La consommation d’eau est infinie

Travaux concernant la plomberie ou l'eau sanitaire (chaude, froide, propre ou usée). Gestion, accès et utilisation de l'eau chez vous: forage, pompage, puits, réseau de distribution, traitement, assainissement, récupération d'eau de pluie. Procédés de récupération, filtration, dépollution, stockage. Réparation de pompes à eau. Bien gérer, utiliser et économiser l'eau, dessalement et désalinisation, pollution et de l'eau...
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Did67
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par Did67 » 30/06/13, 11:13

chatelot16 a écrit :il n'y a pas que chez les masaïe que l'elevage est un bon moyen d'utiliser la terre ... en france aussi il y a des endroit ou l'elevage est utile !


Oui, oui...

C'était juste pour inciter à réfléchir sur le sens de chiffres balancés comme ça, médiatiquement. Donc le fait de prendre des zones arides du Kenya devait, à mon sens, devait stimuler la réflexion : 15 000 l d'eau en pays masaï, cela se saurait !

La contradiction est dans "qu'est- ce que mange le ruminant ?" ou même "rumine-t-il encore ?" (c'est-à-dire valorise-t-il de la cellulose ?).
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janic
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par janic » 30/06/13, 17:31

Le problème n'est pas la quantité d'eau consommée qui finira par retourner à la source d'où elle venait, mais de l'état de l'eau qui devient de moins en moins un produit consommable, voire toxique, tout au long de la chaine de son utilisation. Voir les travaux de Masaru Emoto, les cristallisations sensibles de Steiner et la biodynamie, les travaux de L.C. Vincent et la mémoire de l'eau aussi.
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MB
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par MB » 30/06/13, 17:43

janic a écrit :Le problème n'est pas la quantité d'eau consommée qui finira par retourner à la source d'où elle venait, mais de l'état de l'eau qui devient de moins en moins un produit consommable, voire toxique, tout au long de la chaine de son utilisation.

Donc les chiffres de consommation d'eau en milliers de litres ne veulent pas dire grand-chose -- on est d'accord.
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par oli 80 » 30/06/13, 21:07

Bonsoir,
Très intéressant cette info.
Espérons que les relevés soient effectués sérieusement.......

Message envoyé depuis mon Samsung Galaxy S3

Pourquoi s'embêter à porter des packs d'eau si l'eau du robinet est potable chez nous.
- Testons-la sans bouger de la maison.
- TESTEZ L'EAU DE VOTRE VILLE !!!
Il n'est plus nécessaire d'aller en mairie lire le panneau concernant la qualité de l'eau de votre ville.

1 Cliquez sur votre département et ensuite

2 Trouvez votre commune et vous aurez le résultat . . .

C'est précis et bien fait

CLIQUER CI DESSOUS

http://www.sante-sports.gouv.fr/resulta ... table.html

À+
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plasmanu
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par plasmanu » 01/07/13, 06:49

Voici quelques chiffres afin de mieux comprendre la consommation: « Un Américain consomme en moyenne 700 litres d'eau par jour, un Européen environ 200 litres par jour, 600.000 agriculteurs en Afrique du Sud consomment pour l'irrigation 60% des ressources hydriques du pays, alors que 15 millions de citoyens n'ont pas accès à l'eau potable. 11% des ressources en eau douce de la planète se trouvent au Brésil, mais 45 millions de Brésiliens n'ont pas encore accès à l'eau potable...

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un beau voyage qui commence au canada avec des images superbes
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par janic » 01/07/13, 08:00

MB bonjour
janic a écrit:
Le problème n'est pas la quantité d'eau consommée qui finira par retourner à la source d'où elle venait, mais de l'état de l'eau qui devient de moins en moins un produit consommable, voire toxique, tout au long de la chaine de son utilisation.

Donc les chiffres de consommation d'eau en milliers de litres ne veulent pas dire grand-chose -- on est d'accord.
Pas complètement! L'eau ne vient pas toute seule, il faut la produire soit par retraitement (approximatif) des eaux usées et donc énergivore en plus d'être toxique et dévitalisée, soit la prendre dans les nappes phréatiques souvent polluées par l'agriculture intensive. Donc la quantité et la qualité sont liées malgré tout.

oli80 bonjour
Pourquoi s'embêter à porter des packs d'eau si l'eau du robinet est potable chez nous.
Plutôt faussement potable puisque les critères de qualité de l'eau diminuent chaque année car les moyens techniques ne permettent pas de descendre au dessous d'un certain seuil de pollution (à comparer avec les critères de potabilité d'il y a un siècle ou moins) ou alors il faudrait éliminer un certain nombre de circuits de distribution(voire tous!)
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Ahmed
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par Ahmed » 03/07/13, 21:49

Janic, tu écris:
Donc la quantité et la qualité sont liées malgré tout.

Ces deux aspects sont fondamentalement distincts, mais dans des contextes (hélas fréquents!) où les externalités des activités humaines ne sont pas prises en compte (directement), elles se rejoignent effectivement.

Il serait tentant de faire un parallèle avec l'énergie, qui ne disparait pas plus que l'eau, mais dont la valeur dépend de son utilité relative, de sa qualité intrinsèque et des possibles conséquences néfastes de son usage...
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par chatelot16 » 03/07/13, 22:45

Ahmed a écrit :Il serait tentant de faire un parallèle avec l'énergie, qui ne disparait pas plus que l'eau, mais dont la valeur dépend de son utilité relative, de sa qualité intrinsèque


non l'energie disparait bien !

dans du petrole il y a de l'energie disponible , mais une fois brulé il n'y a que du CO2 et de l'eau , sans contenu energetique

de même pour de l'eau chaude qui contient une certaine energie ... une fois refroidie a temperature ambiante il n'y a plus d'energie utile
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Did67
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par Did67 » 04/07/13, 08:23

Oh, chatelot !!!

Le principe de la conservation de l'énergie dit que quand ton eau chaude s'est refroidie, la chaleur s'est dissipée. Et en effet, skin "utilité" devient nulle... à moins de la récupérer avec un système tel une PAC...

Idem pour le pétrole brulé dans ta chaudière ou ton moteur. L'énergie chimique s'est transformée en énergie thermique et/ou mécanique, qui très vite s'est "dispersée" et est devenue inutilisable car "trop diluée".

La comparaisn avce l'eau est donc bien correcte (sauf que pour l'énergie, la "dispersion" est tellement spectaculaire qu'on pense que l'énergie a disparue, là où l'eau "sâle", on la voit encore...)
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Ahmed
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par Ahmed » 04/07/13, 21:21

Merci, Did67, de rappeler le premier principe de la thermodynamique!
La confusion est fréquente entre énergie et énergie utile; cette dernière fait intervenir le niveau d'énergie, du plus riche en potentialité à la forme la plus dégradée.
C'est pourquoi, par exemple, la pompe à chaleur qui passe, souvent pour le nec plus ultra du rendement et de la technologie, ne fait, au mieux, que récupérer les pertes des centrales nucléaires, pour produire une forme d'énergie dégradée à partir d'une énergie de haut niveau... :frown:

Les machines qui transforment l'énergie potentielle des combustibles en énergie utile* ont un rendement très faible puisqu'il implique un flux d'un pôle chaud vers un pôle froid, tout comme la chute d'eau entraîne un alternateur du fait du passage d'un point haut à un point bas.

On peut se risquer à comparer l'énergie et l'argent (l'eau?), bien que dans le premier cas il s'agisse d'un phénomène naturel alors que le second ressort d'une création humaine: les unités théoriques respectives de ces deux notions semblent faciles à comparer, or il n'en est rien en pratique: la "puissance d'agir" (pour reprendre une formule chère à Spinoza) d'un billet de 50 € n'est pas égale à un autre de même valeur, elle diffère profondément selon son détenteur.
De même, avec un joule d'électricité il est possible de faire bien des choses, alors qu'un joule de chaleur est beaucoup plus limité et peut n'être d'aucune utilité, selon le contexte.
Il en va de même pour l'eau qui peut receler une très grande utilité en petite quantité et être en abondance sans "utilité" aucune.

*Utilité est employé ici dans son acception physique et ne préjuge en rien de l'application pratique...
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