Avez-vous entendu parler du traité transatlantique ? Il est vrai que 2014 est une année à l’actualité chargée et que beaucoup de sujets sont sources de discordes profondes. Pourtant, se prépare en toute discrétion, l’un des engagements politiques et économiques les plus importants. La perspective d’une union intercontinentale se renforce avec le Partenariat transatlantique pour le commerce et l’investissement (PTCI) qui est une pierre de plus à l’édifice entrepris par l’Organisation mondiale du commerce (OMC). L’Union européenne négocie en totale opacité des traités juridiques avec le Canada et les Etas-Unis. Cela illustre parfaitement le fonctionnement de l’Union Européenne et plus généralement la façon dont sont prises des décisions qui nous engagent, qui vous engagent. Le fait que certains décident pour d’autres, sans même les consulter, n’est-ce pas là une cause de discordes profondes ?
Par ailleurs, le traité transatlantique se construit à partir de l’idée économique d’une vertu de l’homme liée à une croissance toute virtuelle. Une société économique qui se base sur la croyance d’un monde aux ressources infinies alors même que la finitude du monde mobilise déjà.
Cet engagement politico-économique à pour objet d’intensifier notre modèle économique. La mécanique de celui-ci répartit les richesses via le principe de Pareto, mais pas seulement. C’est-à-dire une répartition de l’enrichissement en faveur de ceux qui possèdent le plus. À contrario pour ceux qui ne possèdent rien dans ce modèle économique, il n’y a pas de limite dans la dépossession. La répartition des richesses, des ressources, la subsistance, ne sont-ils pas là encore des sources de discordes profondes ?
Quelques courageux anonymes proches des négociations ont exfiltrés des éléments qui permettent un peu de comprendre les engagements du traité transatlantique. Cette vidéo présente de manière non exhaustive, très partageable, quelques éléments de ce que l’ensemble des citoyens de chacun des États ne décide pas.
Pour aller plus loin, il est possible d’étayer ses connaissances sur l’Union européenne avec le blog de Raoul Marc Jennar (http://www.jennar.fr/) ainsi que celui de Magalie Pernin (http://contrelacour.over-
Il est possible également de se mobiliser auprès des engraineurs, un collectif citoyen (www.collectif-lesengraineurs.
Aussi, puisque le traité transatlantique montre qu’il est possible de redéfinir des règles qui ont un impact mondial, vous pouvez essayer de construire une société meilleure avec les colibris par exemple (www.colibris-lemouvement.org)
Ben
C’est une menace non seulement économique et sociale, mais aussi linguistique et culturelle. Le formatage des cerveaux est déjà en cours au moyen du tout-anglais. http://www.ipernity.com/doc/32119/album/428493
Je suis en total accord avec ce qu’a écrit Henri Masson. Pour en avoir parlé moi-même un jour avec Raoul Jennar, le problème linguistique semble parfaitement étranger à beaucoup de ceux qui défendent les thèses altermondialistes pour faire simple.
Prenons par exemple, Attac, j’ai constaté que pour la plupart des membres de cette association : dénoncer tout ce qui se prépare à notre insu en utilisant l’anglais, cela ne leur pose aucun problème. Et quant à remettre en cause le rôle prééminent de cette langue qui véhicule une idéologie ultra-libérale, ils n’y pensent pas une seconde. Pire, ils vous répondent qu’il y a d’autres priorités.
Oui, il y a bien eu formatage des cerveaux. Et ça marche sacrément bien, hélas!
Il serait intéressant de savoir ce qu’en pense Ben.
En accord avec les précédents commentaires, propos très intéressant et pertinent. Mais le rendu technique est très mauvais, et un petit effort de montage son et de mixage éviterait que la fatigue auditive prenne le dessus sur notre intérêt…
Bonsoir, sur le fait que l’on nous cache tout et que les politiques font cela sans en avoir le “droit”… c’est un peu oublier qu’ils ont été élus (et qu’il y a d’ailleurs une élection prochaine – libre à chacun de faire pression auprès de son élu pour qu’il respecte ses “promesses”). Ensuite les lobbies font trop de pression, les politiques sont corrompus par la facilité d’un système bureaucratique qui accouche à chaque fois d’une chimère qui fait le bonheur des spéculateurs pervers de tout poil. Les informations existent et sont facilement diffusées, à nous de trouver le moyen d’amplifier ce que l’on trouve anormal ou manipulé et d’obliger à respecter les engagements humanistes qui doivent combattre sans relache la finance folle. Par contre, sur la langue, j’ai toujours défendu “une” langue natale (et élimination des langues régionales qui montent les gens les uns contre les autres à l’intérieur d’un même pays et qui provoquent des envies d’indépendances) et “une” langue commune (l’anglais me convient et ne me dites pas qu’il n’est pas possible d’avoir un langage humaniste avec). Une langue commune maitrisée par toute l’humanité permet aussi une meilleure communication et une meilleure coopération lors d’actions coordonnées qui deviennent de plus en plus essentielles si on veut faire accepter nos idées. On dit bien “diviser pour mieux régner” et au niveau de la barrière des langues c’est exactement cela !
Et moi je suis d’accord avec les 2 premiers commentaires. Il n’est pas vrai que l’anglais convient. Beaucoup de gens s’en plaignent que cela leur cause des problèmes tellement elle est difficile et monte les gens les uns contre les autres, imposé en 1951 dans l’aviation, il est prouvé dans des rapports qu’elle est une des causes principales d’accidents, rapports faits par un ingénieur américain, moi même ayant été dans l’aviation durant 39 ans je peux le confirmer, l’anglais n’est pas une langue convenable, tellement difficile pour ceux qui ne sont pas nés que les pilotes ne comprennent pas toujours ce qu’on dit et c’est assez fréquent, il est prouvé qu’une langue internationale neutre serait sécuritaire dans l’aviation et ailleurs ce dont les instances sont autistes. Des ingénieurs même de l’aviation s’en plaignent que cela leur cause des problèmes. Vous dites qu’elle vous convient car ils ne vous font pas connaître l’autre solution beaucoup plus facile que l’anglais, imposer une langue nationale à ceux qui n’en sont pas nés et à des pays non américains ou anglais est une honte ! Cela serait le français ou autre, cela serait exactement pareil, je comprends que des anglais et américains en ont honte et n’en soient pas fiers de voir leur langue imposée à d’autres. Voilà ce que je vous réponds. Une langue nationale ne peut pas convenir et être convenable car trop difficile.
Et il y a un autre personnage, une personnalité influente de l’administration Clinton, qui se réjouirait de découvrir que tant de gens entrent dans son jeu, dans l’intérêt des États-Unis, incapables de se rendre compte que les dés sont pipés :
“Il y va de l’intérêt économique et politique des États-Unis de veiller à ce que, si le monde adopte une langue commune, ce soit l’anglais; que, s’il s’oriente vers des normes communes en matière de télécommunications, de sécurité et de qualité, ces normes soient américaines; que, si ses différentes parties sont reliées par la télévision, la radio et la musique, les programmes soient américains; et que, si s’élaborent des valeurs communes, ce soient des valeurs dans lesquelles les Étasuniens se sentent à l’aise.“
Pour ceux qui préfèrent l’anglais :
“It is in the general interest of the United States to encourage the development of a world in which the fault lines separating nations are bridged by shared interests. And it is in the economic and political interests of the United States to ensure that if the world is moving toward a common language, it be English; that if the world is moving toward common telecommunications, safety, and quality standards, they be American; that if the world is becoming linked by television, radio, and music, the programming be American; and that if common values are being developed, they be values with which Americans are comfortable.”
Il s’agit de David Rothkopf dans “In Praise of Cultural Imperialism?”, Foreign Policy, Numéro 107, Été 1997, pp. 38-53
Pour ce qui est de l’aspect humaniste, Gandhi a lui-même dénoncé en plusieurs occasions la contrainte d’apprendre et d’utiliser l’anglais :
“Plus de la moitié de notre temps a été accordée à l’apprentissage de l’anglais et la maîtrise de l’arbitraire d’orthographe et de prononciation. Ce fut une expérience pénible de devoir apprendre une langue qui ne se prononce pas telle qu’elle s’écrit. Étrange fut l’expérience d’apprendre la prononciation par cœur“ (Education)
“Donner à des millions une connaissance de l’anglais, c’est les rendre esclaves.“ (…) Il est à noter que, en recevant l’enseignement en anglais, nous avons asservi la nation.““Hind Swaraj“, chap. 18).
“Le recours à une langue étrangère en Inde pour réaliser l’enseignement supérieur a causé un dommage intellectuel et moral incalculable à la nation.“ (Selections From Gandhi )
Bonsoir, je vous remercie pour votre réponse et celles qui suivent car leur teneur est de qualité et aura au moins le mérite de m’instruire sur des sujets que je ne maitrise certainement pas. Je vais tenter une “petite” réponse. Quelle est cette langue “miracle” à laquelle vous pensez ? Comment l’apprendre “rapidement” à 6 milliards d’habitants (en plus de leur langue natale) et quand les capacités d’apprentissage sont diminuées (avec l’age :-)) ou par l’accès à l’éducation ? comment éviter alors que cette langue soit elle-même pervertie par “le système” ?
Il y a au moins une personne qui se réjouirait, si elle était encore de ce monde, de voir un plaidoyer pour l’anglais de la part de quelqu’un qui invite à “faire pression” auprès des élus !
“En ce XXIème siècle, le pouvoir dominant est l’Amérique; le langage dominant est l’anglais; le modèle économique dominant est le capitalisme anglo-saxon.“
Oh ! Pardon ! Ce n’est pas en français qu’elle l’a dit :
“In this twenty-first century, the dominant power is America; the global language is English; the pervasive economic model is Anglo-Saxon capitalism.“
Son nom est Margareth Thatcher. Elle prononcé ces mots le 19 juillet 2000 à l’Université de Stanford.
Ce plaidoyer pour l’anglais est d’autant plus drôle que c’est bien par “des pressions” qu’il a été imposé au monde. Voir à ce sujet les ouvrages du professeur Robert Phillipson qui est un connaisseur en la matière puisqu’il a occupé diverses fonctions au sein du British Council de 1964 à 1973. Il a dénoncé une manigance lors d’une conférence anglo-américaine qui s’est tenue à l’Université de Cambridge en 1961. Il s’agissait bien, pour les deux puisances majeures du groupe Echelon (ça ne vous dit rien ?) d’imposer l’anglais au monde afin de formater les cerveaux, d’induire une façon de penser, de voir le monde, de ressentir, de se conduire, de consommer : http://www.esperanto-sat.info/article608.html (English to transform the students’ whole world / L’anglais pour transformer l’univers des étudiants). Voir à ce sujet ses ouvrages “Linguistic Imperialism” (1992) et “Linguistic Imperialism Continued” (2010). Comme les jeunes cerveaux sont plus malléables et très confiants dans la parole de ceux qui profitent du système, le coup de la fleur au fusil marche aussi bien en 2014 qu’il marchait en 1914 !
En français, il existe des ouvrages solidement référencés écrits par Charles Xavier Durand qui a vécu environ un quart de siècle au Canada, aux États-Unis et au Japon, et aussi au Vietnam, donc pas ignare en matière d’anglais : “La mise en place des monopoles du savoir”, “La nouvelle guerre contre l’intelligence” ou, plus récemment : “Une colonie ordinaire au XXI siècle”.
Bonsoir, vos commentaires très éclairés et vos références sont impressionnantes. Je ne suis pas littéraire et je n’ai pas ces lectures. Après elles engagent peut-être les personnes (respectables ou non) qui les ont dites mais ne peuvent être prises litéralement et hors contexte. Je vois une langue comme un outil de communication et pour moi elle ne peut être un vecteur à transmettre des idées par sa seule utilisation. Elle ne forge pas la façon de penser. Par contre la façon dont elle est apprise peut être critiquée si elle est partiale et dans ce cas il faut de l’esprit critique pour ne pas être manipulé, mais cela est le cas avec n’importe quelle langue et est plutôt à rechercher dans l’entourage de l’apprentissage (milieu social, religieux, politique…). Accepter une langue commune ne doit bien évidemment pas induire l’acceptation d’un modèle unique de normes, culture, … Un exemple tout bête est le concours eurovision de la chanson, beaucoup de pays chantent en Anglais pour tenter d’influencer les votes (déjà tellement influencés par les relations politiques des pays que cela n’a plus de sens). Une solution simple serait d’obliger à interprêter la moitié de la chanson en langue natale et l’autre moitié en anglais. Pour les préférences entre pays, là j’ai pas de solution simple. Excusez-moi de croire qu’il existe parfois des solutions simples, je dois être trop naïf. Sur les difficultés de l’enseignement de l’anglais dans les pays anglophones, je ne suis pas au courant (peut-être voir les études PISA), mais actuellement je pense que tous les pays doivent s’effondrer ! La libre circulation des travailleurs en europe crée des ghettos dans chaque pays où les gens de même origine parlent la même langue et ont autant de mal à s’intégrer. Dans mes voyages, l’Anglais m’a toujours permis de créer une communication enrichissante avec des interlocuteurs de dizaines d’autres pays. Le problème c’est qu’il faut pratiquer régulièrement !
A propos d’Eurovision — cette caricature de la chanson qui ne reflète en rien l’Europe et qui n’est rien d’autre que la globalisation culturelle et du nettoyage culturo-linguistique —, je peux ajouter que, faute d’avoir vu l’espéranto utilisé dans des chansons, il y a au moins eu une chanson de Patricia Kaas traduite sur son site dans la “langue magique” dont je dévoilerai enfin le nom — l’espéranto :
http://www.patriciakaas.net/eurovision2009/
Combien de Français savent que l’un des leurs, Jean-Marc Leclerc (pesudonyme : JoMo = yomo), a été inscrit deux fois au Livre Guinness de records pour un concert multilingue avec 22 chansons en 22 langues en 2000, puis 25 en 25 langues en 2007 lors du congrès britannique d’espéranto à Letchworth (GB), la ville-jardin dont les plans furent conçus par un architecte espérantophone, Ebenezer Howard ?
http://fr.wikipedia.org/wiki/JoMo
Il existe en France des éditions musicales, Vinilkosmo, qui ont fortement contribué à l’esor de la chanson en espéranto : Vinilkosmo :
http://www.vinilkosmo.com/
Enfin, aujourd’hui même, j’ai appris par un correspondant russe l’existence d’un nouveau groupe nommé Esperanto à Tomsk, en Sibérie :
“Esperanto – оркестрик международной музыки” (Esperanto — Orchestre de musique internationale)
http://tn.tomsk.ru/archives/7802
Et sur le plan de l’efficacité, l’agence Reuters avait rapporté, le 17 avril 2007, que “les enfants d’autres pays européens apprennent à lire et à écrire beaucoup plus vite que les petits Britanniques. Il ne faut que deux ans aux Italiens tandis que les Britanniques peuvent y consacrer jusqu’à 12 ans“.
Autrement dit, l’anglais a des effets désastreux pour la plupart de ceux qui subissent cet enseignement comme première langue étrangère. Il coupe l’envie d’en apprendre d’autres en raison du taux élevé d’échecs. La dyslexie fut décrite pour la première fois par un anglophone. C’est logique puisque c’est une langue qui ne brille pas par la logique…
[…] http://4emesinge.com/le-traite-transatlantique-en-10-minutes/ […]
Outre le fait que cette vidéo est intéressante et ce traité une aberration, je tiens quand même à rectifier quelque chose : un candidat aux élections présidentielles de 2012 en a parlé et, arf, il s’agit de Melenchon. Et il continue à en parler régulièrement puisque c’est l’un de ses principaux combats.
Ce que vous dites est parfaitement exact, Marion, en ce qui concerne Mélenchon.
En revanche, ce traité n’est pas une aberration, absolument pas. Il fait partie d’un plan, et est la conséquence logique d’une volonté états-unienne de transformer l’Europe en une colonie dont les frontières seront calquées sur l’OTAN, et le tout à leur solde grâce à leurs auxiliaires (les Barroso et compagnie). On dit que Barroso serait intéressé par le poste de Secrétaire général de l’OTAN. Il faut donner des gages pour y arriver.
Et ce n’est pas un certain “Young leader” du nom de François Hollande qui ira contre ce projet. Lui aussi a donné des gages, et il est même allé se former et rendre compte à Washington dernièrement.
Quant à Mélenchon, s’il était cohérent il appellerait à sortir la France de l’Union Européenne en vertu de l’article 50 du Traité de l’Union Européenne. Ce qu’il n’a toujours pas dit. Cherchez l’erreur.
J’espère que je ne vous ai pas choquée. Mélenchon, moi aussi, j’y ai cru, j’ai voté pour lui, mais je sais maintenant que c’est une voie sans issue. Hélas.
Ecouter l’UPR, c’est rejoindre l’issue de la sortie et l’article 50 du TUE…
Bien à vous
[…] La suite sur le 4ème Singe. […]
Un petit bijou ce livre…
http://www.luxediteur.com/content/%C2%AB-gouvernance-%C2%BB
Merci pour ce documentaire !
Il y avait aussi un article très intéressant dans le monde diplomatique qui énonçait d’autres dangers de cet accord ( http://www.monde-diplomatique.fr/2013/11/WALLACH/49803 – apparemment en libre lecture ). Ça fait peur.
Merci pour cette vidéo, qui serait parfaite s’il n’y avait pas une publicité pour le tirage au sort en politique prôné par Etienne Chouard en remplacement des élections.
Quel est votre argumentaire pour penser que la “démocratie représentative” est plus adaptée pour répondre aux besoins des citoyens que la démocratie direct par tirage au sort ?
http://4emesinge.com/sommes-nous-reellement-en-democratie/
Bonjour Stéphane,
Si je peux me permettre de répondre à votre question, la véritable démocratie représentative en Europe, ce serait que les Européens: tous les citoyens européens, puissent s’approprier le pouvoir d’influer sur les politiques suivies.
Ce n’est pas le cas aujourd’hui, loin de là, et ce ne sera pas le cas jusqu’au moment où les citoyens européens auront à leur disposition une vraie langue commune, accessible à tous, ce qui ne peut et ne pourra jamais être l’anglais, ni aucune autre langue nationale, du reste.
Seul le parti Europe Démocratie Espéranto défend cette thèse, et ce depuis deux mandatures maintenant. Il défendra lors de la campagne des européennes cette thèse selon les principes de la Déclaration des droits de l’homme de 1948, dont la convention européenne du même nom est très en deça, ce que personne ne semble voir. Hélas.
http://e-d-e.fr/?Notre-programme
Cordialement.
A vrai dire, ma question pour Orwelle portait principalement sur le questionnement de notre “démocratie représentative”. En quoi est-elle plus avantageuse qu’une démocratie direct par tirage au sort – qui n’a d’ailleurs pas encore vu le jour à grande échelle dans l’histoire contemporaine – ma question n’était pas de savoir ce qu’il n’allait pas dans la démocratie représentative mais plutôt de savoir si elle était le seul modèle possible (ce que l’on nous vend avec le capitalisme, par exemple).
Je pose le problème en amont, car il est possible que même avec une langue commune cela ne soit pas suffisant, simplement car les personnes prenant les décisions ne travaillent pas pour le bien commun et sont amenés, de par leur profession, à être contraints aux mêmes problématiques, liées à la profession elle même, voir, à notre fonctionnement psychologique face à ce genre d’environnement.
A lire, l’article que j’ai posté à mon dernier commentaire.
[…] lu sur : http://www.4emesinge.com […]