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Les records continuent de s’accumuler dans l’Arctique

Rédaction - Agence Science-Presse

Le mois de mars est celui où les glaces de l’Arctique atteignent leur maximum, après le plus dur de l’hiver. Sauf que le maximum de cette année est le plus petit jamais enregistré depuis 38 ans.

Un record qui n’est pas une surprise, puisque pratiquement chaque mois de 2016 a vu les glaces de l’Arctique battre un record après l’autre. Elles couvrent un territoire moins large qu’avant, et elles sont plus minces. Mais le fait que l’hiver s’achève sur un maximum très « minimal » fait craindre le pire pour cet été. Entre autres impacts directs, la perte de la couverture glaciaire affecte l’éclosion du phytoplancton, le micro-organisme qui constitue la base de la chaîne alimentaire des océans.

Selon les calculs du National Snow and Ice Data Center, l’étendue glaciaire avait atteint, le 7 mars, 14,42 millions de km2, battant le record de 2015 de près de 100 000 km2.

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