Piccard: «La Chine pollue? C'est un peu de notre faute»
Les deux pilotes de l'avion solaire se plient à un marathon de relations publiques.
Solar Impulse est en Chine depuis un mois déjà. Après trois semaines à Chongqing, le dragon solaire repose depuis dix jours à l'aéroport de Nankin. En attendant l'envol pour le Pacifique, début mai. Mais l'équipe, elle, s'impose des journées de travail à la chinoise: elle enchaîne des événements avec visiteurs et partenaires. Les deux pilotes, André Borschberg et Bertrand Piccard, se plient à un marathon de relations publiques. L'aéronaute et psychiatre vaudois est à l'aise dans ces exercices de communication comme un poisson dans l'eau.