izentrop a écrit :Juste une question technique, car le texte est difficilement lisible.
L'image fait 538 pixels de large, il en faudrait au moins 1000 pour faire la largeur de page du forum
il a même fait croire à ‘Tophe qu’il maîtrisait l’informatique sur le bout du doigtizentrop a écrit :Juste une question technique, car le texte est difficilement lisible.
L'image fait 538 pixels de large, il en faudrait au moins 1000 pour faire la largeur de page du forum
je crois savoir lequel… 
Obamot a écrit : il a même fait croire à ‘Tophe qu’il maîtrisait l’informatique sur le bout du doigt
Qui(?) si ce ne serait un as dans l’informatiqueet la dissimulation par VPN interposés? Qui(?) si ce ne serait celui qui vous ment régulièrement en vous regardant droit dans les yeux?
On dirait, mais je peux me tromper (après tout c’est lui l’expert informatique virtuose des adresses IP, pas nous) quand ça ne marche plus avec un pseudo, et hop, il revient dans ses bottes…
https://www.courrierinternational.com/a ... ale_224496États-Unis. Matt Gaetz, un “chien d’attaque” trumpiste propulsé au sommet de la justice fédérale
Cet élu de Floride, classé à l’extrême droite, va exercer une influence prédominante dans l’exécutif de rupture que Donald Trump met actuellement en place. Mercredi soir, le président élu a ajouté la Chambre des représentants à ses victoires électorales à la Maison-Blanche et au Sénat, renforçant un peu plus son pouvoir.
S’il y a bien une nomination qui “montre que Trump n’est prêt à aucun effort en matière d’unité ou de compromis, c’est celle-ci”, confie au Los Angeles Times le doyen de la faculté de droit de l’université de Californie à Berkeley, Erwin Chemerinsky.
Donald Trump a annoncé, mercredi 13 novembre, sur son réseau, Truth Social, qu’il comptait nommer au poste de ministre de la Justice l’élu de Floride Matt Gaetz, un républicain régulièrement classé à l’extrême droite du parti.
En plaçant ce fidèle au sommet de la justice fédérale, Trump a choisi, sans s’en cacher, un “chien d’attaque”, analyse The New York Times. “Matt mettra fin à l’instrumentalisation de notre administration” par les démocrates, a affirmé mercredi sans détour Donald Trump, qui accuse le ministère de la Justice actuel d’avoir fomenté une “chasse aux sorcières” à son égard. Pour la presse américaine, Gaetz, s’il est confirmé par le Sénat, pourrait donc devenir le bras armé de la vengeance du futur président républicain.
Même le quotidien conservateur The Wall Street Journal considère que Gaetz est un “mauvais choix”, qui ne fera que “saper la confiance dans la justice”. Dans un éditorial, le comité de rédaction du journal rappelle que “le procureur général des États-Unis doit répondre à d’innombrables questions difficiles concernant les personnes sur lesquelles enquêter ou à inculper. Or on ne ferait tout simplement pas confiance aux décisions de M. Gaetz en la matière”, note les éditorialistes, qui qualifient l’homme de “provocateur”. “Il est le candidat de ceux qui veulent que la loi soit utilisée à des fins de vengeance politique, et cela ne se finira pas bien”, préviennent-ils.
Une personnalité clivante jusqu’au sein de son propre camp
“Dans des circonstances normales”, la candidature de Gaetz au ministère de la Justice aurait eu toutes les chances d’être rejetée par le Sénat, remarque le New York Times. Le quotidien rappelle que l’élu a, par le passé, été visé par une enquête du ministère de la Justice, qui a duré près de trois ans, pour des accusations de trafic sexuel concernant une adolescente de 17 ans. Selon ses services, les procureurs l’ont informé en 2023 qu’il ne ferait pas l’objet de poursuites pénales. Gaetz est aussi dans le collimateur de la commission d’éthique de la Chambre des représentants, qui a ouvert une enquête après des accusations d’inconduite sexuelle, de consommation illégale de drogue et de tentative d’entrave à l’enquête.
Gaetz a par ailleurs “une expérience relativement limitée en tant qu’avocat […], par rapport à d’autres procureurs généraux récents qui ont eu une expérience en tant que procureurs, juges ou avocats de la défense de premier plan au niveau national”, remarque CNN.
Enfin, il est considéré comme extrêmement clivant, y compris au sein de son propre camp. En octobre 2023, il était notamment parvenu à faire chuter le président, républicain, de la Chambre des représentants, Kevin McCarthy.
Les républicains conservent la Chambre des représentants
Reste donc à savoir si le Sénat confirmera cette candidature très inhabituelle. La décision de Trump de choisir “Gaetz […] a stupéfié les sénateurs et certains de ses propres conseillers” note The Washington Post. Elle va maintenant “permettre de tester la loyauté du Sénat à majorité républicaine” vis-à-vis de Donald Trump, souligne le quotidien.
Mercredi soir, le républicain a par ailleurs ajouté la Chambre des représentants à ses victoires électorales à la Maison-Blanche et au Sénat, ce qui fera de lui l’un des présidents les plus puissants de l’histoire des États-Unis, avec des contre-pouvoirs restreints.
Le Grand Old Party a obtenu au moins 218 sièges sur les 435 en jeu, ce qui lui permet de garder sa majorité à la chambre basse, après avoir déjà arraché la chambre haute aux démocrates la semaine dernière. Les analystes s’attendent néanmoins à ce qu’il s’agisse d’une “faible majorité”, ce “qui risque de compliquer” l’action des élus républicains, remarque Politico.
Noémie Taylor-Rosner
https://www.courrierinternational.com/a ... nse_224485États-Unis. Pete Hegseth, le présentateur de Fox News que Trump a choisi comme ministre de la Défense
Avec sa décision de nommer un ancien major de l’armée américaine et actuel présentateur sur Fox News en tant que chef du Pentagone, Donald Trump prouve une fois de plus que la loyauté est le principal critère d’entrée dans son gouvernement.
Élu 47e président des États-Unis il y a tout juste une semaine, Donald Trump dévoile déjà les noms de son futur gouvernement, chaque annonce faisant l’objet de nombreux commentaires dans la presse.
Le dernier matelot à rejoindre le navire est peut-être le plus étonnant : il s’agit de Pete Hegseth. Cet ancien animateur de Fox News et vétéran de l’Army National Guard, qui a servi en tant que fantassin en Afghanistan, en Irak et à Guantanamo Bay, a été choisi pour le poste de ministre de la Défense.
Cette nomination, qui doit encore être approuvée par le Sénat, “ne correspond pas vraiment aux règles habituelles de sélection d’un bon profil pour ce poste”, commente The New York Times.
Choc au Pentagone
Pete Hegseth, qui est arrivé à Fox News en tant que consultant en 2014, avant d’animer l’émission Fox & Friends le week-end, a été félicité pour sa nomination par la chaîne ultraconservatrice, qui l’a qualifié d’“animateur exceptionnel”, en particulier pour “ses analyses sur l’armée”.
Tenant de longue date d’une conception très traditionnelle de l’armée et connu pour avoir “défendu avec énergie la cause des anciens combattants accusés de crimes de guerre”, Pete Hegseth ne s’est jamais caché de son admiration pour Donald Trump et pour son programme “America First”, qui vise à réduire l’engagement militaire des États-Unis à l’étranger.
De son côté, l’ex-président a loué l’expérience de combat de Hegseth et sa vision offensive de la politique de défense du pays : “Avec Pete à la barre, les ennemis de l’Amérique sont prévenus : [elle] ne reculera jamais”, lit-on dans le communiqué annonçant son choix.
Donald Trump a choisi de “promouvoir un de ses alliés du secteur télévisuel en le plaçant à la tête du Pentagone et du 1,3 million de soldats de l’active”, résume le quotidien new-yorkais.
“Ce choix a choqué le Pentagone” et le monde des spécialistes de la défense américaine, qui s’attendaient à ce que le nominé au poste soit “un législateur chevronné”, ou du moins “quelqu’un ayant de l’expérience en matière de politique de défense”, assure de son côté Politico.
La diversité dans l’armée
Ils craignent surtout que Trump ne tente d’installer au poste “un loyaliste qui appliquera ses politiques sans poser de questions”. Sont donc à envisager des mesures telles que le “rétablissement de l’interdiction des soldats transgenres” ou la “réduction des programmes de diversité au sein de l’armée”, précise le site d’actualité politique américaine.
“La nomination de Pete Hegseth laisse présager une bataille sur les questions sociétales au sein des forces armées, pourtant traditionnellement l’une des institutions les plus ouvertes à la diversité du pays”, abonde The Washington Post. Et le quotidien de rappeler que Pete Hegseth est un fervent détracteur des politiques d’inclusivité et de diversité dans l’armée, qu’il qualifie de “woke” et qui, selon lui, “affaibliraient les défenses de l’Amérique”.
Pour le journal de la capitale fédérale, cette nomination “montre toute l’importance que Trump accorde aux personnalités de la télévision qui se sont servies de cette plateforme pour promouvoir son programme”.
…absolument, j’assume à 100% puisque BASÉ SUR LA RÉALITÉ…GuyGadeboisLeRetour a écrit :Obamot a écrit : il a même fait croire à ‘Tophe qu’il maîtrisait l’informatique sur le bout du doigt
Mensonge, encore, manipulation, toujours.
Obamot a écrit : Qui(?) si ce ne serait un as dans l’informatique et de la dissimulation par VPN interposés? Qui(?) si ce ne serait celui qui vous ment régulièrement en vous regardant droit dans les yeux?
post$51558.html?#p$51558Obamot a écrit : On dirait, mais je peux me tromper (après tout c’est lui l’expert informatique virtuose des adresses IP, pas nous) quand ça ne marche plus avec un pseudo, et hop, il revient dans ses bottes…
post$47762.html?#p$47762
:
par Christophe » 09/11/24, 11:11où chaque fois qu’il avait une interrogation à ce sujet, il croyait bien faire en “te recrutant”, en fait tu copies/colles simplement des ouï-dires collectés ici et là dans la poubelle du web, t’es juste son fouille-mère2 attitré … La légende dit même que tu serais un Mozart de la dissimulation via VPN comme l’a rapporté Remundo avant de se retirer en signe de protestation …. Mais “dissimulé”… plus tant que ça puisque ‘Tophe a enfin vendu la mèche….:Christophe a écrit :[…] une petite recherche sur internet nous donnera la réponse...(la flemme je laisse Guy chercher)...
par Christophe » 16/10/24, 10:05…de rien…Christophe a écrit :Rooh Raymond,
Je trouve ta réaction excessive, faut prendre un peu de recul...
[…] bannir oui mais rien ne les empêcherait de créer de nouveaux comptes et re revenir […] je peux pas bannir sur les IP, y a toujours moyen de contourner ou d'en avoir une variable : Guy l'a fait ouvertement […]
Obamot a écrit :…de rien…Christophe a écrit :Rooh Raymond,
Je trouve ta réaction excessive, faut prendre un peu de recul...
[…] bannir oui mais rien ne les empêcherait de créer de nouveaux comptes et re revenir […] je peux pas bannir sur les IP, y a toujours moyen de contourner ou d'en avoir une variable : Guy l'a fait ouvertement […]
bistrot/message-de-depart-remundo-quitte-le-navire-econologue-t17699.html?#p559141Les bannir oui mais rien ne les empêcherait de créer de nouveaux comptes et re revenir je peux pas bannir sur les IP y a toujours moyen de contourner ou d'en avoir une variable : Guy l'a fait ouvertement il y a quelques années avec son compte "leretour"...
) ou faire une recherche Google. 
(Source: Courrier International)Opinion. Elon Musk pourrait être la personne idéale pour dégraisser l’État fédéral américain
Donald Trump compte nommer son richissime supporteur à la tête d’une commission “de l’Efficacité gouvernementale”. Une excellente idée, selon cette chroniqueuse conservatrice, qui salue le flair et l’imagination démontrés par Elon Musk aux manettes de Tesla et de SpaceX.
C’est l’une des idées du candidat Trump qui me séduisait le plus : sa volonté, s’il était élu, de s’allier les compétences expertes et les talents d’innovation de l’homme d’affaires milliardaire Elon Musk.
Or Trump semble décidé à tenir sa promesse, et à confier à Musk, le dirigeant de Tesla et de SpaceX et le propriétaire de X, la tâche de rendre l’administration publique plus efficace – oui, je sais, “administration” et “efficace” sont deux mots qui vont rarement ensemble.
L’administration fédérale a pris des proportions énormes, avec des agences et des réglementations qui ne cessent de proliférer et qui étouffent l’innovation, tout en coûtant au contribuable des sommes absurdes.
Trump a pris acte de l’endettement du pays, qui de 27 000 milliards quand il a quitté la Maison-Blanche, en 2021, est passé à 36 000 milliards de dollars. Certes, il l’avait lui-même alourdi de 8 000 milliards, mais c’était dû pour une grande part au financement de la lutte contre la pandémie de Covid-19, qui débutait.
“Un rôle de conseiller”
De son côté, Elon Musk ne demande qu’à participer, et il mesure l’urgence de la tâche. Quel que soit le titre qu’il aura au bout du compte [il doit prendre la tête d’une nouvelle commission “de l’Efficacité gouvernementale” hors gouvernement, conjointement avec l’entrepreneur Vivek Ramaswamy], Musk jouera essentiellement un rôle de conseiller. Les grands changements passeront obligatoirement sous les fourches caudines du puissant Bureau de la gestion et du budget [rattaché à la présidence], ainsi que par le Congrès.
Selon Chris Edwards, spécialiste du budget fédéral au [think tank libertarien] Cato Institute, Musk sera donc surtout le visage d’une plus vaste politique de rétrécissement de l’État fédéral.
Visionnaire
En mettant la main sur Twitter, puis plus récemment en apportant son soutien aux républicains et à Trump, Elon Musk s’est attiré les foudres de nombre de démocrates. Mais au-delà des convictions politiques, la longue liste des prouesses de Musk n’est guère contestable. L’homme est un visionnaire de notre temps, qui comme peu d’autres est capable d’imaginer tout ce qui est possible – aussi bien dans le voyage spatial que dans la voiture électrique.
Aussi est-il fort plausible qu’il soit capable d’avoir le même flair en matière d’innovation au service de l’administration fédérale.
“Inefficace et antidémocratique”
“Je pense que nous avons bien trop d’agences gouvernementales”, déclarait-il la semaine dernière, avant l’élection, au podcasteur Joe Rogan.
“La bureaucratie fédérale est devenue disproportionnée, il faut la ramener à une taille raisonnable.”
Chris Edwards, du Cato Institute, a quelques suggestions de dégraissage à l’intention du gouvernement Trump.
La baisse des aides fédérales aux programmes des États, notamment dans l’enseignement primaire et secondaire, le logement et les transports, permettrait d’économiser plus de 1 000 milliards de dollars par an. Ces programmes sont selon Edwards “intrinsèquement inefficaces et antidémocratiques”, en raison des réglementations coûteuses qu’ils imposent et du contrôle excessif qu’impose l’État fédéral aux États fédérés en contrepartie des financements.
Je n’attends pas de miracle immédiat, mais le fait que Trump confie cette mission à Musk est une excellente nouvelle. Et je pense que Musk saura donner le meilleur de lui-même.
Ingrid Jacques (De USA Today, ndr)
(Source, Courrier International)États-Unis. Elon Musk, l’homme clé de la victoire de Donald Trump
La réélection de Donald Trump à la tête des États-Unis doit beaucoup à un homme : Elon Musk. Le magnat de la tech s’est “dépensé sans compter” pour faire gagner le candidat républicain, entre investissements massifs dans sa campagne, travail de terrain et utilisation de son réseau social, X, pour recruter des électeurs.
“Nous avons une nouvelle star, une star est née… Elon ! C’est un gars incroyable.” Dans son discours de victoire, tenu tard dans la nuit du mardi 5 au mercredi 6 novembre, Donald Trump n’a pas manqué d’encenser un homme : Elon Musk. Et pour cause : le magnat de la tech a joué un rôle déterminant dans le retour en fanfare de l’homme d’affaires new-yorkais à la Maison-Blanche.
“Rappelons que, depuis le 13 juillet, jour de l’attentat manqué contre Donald Trump et de son soutien déclaré à celui-ci, Elon Musk, Américain d’origine sud-africaine, s’est dépensé sans compter”, écrit le journal suisse Le Temps.
Celui qui assurait en mars ne soutenir financièrement aucun candidat à la présidentielle est finalement devenu le principal donateur de la campagne de Donald Trump. Selon la Commission électorale fédérale, Elon Musk aurait fait des dons pour un montant d’environ 132 millions de dollars (122 millions d’euros) à Donald Trump et aux républicains.
Un soutien déterminant dans la mesure où “les milliardaires ont joué un rôle plus important que jamais dans les campagnes présidentielles démocrate et républicaine”, note Al-Jazeera.
“Bill Gates de Microsoft et l’ancien maire de New York Michael Bloomberg ont tous deux soutenu la vice-présidente, Kamala Harris.”
“Mais c’est le soutien multiforme d’Elon Musk à Trump qui a vraiment fait la différence.”
Le fondateur de Tesla s’est même lancé dans une initiative plus controversée. Il a proposé de verser chaque jour 1 million de dollars à un électeur, tiré au sort dans un des États clés, qui accepterait de signer une pétition soutenant les premier et deuxième amendements de la Constitution américaine, qui protègent respectivement la liberté d’expression et le droit de détenir et de porter des armes.
Lire aussi : Présidentielle. Que veulent ces “mégadonateurs” qui financent à millions les élections américaines ?
Mais il n’y a pas que sa fortune personnelle qu’Elon Musk a mise au service de la campagne de Donald Trump. Pour promouvoir son champion, il a surtout pu compter sur son réseau social, X (anciennement Twitter), qu’il a racheté en 2022. Il a joué un rôle de “promoteur, transformant effectivement sa plateforme de médias sociaux X en un porte-parole de ‘Make America Great Again’ (Maga)”, ajoute le média qatari.
“Le retour du mâle frustré”
Pendant toute la campagne, il a laissé courir les fausses informations, offert une tribune aux discours de haine et aux théories du complot, s’en faisant parfois lui-même le relais. Et le jour de l’élection, “Elon Musk a utilisé son compte X pour encourager ses 203 millions d’abonnés à voter pour Donald Trump”, rapporte The New York Times.
Plus qu’un soutien, il a été le personnage central du camp républicain dans cette présidentielle américaine, estime La Repubblica, qui écrit :
“Ce n’est pas Trump qui a donné à Musk la clé de sa campagne électorale, mais l’inverse.” (ce que j'annonçais quant à la manipulation de Musk envers Trump, ndr)
“Musk a indiqué à Trump les terres à labourer dans les États pivots : ‘Si vous réussissez là, vous réussirez partout.’ Il a créé un comité d’action politique, enrôlé des centaines de personnes et les a envoyées frapper à 10 millions de portes pour dire que si Trump ne gagnait pas, la démocratie serait finie.”
Il a également incarné aux côtés de Donald Trump “le retour du mâle frustré par le politiquement correct et #MeToo. Ils sont les représentants d’un néotribalisme consistant à réunir autour d’eux un cortège d’épouses et d’ex-épouses et une ribambelle d’enfants, et à remédier à la surpopulation de la planète en la blanchissant”, complète le journal italien.
Et à la fin, tous les efforts d’Elon Musk ont payé. Donald Trump est élu, et son plus grand soutien pourrait être récompensé par une place au sein du gouvernement américain. Et même si le président nouvellement élu ne tient pas promesse, Elon Musk pourra toujours se consoler. Après l’élection, la valeur de ses entreprises a grimpé en flèche. Ce qui fait dire à La Tribune de Genève qu’il a réalisé “le pari parfait”. “Tesla a […] gagné près de 100 milliards de dollars en valeur grâce à l’envolée des cours. Musk possède environ 13 % de l’entreprise, sa fortune a donc augmenté de quelque 13 milliards de dollars à la suite de la victoire électorale [de Trump]. Face à ce chiffre, l’investissement [d’environ 130 millions de dollars] dans l’élection de Trump apparaît comme une broutille.”
Dorian Gallais
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