise Laurent Russier, maire de Saint-Denis.

Le recours majoritaire à une énergie verte fera bénéficier les usagers d'une réduction de la TVA à 5,5% sur leur facture de chaleur. Saint-Denis, Stains, Pierrefitte et L'Ile-Saint-Denis font partie des neuf villes de Plaine Commune, 1er Etablissement Public Territorial d'Ile-de-France. Consciente de sa responsabilité en tant que collectivité territoriale, Plaine Commune s'est engagée depuis les années 2000 dans une politique de lutte contre le changement climatique.

Dans le cadre de la transition énergétique, le projet de la chaufferie a été soutenu financièrement par l'Ademe à hauteur de 4,4 millions d'euros et par la Région Ile-de-France pour 2 ME, sur les 40 ME d'investis.



http://www.boursier.com/actions/actuali ... 33278.html
0 x
moinsdewatt
Econologue expert
Econologue expert
Messages : 5111
Inscription : 28/09/09, 17:35
Localisation : Isére
x 554

Re: L'avenir passera-t'il par la biomasse?




par moinsdewatt » 14/07/17, 16:28

Inauguration de la chaufferie bois du réseau de chaleur de Nevers

Posté par Frédéric DOUARD le 6 juillet 2017

Image
La chaufferie bois de Nevers, photo Thierry Bonnat

La chaufferie biomasse du réseau de chaleur de Nevers a été inaugurée le 30 juin 2017. Cette chaufferie biomasse, couplée avec la récupération de chaleur sur alimente le réseau en énergies renouvelables à hauteur de 71% et permettra de chauffer, à terme, l’équivalent de 8 000 logements.

D’une puissance de 6 MW, la chaufferie bois de Fourchambault a été mise en service à la fin 2015. Elle alimente le réseau de chaleur de Nevers et consomme jusqu’à 8 400 tonnes de bois-énergie par an. Depuis septembre 2014, le réseau est également approvisionné par la chaleur dégagée par l’UIOM (Usine d’Incinération des Ordures Ménagères avec son Unité de Valorisation Energétique) de Fourchambault. Avec ces deux nouvelles sources de production de chaleur, le réseau de Nevers fonctionne à 71 % à base d’énergies renouvelables.

La construction de cette chaufferie bois, ainsi que le raccordement à l’UVE la modernisation du réseau du Banlay et les premières extensions du réseau, représentent un investissement de 17 M€ pour Énéa (filiale de Dalkia groupe EDF), soutenu par l’ADEME dans le cadre du Fonds Chaleur à hauteur de 7,4 M€.

À ce projet initial s’ajoute de nouvelles extensions du réseau soit un investissement supplémentaire d’environ 9M€ dont 2,5 M€ de Fonds chaleur abondé de 0,3 M€ au titre du Fonds de Financement de la Transition Energétique.
..............


https://www.bioenergie-promotion.fr/520 ... de-nevers/
0 x
Avatar de l’utilisateur
chatelot16
Econologue expert
Econologue expert
Messages : 6960
Inscription : 11/11/07, 17:33
Localisation : angouleme
x 264

Re: L'avenir passera-t'il par la biomasse?




par chatelot16 » 17/07/17, 20:30

quand je vois tout ce qui brule en ce moment dans le sud ... et le travail que ça donne aux pompier pour éteindre ... ça n'aurait pas été mieux de faire des coupes rase pour alimenter des centrales thermique a biomasse ?

pas coupe rase sur des grande surface entière mais bande de coupe rase pour quadriller le terrain et éviter la propagation du feu

combien de tonne de biomasse sont partie bêtement en fumé en quelques jours ?
1 x
Ahmed
Econologue expert
Econologue expert
Messages : 12298
Inscription : 25/02/08, 18:54
Localisation : Bourgogne
x 2963

Re: L'avenir passera-t'il par la biomasse?




par Ahmed » 17/07/17, 21:30

Je ne sais pas pour le sud, mais personnellement, j'ai suivi tes conseils et je fais ma cuisine d'été dehors, dans un four ad hoc, alimenté avec des petits bois et des branches mortes: pas de soucis pour la ressource! :wink:
0 x
"Ne croyez surtout pas ce que je vous dis."
moinsdewatt
Econologue expert
Econologue expert
Messages : 5111
Inscription : 28/09/09, 17:35
Localisation : Isére
x 554

Re: L'avenir passera-t'il par la biomasse?




par moinsdewatt » 06/10/17, 21:53

L’usine vosgienne d’Egger se dote d’une cogénération biomasse pour 35 millions d’euros


Philippe Bohlinger Usine Nouvelle le 06/10/2017

Le groupe autrichien Egger injecte 35 millions d’euros dans la construction d’une centrale de cogénération biomasse sur son site de fabrication de panneaux de particules à Rambervillers (Vosges).

Egger Panneaux et Décors à Rambervillers (Vosges) injectera ses premiers kilowattheures d’électricité verte dans le réseau au cours de l’été 2018. Sa maison-mère, le groupe autrichien Egger, a investi 35 millions d’euros dans la construction d’une centrale de cogénération biomasse sur ce site de production de panneaux de particules à Rambervillers (Vosges).

Le projet de 55 mégawatts thermiques et 9 mégawatts électriques va démarrer par la mise en service d’une nouvelle chaufferie biomasse dès janvier 2018. Fournie par l’allemand Standardkessel, l’équipement sera alimenté par des bois verts et des déchets de bois issus des procédés industriels. L’équipement livrera de la chaleur, de la vapeur nécessaire au séchage, ainsi que de la vapeur surchauffée pour alimenter la turbine de cogénération. Cette turbine, conçue et réalisée par EDF Optimal Solutions (Dalkia), permettra à Egger de produire 56 000 mégawattheures par an d’électricité et de la revendre dans le cadre d’un contrat d’obligation d’achat sur 20 ans. "Il s’agit vraisemblablement du plus important investissement réalisé sur le site depuis sa construction en 1974", estime Guido Reid, directeur de l’usine de Rambervillers.

Projet initié en 2010

Ce projet de cogénération biomasse prolonge le programme d’investissement 2015-2016 de 25 millions d’euros qui a notamment permis à l’usine d’augmenter le rendement en vapeur de ses séchoirs et d’améliorer encore la filtration de ses fumées.

Retenu en 2010 dans le cadre du fonds "Biomasse" de l’Ademe (BCIAT), le projet de cogénération d’Egger n’avait pu à l’époque se concrétiser faute d’une conjoncture économique porteuse. Le site de Rambervillers, en cours de certification Iso 50001 pour le management de l’énergie, emploie 400 personnes. Il est rattaché à la filiale française du groupe à Rion-des-Landes, dans les Landes (313 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2016).

https://www.usinenouvelle.com/article/l ... os.N597053
0 x
Avatar de l’utilisateur
goodgerald
Je découvre l'éconologie
Je découvre l'éconologie
Messages : 3
Inscription : 22/05/17, 09:53
Localisation : Gatineau, Canada
x 1

Re: L'avenir passera-t'il par la biomasse?




par goodgerald » 13/10/17, 15:22

La biomasse représente une source d'énergie assez efficace, selon moi. Mais parfois c'est dangereux, car peut provoquer la surexploitation des ressources. Pour les débutants dans ce sujet, qui s'intéressent au fonctionnement des centrales biomasses je peux laisser cette vidéo:

https://www.youtube.com/watch?v=B0Nq35wkpsk
0 x
Mes articles sur les appareils de climatisation et chauffage à la maison. N'hésitez pas à donner votre avis sur mon travail!

Mon nouveau blog anglais:
https://www.bestadvisor.com/water-filter-systems
moinsdewatt
Econologue expert
Econologue expert
Messages : 5111
Inscription : 28/09/09, 17:35
Localisation : Isére
x 554

Re: L'avenir passera-t'il par la biomasse?




par moinsdewatt » 14/10/17, 14:14

Des nouvelles de la centrale de Gardanne :

Face au chantage aux subventions, les parcs régionaux acceptent la centrale de Gardanne
Les parcs naturels du Luberon et du Verdon acceptent la centrale à biomasse de Gardanne à laquelle ils s'étaient opposés. Renonçant à leur plainte déposée en 2015. Quant à FNE, elle réfléchit à sa position. La raison ? Parcs et association étaient menacés de se voir privés de subventions.


05 octobre 2017 | Actu-Environnement.com

Ils s'inquiétaient de l'impact du projet de centrale à biomasse de Gardanne (Bouches-du-Rhône) sur la forêt provençale et avaient porté leurs interrogations au tribunal. Las ! Après la menace aux subventions de la région Paca, les parcs régionaux du Verdon et du Luberon ont signé, vendredi 29 septembre, un protocole d'accord avec Uniper, le gestionnaire de la centrale, acceptant l'abandon des poursuites. Reporterre, qui a bien voulu que son enquête soit également publiée sur Actu-environnement, était présent lors de la signature des parcs et fait le récit de ce feuilleton très politique.
Dans les tuyaux depuis 2012, l'unité à biomasse de la centrale thermique de Provence aurait dû commencer sa production d'électricité fin 2014. Uniper, ancienne filiale d'E.ON, prévoit d'y brûler 850.000 tonnes de bois par an. Un gâchis environnemental selon de nombreux élus locaux, collectifs et associations écologistes, qui s'inquiètent de l'effet d'entraînement qu'aura cette usine sur "l'industrialisation de la forêt" . Localement, ce sont les nuisances sonores, les pollutions à cause des particules fines, des rotations de camion et des cendres qui sont critiquées.

Le 8 juin dernier, le tribunal administratif de Marseille rendait une décision sans précédent. Saisi en 2015 par les parcs naturels régionaux (PNR) du Luberon et du Verdon, des collectivités locales et des associations environnementales, il a estimé que l'étude d'impact du projet de conversion au bois, faite sur un rayon de 3 km autour de la centrale, était insuffisante. La justice donnait raison aux requérants en annulant l'autorisation d'exploitation et en imposant une nouvelle étude d'impact portant sur l'ensemble du périmètre d'où provient le bois. Voilà qui pourrait faire jurisprudence.

"En droit, on appelle cela du chantage"

Mais depuis, la préfecture des Bouches-du-Rhône a offert une autorisation provisoire de 9 mois à l'énergéticien pour continuer ses activités dans l'attente d'une mise en accord avec les termes du jugement. Et de leur côté, Uniper et... Nicolas Hulot, le ministre de la Transition écologique, ont fait appel de la décision de justice. De quoi doucher les écologistes mobilisés sur ce dossier.

Un nouveau coup de gourdin leur a été asséné avec les menaces de Renaud Muselier, président (LR) de la région Paca, dans un communiqué publié dès la parution du jugement : "Il va de soi que nous ne pourrions pas continuer à accompagner des structures qui prendraient une position contraire à celle de la Région sur un projet d'une telle importancpe pour notre avenir collectif. Il est temps que chacun se ressaisisse et comprenne que l'écologie n'est ni une doctrine ni une idéologie, mais doit être mise au service de l'économie pour faire de la croissance verte un atout et faire gagner la France."
En clair : soit vous marchez avec la région et Uniper, soit on vous coupe les vivres. Un message adressé aux PNR du Luberon et du Verdon et à France nature environnement Paca (FNE Paca).

Sous l'ancienne majorité (PS, EELV, FG), la région s'était prononcée en faveur d'un moratoire sur le projet d'unité à biomasse, suivant en cela les PNR, qui s'inquiétaient d'une mobilisation trop importante de la ressource en bois au détriment des usages locaux et de la biodiversité.
.................
.................


https://www.actu-environnement.com/ae/n ... 29781.php4
0 x
Avatar de l’utilisateur
chatelot16
Econologue expert
Econologue expert
Messages : 6960
Inscription : 11/11/07, 17:33
Localisation : angouleme
x 264

Re: L'avenir passera-t'il par la biomasse?




par chatelot16 » 15/10/17, 12:07

12 000 ha de foret en france sont partie en fumé cette année

une foret peut produire facilement 10m3 de bois de chauffage par ans ... si l'indendie detruit la production de 10 ans , ça fait 1 200 000 m3 de bois de chauffage perdu cette année

si on exploitait correctement toutes les foret on eviterait completement les grand feux de foret ... et ça ferait une activité productive !
0 x
moinsdewatt
Econologue expert
Econologue expert
Messages : 5111
Inscription : 28/09/09, 17:35
Localisation : Isére
x 554

Re: L'avenir passera-t'il par la biomasse?




par moinsdewatt » 01/11/17, 12:59

La soudière Novacarb investit 65 millions d’euros avec Cofely pour substituer la biomasse au charbon

PHILIPPE BOHLINGER Le 26/10/2017 Usine Nouvelle

Le fabricant de carbonate et biocarbonate de soude Novacarb à Laneuveville-devant-Nancy (Meurthe-et-Moselle) s’est associé à Engie-Cofely pour bâtir une centrale de cogénération biomasse.

L’enquête publique préalable à la construction d’une centrale de cogénération biomasse pour alimenter les process de Novacarb à Laneuveville-devant-Nancy (Meurthe-et-Moselle) doit s’achever le 17 novembre 2017. La procédure d’autorisation d’exploitation de cet investissement de 65 millions d’euros devrait être engagée dans la foulée auprès de la Dreal Grand-Est. Le fabricant de carbonate et bicarbonate de soude, filiale du chimiste français Novacap, s’est associé à Engie-Cofely pour bâtir ce projet dont la livraison est prévue pour fin 2020.

Image
Site Novacarb à Laneuveville-devant-Nancy (Meurthe-et-Moselle)

La chaudière de 58 mégawatts va substituer au charbon, ressource historique de l’usine, 120 000 tonnes de déchets bois. Un tiers de la ressource sera fournie par SNCF dans le cadre d’une filière nationale de valorisation des traverses de chemins de fer usagées. La chaudière produira la vapeur basse pression nécessaire aux procédés de séchage et d’entrainement et de la vapeur haute pression utilisée par la turbine de cogénération de 12,5 mégawatts. L’électricité produite sera ensuite revendue dans le cadre d’un contrat d’obligation d’achat sur 20 ans.

Création de 26 emplois

Jusqu’à l’aube des années 90, Novacarb se fournissait auprès des houillères du bassin lorrain. Depuis leur fermeture, l’industriel importe chaque année 70 000 tonnes de charbon d’Afrique du sud. "La centrale de cogénération biomasse va stabiliser nos prix d’achats énergétiques en réduisant notre dépendance vis-à-vis du marché spéculatif du charbon. Un marché qui peut nous imposer des fluctuations jusqu’à + 30 % en quelques mois !", avertit Dominique Jacob, directeur de Novacarb.

Novacarb et Engie-Cofely sont associés au sein de la société ad hoc Novawood, détenue à 49 % par la soudière et à 51 % par l’énergéticien, Leur partenariat devrait se traduire par la création de 26 emplois directs sur l’installation et 80 emplois indirects dans la filière bois. Novacarb emploie 300 personnes pour un chiffre d’affaires de 133,7 millions d’euros en 2016.

https://www.usinenouvelle.com/article/l ... on.N606458
0 x
Ahmed
Econologue expert
Econologue expert
Messages : 12298
Inscription : 25/02/08, 18:54
Localisation : Bourgogne
x 2963

Re: L'avenir passera-t'il par la biomasse?




par Ahmed » 05/11/17, 21:10

Cet article fournit des arguments nouveaux qui contestent l'intérêt du recours massif à la biomasse...
0 x
"Ne croyez surtout pas ce que je vous dis."

Revenir vers « Hydraulique, éoliennes, géothermie, énergies marines, biogaz... »

Qui est en ligne ?

Utilisateurs parcourant ce forum : Bing [Bot] et 146 invités