Ce n'est pas possible à l'echelle macro, à l'échelle nano j'en serais pas aussi certain...cf l'effet casimir !
Zut, l'effet Casimir respecte la conservation de l'énergie, lorsqu'on le mesure en physique, n'en déplaise aux uluberlus qui déforment tout !!
L'effet Casimir est aux départ l'interaction de Van der Walls pour le cas de 2 molécules pas trop éloignées !!
Van der Waals, aussi quantique, avec photons virtuels, conserve l'énergie et est la base du passage solide, liquide à vapeur !!Casimir est ce que devient Van der Waals à plus grande distance, lorsque le temps de propagation des photons virtuels devient long !!
Donc il conserve l'énergie!!
http://en.wikipedia.org/wiki/Van_der_Waals_forceThe London-van der Waals forces are related to the Casimir effect for dielectric media, the former being the microscopic description of the latter bulk property. The first detailed calculations of this were done in 1955 by E. M. Lifshitz.[2][3]
Au niveau nano la mécanique quantique décrit le passage très peu de temps par des états d'énergie élevés (virtuels), mais à la fin, à temps longs, l'énergie est conservée !!
Ainsi , pour nano, on peut passer par des énergies plus élevées en passant des barrières, très vite comme dans l'effet tunnel,, mais à la fin l'énergie est conservée !!
La radioactivité est un effet tunnel avec passage à travers une barrière qui si élevée, donne des temps vie radioactifs du milliards d'années !!
Les réactions chimiques, l'effet photoélectrique sont quantiques, avec énergie des photons du vide, avec passage par dessus des barrières étroite d'énergie plus élevées, état virtuels, de temps très court, mais qui conservent l'énergie, comme un panneau photovoltaïque le prouvent sans arrêt !!
Mais Casimir, quantique, énergie du vide, respectent la conservation de l'énergie à notre échelle pour un moteur ou le chauffage !!
Tout n'est pas résolu, et il reste à découvrir, mais les faits expérimentaux actuels expliqués resteront avec les mêmes explications mais plus complexes aux énergies virtuelles très élevées qui restent inconnues et quasi inaccessibles, et étudiées au LEP à Genéve.