Janic a écrit :Il aurait du écrire « il est omnivore par sa culture »
Je n'ai pas le temps de développer, mais tes arguments en faveur du VG ne me convainquent pas.
Convaincre ? Pour quoi faire ? Personnellement que les gens soient Vg ou omnis, ça ne me fait ni chaud ni froid dans la mesure ou chacun respecte les choix des autres. Par contre, dans un débat, le but est de fournir ses arguments, non pas au nom d’une majorité qui prévaudrait sur une minorité, quelconque d’ailleurs, et pas seulement alimentaire, ni pseudo scientifique.
Similaire à aujourd’hui, voire supérieure, dans la mesure où les processus naturels se trouvaient mieux respectés et donc plus robustes. Mais si l’on tient compte des mortalités brutales par accident, prédation, conflits, cela n’est pas comptabilisable dans l’espérance de vie réelle. Pendant les guerres, les espérances de vie des combattants sont plus que réduites évidemment, de même lors de catastrophe naturelles dont, actuellement, nous n'échapperions pas non plus.'il écrit: "IL EST BEAUCOUP PLUS DANGEREUX POUR LA SANTE DE SUPPRIMER LES PRODUITS LAITIERS QUE D’EN CONSOMMER. » et malgré ce danger supposé l'humanité à fait sans pendant très, très longtemps.
Avec qu'elle espérance de vie ?
Il est prouvé aussi que la consommation de lait apporte le calcium nécessaire pour avoir encore des os suffisamment solides à 70 ans, surtout pour la femme.
Il n’est pas prouvé, juste prétendu !Ou plutôt prétendus comme étant la principale , voire seule source viable. Encore une fois tous les autres mammifères ayant cessé la consommation de laitage après la période de toute petite enfance, ne présentent pas de caractéristiques de décalcification quel que soit leur âge.Les décalcifications ne sont pas, à ma connaissance, le fait des non consommateurs de laitage, mais de disfonctionnements organiques qui peuvent être le lot de n’importe qui et la consommation d’aliment trop riches, selon l’âge, ne va pas dans le sens d’un mieux être en terme de solidité.
Ensuite, il faut distinguer la pub faite par les professionnels du lait ou de la bidoche (et les « scientifiques» rémunérés par ces lobbies) qui doivent pérenniser leur business et la réalité concrète, dans toute sa complexité, qui va donner des résultats contradictoires comme ces études citées. Des études sur les effets du lait, en tant que tel (et quel lait,), ne seraient réellement valables qu’avec une consommation exclusive d’un produit et pendant suffisamment longtemps, plusieurs générations, pour en mesurer les effets réels(comme sur les animaux de labo à reproduction rapide) ; sauf que nous ne sommes pas des souris et nous n’avons pas une alimentation exclusive, ce qui fausse toute conclusion possible.
Il faut donc aller au delà des cornues et des chiffres pour voir dans ce monde concrets si, globalement, c’est mieux ou moins avantageux de consommer tel ou tel produit et il faut quelques fois des décennies, des générations, pour y parvenir. Ainsi la recherche scientifique peut aider à y voir plus clair, mais ne peut se substituer au vécu.
Maintenant, et c’est nouveau, on ne tient plus seulement compte d’impacts santé, justifiés ou pas, mais aussi, plus globalement de celui de l’impact environnemental, de sa viabilité pour une population MONDIALE croissante et de ses besoins, de la dimension éthique aussi où l’animal n’est plus considéré comme un meuble, mais un être sensible (c’est un très grand pas de fait) et où l’exploitation à outrance (l’économie exige des quantités, pas de la qualité) ne peut perdurer longtemps sans poser de nombreux problèmes, y compris économiques par répercussion. Ahmed est plus qualifié que moi pour en parler.