Explications crédibles du dopage à l'eau! IMPORTANT!!

L'injection d'eau dans les moteurs thermiques et le fameux "moteur pantone". Informations générales. Coupures de presse et vidéos. Compréhension et explications scientifiques sur l'injection d'eau dans les moteurs : idées de montages, études, analyses physico-chimiques.
ThierrySan
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par ThierrySan » 02/02/07, 01:54

Bon, je vais chipoter mais bon je complète les infos! :mrgreen:

L"inverse de la SUBLIMATION s'appelle aussi la CONDENSATION.

On pourrait aussi rajouter deux autres états de la matière qu'on commence à connaître:
- plasma: mélange d'ions et d'électrons;
- condensat de Bose-Einstein: il me semble que c'est ce nouvel état de la matière que l'on appelle aussi superfluidité, qui correspondrait soi-disant certains scientifiques, à permettre aux solides de se traverser...

Ensuite, lorsqu'on reste dans la même phase (ou état de la matière), on utilise seulement les chaleurs spécifiques de la matière.
A partir du moment où on change de phase, on y ajoute ce que l'on appelle la chaleur latente qui se fait, si mes souvenirs sont bons, à la température de changement de phase sans élévation de cette température.
D'où, l'explication très détaillée, mais très concrete, de Boulon!
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nialabert
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par nialabert » 02/02/07, 13:37

ThierrySan a écrit :Bon, je vais chipoter mais bon je complète les infos! :mrgreen:

L"inverse de la SUBLIMATION s'appelle aussi la CONDENSATION.



Peut être, amis j'ai toujours entendu sublimation inverse.
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par Bucheron » 03/02/07, 02:35

nialabert a écrit :
ThierrySan a écrit :Bon, je vais chipoter mais bon je complète les infos! :mrgreen:

L"inverse de la SUBLIMATION s'appelle aussi la CONDENSATION.



Peut être, amis j'ai toujours entendu sublimation inverse.
Pour moi, la condensation est l'inverse de l'évaporation...
Alors que l'inverse de la sublimation est la cristallisation.

Par contre sublimation inverse, connais pas !
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par nialabert » 03/02/07, 09:49

nialabert a écrit :
ThierrySan a écrit :Bon, je vais chipoter mais bon je complète les infos! :mrgreen:

L"inverse de la SUBLIMATION s'appelle aussi la CONDENSATION.




Peut être, amis j'ai toujours entendu sublimation inverse.


Bucheron a écrit :Pour moi, la condensation est l'inverse de l'évaporation...


Là je suis d'accord avec toi

Bucheron a écrit :Alors que l'inverse de la sublimation est la cristallisation.

Par contre sublimation inverse, connais pas !


Par contre là un peut moins voir (wikipedia
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par Cuicui » 03/02/07, 09:59

D'après Wikipedia,
La cristallisation est une opération physique consistant à isoler un produit en solution pour le récupérer sous forme solide .
La sublimation est le passage d'un corps de l'état solide à l'état gazeux, ou l'inverse, sans passer par l'état liquide. Par conséquent, cette transformation se fait sans passer par une étape de fusion (de solide en liquide), ni une étape d'évaporation (de liquide en gaz).
Je m'interroge sur le "ou l'inverse".

Attention, les liens qui me servent de signature n'ont rien à voir avec ce sujet.
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denis
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par denis » 03/02/07, 10:14

oui , mais à condition d'orientation nord/sud magnetique terrestre :mrgreen:
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le blanc n'existerait pas sans le noir , mais quand meme!


http://maison-en-paille.blogspot.fr/
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bob_isat
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par bob_isat » 03/02/07, 18:59

Salut illustre Camel au GV si doux!

La théorie de la QED n'est pas de moi mais le fait de scientifiques spécialisés dans ce domaine.


camel1 a écrit :Salut Bob !

Bon, je l'ai lu plusieurs fois, j'y ai trouvé une bonne synthèse concernant les observations des expérimentateurs, et des études tournant autour de l'electrisation de la vapeur...
Je vois trois hic à cette explication des radicaux libres :

1 - Dans ton dessin, tu représente des amas d'hydronium, molécules chargées positivement, or, à ma connaissance, des charges de même signe se repoussent, ce qui exclu à priori leur agglomération en micro gouttelettes...



il y a de la vapeur chargée d'un signe et des goutellette chargées de l'autre.

camel1 a écrit :2 - Ce même dessin laisse entendre que la vapeur ne sera constituée que de molécules chargées, or l'évaporation de l'eau est bien plus complexe que ça, et il y a toujours une proportion d'eau qui reste neutre.


Donne moi des liens, ça m'interesse d'approfondir.

camel1 a écrit :3 - Dans la théorie telle que tu l'expose, le rôle du réacteur est plus qu'effleuré, alors qu'il me semble pourtant apporter quelque chose de décisif !
tu dis :
Le réacteur est un lieu ou cohabite haute température et basse pression : Tout ce qu’il
faut pour une ébullition maximale…

alors que tu laisses entendre juste avant que cette vapeur se forme dans le "bouilleur"...

Je suis désolé de revenir à la charge, mais à mon sens, le phénomène d'électrisation "particulier" au pantone vient du frottement des amas d'H2O contre les parois du réacteur, dans l'espace annulaire, à très grande vitesse, quelques molécules de la périphérie arrachent des électrons libres au métal, ce sont donc dans cette hypothèse les micro gouttelettes qui sont chargées, il s'agit d'un état instable, qui peux perdurer quelques millisecondes.


a ton sens ? La supposition est quelque chose d'assez léger, mais pourquoi pas.
Si tu as des references sur des travaux parlant de gouttes d'eau qui arrache des charges a un metal neutre, je suis preneur.



camel1 a écrit :Je rappelle que nos résultats sont bons dans la mesure ou la vapeur est générée dans des conditions de température inférieure à 100°C et sous une forte dépression.
Ce que nous avons, dans ces conditions, c'est une vapeur partièlement saturée (mélange de micro gouttelettes et de molécules libres).
Qu'apparaisse des charge OH+ et H- au cours de cette vaporisation, sans doute, les autres expériences que tu cite semblent le confirmer, mais il y a autre chose qui agit sur le reste de cette vapeur au sein du réacteur.

ah?

camel1 a écrit :Je vais me permettre de me citer , j'avais tenté une explication très synthétique sur un autre post, ici https://www.econologie.com/forums/le-fonctionnement-du-dopage-a-l-eau-diagramme-t2356-10.html
mais je la re soumets au débat, que deviennent ces amas de molécules chargé ?
On sait depuis l'enfance que deux éléments de charges électrostatiques identiques se repoussent...
Il en va ainsi pour nos microgoutelettes, qui vont donc être dans l'impossibilité de "fusionner" à l'occasion d'une collision (et de "jouer les pompiers" plus tard dans la chambre de combustion!) .

Ce mélange aérosol électrisé se retrouve comprimé dans la chambre de combustion, jusqu'à quelques dizaines de bar et autour de 400°C...
PMH, l'injection de gazoil commence, le gazoil s'emflamme, la température ambiante monte à plus de 2000°C, et l'eau commence à cramer...
On sait que la molécule d'eau se craque aux alentours de 900°C.
Si l'on met un amas de molécules d'eau dans une ambiance surchauffée à 2000°C, les molécules de la périphérie de la grappe vont se dissocier en H et 0, qui, dans cette ambiance emflammée ne vont pas manquer de se recombiner en H2O, mais cette fois, sous forme d'une molécule isolée, de la vapeur sèche...et 2300°C à la clé...


Je suis incaplable d'expliquer l'effet de la vapeur electrisée sur le carburant malgrés mon niveau d'étude. Je resence juste les brevets et les études en ce sens.
camel1 a écrit :
Dans le cas du moteur, cette réaction exothermique va générer un travail "gratuit", qui sera autant de moins qu'on demande au carburant fossile.


travail mécanique gratuit: les ummites ne sont pas loin...

camel1 a écrit :Chaque molécule d'H2O dissociée va dévoiler sa voisine de rang inférieur, qui va à son tout être exposée...il va donc se produire un front de flamme qui va se propager en direction du centre de la grappe.

Elle va "fondre" tout le long de la descente du piston, libérant son énergie au fur et à mesure, ce qui explique pour moi l'adoucissement de la courbe. Ma Chris trouve ce dernier paragraphe érotique :cheesy: :shock: :lol:

Pour redevenir sérieux, je pense néanmoins qu'on pourrait aboutir à une synthèse de ces deux théories, dans la mesure où nous connaissons d'une part l'action d'un dopage vapeur simple, et de l'autre celle d'un dopage pantone.
Dans les deux cas, on assiste à une très importante réduction des fumées (signe d'une meilleure combustion), et à une légère diminution de la consommation, dans le cas de l'injection de vapeur simple, et une diminution plus importante dans le cas du pantone.

Le rôle des ions hydroxile entrainés dans le flux d'admission pourrait peut-être être à l'origine de cette amélioration (une sorte de catalyse), permettant au carburant de mieux brûler...
carburant fossile.


c'est egalement mon opinion

camel1 a écrit ::shock: ben là, je crois que c'est ce que nous sommes précisément en train de faire - à la bagnole qui n'est pas vraiment neuve, l'huissier et la presse près...nous somme très méfiant vis à vis de la presse ! :lol:

Sinon, dans la catégorie "qu'est ce qu'on fait", sachez que de notre côté, nous ouvrons une souscription prochainement qui servira à financer l'achat du matos et la location du lieu nécessaire à l'établissement d'un véritable bureau d'étude...mais j'en reparlerais le moment venu sur un nouveau fil, dédié à ça...

Je vous laisse réflechir là dessus (once again... 8) ) et en tout cas, bravo Bob, pour cette belle amorce d'un travail qui ne va pas manquer d'évoluer dans les mois qui viennent ! :D



Avec plaisir.J'attend vos contributions à mon amorce de travail.
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Christophe
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par Christophe » 10/02/07, 18:35

Après quelques vives réactions de "Chercheurs" ne voulant pas s'inscrire en tant que membre du site econologie (bravo la volonté de recherche...), avec Bob on a décidé de rendre public le document (bien qu'il l'était déjà avant mais bon je me comprends...):

https://www.econologie.com/explication-a ... -3323.html

Espérons que leur paresse s'arrete là... et qu'on aura de BELLES théories confortant ce document sur ce forum! Mais franchement avec une telle mentalité j'en doute... :frown:
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Christophe
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par Christophe » 10/02/07, 18:48

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julier
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par julier » 13/02/07, 22:27

Moi je crois que toutes ces théories rappellent une chose réelle:

- le frottement entre matières différentes peut provoquer l'apparition d'électricité statique. Non seulement entre 2 solides (exemple: un bout de laine contre un morceau de plastique), mais également dans les gaz: dans un orage ce serait le frottement des morceaux de glace contre l'air qui provoquerait l'électrisation.

Ce qui permet d'envisager 2 hypothèses (dont peut-être que l'une est vraie, mais ce n'est pas démontré):

1) si le tube est rempli avec des gaz: on peut imaginer, en cas de forte électrisation, qu'il y ait des arcs électriques, et donc luminescence, production d'ozone (O3), et peut-être d'ions H+ et OH-. Au lieu d'arcs électriques, il peut aussi s'agir de jets d'électrons s'il y a des micro-pointes chargées négativement.

2) si le tube est rempli de gouttelettes contenant un peu d'eau, j'imagine très mal des ions restés en liberté en présence d'eau liquide. Par contre les gouttelettes pourraient se charger électriquement. On peut très bien imaginer que ça améliore le rendement d'un moteur avec carburateur rustique, vu que l'électricité statique va écarter les gouttelettes les unes des autres, donc améliorer la dispersion. Si c'est liquide, on peut également envisager des phénomènes de sonoluminescence, après tout peut-être que dans le tube ça souffle avec des fréquences ultrasonores.

Discussion:

1) J'ai beaucoup de mal à imaginer que le débit de gaz dans le tube, à priori assez faible, suffise à provoquer un champ électrique susceptible de provoquer des arcs électriques en continu. Si c'était le cas, avec une électrisation des gaz dans le tube d'admission, la barre d'acier pourrait avoir 2 fonctions: 1) de réduire la section pour augmenter la vitesse et donc l'électrisation, 2) de favoriser l'électrisation, à supposer que ça marche mieux sur l'acier que sur d'autres matériaux. Mais l'électrisation pourrait également avoir lieu dans le tube d'échappement qui risque d'avoir des vitesse plus élevées (par frottement des gaz d'échappement sur le tube central, mais ça ne marcherait que si ce tube était électriquement isolé du reste du système: c'est donc peu probable).

2) si c'est juste un système de pulvérisation assisté par électricité statique, c'est intéressant mais moins novateur. Ça n'expliquerait pas l'odeur d'ozone, mais la présence d'ozone a-t-elle été vérifiée? Pourrait-il s'agir d'autre chose, par exemple lié aux oxydes d'azote (polluant abondamment produit par le moteur Pantone, il me semble, à cause du mélange pauvre), j'ignore si ça sent quelque chose mais ça peut dans certaines conditions engendrer de l'ozone (normalement avec de la lumière et une température tiède, mais peut-être dans d'autres cas?)

Ensuite, la question de la barre d'acier aimantée. Bon, je rappelle que si ça chauffe vraiment, l'acier perd son aimantation, donc j'y crois moyennement. Mais bon, réfléchissons quand même: si la barre est aimantée, elle produit un champ radial aux extrémités. Si des gouttelettes électrisées passent à côté, ça va les faire avancer en spirale (désolé, je n'ai calculé si ce mouvement est susceptible d'avoir une ampleur notable ou non), ce qui pourrait augmenter la vitesse et donc l'électrisation. Si des gouttelettes bien électrisées se mettent à tourner très vite, elles vont produire un champ magnétique. Si je ne me trompe pas, si ce phénomène arrive à l'extrémité du tube, ce champ va augmenter l'aimantation de la barre (l'inverse si c'est au début de la barre, mais les gouttelettes sont censées y être moins électrisées), donc ça ferait une dynamo. Mais c'est de la science fiction tout ça, il faudrait encore vérifier s'il y a des effets magnétiques: pas facile d'ailleurs, si tous les tubes sont en ferraille, ça oblige à mesurer directement à l'intérieur, par exemple avec des spires de fil sur la barre en acier (apparition d'une tension électrique si l'aimantation varie).

Miguel
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