izentrop a écrit :eclectron a écrit :Le système Terre semble plus robuste que ce que l'on aime a se faire peurPlus de CO2, c'est aussi moins d’oxygènePour information, les niveaux actuels sont au-delà de 400 ppm, ce qui n’a jamais été le cas depuis l’apparition de l’Homme, des niveaux inquiétants et qui ne risquent pas de descendre en dessous du seuil critique des 400 ppm.
Comment autant de CO2 a pu charger l’atmosphère de manière aussi rapide et brutale ? Comme l’explique Tammo Reichgelt, durant les périodes glaciaires, le carbone est stocké de différentes manières. « Soit il est piégé dans le pergélisol, soit il est enfoui dans l’océan sous forme organique. Nous ne savons pas exactement comment le carbone se retrouve dans l’atmosphère, mais une fois que le phénomène est amorcé, il est condamné à se perpétuer et à s’accélérer grâce à des mécanismes de rétroaction positive. Avant la flambée des niveaux de CO2 il y a 23 millions d’années, il y a eu une période de glaciation particulièrement rude ; on soupçonne qu’une quantité inhabituelle de carbone a été stockée à ce moment-là, avant d’être libérée. L’Antarctique semble particulièrement sensible à ce phénomène, d’autant plus que la calotte glaciaire est plus facilement détruite que reconstituée« . En effet, lorsque ces seuils critiques sont atteints, il faut des millions d’années pour que l’Antarctique s’en remette. http://sciencepost.fr/2016/10/on-sait-e ... s-dannees/Faut peut-être arrêter de se focaliser sur un détail que seuls les scientifiques peuvent expliquer.les océans représentent environ 71 % de la surface de la Terre. Ils produisent entre 50 et 70 % de l’oxygène que l’on respire. https://reporterre.net/L-ocean-merite-t ... -attention
Quels sont les motivations d'un Courtillot pour nier les conclusions de la majorité de ses pairs ?
Le temps est compté pour réagir et les climatosceptiques sont une entrave. https://blogs.mediapart.fr/fabriceflipo ... e-au-point
En restant purement pragmatique ,un argument pour agir, qui est indéniable celui là :
La raréfaction à très moyen terme des énergies fossile charbonnées par rapport à notre mode de vie.
L’Uranium n’étant pas une issue non plus.
Même avec un développement massif à l’échelle planétaire pour compenser la raréfaction des fossiles carbonées, il n’y en aurait pas pour longtemps non plus.
Il y en a pour 200 ans (de mémoire) mais avec le peu d’utilisateurs comme aujourd’hui. Si tout le monde s'y met.......
Seules issues connues à ce jour le Thorium+sel fondus ou les Enr, ou les 2
les Enr ayant quand même mon adhésion du cœur.